Les frappes israéliennes ont repris, dimanche 19 octobre, dans la bande de Gaza. Israël et le Hamas s'accusant mutuellement de violer le cessez-le-feu. La Défense civile de la bande de Gaza fait état d'au moins 45 morts. Dans la soirée, Israël a annoncé l'arrêt de ses frappes aériennes.
L'armée israélienne a affirmé, dimanche soir, qu'elle cesserait ses frappes dans la bande de Gaza en application du cessez-le-feu. Dans la journée, elle a frappé des dizaines de "cibles du Hamas", qu'elle accuse d'avoir attaqué ses troupes dans la matinée. L'État hébreu a accusé le Hamas d'avoir violé le cessez-le-feu, ce que le mouvement palestinien conteste. Retrouvez le fil du 19 octobre.
Le Hamas a rejeté dimanche un communiqué du département d'État américain l'accusant d'être sur le point de violer le cessez-le-feu conclu avec Israël en attaquant des civils dans la bande de Gaza.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a averti samedi que la guerre à Gaza ne prendrait fin définitivement qu'avec le désarmement du Hamas. Il a également annoncé qu'il briguerait un nouveau mandat lors des prochaines élections.
Reçu hier — 18 octobre 2025France 24 - Moyen-Orient
Dans le cadre de l'accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, l'armée israélienne a restitué les dépouilles de 15 Palestiniens, samedi, après avoir identifié la dépouille d'un otage retenu à Gaza remise la veille. La Défense civile dans la bande de Gaza a également annoncé que neuf civils Palestiniens ont été tués dans un bus par l'armée israélienne vendredi. Tom Fletcher, chef des opérations humanitaires de l'ONU, s'est rendu samedi à Gaza-ville.
Téhéran a affirmé samedi ne plus être tenu par les "restrictions" liées à son programme nucléaire, tout en réitérant son "engagement" pour la diplomatie, le jour de l'expiration d'un accord international conclu il y a dix ans. Un accord qui était déjà devenu caduc à la suite du retrait unilatéral des États-Unis en 2018.
À partir de 2011, alors que le peuple syrien conteste le pouvoir sans partage de Bachar al-Assad, le régime arrête arbitrairement des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants. Le viol et les violences sexuelles sont utilisés comme armes de guerre, notamment contre les Syriennes. Cet article est le dernier volet d'une série de trois reportages (3/3).
Le Hamas s'est engagé vendredi à rendre à Israël tous les corps des otages encore dans la bande de Gaza conformément à l'accord de cessez-le-feu parrainé par les États-Unis, tout en relevant que la recherche des dépouilles enfouies sous les ruines était difficile. Un nouvelle dépouille d'otage a été remise à la Croix Rouge dans la soirée, a annoncé l'armée israélienne.
Plusieurs internautes relaient une vidéo sur laquelle on peut voir le Président égyptien Abdel Fattah al-Sissi frapper le 1er ministre israélien, Benjamin Netanyahu. Il s'agit en fait d'une vidéo générée par intelligence artificielle mais basée sur ancienne rencontre entre les deux hommes.
Plusieurs médias et internautes affirment que les archives et le compte Instagram de Saleh Al Jafarawi, un infuenceur palestinien tué dimanche lors d’affrontements entre le Hamas et un clan armé, auraient été supprimés. Son profil Instagram est bien inaccessible, mais les archives de ce compte n’ont pas pu être effacées : elles n’existent pas vraiment.
En Syrie, les journalistes de France 24 sont allées à la rencontre de plusieurs femmes victimes de violences sexuelles systémiques sous le régime de Bachar Al-Assad. Asma, Yasmine et Houda se sont confiées sur les viols qu’elles ont subi en prison.
