Quand on pense config musclée on pense de suite un boîtier ATX ou micro-ATX, surtout si l’on veut des composants avec un minimum de puissance. Ici MSECOREPC (fabricant de mini-PC professionnel) prend le pari de faire rentrer un Intel Core i9 et une GeForce RTX 5060 Ti dans un boîtier de la taille d’une alimentation ATX. Voici le MSECORE MV10, un mini-PC conçu pour travailler efficacement sans prendre de place sur le bureau.
Mini-PC MV10, pas gros mais plutôt costaud
Dans un volume réduit et des dimensions de 15,2 cm de large, 20,3 cm de profondeur et 10,1 cm de haut ce mini-PC peut embarquer un processeur Intel Core i9-14900F (24 cœurs et 32 threads jusqu’à 5,8 GHz), jusqu’à 64 Go de mémoire DDR5 (32 Go de base), un SSD NVMe PCIe Gen 4 de 4 To et une carte graphique GeForce RTX 5060 Ti. Pas mal dans aussi peu d’espace. Bien entendu il s’agit de la configuration la plus costaud que l’on retrouve dans ce mini-PC MSECORE MV10. De base nous débutons avec un processeur Core i5-12400F (6 cœurs et 12 threads à 4,4 GHz), 32 Go de mémoire, un SSD de 1 To et une GeForce RTX 3060 12G.
Autant de composants dans aussi peu d’espace génèrent forcément beaucoup de chaleur, c’est pourquoi nous trouvons pas moins de quatre ventilateurs. Sans pour autant connaître leur taille et le niveau sonore. En termes de connectiques le MV10 comporte quatre ports USB 2.0 en façade, ainsi que le bouton POWER. À l’arrière nous avons tout l’essentiel pour travailler et/ou jouer avec un port HDMI 2.1 et 3 ports DisplayPort 1.4 supportant jusqu’à quatre écrans en 8K. Egalement quatre ports USB 3.2, deux ports Ethernet Gigabit, une sortie audio et une sortie optique.
Une connectique complète pour travailler efficacement
Pour la partie connectivité nous avons du WiFi 7 avec les deux connecteurs pour antennes sans fil, et du Bluetooth 5.4. Pour une vitesse maximale théorique jusqu’à 46,1 GB/s.
WiFi 7 et Bluetooth 5.4
Et enfin le mini-PC MSECORE MV10 est fourni avec Windows 11 Pro 64 bits pré-installé. En termes de tarifs il faut compter entre 1900 et 2200 €, car oui il ne sera disponible qu’aux USA, et sur le site Amazon US il n’est pas ou plus disponible à la vente.
Nous indiquions hier que le modèle RX 9070 XT Nitro+ Phantom Link semblait se profiler, avec un calendrier compatible avec le CES. Depuis, des créateurs et testeurs chinois diffusent des photos de prise en main ainsi que leurs premières impressions, suggérant que SAPPHIRE a déjà commencé à envoyer des échantillons à la presse.
Surprise supplémentaire, la Radeon RX 9070 XT NITRO+ de Sapphire apparaît en version blanche, accompagnée du connecteur Phantom Link. Un signal fort à l’approche du CES 2026, même si aucune annonce officielle n’a encore été faite.
Radeon RX 9070 XT NITRO+ en blanc : nouveaux échantillons, même fiche technique
D’après des créateurs et testeurs chinois, Sapphire a commencé à diffuser des unités de démonstration de sa RX 9070 XT NITRO+, avec une variante blanche inédite qui accompagnerait le modèle « classique». Si cela se confirme au détail, ce serait la première carte NITRO+ blanche chez Sapphire. Aucune fiche technique spécifique n’a filtré pour ce coloris : il partagerait les mêmes caractéristiques que la NITRO+ classique.
Deux versions seraient au programme : un modèle standard avec connecteur 16 broches et une déclinaison à double alimentation baptisée Phantom Link. Cette dernière associe deux connecteurs, dont le GC-HPWR, un connecteur basé sur PCIe pouvant être installé en option sur le GPU.
