Aux États-Unis, une cour d'appel a rejeté, vendredi, un accord qui aurait permis au cerveau présumé du 11-Septembre, Khalid Cheikh Mohammed, de plaider coupable dans le cadre d'un accord lui épargnant le risque d'être condamné à mort pour les attentats du 11 septembre 2001 commandités par Al-Qaïda.

À Hunt, petite ville texane ravagée par les crues qui ont causé la mort d’au moins 120 personnes dans la région, un impressionnant élan de solidarité s’organise. Tandis que des centaines de secouristes fouillent inlassablement les berges du fleuve Guadalupe à la recherche des quelque 170 disparus, la population reste soudée. La visite de Donald Trump ce vendredi ne détourne pas l’attention : malgré les défaillances en série du système d’alerte, l’heure n’est pas aux polémiques politiques.

Le président américain Donald Trump est arrivé, vendredi au Texas, État du Sud américain meurtri par des inondations qui ont causé 120 décès. Les coupes budgétaires réalisées par les États-Unis sur les systèmes d'alerte et de secours sont vivement prises pour cible, alors que certains habitants du Hunt ont été prévenus six heures après le début de la montée des eaux, selon la chaîne texane KSAT.

Un juge fédéral du New Hampshire a suspendu, jeudi, le décret de Donald Trump destiné à priver de nationalité américaine les enfants nés après le 20 février 2025 de parents illégalement présents aux États-Unis. Mais cette fois, cette décision intervient après une plainte d'avocats au nom des enfants concernés.

Dans une lettre envoyée à Ottawa, le président américain, Donald Trump, a annoncé, jeudi, qu'il comptait imposer des droits de douane de 35 % sur les importations en provenance du Canada à partir du 1er août. Ils "peuvent être modifiés en fonction de notre relation avec votre pays", a-t-il prévenu.

Mahmoud Khalil, leader du mouvement de contestation pro-palestinienne de l'université Columbia, à New York, réclame 20 millions de dollars de dommages et intérêts à l'administration Trump après avoir enduré 104 jours de détention "politique".

La tension monte entre Donald Trump et son homologue brésilien Luiz Inacio Lula da Silva. Le président des États-Unis menace d'imposer au Brésil une taxe douanière de 50 % en soutien à l'ancien président brésilien Jair Bolsonaro jugé pour tentative de coup d’État. En réponse, Lula promet des représailles. Un bras de fer qui a lieu quelques jours après le sommet des BRICS à Rio de Janeiro où les dirigeants ont exprimé leurs graves préoccupations face aux droits de douane imposés par Donald Trump, sans le nommer directement.

Le président des États-Unis lie la menace de taxes plus élevées au sort réservé à l’ex-président d’extrême droite Jair Bolsonaro. Une démarche inédite à plus d’un titre.

Marco Rubio a annoncé, mercredi, que les États-Unis imposeront des sanctions à Francesca Albanese, la rapporteure spéciale de l'ONU pour les Territoires palestiniens à Genève. Le chef de la diplomatie américaine  l'a notamment mise en cause pour ses "efforts honteux" afin que la CPI prenne des mesures contre des responsables américains et israéliens.

Selon les derniers bilans, les inondations du 4 juillet au Texas ont fait au moins 119 morts, dont de nombreux enfants, et 173 personnes restent portées disparues. Les recherches se poursuivent dans des conditions difficiles, alors que la polémique enfle sur la rapidité des alertes.

Donald Trump a annoncé, mercredi, une surtaxe de 50 % sur les produits brésiliens, jusqu'ici épargnés alors que les États-Unis dégagent un excédent commercial face au Brésil. Le président américain affirme vouloir imposer ces nouvelles barrières douanières en raison des poursuites lancées contre l'ex-président brésilien Jair Bolsonaro.

Donald Trump a reçu, mercredi, à la Maison Blanche, les présidents du Liberia, du Sénégal, de Mauritanie, de Guinée-Bissau et du Gabon. Le président américain, qui prône une diplomatie basée sur des principes transactionnels, a notamment tenu à évoquer la question des minerais que possèdent ces pays africains.

À peine sorti des violentes inondations meurtrières, le Texas est confronté à des rumeurs selon lesquelles ces inondations auraient été provoquées par une société américaine d’ensemencement des nuages. C’est faux, il s’agit d’une théorie du complot récurrente.

Le bilan des inondations dévastatrices au Texas, qui ont fait une centaine de morts, pourrait considérablement augmenter. Les crues soudaines, provoquées par des pluies torrentielles que le sol asséché ne peut pas absorber, ne sont pas rares. Mais selon la communauté scientifique, le changement climatique provoqué par l'activité humaine a rendu plus fréquents et plus intenses les événements météorologiques comme les crues, les sécheresses et les canicules. Plus de précisions avec Éléonore Duffau, chercheuse à l'IRIS au sein du programme Climat, environnement et sécurité.

À la suite des inondations mortelles au Texas, les conspirationnistes en tous genres ont cherché un coupable et ont trouvé le candidat idéal en la personne d’Augustus Doricko, le PDG d’une société de géo-ingénierie. Ce dernier est depuis la cible de nombreuses menaces de mort, malgré l’absence totale de lien entre son entreprise et la catastrophe naturelle.

Cette semaine marque les six mois des incendies meurtriers ont ravagé plusieurs quartiers de Los Angeles, la pire catastrophe de l’histoire de la ville. Le feu a détruit plus de 16 000 maisons et commerces. Depuis, les progrès réalisés sont impressionnants, mais de nombreux obstacles subsistent sur le chemin de la reconstruction, en plus du traumatisme qui continue de marquer des milliers de résidents déplacés. Reportage de Pierrick Leurent.

La Cour suprême américaine a levé mardi la suspension de licenciements massifs de fonctionnaires fédéraux décidée par un tribunal de Californie en mai, ouvrant ainsi la voie aux mesures drastiques voulues par Donald Trump. Les emplois de dizaines de milliers de fonctionnaires sont menacés.

Le Camp Mystic, colonie de vacances pour filles au Texas, a annoncé lundi que 27 de ses participants et encadrants étaient morts dans les inondations qui ont dévasté cet État ce week-end. Le bilan humain de la catastrophe naturelle a franchi la barre des 100 morts.

Le président américain Donald Trump, qui avait programmé l'entrée en vigueur des droits de douane additionnels infligés aux partenaires commerciaux des États-Unis au 9 juillet, a repoussé l'échéance au 1er août via un décret présidentiel publié lundi soir.

Donald Trump et Luiz Inacio Lula da Silva se sont livrés lundi à un échange d'amabilités au sujet du procès à venir de l'ancien président brésilien Jair Bolsonaro, le premier affirmant que l'ex-dirigeant poursuivi pour une tentative de coup d'État n'est "coupable de rien" et le second lui rétorquant que le Brésil est "un pays souverain".

Le Camp Mystic, colonie de vacances pour filles, a annoncé lundi que 27 de ses participantes et encadrants étaient morts dans les inondations qui ont dévasté le Texas ce week-end. Le bilan humain de la catastrophe provoquée par les crues subites de la rivière Guadalupe a franchi la barre des 100 morts.

Attendu "probablement" vendredi au Texas, le président américain fait face à un début de polémique après des inondations meurtrières dans cet État. Plusieurs responsables locaux ont déploré le manque de fiabilité des prévisions fournies par les services météorologiques, l'une des cibles des coupes budgétaires massives décidées par l'administration Trump.