La Sapphire RX 9070 XT Pulse est notre choix #1 rapport qualité/prix dans notre test comparatif des 5 meilleures RX 9070 XT. À 583€, elle devient la carte la moins chère du marché tout en offrant :
Le deal à ne pas manquer : La Sapphire Pulse à 583€ devient imbattable. Pour moins de 600€, vous obtenez une carte capable de faire tourner tous les jeux AAA en 1440p avec plus de 120 FPS.
Alternative premium : La ASRock Taichi OC (-132€) offre de meilleures performances et un design original pour ceux qui ont un budget légèrement supérieur.
Qwertykeys revient sur le devant de la scène avec le QK65 MK3, un clavier 65 % au style rétro déjà aperçu lors d’une fuite le mois dernier. Il combine écran intégré, mini-jeux et nombreuses options de personnalisation, et est désormais proposé en précommande.
QK65 MK3 : un 65 % rétro, sans F-row ni pavé num, mais avec écran et VIA
Proposé en kit barebone dès 199 dollars, le QK65 MK3 inclut le châssis, le PCB avec l’écran et son matériel associé, la plaque au choix ainsi que les stabilisateurs. Qwertykeys ajoute une offre intéressante : l’achat d’un set de keycaps à 14 dollars donne droit à un pack gratuit de 70 switches Rye, un bonus rarement vu à ce niveau de prix.
Le format 65 % conserve les flèches mais fait l’impasse sur la rangée de fonctions, le pavé numérique et le bloc navigation. Côté finitions, cinq coloris inspirés du rétro sont annoncés : Eclipse Grey, Retro White, Pink, Green en peinture spray, et Basalt Grey en anodisation.
Trois types de plaques sont disponibles pour varier la frappe et l’acoustique : aluminium, polypropylène et FR4.
L’écran embarqué ne se contente pas d’afficher l’heure. Il peut lire des animations personnalisées, réagir à la frappe avec un chat ou un chien animé, ou héberger un mini‑jeu de dactylo baptisé « Animal Supermarket ».
Il sert aussi de tableau de bord système pour la batterie, la connectivité, le mode OS ou encore l’état du Caps Lock. Deux molettes discrètes en partie supérieure droite gèrent justement les modes OS et de connexion.
Connectivité, autonomie et options de PCB
La connectivité s’appuie sur le Bluetooth et le 2,4 GHz, alimentés par deux batteries de 3 100 mAh. Aucune durée d’autonomie officielle n’est avancée, mais la capacité est élevée pour un clavier sous QMK. Le châssis en aluminium CNC accueille au choix un PCB hot‑swap 1,2 mm avec flex‑cuts, ou un PCB hot‑swap 1,6 mm sans flex‑cuts, en 6,25u ou 7u pour la barre d’espace. Les dispositions ISO ne sont proposées qu’avec la barre d’espace 7u.
Le clavier est entièrement paramétrable via un fork personnalisé de VIA, adapté pour l’écran : macros, remappage complet et éclairage RGB touche par touche sont de la partie. Qwertykeys résume l’esprit du produit en misant sur des « fonctionnalités rétro ludiques » et une personnalisation avancée, d’après la fiche de lancement.
Que vaut l’aspirateur balai Tineco Pure One A90S ?
Le Tineco Pure One A90S a été officiellement annoncé le 7 novembre dernier. Le modèle avait également été aperçu plus tôt dans l’année lors de l’IFA 2025 à Berlin, où la marque avait présenté ses nouveautés en matière d’aspiration intelligente. Cette double présence — salon technologique majeur et annonce officielle — a marqué l’arrivée du A90S comme l’un des aspirateurs balais les plus innovants de la nouvelle génération.
Officiellement disponible à la vente, vous le retrouverez à l’heure où ses lignes sont écrites en promotion au prix de 599 €. En temps normal, il est affiché à 699 €. Place au test !
Unboxing
Ici, nous aurons très vite fait le tour de notre première paetie. Nous retrouverons à gauche et à droite le nom de la marque, celui du modèle, et la mention « Cordless Stick Vaccum Cleaner », tandis qu’à l’avant, nous aurons la même chose avec cette fois, un dessin dudit modèle du jour. On regrettera tout de même deux petites poignées pour porter le tout car c’est tout de même assez lourd.
