Le New York Times a annoncé, jeudi, avoir intenté une action en justice contre le Pentagone pour avoir mis en œuvre une série de mesures restrictives à l'égard de la presse qu'il juge contraires au premier amendement de la Constitution américaine.
Recommencer une nouvelle vie dans un pays qu’ils ne connaissent pas ou dont ils se souviennent peu : tel est le sort réservé aux Mexicains expulsés des États-Unis par le gouvernement de Donald Trump. Cela concernerait plus de 100 000 personnes depuis janvier, selon le gouvernement mexicain. Que leur arrive-t-il après l’expulsion ? Au choc du retour succède la véritable épreuve, celle de reconstruire sa vie.
Un raton laveur a été retrouvé ivre dans les toilettes d'un magasin d'alcool dans la ville d'Ashland, en Virginie, après être entré par effraction dans l'établissement. Après un petit temps pour se remettre de ses émotions, il a finalement pu être relâché dans la nature.
À la télévision publique, le président venezuélien Nicolas Maduro a confirmé s’être entretenu avec son homologue américain, en pleine crise entre les deux pays.
Le docteur Salvador Plasencia, l'une des cinq personnes poursuivies dans l'enquête sur le décès par overdose de Matthew Perry, a été condamné mercredi à 30 mois de prison. Il n'a pas fourni la kétamine qui a tué l'acteur de la série "Friends", mais a reconnu lui avoir vendu une vingtaine de flacons de cet anesthésiant dans les semaines précédant sa mort.
L'administration Trump a lancé mercredi une opération d'arrestation d'immigrés clandestins dans la ville démocrate de La Nouvelle-Orléans, afin selon elle de mettre la main sur des "criminels en liberté". Donald Trump a l'intention d'y envoyer la Garde nationale.
Alors que les tensions entre Washington et Caracas sont au plus haut, Donald Trump a présenté un ultimatum à Nicolas Maduro : démissionner et quitter le pays immédiatement – ce qu'a refusé le président vénézuélien. Ce bras de fer s’inscrit dans une politique de lutte armée contre le narcotrafic. Depuis septembre, les États-Unis ont mené une vingtaine de frappes meurtrières contre des navires présumés transporter des drogues dans les Caraïbes et le Pacifique.
La violence des attaques de Donald Trump contre la minorité d’Américains d’origine somalienne, qualifiés de “déchets”, se nourrit d’un vrai scandale aux aides sociales dans le Minnesota. Mais le président américain fait d’un cas très spécifique une généralité aux relents racistes.
Après avoir annoncé son intention de "suspendre définitivement l’immigration en provenance de tous les pays du tiers-monde", le président américain a tenu mardi des propos incendiaires et déshumanisants contre la Somalie et ses ressortissants, qualifiés de "déchets".
Le républicain Matt Van Epps l'a emporté mardi avec environ 53 % des voix dans une législative partielle de l'État américain du Tennessee, un score bien plus faible que celui réalisé par Donald Trump en 2024 dans ce fief conservateur. Un avertissement pour le président, à moins d'un an des élections de mi-mandat.
L'homme soupçonné d'avoir tiré sur deux militaires de la Garde nationale à Washington a plaidé non coupable mardi depuis son lit d'hôpital. Originaire d'Afghanistan, Rahmanullah Lakanwal était arrivé aux États-Unis en 2021. De quoi relancer la polémique sur l'accueil des réfugiés.
Les autorités de transition au pouvoir en Haïti ont annoncé mardi l'organisation d'élections législatives et présidentielle cet été, les premières en neuf ans. "Le rétablissement de la sécurité est un préalable pour la réalisation du premier tour le 30 août 2026", selon le président du Conseil électoral provisoire.
Alors qu'une menace d'intervention américaine place sur le Venezuela, le président Donald Trump a réuni lundi son Conseil de sécurité nationale sur ce sujet. De son côté, le président Nicolas Maduro a rassemblé ses partisans à Caracas et assuré qu'il ne se laisserait pas intimider.
