Après 3 jours de violences et de tirs dans la ville druze de Soueïda, les autorités syriennes annoncent un cessez le feu. La situation reste pourtant confuse. Depuis dimanche plus de 300 personnes ont été tuées selon l’observatoire syrien pour les droits de l’homme. Des heurts qui ont mis en lumière la difficulté pour le nouveau gouvernement syrien d’asseoir son autorité sur l’ensemble du pays.
Dans un entretien accordé à France 24, le ministre libanais de la Justice, Adel Nassar, appelle au désarmement du Hezbollah, sans lequel "le Liban en tant qu'État ne pourrait pas exister", jugeant "absurde" l'idée de conditionner ce désarmement au retrait israélien. Le ministre affirme également que l'enquête sur l'explosion du port de Beyrouth "détermine aussi l'existence de l'État libanais", et soutient un accord permettant à une partie des Syriens détenus au Liban d'être transférés en Syrie.
Vingt Palestiniens ont été tués mercredi sur un site de distribution d'aide géré par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF). Selon l'organisation privée soutenue par les États-Unis et Israël, des "agitateurs" ont provoqué un mouvement de foule. La Défense civile de Gaza pointe elle la responsabilité de l'armée israélienne et de la GHF dans la bousculade.
Alors que les violences dans le sud de la Syrie, à Soueïda, ont fait des centaines de morts, Israël a frappé mercredi le QG de l'armée syrienne dans la capitale Damas, puis une "cible militaire" située près du palais présidentiel. Le secrétaire d'État américain, Marco Rubio, a dit espérer une "désescalade" dans les "prochaines heures". De son côté, le ministère syrien de la Défense a annoncé le début du retrait des troupes de Soueïda. Retrouvez le fil de la journée du 16 juillet 2025.
Plus de 300 personnes ont été tuées depuis le début des combats dimanche entre combattants druzes et tribus bédouines, puis l'intervention des forces gouvernementales aux côtés de ces dernières, a indiqué mercredi l'Observatoire syrien des droits de l'Homme. Dans le même temps, Israël mène des frappes contre des cibles du pouvoir à Damas.
Le départ annoncé du parti Judaïsme unifié de la Torah de la coalition gouvernementale de Benjamin Netanyahu ne laisse plus au Premier ministre qu'une courte majorité de 61 sièges sur 120 au Parlement. Cette décision a été vivement critiquée par plusieurs ténors de l'opposition.
Les forces syriennes se sont déployées mardi matin dans la ville de Soueïda, dans le sud de la Syrie, jusque-là tenue par des combattants druzes locaux, après des violences entre groupes druzes et bédouins. Même si les autorités affirment avoir obtenu un cessez-le-feu, des nuages de fumée s'élevaient mardi au dessus de la ville et des coups de feu se faisaient entendre. Israël, qui assure vouloir défendre la communauté druze, a bombardé les forces gouvernementales après leur entrée à Soueïda.
L'ambassadeur des États-Unis à Jérusalem, Mike Huckabee, exige qu'Israël mène une enquête approfondie sur le meurtre de Saif Musalat, un Américano-Palestinien de 20 ans battu à mort par des colons israéliens en défendant les terres de sa famille en Cisjordanie occupée.
Les forces gouvernementales syriennes ont commencé à entrer à Soueïda, ville à majorité druze du sud de la Syrie, ont annoncé mardi les autorités après deux jours de combats meurtriers entre combattants druzes et bédouins ayant fait une centaine de morts.
Reçu hier — 15 juillet 2025France 24 - Moyen-Orient
Le président américain multiplie les annonces optimistes autour d’une nouvelle trêve à Gaza, mais les négociations patinent et l’offensive israélienne se poursuit. L’aide humanitaire arrive toujours au compte-goutte dans l’enclave palestinienne et le futur de Gaza dans un après-guerre très hypothétique reste plus qu’incertain.
Les frappes militaires israéliennes dans l'est du Liban sont un "message clair" à destination du Hezbollah, a déclaré, mardi, le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, accusant le groupe islamiste soutenu par l'Iran de chercher à reconstituer ses forces en violation d'un accord de cessez-le-feu.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l’Homme, au moins 203 personnes sont mortes depuis le début des affrontements dimanche entre druzes et bédouins, suivis du déploiement de forces gouvernementales dans la région.
Les trois membres de la Commission de l’ONU chargée d’enquêter sur les exactions commises depuis 2021 par Israël, le Hamas et d’autres groupes armés dans les Territoires palestiniens ont remis leur démission, invoquant des raisons personnelles et la fin d’un cycle.
Le Handala a quitté, dimanche, le port de Syracuse, en Italie, avec à son bord une quinzaine de militants en direction de Gaza. Cette initiative destinée à "briser le blocus israélien" intervient six semaines après le départ du Madleen, un autre navire de la "Flotille pour la liberté".
Un nouveau bateau de la "Flotille pour la liberté" transportant des militants pro-palestiniens et de l'aide humanitaire a quitté dimanche Syracuse, en Sicile, à destination de Gaza. "L'objectif est d'attirer l'attention du monde sur le blocus illégal de Gaza", explique l'activiste Mohammed Mustafa. "Si ce n'est pas le Madleen ou le Handala, ce sera un autre...Nous briserons le siège de Gaza", ajoute Thiago Avila.
Au lendemain des combats entre tribus bédouines et druzes qui ont éclaté à Soueïda, dans le sud de la Syrie, le dernier bilan de l'OSDH faisait état, lundi, d'au moins 89 morts. Par ailleurs, l'armée israélienne a annoncé avoir frappé "plusieurs chars" dans la zone syrienne en proie aux affrontements
Pendant plus de deux ans, la journaliste Caroline Gillet, journaliste à FranceInter, a suivi le parcours de Marwa et Raha, deux jeunes Afghanes exilées en France.
Au moins 40 personnes sont mortes, dimanche matin, dans de nouvelles frappes israéliennes dans la bande de Gaza, notamment à proximité du camp de réfugiés de Nousseirat, dans le centre de l'enclave.
Au moins 43 personnes sont mortes, dimanche matin, dans de nouvelles frappes israéliennes dans la bande de Gaza, notamment à proximité du camp de réfugiés de Nousseirat, dans le centre de l'enclave.
Le Hamas et Israël se sont mutuellement accusés samedi de saboter leurs négociations indirectes pour un cessez-le-feu à Gaza, où plus de 20 Palestiniens ont été tués dans des frappes israéliennes selon la Défense civile locale.
Le Hamas et Israël se sont mutuellement accusés, samedi, de saboter leurs négociations indirectes pour un cessez-le-feu à Gaza, où plus de 20 Palestiniens ont été tués dans des frappes israéliennes, selon la Défense civile locale.
La famille d'un jeune Américano-Palestinien, battu à mort par des colons israéliens en défendant les terres de sa famille en Cisjordanie occupée, selon l'Autorité palestinienne, a appelé, samedi, le département d'État à mener une enquête.
Des frappes aériennes israéliennes ont tué au moins 28 Palestiniens dans la bande de Gaza, dont quatre enfants, ont indiqué samedi des responsables hospitaliers. Les enfants et deux femmes figurent parmi au moins 13 personnes tuées à Deir al-Balah, dans le centre de Gaza, après que des frappes israéliennes ont violemment touché la zone à partir de la fin de la journée de vendredi, selon des responsables de l’hôpital des Martyrs d'Al-Aqsa.