Caractéristiques techniques
Marque
Tineco
Caractéristique spéciale
Aspiration puissante de 270AW, brosse maîtresse 3DSense, conception ZeroTangle, jusqu’à 105 min d’autonomie, système SmartLift
Type de filtre
Filtre HEPA
Composants inclus
Buse FlexiSoft, mini brosse motorisée, Outil 2-en-1 pour fentes et dépoussiérage, support de charge et de rangement
Sans fil ?
Oui
Puissance
650 Watts
Facteur de forme
Bâton
Couleur
Gris Gunmetal
Nom de modèle
Pure One A90S
Dimensions du produit
37L x 29,5l x 122,5H centimètres
Fonctionnalités
Aspiration puissante de 270AW : cet aspirateur sans fil puissant capture rapidement la poussière, les débris et les poils d’animaux, assurant un nettoyage en profondeur.
Brosse 3DSense Master : cet aspirateur balai sans fil allie DustSense, EdgeSense et la détection du type de sol pour offrir une efficacité de nettoyage de nouvelle génération.
Système SmartLift : grâce à son réglage au niveau du sol, son interrupteur côté manche et sa détection automatique, le nouveau système de tineco aspirateur sans fil gère sans effort les débris plus volumineux sans obstruction – sans se pencher.
Éclairage LED vert amélioré : le phare grand-angle de 150° de cet aspirateur balai illumine une plus grande surface et révèle clairement les particules de poussière jusqu’à 0,02 mm.
Autonomie ultra-longue : notre modèle du jour dispose d’une autonomie ultra-longue, jusqu’à 105 minutes (mode éco avec brosse 2-en-1 pour les fissures) pour un nettoyage complet de la maison sans interruption.
Contenu
Aspirateur balais Pure One A90S
Buse FlexiSoft,
Mini brosse motorisée,
Outil 2-en-1 pour fentes et dépoussiérage,
Support de charge et de rangement
Test
Tineco est devenu en quelques années l’un des acteurs incontournables du nettoyage dit smart. D’ailleurs, vous pouvez retrouver tous nos tests de la marque ici. Avec le Pure One A90S, la marque revient avec un aspirateur balai plus ambitieux, plus autonome et plus polyvalent, pensé pour simplifier le ménage sans sacrifier la performance. Sur le papier, c’est un modèle qui se place clairement dans le haut de gamme. Mais comme toujours chez Vonguru, on a voulu vérifier s’il tient réellement ses promesses.
Sans surprise, Tineco continue d’affiner son identité. Le Pure One A90S reprend les lignes élégantes et modernes des modèles de la marque, avec un châssis gris métallisé, un écran circulaire parfaitement intégré dans la poignée, et une impression générale de produit bien fini. L’appareil est agréable à manipuler : équilibré, pas trop lourd, et surtout très maniable, ce qui est crucial lorsque l’on passe des sols durs aux plafonds en quelques instants. Les multiples accessoires fournis confirment la volonté de polyvalence de la marque pour son nouveau modèle : brosse motorisée, suceur long, embout textiles, mini-brosse anti-acariens… tout y est, et rien ne fait cheap. Oui, tout respire la qualité.
Ce qui fait la force des aspirateurs Tineco, c’est le système iLoop, capable d’analyser en temps réel la quantité de saleté pour ajuster automatiquement la puissance. Sur le A90S, cette technologie est encore plus réactive et mieux calibrée. Dans la pratique, on ne se soucie plus du mode manuel : sur carrelage, il reste discret et économise la batterie et sur tapis ou lors d’un amas de miettes, il envoie beaucoup plus fort, instantanément.
L’écran LED, qui change de couleur selon la quantité de saleté détectée, n’est pas qu’un gadget : il permet d’identifier les zones encore sales et de savoir quand insister. En mode Auto, le Tineco Pure One A90S dépasse facilement les 50 minutes d’utilisation, ce qui est largement suffisant pour un appartement ou une petite maison. Le système iLoop optimise tellement la consommation que l’on n’a quasiment jamais à utiliser le mode Max.
Le changement de batterie, ultra simple, permet même de doubler l’autonomie si l’on investit dans une seconde batterie. Le bac à poussière se vide très facilement, sans projections, et le système de filtration HEPA se démonte en quelques secondes. On apprécie la brosse anti-emmêlement, particulièrement efficace : nettement moins de cheveux enroulés, ce qui est un confort au quotidien.
Les LEDs vertes grand-angle de 150° révèlent clairement les particules de poussière et à chaque passage je me fais la même réflexion : « Mon dieu mais comment ça peut être sale à ce point ?? ». En sachant que je passe l’aspirateur plusieurs fois par jour…. Ces LEDs sont un must have, comme sur notre Dreame H15 Mix, et on adore.