Joaquin Guzman Lopez, l'un des fils du baron de la drogue mexicain "El Chapo", a plaidé coupable, lundi à Chicago, de trafic de drogue. Il a aussi promis, en échange d'une peine allégée, de collaborer avec la justice américaine.
Alors que le Honduras a basculé à droite lors d’une élection encore indécise entre l’homme d’affaires Nasry Asfura, soutenu par Donald Trump, et le présentateur Salvador Nasralla, l’irruption du président américain dans le scrutin présidentiel d’un pays frappé par la violence des gangs et le trafic de drogue soulève une question : pourquoi s’intéresse-t-il autant à ce pays d’Amérique centrale ?
Une vaste opération fédérale de contrôle de l'immigration a été lancée à Charlotte, en Caroline du Nord, à la mi-novembre. Conséquence : de nombreux chantiers de construction ont été à l’arrêt, les ouvriers, souvent immigrés ou d'origine étrangère, craignant d’être arrêtés pendant leurs heures de travail.
Les deux candidats conservateurs à la présidence du Honduras, l'homme d'affaires Nasry Asfura, soutenu par le président américain Donald Trump, et le présentateur télé Salvador Nasralla, sont quasiment à égalité, selon des résultats préliminaires portant sur plus de la moitié des procès-verbaux, a annoncé lundi le Conseil national électoral (CNE).
Alors que les relations entre Washington et Caracas sont tendues, Donald Trump a confirmé dimanche avoir récemment eu un appel avec Nicolas Maduro, sans préciser son contenu. En parallèle, le président vénézuélien a dénoncé "l'agression en préparation" face au déploiement militaire des États-Unis.
Les électeurs du Honduras ont voté dimanche pour choisir entre la continuité d'un gouvernement de gauche ou le retour de la droite. "Récemment, le président américain s'est mêlé du scrutin en appelant à soutenir le candidat du parti national, Tito [Nasry Asfura] , affirmant qu'ensemble "ils peuvent travailler pour lutter contre les narco-communistes", rappelle Quentin Duval, correspondant pour France 24. "Donald Trump refuse d'avoir des pays à gauche dans le giron des États-Unis."
Alors que nous entrons dans l'hiver, d'autres entrent dans l'été. C'est le cas à Rio de Janeiro. Le Brésil attire 190 mille touristes français chaque année avec, peut-être, la promesse d’une expérience incroyable. S'élancer par exemple en parapente pour survoler une baie magique. Reportage de Simon Ricottier et Loup Krikorian.
Des dizaines de migrants souhaitant quitter le Chili se sont retrouvés bloqués vendredi à la frontière avec le Pérou, selon les autorités chiliennes. Cette situation survient dans un contexte de fortes tensions liées aux déclarations du candidat d’extrême droite à la présidentielle, José Antonio Kast, qui a menacé d’expulser les étrangers en situation irrégulière. De son côté, le Pérou a décrété l’état d’urgence à la frontière et refuse d’accueillir de nouveaux migrants. Récit de Thibault Franceschet.
Les électeurs du Honduras sont appelés dimanche à choisir entre la continuité d'un gouvernement de gauche ou le retour de la droite, dont un candidat à la présidence est soutenu par Donald Trump, qui s'est immiscé dans le scrutin. Récit d'Olivier Faissolle.
Le président américain Donald Trump a lancé samedi un avertissement selon lequel l'espace aérien du Venezuela devait être considéré comme "entièrement fermé", déclenchant l'ire de Caracas qui parle de "menace colonialiste" et "d'acte hostile". "À toutes les compagnies aériennes, pilotes, trafiquants de drogue et trafiquants d'êtres humains," a écrit M. Trump sur son réseau Truth Social, "veuillez considérer L'ESPACE AÉRIEN AU-DESSUS ET AUTOUR DU VENEZUELA COMME ENTIÈREMENT FERMÉ". Le président américain n'a pas donné de détails. Récit de Jean Barrère.
Les électeurs du Honduras sont appelés aux urnes, dimanche, notamment pour élire leur futur président. Ils doivent se prononcer entre la continuité d'un gouvernement de gauche ou le retour de la droite, dont un candidat est soutenu par Donald Trump.