Phantom Link, GC-HPWR et calendrier probable
Le concept Phantom Link repose sur deux points d’alimentation, avec un GC-HPWR détachable pour s’adapter aux configurations et simplifier la revente ultérieure. La présence d’unités médias et d’impressions précoces laisse penser à un lancement coordonné.
Sapphire n’a toutefois publié ni annonce formelle, ni prix, ni date. Il semblerait que la fenêtre du CES serve surtout d’indice lié à la circulation des échantillons, pas d’échéance confirmée.
No Rest for the Wicked ouvre sa bêta ouverte coop sur Steam, et les joueurs peuvent s’y connecter dès maintenant pour éprouver la branche expérimentale avant la sortie coop fixée au 22 janvier.
No Rest for the Wicked : une branche expérimentale pour tester le coop
Moon Studios remercie la communauté ayant suivi le Wicked Inside Showcase et confirme un calendrier serré : la bêta ouverte est annoncée du 18 décembre au 22 décembre. Elle est réservée aux joueurs possédant le jeu sur Steam et passe par une branche expérimentale aux sauvegardes séparées. Les personnages et la progression de la version Live ne sont pas affectés et restent disponibles au retour sur la version principale.
« soyez indulgents, partagez vos retours, c’est un environnement de test », préviennent les développeurs, qui orientent les feedbacks vers le Discord officiel (canaux dédiés) ou les forums du jeu.
Comment accéder à la bêta coop sur Steam
• Clic droit sur « No Rest for the Wicked » dans la bibliothèque Steam • Ouvrir « Propriétés » • Aller dans l’onglet « Bêtas » • Dans « Participation à la bêta », choisir « experimental »
Pour jouer en équipe, ajoutez vos amis sur Steam puis invitez-les dans votre Realm. À la recherche de coéquipiers, direction le canal #lookingforplayers du Discord officiel. Il faut posséder le jeu pour accéder à cette branche de test.
Un « serveur dans un sac à dos » en 3,6 kg : l’Eurocom Raptor X18 s’affiche comme un mobile server prêt pour l’edge, avec Intel Core Ultra 9 275HX, GeForce RTX 5090 et jusqu’à 32 To de NVMe en RAID. Eurocom promet de « porter un nœud serveur complet » partout.
Eurocom Raptor X18 : un mobile server complet
Le Eurocom Raptor X18 vise les déploiements rapides hors datacenter : calcul haute performance, cloud privé, nœuds edge, infrastructures temporaires. Châssis en alliage aluminium magnésium 5052 de 32,8 mm d’épaisseur, 3,6 kg, écran 18 pouces au choix en QHD 2560 × 1600 à 240 Hz ou en UHD 3840 × 2400 à 200 Hz, clavier RGB par touche et batterie intégrée pour assurer la mise en service sur le terrain.
Côté processeur, il embarque un Intel Core Ultra 9 275HX (24 cœurs / 24 threads, 36 Mo de cache) avec prise en charge de l’overclocking CPU et RAM. Jusqu’à 256 Go de DDR5 4800/5200/5600 via quatre SO‑DIMM. Le stockage atteint 32 To en NVMe sur quatre M.2 2280 (3× PCIe 4.0 x4, 1× PCIe 5.0) avec RAID 0/1/5 pour mixer performance et redondance. Lecteur microSD intégré.
La partie graphique repose sur une NVIDIA GeForce RTX 5090 mobile (9728 CUDA, 24 Go GDDR7, 328 Tensor AI cores, architecture Blackwell), avec option RTX 5080 (7424 CUDA, 16 Go GDDR7, 240 Tensor AI cores). NVIDIA Advanced Optimus, prise en charge de quatre affichages actifs via HDMI et double Thunderbolt 5.