On regrettera cependant la taille du bac, que l’on aura à vider assez régulièrement et la base murale qui me semble tout de même un peu perfectible. Sur les aspirateurs balai puissants, le bruit est souvent le point faible. Ici, Tineco surprend agréablement : même lors des pics de puissance, l’aspirateur reste raisonnablement silencieux. En mode Auto, il devient même discret. On appréciera également son manche pliable, très pratique pour passer sous certains meubles difficiles d’accès.
Conclusion
Le Pure One A90S est un aspirateur-balai premium qui assume pleinement son statut. Il offre une très bonne puissance, une aspiration intelligemment optimisée, une autonomie solide et un confort d’utilisation qui fait vraiment la différence à l’utilisations. Quelques détails comme la taille du bac ou la base murale perfectible peuvent encore être améliorés, mais l’ensemble est cohérent, moderne et très efficace.
Au final, le Tineco Pure One A90S est un excellent choix pour ceux qui veulent un aspirateur intelligent, et réellement performant au quotidien. Cependant, son prix n’est clairement pas à la portée de toutes les bourses. Pour rappel, vous le retrouverez à l’heure où ses lignes sont écrites en promotion au prix de 599 €. En temps normal, il est affiché à 699 €.
ASRock s’apprêterait à lancer une nouvelle famille de Mini PC DeskSlim, avec des variantes Intel B760 et AMD X600, qui viendront épauler les DeskMeet, DeskMini et Jupiter déjà au catalogue.
DeskSlim : châssis compact, options Intel et AMD
D’après une fiche technique apparue en ligne et partagée par le leaker momomo_us, ASRock aurait un modèle DeskSlim B760 basé sur la plateforme LGA 1700, compatible avec les processeurs Intel Core de 12e à 14e génération. Le tout tiendrait dans un boîtier compact de moins de 5 litres. En face, il existerait des variantes X600 sur socket AM5 capables d’accueillir des Ryzen séries 7000, 8000 et 9000. Le positionnement exact n’est pas officialisé, mais il semblerait que ces machines soient proposées en barebone.
Cartes graphiques low profile et alimentation externe
Selon le document, les DeskSlim accepteraient des cartes graphiques au format low profile double slot jusqu’à 200 mm de longueur. Côté alimentation, un bloc externe de 240 W serait fourni, avec une option 330 W plus musclée. De quoi envisager des configurations compactes mais polyvalentes. VideoCardz anticipe une communication officielle très prochainement, avec des fiches produits mises en ligne dans la foulée.
Points clés : châssis sous 5 L, Intel B760 LGA 1700 (Core 12e à 14e) et AMD X600 AM5 (Ryzen 7000/8000/9000), GPU low profile jusqu’à 200 mm, alimentation 240 W fournie, 330 W en option. Comme le résume la fuite, ces DeskSlim arriveraient « en parallèle des gammes DeskMeet, DeskMini et Jupiter », sans remplacer l’existant.
Un simple recrutement ravive les braises : Ubisoft Ivory Tower cherche un Senior Level Designer pour un projet non annoncé, et la mention « AI Level Design » suffirait à relancer la machine The Crew.
Un nouvel épisode de The Crew en préparation ?
L’offre publiée par Ubisoft pour son studio lyonnais précise une expérience en level design AAA, avec préférence pour des profils familiers de la conception de niveaux impliquant l’IA.
De quoi nourrir l’idée, selon la communauté, qu’un nouveau The Crew pourrait intégrer des systèmes génératifs dans la création ou l’animation de son monde ouvert. Rappelons que The Crew 2 misait sur l’exploration à grande échelle ; il semblerait qu’Ubisoft cherche à renforcer le réalisme via des comportements dynamiques, en écho à son récent système de PNJ assistés par IA et contrôle vocal, présenté comme visant à rendre les interactions plus naturelles.
Ce n’est pas la première apparition de ce « prochain The Crew ». Des fuites antérieures, attribuées à l’insider Tom Henderson, affirmaient qu’un troisième opus principal avait été validé dès mai 2025. Rien d’officiel pour l’heure, mais la concordance entre les rumeurs et la nouvelle fiche de poste crédibilise la piste, au moins sur l’orientation technologique.
