Après les offensives des forces américaines contre des navires vénézuéliens, qui, selon la Maison Blanche, transporteraient de la drogue vers les États-Unis, Trump envisage des frappes terrestres et donne le feu vert à la CIA pour mener des actions sur le territoire vénézuélien. Il a également proféré des menaces contre le président colombien. Il accuse Gustavo Petro d’être un baron de la drogue et suspend les aides financières à Bogotá.

La Colombie a dénoncé lundi une "menace d'invasion" de la part des États-Unis, à la suite de l'annonce la veille par Donald Trump d'une possible intervention américaine. Bogota a par ailleurs rappelé son ambassadeur à Washington pour consultations.

Alors que l'administration Trump fait placer un nombre sans précédent de personnes dans des centres de détention, des chercheurs et des ONG s’alarment d’une augmentation du recours à l'isolement. Notre Observateur, qui a passé six jours à l'isolement dans un centre de détention de la police de l’immigration au Texas, décrit l’impact psychologique de cet enfermement.

Donald Trump est en croisade contre les universités américaines et leur donne jusqu'à ce lundi pour signer un pacte sur leurs priorités en matière d'éducation. Le MIT a été le premier à rejeter cet accord.

Rodrigo Paz a défié tous les sondages en devenant le nouveau président bolivien. Comment l'expliquer ? "Ce maire et sénateur renvoie une image d'un homme proche du peuple, en se déplaçant sur le terrain", défend la correspondante de France 24 en Amérique latine, Agathe Fourcade, qui ajoute que son "côté modéré" lui a permis de convaincre les électeurs de la gauche.

Crédité de 54,6 % des voix après le dépouillement de 97,8 % des bulletins, le sénateur de centre-droit Rodrigo Paz devient le nouveau président de la Bolivie. Il ne disposera pas d'une majorité au Parlement, ce qui va le contraindre à former des alliances.

Donald Trump a annoncé dimanche que les États-Unis ne verseront plus d'aides financières à la Colombie. Le président américain accuse Gustavo Petro, son homologue colombien, de ne pas lutter contre le narcotrafic dans son pays.

L’Amérique qui s'oppose à Donald Trump s'est fait entendre à travers tout le pays. Plus de 2700 manifestations avaient été organisées pour dénoncer la politique du président américain, le fléchissement qu'il impose au pays et à la société américaine. Ses partisans ont qualifié ce mouvement de "haine de l'Amérique". La dernière mobilisation datait du mois de juin. Elsa Chelle, professeure de sciences politiques à l'université Paris-Nanterre, est l'invitée de Aude Lechrist.

Pour revenir sur l'actualité de la semaine, France 24 vous propose une sélection de photos marquantes : manifestations "No Kings" contre Donald Trump aux États-Unis, coup d'État à Madagascar, funérailles de l'opposant historique Raina Odinga au Kenya.

Le président colombien Gustavo Petro a affirmé samedi que les États-Unis avaient violé l'espace maritime de son pays et tué un pêcheur au cours de leur déploiement militaire dans les Caraïbes présenté comme une opération contre les narcotrafiquants.

Des Américains de tout âge sont descendus dans les rues samedi en nombre pour faire entendre leur opposition à Donald Trump lors d'une journée de mobilisation nationale dépeinte par la droite comme un mouvement "de haine de l'Amérique".

Le défilé des alebrijes de Mexico est un événement annuel destiné à rendre hommage à l'artisanat et l'art populaire mexicains en particulier un type de papier-mâché dur appelé « Cartonería » et à la création de personnages fantastiques appelés « alebrijes ».

Les Boliviens élisent dimanche leur prochain président entre deux candidats de droite, Rodrigo Paz et l'ancien président de droite Jorge "Tuto" Quiroga, dans un pays miné par une profonde crise économique qui a eu raison de vingt ans de gouvernements socialistes.

Au moins 7 millions de personnes ont défilé samedi de New York à Los Angeles contre la politique jugée autoritaire de Donald Trump, lors d'une journée de mobilisation du mouvement "No Kings", d'ores et déjà diabolisée par la droite, qui fustige un mouvement "de haine contre l'Amérique".

Les Boliviens choisissent dimanche leur prochain président. Après 20 ans de gouvernements de gauche, les deux candidats en lice sont de droite et promettent de sortir le pays de la crise économique.

Des millions de personnes doivent défiler samedi de New York à San Francisco contre la politique jugée autoritaire de Donald Trump, lors d'une journée de mobilisation du mouvement "No Kings". Un événement d'ores et déjà diabolisée par la droite, qui fustige un mouvement "de haine contre l'Amérique".

Le nouveau gouvernement du Pérou a suspendu vendredi le chef de la police de Lima, après les violentes manifestations mercredi soir dans la capitale qui ont fait un mort, tué par un policier, et plus d'une centaine de blessés.

L'ancien élu républicain au Congrès américain George Santos est sorti de prison vendredi, quelques heures après que sa peine pour délits financiers a été commuée par Donald Trump, selon son avocat.

Au Pérou, une semaine après la destitution de la présidente Dina Boluarte, le pays a vécu un nouveau déchaînement de violences : 113 personnes blessées entre des civils et des policiers. “La GenZ péruvienne a le sentiment de se faire voler sa révolte contre un système profondément corrompu” explique Tania Romero Barrios, doctorante en Études hispaniques, Membre du Conseil Scientifique de l'Institut des Amériques, invité sur France 24.

Trois ressortissants soudanais habitant aux États-Unis ont obtenu 20,75 millions de dollars de dommages et intérêts suite à la condamnation vendredi de la banque française BNP Paribas par un jury populaire new-yorkais pour des transactions commerciales au Soudan sous le régime d'Omar el-Béchir.

Les Américains se sont mobilisés en masse samedi pour faire entendre leur opposition à Donald Trump lors d'une journée de manifestations "No Kings" ("Pas de roi") à travers le pays. Une mobilisation que la droite et le camp présidentiel dépeignent comme un mouvement "de haine de l'Amérique".

🇺🇸🇺🇦🇷🇺Le président américain, Donald Trump, a reconnu vendredi lors d’un rencontre avec le président ukrainien Vlodymyr Zelensky que son homologue russe pourrait être en train de jouer la montre dans le conflit en Ukraine, tout en estimant que Vladimir Poutine voulait un accord.