Réseau et I/O taillés pour le terrain : 2× 2,5 GbE RJ‑45 sur carte Intel/Killer E3100X, 2× Thunderbolt 5 (USB‑C) pour ajouter d’autres ports réseau, fibre ou périphériques haut débit, 2× USB 3.2 Gen 2 Type‑A, 1× HDMI 2.0 (ou 2.1 selon configuration), combo audio, entrée DC‑in. Webcam 5 Mp Hello avec obturateur et reconnaissance faciale, TPM 2.0, verrou Kensington, mots de passe BIOS, modules webcam/micro/Wi‑Fi/Bluetooth amovibles pour la sécurité.
Le constructeur vise l’edge computing, la recherche in situ, les opérations de terrain, les cellules de crise et les équipes IA/ML. D’après Eurocom, l’appareil arrive prêt à l’emploi avec composants de classe entreprise et prend en charge Windows 11, Windows Server 2025 et Linux Ubuntu. Windows Server 2025 apporterait virtualisation renforcée, sécurité accrue, meilleure performance NVMe et accélération GPU améliorée.
Fiche technique clé du Raptor X18
Plateforme : Intel Arrow Lake HX, chipset Intel HM870 Express. CPU Core Ultra 9 275HX, 24C/24T, 36 Mo de cache, on‑board, OC CPU/RAM. Mémoire jusqu’à 256 Go DDR5 4800/5200/5600 sur quatre SO‑DIMM 262 broches.
GPU : GeForce RTX 5090 24 Go GDDR7, 9728 CUDA, 328 Tensor AI cores, architecture Blackwell. Option RTX 5080 16 Go GDDR7, 7424 CUDA, 240 Tensor AI cores. NVIDIA Surround via 1× HDMI et 2× TB5, jusqu’à 4 affichages actifs.
Affichage : 18 pouces QHD 2560 × 1600 à 240 Hz ou UHD 3840 × 2400 à 200 Hz.
Réseau et ports : 2× 2,5 GbE RJ‑45, 2× Thunderbolt 5 (USB‑C, depuis le dGPU), 2× USB 3.2 Gen 2 Type‑A, 1× HDMI 2.0 out avec HDCP (depuis le dGPU), 1× combo audio, 1× DC‑in. Extensions réseau supplémentaires possibles via TB5.
Châssis : alliage Al‑Mg 5052, bas/haut/couvercle métal. Dimensions 401 × 320 × 32,8 mm, poids 3,6 kg.
Sécurité : TPM 2.0, Kensington, mots de passe BIOS, modules caméra/micro/WLAN/BT démontables.
Disponibilité et cibles : disponible à la commande et en configuration personnalisée à partir de 3950 €. Eurocom cite l’edge computing et les déploiements cloud privés décentralisés, l’analyse sur site, les laboratoires, les services d’urgence et les équipes IA/ML. « Avec le Raptor X18, vous pouvez porter un nœud serveur complet » précise Marc Bialic, président d’Eurocom.
Boston Dynamics que vous connaissez tous pour ses chiens robots tueurs de la mort, vient de sortir une vidéo de 40 minutes. Pas de saltos arrière ou de robots qui dansent mais plutôt une loooongue session où ça parle stratégie IA et vision à long terme. Et comme j'ai trouvé que c'était intéressant, je partage ça avec vous !
Zach Jacowski, le responsable d'Atlas (15 ans de boîte, il dirigeait Spot avant), discute donc avec Alberto Rodriguez, un ancien prof du MIT qui a lâché sa chaire pour rejoindre l'aventure et ce qu'ils racontent, c'est ni plus ni moins comment ils comptent construire un "cerveau robot" capable d'apprendre à faire n'importe quelle tâche. Je m'imagine déjà avec
un robot korben
, clone de ma modeste personne capable de faire tout le boulot domestique à ma place aussi bien que moi... Ce serait fou.
Leur objectif à Boston Dynamics, c'est donc de créer le premier robot humanoïde commercialement viable au monde et pour ça, ils ont choisi de commencer par l'industrie, notamment les usines du groupe Hyundai (qui possède Boston Dynamics).