IA au cœur du design, méfiance dans la communauté
La référence explicite à l’« AI Level Design » inquiète une partie des joueurs, certains redoutant un usage de l’IA générative trop intrusif. Le contexte ne joue pas en faveur de la franchise : la fermeture des serveurs du premier The Crew, rendant le jeu injouable, a contribué à la montée du mouvement « Stop Killing Games », et entamé la confiance envers l’éditeur. D’après les réactions relevées, des joueurs annoncent déjà qu’ils passeront leur tour si l’IA devient l’argument principal du projet.
Reste à voir comment Ubisoft articulera cette brique technologique. Si l’IA vient enrichir la densité urbaine, la circulation ou les comportements des PNJ, elle pourrait soutenir l’ambition d’un monde plus crédible. À défaut d’annonce officielle, prudence : les indices s’additionnent, mais rien ne confirme la portée exacte de l’IA dans ce possible nouveau The Crew.
Pousser jusqu’à 750 W sur une seule prise 12V-2×6, sans flasher le BIOS ni toucher aux shunts : c’est le tour de force que vient de montrer le célèbre overclockeur allemand der8auer sur la ROG Matrix RTX 5090 d’ASUS.
Un 800 W « débloqué » par l’adaptateur BTF, pas par la carte
La ROG Matrix RTX 5090 est livrée avec un BIOS 800 W, mais celui-ci exige à la fois le connecteur 12V-2×6 et l’edge connector ASUS BTF. Avec uniquement le 12V-2×6 branché, la carte se limite à 600 W de board power. Même constat avec l’adaptateur GC-HWPR. Der8auer a donc disséqué la chaîne d’alimentation, en utilisant un riser et un banc de test dépouillé pour sonder les contacts du connecteur BTF.
Premier indice : en pontant sur l’adaptateur le pin « présence » (plus court) avec la masse, l’outil GPU Tweak signale un « motherboard » connecté. Mais la consommation reste bloquée à 600 W, preuve qu’il faut aussi gérer les lignes de sense. En mesurant la résistance entre les sense pins du 12V-2×6 et les petits contacts de l’edge BTF, il identifie deux lignes critiques. En ajoutant deux fils supplémentaires et en reliant présence et les deux sense à la masse, l’adaptateur fait croire à la carte qu’un chemin BTF complet est actif, sans que le connecteur BTF ne transporte le moindre courant.
Résultat : le profil 800 W s’active, et GPU Tweak affiche environ 700 W, avec des pointes proches de 750 W, le tout via un seul câble 12V-2×6. Le courant par pin d’alimentation dépasse 10 A, la LED de statut près du connecteur vire au rouge, et le câble devient tiède, note-t-il. L’auteur insiste qu’il s’agit d’une démonstration technique, « pas une recommandation d’usage quotidien », l’ensemble dépassant clairement les spécifications du câble et du connecteur.
Pourquoi c’est intéressant, et pourquoi ne pas le faire
Le plus marquant tient au fait que la ROG Matrix RTX 5090 reste intacte : seule la modification de l’adaptateur BTF est requise, totalement réversible, sans shunt mod ni flash de BIOS. En pratique, cela ne présente pas d’intérêt au quotidien, mais confirme que l’activation du mode 800 W est possible via les pins de présence et de sense. Les configurations prévues pour un montage vertical n’ont d’ailleurs pas de voie simple pour profiter du BIOS 800 W sans ces détours.
Der8auer montre aussi qu’un simple overclocking personnalisé la place près de la 50e place au classement 3DMark Speed Way. Il faut dire que, pour aller plus haut, il faudra peut-être attendre une hypothétique RTX 6090.
Avec le Strike 600, MSI signe un clavier mécanique qui mise avant tout sur le silence. Comme pour le MSI STRIKE PRO WIRELESS, le constructeur abandonne les switches audibles et s’oriente vers les Kailh Midnight Pro Silent Tactile, des commutateurs discrets, tactiles et pensés pour réduire au maximum les nuisances sonores. Le design de ce clavier 100% est marqué, avec des lignes tendues, des arêtes franches et une silhouette presque futuriste. L’aluminium sur le dessus renforce cette impression de solidité anguleuse, tout en apportant une touche premium à l’ensemble.
MSI accompagne ces switches d’une structure interne entièrement dédiée à l’insonorisation. Plusieurs couches de mousse, une plaque IXPE et un fond en silicone viennent limiter les échos et les vibrations, pour une frappe feutrée et plus contrôlée. Le clavier est mécanique, mais l’ensemble vise un confort auditif rare sur un modèle orienté gaming, avec un son qui paraît nettement atténué sous les doigts.