Depuis le début du cessez-le-feu entré en vigueur le 10 octobre, le Hamas s’empresse de reprendre le contrôle de la bande de Gaza. Défiant les conditions de l’accord de paix négocié par les États-Unis, le mouvement islamiste a affronté violemment des groupes armés, qu’il accuse d’être des bandes criminelles, et exécuté en pleine rue des hommes présentés comme des "collaborateurs" d'Israël.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s'est dit jeudi "déterminé" à ramener "tous les otages", lors de la commémoration officielle du deuxième anniversaire de l'attaque du 7 octobre 2023. La Turquie a annoncé envoyer des spécialistes dans la ville de Gaza pour participer aux recherches des corps ensevelis, "y compris des otages".
À partir de 2011, le peuple syrien conteste le régime de Bachar al-Assad. Des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants sont arrêtés arbitrairement à travers le pays. Le viol et les violences sexuelles sont alors utilisés comme armes de guerre, sans distinction d’âge ni de sexe. Dans ce documentaire exceptionnel, Asma, Yasmine et Houda ont accepté de confier leur histoire aux journalistes de France 24 Dana Alboz et Assiya Hamza. Elles se sont rendues en Turquie et en Syrie pour rencontrer ces "survivantes".
Alors que le Hamas s'est réengagé jeudi à respecter l'accord de cessez-le-feu à Gaza en rendant les corps de tous les otages, la Turquie a commencé à déployer des spécialistes pour les récupérer sous les décombres. De son côté, Donald Trump a menacé "d'aller tuer" les membres du Hamas si ce dernier "n'arrêtait pas de tuer des gens" dans l'enclave palestinienne.
Sous les ruines, les Gazaouis tentent de renouer avec la vie après deux ans de bombardements israéliens, tandis que le Hamas tente de resserrer son emprise sur le territoire palestinien et que le calme, imposé par le cessez-le-feu, reste suspendu à un fil. Témoignage.
Le ministre israélien des Affaires étrangères a indiqué jeudi soir que la réouverture du passage de Rafah entre la bande de Gaza et l'Égypte pourrait avoir lieu dimanche. De son côté, la Turquie a commencé à participer à la recherche des corps enfouis dans les ruines de l'enclave palestinienne. Voici le fil du 16 octobre 2025.
Alors que le Hamas a affirmé mercredi avoir remis à Israël toutes les dépouilles d'otages auxquelles il avait pu accéder, le ministre israélien de la Défense a menacé d'une reprise des combats dans la bande de Gaza si tous les corps n'étaient pas rendus conformément à l'accord de cessez-le-feu.
Des milliers de scouts du Hezbollah sont accusés d’avoir effectué un salut nazi lors du 40e anniversaire de leur mouvement en hommage à Hassan Nasrallah. Les vidéos sont authentiques mais le geste effectué n’a rien de commun avec celui des nazis.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu est convoqué mercredi devant le tribunal de Tel-Aviv pour une nouvelle audience de son procès pour corruption, un dossier emblématique qui continue de peser sur la vie politique du pays et son avenir politique.
En condamnant deux Français - vraisemblablement Cécile Kohler et Jacques Paris - à des peines de prison allant jusqu'à vingt ans, l'Iran est-elle en train d'ouvrir ou de fermer la porte à des négociations avec Paris ? On va plus loin avec Patricia Allémonière et Anne Corpet.
Le Hamas entend rendre à Israël les corps des otages morts, comme convenu dans l'accord sur Gaza, ont affirmé mercredi de hauts responsables américains. Israël avait menacé auparavant de reprendre les combats si le Hamas ne respectait pas l'accord de cessez-le-feu. Le groupe islamiste palestinien avait indiqué plus tôt avoir remis toutes les dépouilles d'otages retenus à Gaza auxquelles il avait pu accéder. Voici le fil du 15 octobre 2025.
Donald Trump a assuré mardi que les États-Unis "désarmeront" le Hamas s'il ne le fait pas lui-même. Dans la bande de Gaza en ruines, le mouvement islamiste palestinien mène une campagne de répression et a publié la vidéo de l'exécution en pleine rue de huit hommes qualifiés de "collaborateurs" d'Israël. Quatre nouvelles dépouilles d'otages ont été restitués à Israël dans la nuit de mardi à mercredi.