Alors pourquoi ? Hé bien parce que même dans les usines les plus modernes et automatisées, y'a encore des dizaines de milliers de tâches qui sont faites à la main. C'est fou hein ? Automatiser ça c'est un cauchemar, car pour automatiser UNE seule tâche (genre visser une roue sur une voiture), il faudrait environ un an de développement et plus d'un million de dollars.
Ça demande des ingénieurs qui conçoivent une machine spécialisée, un embout sur mesure, un système d'alimentation des vis... Bref, multiplié par les dizaines de milliers de tâches différentes dans une usine, on serait encore en train de bosser sur cette automatisation dans 100 ans...
L'idée de Boston Dynamics, c'est donc de construire un robot polyvalent avec un cerveau généraliste. Comme ça au lieu de programmer chaque tâche à la main, on apprend au robot comment faire. Et tout comme le font les grands modèles de langage type ChatGPT, ils utilisent une approche en deux phases : le pre-training (où le robot accumule du "bon sens" physique) et le post-training (où on l'affine pour une tâche spécifique en une journée au lieu d'un an).
Mais le gros défi, c'est clairement les données. ChatGPT a été entraîné sur à peu près toute la connaissance humaine disponible sur Internet mais pour un robot qui doit apprendre à manipuler des objets physiques, y'a pas d'équivalent qui traîne quelque part.
Du coup, ils utilisent trois sources de data.
La première, c'est la téléopération. Des opérateurs portent un casque VR, voient à travers les yeux du robot et le contrôlent avec leur corps. Après quelques semaines d'entraînement, ils deviennent alors capables de faire faire à peu près n'importe quoi au robot. C'est la donnée la plus précieuse, car il n'y a aucun écart entre ce qui est démontré et ce que le robot peut reproduire. Par contre, ça ne se scale pas des masses.
La deuxième source, c'est l'apprentissage par renforcement en simulation. On laisse le robot explorer par lui-même, essayer, échouer, optimiser ses comportements. L'avantage c'est qu'on peut le faire tourner sur des milliers de GPU en parallèle et générer des données à une échelle impossible en conditions réelles. Et contrairement à la téléopération, le robot peut apprendre des mouvements ultra-rapides et précis qu'un humain aurait du mal à démontrer, du genre faire une roue ou insérer une pièce avec une précision millimétrique.
La troisième source, c'est le pari le plus ambitieux, je trouve. Il s'agit d'apprendre directement en observant des humains.
Alors est-ce qu'on peut entraîner un robot à réparer un vélo en lui montrant des vidéos YouTube de gens qui réparent des vélos ? Pas encore... pour l'instant c'est plus de la recherche que de la production, mais l'idée c'est d'équiper des humains de capteurs (caméras sur la tête, gants tactiles) et de leur faire faire leur boulot normalement pendant que le système apprend.
Et ils ne cherchent pas à tout faire avec un seul réseau neuronal de bout en bout. Ils gardent une séparation entre le "système 1" (les réflexes rapides, l'équilibre, la coordination motrice, un peu comme notre cervelet) et le "système 2" (la réflexion, la compréhension de la scène, la prise de décision). Le modèle de comportement génère des commandes pour les mains, les pieds et le torse, et un contrôleur bas niveau s'occupe de réaliser tout ça physiquement sur le robot.
C'est bien pensé je trouve. Et dans tout ce bordel ambiant autour de la robotique actuelle, eux semblent avoir trouver leur voie. Ils veulent transformer l'industrie, les usines...etc. Leur plan est clair et ils savent exactement ce qu'ils doivent réussir avant de passer à la suite (livraison à domicile, robots domestiques...).
Voilà, je pense que ça peut vous intéresser, même si c'est full english...
Le ministère des Sports, de la Jeunesse et de la Vie a annoncé une fuite de données liée à son dispositif Pass'Sport : 3,5 millions de foyers impactés.
Pornhub est actuellement la cible d'une tentative d'extorsion orchestrée par le groupe de pirates ShinyHunters. Ils affirment détenir 94 Go de données.
GoDeal24 a lancé une vente flash Spéciale Noël 2025 : des promos sur les tarifs des licences Windows 11, Office 2021, Office 2024 et Windows Server 2025.