Le MSI Strike 600 ne joue pas uniquement la carte du silence. On retrouve un rétroéclairage RGB touche par touche, une molette de volume accessible sous deux angles, des touches multimédias dédiées et trois profils embarqués. La gestion passe par MSI Center, qui permet de paramétrer des macros, de gérer les effets lumineux ou les réglages avancés. Le châssis propose aussi une inclinaison réglable et un système de cheminement des câbles pour garder un bureau propre.
Proposé à 76,90 € sur amazon et sur la boutique officielle de MSI (-20% de réduction en ce moment), ce MSI Strike 600 entre dans un segment très concurrentiel où les claviers silencieux gagnent du terrain. Il devra convaincre avec son acoustique maîtrisée, son ergonomie simple et sa qualité de frappe. Nous l’avons utilisé plusieurs jours pour voir s’il tient réellement ses promesses et s’il mérite une place sur un bureau de joueur… ou de télétravailleur nocturne.
MSI STRIKE 600 : emballage & contenu
La face principale de la boîte du MSI Strike 600 met en avant le clavier sur une large illustration, rétroéclairée pour montrer l’ensemble des touches et la disposition générale. Le carton utilise un fond blanc simple, avec un logo MSI discret dans le coin supérieur gauche et l’indication du rétroéclairage RGB dans le coin opposé. Le modèle des switches Kailh Midnight Pro Silent Tactile apparaît sous forme de visuel isolé. Au bas du carton, la mention “STRIKE 600” est imprimée avec un effet holographique légèrement irisé.
L’arrière de la boîte du MSI Strike 600 met en avant les principaux éléments de conception du clavier. À gauche, une vue éclatée illustre les différentes couches d’insonorisation et la structure interne destinée à réduire les bruits et les résonances. Au centre, une photo du clavier rétroéclairé présente l’ensemble des touches et la molette multimédia. Autour de cette image, plusieurs encarts décrivent des aspects fonctionnels, comme la forme des touches, la molette de contrôle ou la personnalisation de l’éclairage. À droite, un tableau regroupe les spécifications techniques : type de switches, polling rate de 1000 Hz, mémoire intégrée, dimensions, connectique et poids. Le tout est complété par les habituelles mentions légales et certifications en bas de l’emballage.
Unboxing du MSI STRIKE 600
À l’ouverture du carton, le MSI Strike 600 apparaît maintenu entre deux blocs de mousse rigide qui protègent les extrémités du clavier. L’ensemble est enveloppé dans une pochette plastique translucide, laissant deviner la disposition des touches sans exposer directement le clavier. Un compartiment en carton est visible au-dessus, permettant de protéger le câble. L’intérieur reste simple mais suffisamment structuré pour maintenir le clavier en place pendant le transport. Le MSI Strike 600 arrive dépourvu d’accessoires.
Spécifications du MSI STRIKE 600
NOM DU MODÈLE
STRIKE 600 – Switches silencieux
INTERFACE
USB 2.0 Polling Rate 1000 Hz
RÉTROÉCLAIRAGE
Mystic Light RGB par touche
TYPE DE SWITCH
Kailh Midnight Pro Silent Tactile
DURÉE DE VIE DES SWITCHES
Plus de 70 millions de clics
NOMBRE DE TOUCHES
104 / 105 touches (différentes selon les langues)
ROLLOVER N-KEY
Hybrid 6+N key rollover
SYSTEME
Windows 10 (et versions ultérieures)
LONGUEUR DU CÂBLE
1,8 m (Tresse avec connecteur plaqué or)
DIMENSIONS DU PRODUIT
441 x 138 x 38 mm
POIDS
984 g
MSI STRIKE 600 : détails esthétiques, châssis et qualité de construction
Voici le MSI STRIKE 600. C’est un clavier mécanique full size, avec 104 touches, un pavé numérique complet et une zone multimédia intégrée dans l’angle supérieur droit. Le châssis a une forme anguleuse assez marquée, fabriqué autour d’une plaque supérieure en aluminium de qualité aéronautique qui contribue à sa rigidité. Avec 441 mm de largeur, un peu moins de 140 mm de profondeur et un poids d’environ 984 grammes, le clavier promet de rester stable sur un bureau sans être excessivement massif. L’ensemble affiche un style futuriste assumé, fait d’angles et d’arêtes nettes.
