La Fédération de football palestinienne a annoncé mercredi la mort de l'ancien international Suleiman al-Obeid. L'ex-capitaine de la sélection a été tué lors d'une attaque israélienne dans la bande de Gaza.
Les acteurs humanitaires ont appelé mercredi les autorités israéliennes à abroger une réglementation menaçant à terme toutes leurs activités dans la bande de Gaza et en Cisjordanie occupée. "Cette exigence fait partie d'un ensemble de nouvelles conditions restrictives", déplore le Humanitarian Country Team, un organe de coordination entre l'ONU et plus de 200 ONG.
Le Hezbollah a affirmé, mercredi, que le gouvernement libanais avait commis un "grave péché" en décidant de le désarmer d'ici fin 2025 et qu'il ferait comme si cette décision "n'existait pas". Au contraire, ses opposants ont salué une "décision historique".
Israël fait face à une émigration accrue depuis "l'après 7-Octobre", et les départs n'ont pas été compensés par les entrées sur le territoire en 2024. Les Israéliens qui choisissent de partir ont tendance à être plus diplômés que la moyenne nationale. Enlisé dans la guerre, l'État hébreu est-il menacé par une fuite de "ses cerveaux" ?
La presse israélienne prédit une nouvelle escalade des opérations à Gaza, alors que Benjamin Netanyahu, a annoncé, mardi, qu'Israël devait "vaincre totalement" le Hamas pour assurer la libération des otages. Sur le terrain, au moins 68 personnes ont été tuées dans des attaques israéliennes, selon la Défense civile.
Le gouvernement libanais a chargé mardi l'armée de préparer un plan pour désarmer le Hezbollah, d'ici la fin de l'année. Une mesure demandée par les États-Unis. Le même jour, le secrétaire général du Hezbollah libanais, Naïm Qassem, a déclaré que le parti n'accepterait pas de calendrier imposé pour remettre ses armes tant qu'Israël poursuit ses attaques au Liban.
Israël a réautorisé, mardi, l'entrée "de marchandises via le secteur privé à Gaza", selon un communiqué. Par la suite, Benjamin Netanyahu a déclaré : "Il est nécessaire de vaincre totalement l'ennemi à Gaza, de libérer tous nos otages et de s'assurer que Gaza ne constituera plus une menace pour Israël'". Le fil du 5 août 2025.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a annoncé lundi qu'il donnerait cette semaine "des instructions" sur la poursuite de la guerre dans la bande de Gaza, au moment où les pressions s'accentuent sur son gouvernement pour trouver une issue au conflit et libérer les captifs du 7-Octobre.
L'Arabie saoudite a exécuté lundi deux ressortissants saoudiens pour "terrorisme", au lendemain de l'exécution de sept étrangers pour trafic de drogue, portant à 17 le nombre d'exécutions en trois jours, selon un décompte de l'AFP fondé sur les annonces officielles. La majorité des condamnés ne sont pas des ressortissants saoudiens.
Sous un soleil écrasant, des Gazaouis épuisés et affamés parcourent chaque jour des kilomètres à pied à la recherche de quelques litres d'eau, souvent saumâtre ou polluée, à l'heure où la crise de l'eau, préexistente à la guerre, s'est terriblement aggravée selon des sources humanitaires et des responsables locaux.
Krystine Bejjani, a survécu à l'explosion du port de Beyrouth le 4 août 2020. Grâce à sa passion, la batterie, elle a réussi à surmonter les effets psychologiques liés l’explosion du port.
Un reportage de notre journaliste Shaza Wannous.
Israël veut mettre la question des otages retenus à Gaza "au centre de l'agenda international", a déclaré lundi le ministre israélien des Affaires étrangères, Gidéon Saar, à la veille d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU sur le sujet.
Près de 600 anciens responsables de l'appareil sécuritaire en Israël, du Mossad et du Shin Bet notamment, ont appelé le président américain Donald Trump à faire pression sur Benjamin Netanyahu pour mettre fin à la guerre à Gaza et ainsi ramener "les otages chez eux". Chronique de Bruno Daroux.
Le 4 août 2020, l'une des plus grandes explosions non nucléaires de l'histoire a dévasté des quartiers entiers de la capitale libanaise, faisant plus de 220 morts et 6.500 blessés.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a sollicité l'aide du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) "pour fournir de la nourriture" et "un traitement médical" aux otages israéliens aux mains du Hamas dans la bande de Gaza, selon un communiqué de son bureau publié dimanche.
Le Hamas a affirmé dimanche qu'il n'autorisera l'accès du CICR aux otages israéliens de Gaza que si des couloirs humanitaires sont ouverts vers le territoire palestinien, selon un communiqué de sa branche armée. Stéphane Amar, notre correspondant à Jérusalem, décrypte la situation.
Le 4 août 2020, l'une des plus grandes explosions non nucléaires de l'histoire dévastait des quartiers entiers Beyrouth, faisant plus de 220 morts et 6 500 blessés. Cinq ans plus tard, l'enquête n'a toujours pas abouti, au grand désespoir des proches des victimes. Stéphanie Khouri, journaliste politique, analyse la situation.
Le président libanais, Joseph Aoun, a promis lundi que la justice serait rendue au terme de l'enquête portant sur l'explosion qui avait soufflé le port de Beyrouth en 2020. Cinq ans après ce drame, la journée du 4 août a été déclarée jour de deuil national, alors que les investigations se poursuivent.
Au moins 76 personnes sont mortes et des dizaines portées disparues après le naufrage d'une embarcation transportant principalement des migrants éthiopiens au large des côtes yéménites, dernière tragédie en date sur cette route migratoire périlleuse, ont indiqué des responsables yéménites à l'AFP lundi.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a sollicité dimanche l'aide du CICR pour fournir "nourriture" et "traitement médical" aux otages israéliens dans la bande de Gaza, en proie à une catastrophe humanitaire, où le Hamas a exigé en retour l'ouverture de "corridors humanitaires".
Près de 600 anciens responsables de l'appareil sécuritaire en Israël ont appelé, lundi, le président américain Donald Trump à faire pression sur Benjamin Netanyahu pour mettre fin à la guerre à Gaza. "Traquer les derniers hauts responsables du Hamas peut être fait plus tard", mais les "otages ne peuvent pas attendre", insistent-ils.
Le ministre israélien d'extrême droite, Itamar Ben Gvir, s'est rendu dimanche au petit matin sur le site hautement sensible de l'esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est, secteur occupé et annexé par Israël, pour y prier. Troisième lieu saint de l'islam, l'esplanade est une poudrière. Pour les juifs, c'est le mont du Temple, lieu le plus sacré du judaïsme.
Les vidéos publiées par le Hamas et le Jihad islamique ont suscité l'émoi chez la population israélienne. En réaction, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu a "sollicité l'implication (du Comité international de la Croix-Rouge) pour fournir de la nourriture à nos otages et leur prodiguer un traitement médical immédiat". Peu après, le Hamas a affirmé être prêt à répondre "positivement" à toute demande du CICR, exigeant "l'ouverture de corridors humanitaires" dans la bande de Gaza.
À Soueïda, les habitants vivent sous un blocus - l'électricité, l'eau et nourriture manquent -, la route reliant la ville à Damas est bloquée. Un cessez-le-feu a été obtenu fin juillet après des violences intercommunautaires. Les habitants réclament la fin du blocus et l'ouverture d'un couloir humanitaire.