Le temps n’est pas une constante universelle figée. La relativité l’a démontré depuis longtemps, mais une avancée récente permet désormais d’en mesurer les effets avec une précision inédite à l’échelle interplanétaire. Des chercheurs américains ont déterminé avec exactitude la vitesse à laquelle les horloges martiennes devancent celles de la Terre. Cette différence infime en apparence ... Lire plus
Les liens entre alimentation et longévité fascinent depuis des décennies. Une recherche récente menée aux États-Unis apporte un éclairage particulièrement précis sur ce sujet, en isolant un acteur clé souvent négligé. Les scientifiques ont observé qu’une réduction ciblée d’un acide aminé essentiel pouvait ralentir le vieillissement chez la souris et prolonger significativement sa durée de ... Lire plus
Le triomphe de Clair Obscur: Expedition 33 lors des Game Awards 2025 n’a surpris que par son ampleur, pas par sa légitimité. Avec une moisson exceptionnelle de récompenses, dont le prestigieux titre de jeu de l’année, l’œuvre de Sandfall Interactive s’est imposée comme une référence immédiate. Derrière cette reconnaissance se cache pourtant une philosophie de ... Lire plus
La sortie de Metroid Prime 4: Beyond devait marquer un moment fort pour Nintendo, tant l’attente autour du retour de Samus Aran s’est étendue sur plusieurs années. Pourtant, les premiers indicateurs commerciaux au Japon dessinent une réalité bien plus contrastée. Après deux semaines de commercialisation, le titre affiche des ventes physiques nettement inférieures à celles ... Lire plus
L’attente autour des éditions collector occupe une place particulière dans l’industrie du jeu vidéo. Elles promettent un supplément d’âme, une expérience matérielle censée prolonger l’émotion du jeu. Pourtant, le cas de Sonic x Shadow Generations rappelle que le rêve peut parfois se transformer en déception. Plus d’un an après la sortie du titre, les éditions ... Lire plus
Le chatbot d’OpenAI vient d’atteindre un seuil symbolique en matière de dépenses de consommation sur les plateformes mobiles. Selon les estimations d’Appfigures, spécialiste de l’intelligence applicative, ChatGPT a généré trois milliards de dollars de revenus cumulés depuis son lancement en mai 2023. À l’époque, l’application n’était disponible que sur iOS avant de s’étendre à Android. ... Lire plus
La guerre des talents dans le secteur de l’intelligence artificielle ne faiblit pas. Chaque semaine apporte son lot d’annonces spectaculaires : recrutements d’ingénieurs stars, rachats stratégiques de start-ups pour leurs équipes, et maintenant, nominations de cadres dirigeants issus des sphères gouvernementales. George Osborne, ancien ministre des Finances du Royaume-Uni, vient de rejoindre OpenAI avant d’accepter ... Lire plus
Le chatbot phare d’OpenAI franchit un cap stratégique en accueillant un répertoire d’applications tiers, rapidement baptisé « app store » par la communauté tech. Dès mercredi, les développeurs peuvent soumettre leurs créations pour examen et éventuelle publication au sein de l’interface conversationnelle. Un mouvement qui élargit considérablement les possibilités offertes aux utilisateurs et qui inscrit ... Lire plus
Mercredi dernier, Apple a dévoilé une mouture révisée de son contrat de licence adressé aux créateurs d’applications. Parmi les nouveautés figure une clause permettant à l’entreprise californienne de recouvrer directement les montants non versés en les déduisant des transactions réalisées via l’App Store. Frais de commission, taxes ou autres redevances : la société se réserve ... Lire plus
Après plusieurs années de tensions et de négociations avec les autorités fédérales, la plateforme vidéo emblématique franchit un cap décisif. Un consortium d’investisseurs américains s’apprête à prendre les rênes d’une partie substantielle des activités du réseau social aux États-Unis. Cette opération met fin à un bras de fer qui aura marqué l’industrie technologique et redéfini ... Lire plus
Après une vidéo de teasing diffusée début décembre, Samsung opte pour une annonce en toute discrétion mais accompagnée d’une fiche technique percutante. L’Exynos 2600 fait ainsi son apparition sur le site du constructeur, avec une architecture Arm v9.3, une gravure en 2 nm GAA et un GPU Xclipse 960. Samsung annonce un gain de 39 % des performances CPU par rapport à la génération précédente.