Le clavier Strike 600 est pensé pour devenir le clavier ultime des personnes à la recherche d’une expérience discrète et satisfaisante. Il est pour cela équipé de switches tactiles Kailh Midnight Pro Silent ainsi que d’une technologie de réduction du bruit avancée. Il assure ainsi une expérience incroyablement silencieuse, parfaite pour les sessions de gaming nocturnes ou pour bien se concentrer pendant son travail.
Il propose également un rétroéclairage LED RGB personnalisable touche par touche, des touches ergonomiques ainsi que des fonctionnalités pratiques telles qu’un angle de positionnement personnalisable et une capacité de gestion des câbles. Grâce à toutes ces caractéristiques, le clavier Strike 600 combine parfaitement silence et confort.
D’un côté, la plaque supérieure rejoint le corps inférieur du clavier en ABS noir et accentue le design moderne. La transition est franche et propre, sans jeu visible entre les pièces. Ce choix d’association mélange rigidité et robustesse sur le dessus, tout en conservant une structure inférieure plus légère. De l’autre côté, la plaque supérieure en aluminium forme un contour angulaire autour du pavé numérique. Le métal affiche une finition sablée uniforme, avec des découpes nettes et des arêtes franches.
Au-dessus des touches fléchées, le clavier arbore le logo MSI imprimé directement sur la plaque en aluminium, avec une finition légèrement plus sombre que le métal environnant. Juste à côté, nous avons trois voyants intégrés à même la plaque supérieure, indiquant les états classiques du clavier (verrouillage numérique, majuscule et mode gaming).
Une zone multimédia facilement accessible
Le MSI Strike 600 présente une zone multimédia située dans l’angle supérieur droit du clavier. Trois touches circulaires permettent de contrôler les pistes audio : retour arrière, lecture/pause et piste suivante. Juste à côté, nous avons une molette de volume crantée avec un bouton Mute au centre, identifiable par une icône simple. L’ensemble est positionné sur une zone légèrement surélevée du châssis, dans la même plaque d’aluminium que le reste du clavier.
En dessous du bouton dédié au Mute, le MSI STRIKE 600 profite d’un cylindre métallique supplémentaire qui adopte une texture moletée sur son pourtour, pensée pour améliorer l’accroche du doigt lors des réglages. La molette est crantée et légèrement déportée vers l’extérieur du châssis, ce qui permet une utilisation rapide et facile.
Des touches caractéristiques de la marque
Le MSI Strike 600 présente des touches à la forme octogonale caractéristique. La surface est mate, avec une forme concave pour guider les doigts. Les légendes blanches sont nettes et bien centrées, avec une police assez anguleuse qui correspond au style général du clavier. Les caractères secondaires restent bien visibles, même sur les touches étroites, et l’ensemble assure une lecture régulière sur toute la rangée supérieure.
Les touches sont en ABS double injection. Selon MSI, elles disposent d’un revêtement d’apprêt argenté qui offre une résistance durable du lettrage pour une expérience optimale.
Les touches les plus longues profitent de stabilisateurs en croix. MSI ne délivre pas d’informations à leur sujet. Cependant, ils devraient délivrer une pression uniforme sur toute la surface de la touche avec un retour stable et linéaire.
En arrière, une encoche pour la gestion du câble
En arrière du MSI Strike 600, nous apercevons le système de gestion du câble. Le cordon tressé sort au centre d’une encoche prévue à cet effet, intégrée directement dans la base en ABS. Le logement forme un renfoncement angulaire qui guide le câble vers l’avant pour éviter qu’il ne frotte contre le bureau. L’ensemble propose une sortie de câble simple, mais suffisamment dégagée pour s’adapter à différentes installations.
De l’ABS en dessous
La face inférieure du MSI Strike 600 adopte une conception entièrement en ABS noir structuré par plusieurs lignes et renforts angulaires. Au centre, une large étiquette regroupe les informations techniques et les certifications, entourée du logo MSI légèrement embossé dans le plastique.
Nous retrouvons deux patins antidérapants de taille différente de chaque côté du clavier. Le MSI STRIKE 600 ne dispose pas de patins antidérapants dans sa partie supérieure.
En plus de l’encoche arrière permettant la sortie directe du câble, le MSI STRIKE 600 adopte deux goulottes latérales le dirigeant sur les côtés. Elles permettent de faire sortir le câble par la gauche ou la droite, selon l’agencement du bureau. Ce système évite les pliures marquées au point de sortie, limite les tensions et participe à garder un espace de travail plus propre.
