Frégates, drones, bombardiers, missiles : l’armée chinoise a mobilisé, lundi, tous ses composants pour des manœuvres militaires d’ampleur autour de l’île de Taïwan. Une démonstration de force qui intervient à point nommé alors que la Chine veut mettre la pression sur Taïwan et sur tous ceux qui seraient tentés de soutenir ce territoire qu'elle revendique.
Alors que la Chine a lancé, lundi, des manœuvres militaires simulant un blocus des ports de Taïwan, l'aviation civile taïwanaise a prévenu que le trafic aérien devrait être perturbé, affectant plus de 100 000 passagers sur 857 vols intérieurs, internationaux et de transit.
Des commerçants de Téhéran ont fermé boutique et organisé, lundi, une deuxième journée de manifestations en Iran, après que la monnaie du pays a atteint son plus bas taux historique face au dollar américain. Les forces de l'ordre ont tirés du gaz lacrymogène pour tenter de disperser la foule.
L’armée chinoise diffuse des images qui, selon elle, montrent des destroyers, des frégates, des chasseurs et des bombardiers menant des exercices autour de Taïwan. Cette démonstration de force à grande échelle intervient dans un contexte tendu notamment par une vente d'armes américaines massive à l'île et après des semaines de dispute diplomatique entre Pékin et Tokyo.
L'armée thaïlandaise a accusé le Cambodge d'avoir violé un accord de cessez-le-feu conclu après plusieurs semaines d'affrontements meurtriers à la frontière entre les deux pays. Plus de 250 drones ont été détectés par la Thaïlande au-dessus de son territoire dans la nuit de dimanche à lundi, selon l'armée.
Le principal parti pro-militaire de Birmanie a déclaré, lundi, avoir remporté une victoire écrasante lors de la première phase des élections législatives organisées par la junte, selon un haut responsable du parti. Les résultats officiels n'ont pas encore été communiqués par la commission électorale birmane.
Premier exercice du genre depuis début novembre, deux tirs d'essai de missiles de croisière de longue portée ont été menés au-dessus de la mer Jaune sous la supervision de Kim Jong-un, rapporte, lundi, l'agence de presse KCNA. Le dirigeant nord-coréen promeut un développement "illimité et soutenu" des forces nucléaires de son pays.
La Chine a débuté, lundi, l'opération "Mission justice 2025" autour de Taïwan, des exercices militaires "majeurs" avec des tirs à munitions réelles. Taipei a dit déployer les "forces appropriées", ajoutant que ses troupes avaient "mené un exercice de riposte rapide".
La première phase des élections législatives organisées par la junte birmane, largement restreintes et critiquées à l'international, s'est achevée dimanche, près de cinq ans après un coup d'État militaire qui a plongé le pays dans une guerre civile.
La Birmanie a tenu, dimanche, des élections législatives à l'initiative de la junte au pouvoir. L'élection est "libre et équitable", a déclaré Min Aung Hlaing, le chef de la junte, près de cinq ans après avoir renversé le gouvernement et déclenché une guerre civile. Des élections contestées à l'international, notamment par l'ONU.
La junte birmane présente ses élections législatives comme un chemin vers la démocratie et la paix, mais ce scrutin n'offre ni l'un ni l'autre au million de réfugiés rohingyas, privés de leurs droits civiques et chassés de leurs terres natales.
La Thaïlande et le Cambodge ont conclu samedi un cessez-le-feu immédiat dans leur conflit frontalier qui a fait en trois semaines au moins 47 morts et près d'un million de déplacés.
En 2025, du Népal au Maroc, de Madagascar au Pérou, la Gen Z est descendue dans la rue pour faire entendre sa voix. Révoltée par les inégalités et les privilèges d'élites corrompues et sans complexes, la jeunesse du Sud global a vu se transformer ses revendications locales en un mouvement mondial. Retour sur une année charnière et sur une génération qui veut encore faire parler d'elle en 2026.
La Thaïlande et le Cambodge sont convenus samedi d'un cessez-le-feu "immédiat" dans leur conflit frontalier. Le texte prévoit notamment un gel des positions militaires, le déminage des zones frontalières et la libération par Bangkok de 18 soldats cambodgiens après 72 heures de cessez-le-feu effectif. Les explications de notre correspondant Constantin Simon, à Bangkok, en Thaïlande.
Après trois semaines de conflit frontalier, la Thaïlande et le Cambodge conviennent, samedi, d'un cessez-le-feu "immédiat". Les combats ont entraîné la mort de 47 personnes et fait près d'un million de déplacés.
Les voiliers participant à la traditionnelle course de fin d'année entre Sydney et Hobart, en Tasmanie, se sont élancés vendredi. Les marins ont éparpillé sur l'eau des pétales de rose en hommage aux victimes de la tuerie antisémite de la plage de Bondi, le 14 décembre dernier.
Une attaque au couteau est survenue vendredi dans une usine du centre du Japon. Selon un responsable des services de secours, 15 personnes ont été blessées.
Déjà emprisonné, l'ancien Premier ministre de Malaisie Najib Razak a été reconnu coupable vendredi d'abus de pouvoir et de blanchiment d'argent. Il a été condamné à 15 ans de prison et une amende de 13,5 milliards de ringgits (3,3 milliards de dollars). Il fera appel de cette décision, a annoncé son avocat.
Une peine de 10 ans de prison a été requise vendredi contre l'ancien président sud-coréen Yoon Suk-yeol. Les procureurs l'accusent d'"entrave à la justice" après sa tentative d'imposer la loi martiale l'an dernier.
De Bethléem à Sydney, en passant par Kiev, Bagdad et Nairobi, le monde catholique (et orthodoxe ukrainien) célèbre Noël, jeudi. Messes et processions, repas de fête, baignades en costume rouge... Tour du monde en images d'une journée de communion aux multiples formes.
Moscou a dit jeudi avoir fait une "proposition" à Paris au sujet du chercheur français Laurent Vinatier, emprisonné en Russie depuis mai 2024 et qui risque un procès pour "espionnage". "La balle est dans le camp de la France maintenant", a indiqué le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov lors de son point presse quotidien.
Le Cambodge et la Thaïlande ont entamé mercredi des pourparlers prévus pour durer quatre jours en vue de mettre un terme à leurs affrontements meurtriers, ont indiqué les autorités cambodgiennes.
La boîte noire de l'avion libyen qui s'est écrasé mardi soir près d'Ankara sera analysée dans un pays neutre, a annoncé mercredi le gouvernement turc. L'analyse de la boîte, retrouvée plus tôt dans la journée sur le site de l'accident, pourrait prendre plusieurs mois. Le crash a tué tous les passagers, dont le chef d'état-major des armées libyen.
L'épave d'un avion transportant le chef d'état-major libyen et quatre autres personnes a été retrouvée, mardi, en Turquie. Il avait disparu à 20 h 52 (17 h 52 GMT) après son décollage d'Ankara. L'appareil avait signalé un "dysfonctionnement électrique", a rapporté le directeur de la communication de la présidence turque.