Exynos 2600 : CPU Arm v9.3, 2 nm GAA et gestion thermique revue
Le SoC aligne un cluster tri-niveau : un cœur C1-Ultra à 3,8 GHz, trois cœurs C1-Prox3 à 3,25 GHz et six cœurs C1-Prox6 à 2,75 GHz. Le tout repose sur la dernière itération Arm v9.3. La fabrication passe au procédé 2 nm GAA de Samsung Foundry avec un design basse consommation. Côté packaging, la marque introduit un « heat path block » utilisant un matériau High-k EMC censé améliorer la dissipation thermique.
Selon Samsung, le gain CPU atteint 39 % face au prédécesseur. La plateforme gère la mémoire LPDDR5X et le stockage UFS 4.1, ainsi que des écrans jusqu’en 4K ou WQUXGA à 120 Hz.
Xclipse 960, IA dédiée et vidéo 8K
Le GPU Xclipse 960 confirme le support du ray tracing et de l’Exynos Neural Super Sampling (ENSS), une génération et un upscaling d’images assistés par IA. Samsung annonce un doublement des performances de calcul par rapport à la génération précédente. Un bloc IA séparé embarque une NPU 32K MAC et la prise en charge de la cryptographie post-quantique (PQC).
Vidéo et photo restent au niveau attendu : encodage natif en 8K 30p, décodage 8K 60p, prise en charge des codecs modernes AV1 et VP9, ainsi que l’APV maison. Pas de mention de H.266. Côté capture, jusqu’à 320 MP en capteur unique et des rafales à 108 MP à 30 FPS, avec des traitements IA comme le DVNR, pour Deep learning Video Noise Reduction.
Plus de détails devraient être partagés au CES en début d’année prochaine. La fiche produit a été publiée sans communication classique, signe d’un lancement en deux temps.
ASRock ravive la curiosité avec sa Radeon RX 9070 XT Taichi White, une déclinaison blanche dotée d’un écran LCD incrusté dans le carénage, aperçue à Computex 2025 et désormais montrée en vidéo.
Radeon RX 9070 XT Taichi White : première carte ASRock avec écran intégré
ASRock parle d’un « concept » basé sur la plateforme Taichi et son système de refroidissement habituel, mais avec une nouveauté visible : un petit affichage LCD qui expose températures, statut GPU, animations personnalisées et widgets. D’après la marque, l’écran peut aussi afficher la date, l’heure, la météo, des photos, des animations et l’état du GPU. Une allusion « Las Vegas » s’invite dans les visuels, clin d’œil évident au CES 2026 attendu le mois prochain, sans confirmation de lancement pour l’instant.
Côté fiche technique, le panneau de Computex listait une RX 9070 XT sous architecture RDNA 4 avec 16 Go de GDDR6 sur bus 256 bits, une mémoire à 20 Gbps, un boost jusqu’à 3100 MHz et un game clock à 2750 MHz. Le support PCIe 5.0 est mentionné, tout comme un connecteur d’alimentation 12V-2×6 et un trio de DisplayPort 2.1a accompagné d’un HDMI 2.1b.
Vidéo, widgets… et quelques incohérences à l’écran
La vidéo montre l’écran en action, mais certaines surimpressions semblent erronées. Un plan affiche un connecteur 8 broches alors que les spécifications de la RX 9070 XT Taichi 16GB OC d’ASRock mentionnent explicitement du 12V-2×6. On voit aussi passer un bus mémoire 384 bits, ce qui ne correspond pas aux caractéristiques de la RX 9070 XT.
ASRock n’a pas commenté ces divergences, il conviendra donc de les considérer avec prudence jusqu’à publication des détails définitifs.