Enfin, le MSI STRIKE 600 pourra se positionner sur deux hauteurs différentes grâce à deux pieds intégrés dans le châssis. La surface de contact est équipée d’un patin en caoutchouc pour éviter que le clavier ne glisse. Sans ces patins en caoutchouc (pieds repliés), le clavier aura une adhérence à une surface lisse relative.
Ergonomie
Le MSI STRIKE 600 est doté de touches flottantes ergonomiques qui maintiennent les mains et les poignets dans une position naturelle et confortable. Avec des touches ergonomiques hautes et basses, le clavier réduit la fatigue lors des longues sessions de jeu (ou de rédaction de test).
La hauteur avant du MSI STRIKE 600 est de 20 mm. En ajoutant la hauteur des touches, la première rangée arrive à 30 mm, ce qui place la main dans une position légèrement relevée dès la frappe. Cette configuration n’est pas inhabituelle sur les claviers mécaniques équipés d’une plaque supérieure en aluminium épais. Sur des sessions courtes, l’inclinaison naturelle permet une prise en main correcte, mais sur une utilisation prolongée, un repose-poignets peut apporter un confort supplémentaire en limitant la cassure du poignet.
Grâce à ses pieds rétractables, le MSI STRIKE 600 propose deux hauteurs distinctes. Pieds repliés, l’arrière du clavier atteint environ 24 mm, une inclinaison modérée qui favorise une posture plus neutre du poignet et se montre idéale pour les longues sessions de frappe ou de jeu. En relevant les pieds, la hauteur passe à environ 38 mm, offrant un angle plus prononcé qui pourra convenir à ceux qui préfèrent une frappe légèrement surélevée ou souhaitent mieux distinguer les rangées supérieures.
Connectivité
Pour se connecter, le MSI STRIKE 600 est pourvu d’un câble tressé terminé par un connecteur USB-A estampillé MSI. Le câble, d’une longueur d’environ 1,8 m, offre une bonne souplesse malgré sa gaine tressée plutôt dense, ce qui facilite son orientation à travers les goulottes prévues sous le clavier.
Switches Kailh Silent du MSI STRIKE 600 : niveau de bruit et sensation
Avec ce MSI STRIKE 600, la marque au dragon mise sur le silence. Pour cela, elle utilise les switches Kailh Midnight Pro Silent Tactile. Ils offrent une frappe ultra-silencieuse grâce à une force d’activation de 45 gf et un retour tactile de 55 gf. Dotés d’un système d’insonorisation intégré, ils atteignent un niveau sonore inférieur à 35 dB tout en offrant une sensation de frappe fluide et réactive avec une course initiale de 1,9 mm et une course totale de 3,7 mm. Conçus pour 70 millions de frappes et équipés d’une tige MX et d’une protection contre la poussière, ces switches garantissent durabilité et précision dans un format quasi silencieux.
De plus, le clavier est doté d’un châssis multicouche insonorisant avec des joints en mousse conçus pour minimiser les cliquetis, les échos et les résonances. Cette conception avancée garantit une frappe exceptionnellement silencieuse, réduisant les bruits indésirables pour des performances ultra-silencieuses.
Nous abordons maintenant l’élément le plus sensible sur un clavier orienté confort : son rendu sonore. Nous avons une signature sonore cohérente avec ce que promettent les switches Kailh Midnight Pro Silent Tactile. Le bruit de frappe reste très contenu aussi bien à l’appui qu’au relâchement de la touche. Le son produit est sourd, amorti, sans claquements métalliques ni résonances internes. Le timbre général est mat, court, légèrement feutré, ce qui confirme l’efficacité du châssis multicouche.
Les stabilisateurs, notamment sur la barre d’espace, produisent un son légèrement plus grave, mais sont étonnamment discrets pour un clavier de cette catégorie. Nous ne relevons ni cliquetis parasites ni vibration perceptible, signe que le système est correctement lubrifié ou, au minimum, bien ajusté.
Le MSI STRIKE 600 propose un son propre, amorti et maîtrisé, sans bruits secondaires. Un comportement idéal pour jouer tard le soir ou travailler dans un environnement de type open space, sans sacrifier la précision d’un clavier mécanique.
Fonctions supplémentaires du MSI STRIKE 600
Bien qu’il adopte un format 100 % classique avec ses 104 touches, le MSI STRIKE 600 propose plusieurs fonctions supplémentaires directement accessibles depuis le clavier. Ainsi, associée à la touche Fn, la touche Echap permet une réinitialisation du clavier aux réglages par défaut. La touche F1 permet d’activer le logiciel Afterburner (overclocking de la carte graphique). La touche F5 permet de sélectionner un profil parmi les trois profils enregistrés.
Étonnamment, les touches F9 à F12 et les trois suivantes permettent un réglage multimédia. Elles font redondance avec la zone multimédia située en haut à droite du clavier (molette et boutons). Il aurait été plus judicieux de les utiliser pour d’autres fonctions ?
La gestion de l’éclairage du MSI STRIKE 600 sera assurée par les touches de navigation et les touches fléchées : changement d’effet, intensité lumineuse, vitesse des animations ou encore variation de la couleur. Tout est disponible sans avoir à passer par le logiciel maison.
Enfin, la touche Fn est représentée par le logo de la marque et il sera possible d’activer le mode jeu par la touche Windows (désactive cette touche Windows pour éviter les retours intempestifs au bureau en pleine partie de jeu).
MSI STRIKE 600 sous MSI Center
La partie logicielle du MSI STRIKE 600 s’appuie sur le logiciel maison MSI Center, mais l’ensemble reste malheureusement léger. Nous allons y retrouver les réglages essentiels (éclairage RGB, création de profils, macros) mais rien de vraiment avancé. Avec des switches non hot-swap et une conception électronique plutôt simple, MSI semble avoir misé avant tout sur l’expérience matérielle et la réduction du bruit, quitte à laisser de côté les fonctions logicielles plus poussées que l’on retrouve chez certains concurrents.
Quoi qu’il en soit, nous retrouvons notre clavier sur la page principale du logiciel.
La première page va nous permettre de régler les profils, les macros et la langue de l’interface.
Le MSI STRIKE 600 pourra ainsi intégrer jusqu’à trois profils, être traduit en 10 langues et paramétrer jusqu’à 30 macros.
Vient ensuite la partie éclairage avec la possibilité de choisir parmi 9 modes préenregistrés, d’éteindre l’éclairage ou de le personnaliser touche par touche.
Show time !
L’éclairage du MSI STRIKE 600 est puissant, en particulier autour des touches où la lumière déborde largement. Cet effet crée un halo puissant qui attire immédiatement l’œil, au point de parfois dominer visuellement l’ensemble du clavier.
L’inconvénient, c’est que les légendes ne ressortent pas autant qu’on pourrait l’espérer : la lumière diffuse autour des keycaps prend clairement le dessus. Heureusement, il sera possible de baisser la luminosité globale grâce aux touches dédiées (ou au logiciel), mais là encore pour potentiellement diminuer la lisibilité des légendes.
Avec le Strike 600, MSI propose un clavier mécanique qui fait un choix clair : privilégier le silence avant tout. Et sur ce point, il tient ses promesses. Les switches Kailh Midnight Pro Silent Tactile offrent une frappe feutrée, parfaitement cohérente avec la conception multicouche pensée pour étouffer les résonances.
Le châssis affiche une identité marquée, avec ses lignes anguleuses, sa plaque supérieure en aluminium et sa zone multimédia mise en avant. Le confort général reste bon, même si la hauteur avant imposera sans doute un repose-poignets aux utilisateurs sensibles. La gestion du câble, les deux niveaux d’inclinaison et les touches additionnelles ajoutent un vrai côté pratique au quotidien.
Tout n’est pas parfait pour autant. Le rétroéclairage, très diffus sur les côtés des touches, manque parfois de subtilité. Les légendes restent lisibles, mais se retrouvent un peu noyées dans la lumière ambiante. Côté logiciel, MSI Center assure le minimum : quelques réglages d’éclairage, trois profils, des macros… mais rien de plus avancé. Ce n’est pas rédhibitoire pour un clavier avant tout orienté “feeling”, mais les possibilités restent limitées face à la concurrence directe.
Au final, le MSI STRIKE 600 réussit là où il doit réussir : offrir une frappe silencieuse, stable et agréable, sans sacrifier la robustesse ni les fonctionnalités essentielles. Un clavier qui s’adresse autant au joueur nocturne qu’à celui qui travaille à proximité d’autres personnes, et qui souhaite profiter des sensations d'un clavier mécanique sans imposer le vacarme habituel. À 76,90 €, il offre une proposition cohérente, bien exécutée et pensée pour ceux qui veulent un clavier mécanique… qui sait se faire oublier.
Qualité/finitions
8.4
Qualité frappe
8.5
Rétroéclairage
7.6
Nuisances sonores
9.7
Ergonomie
8.7
Prix
9
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Une acoustique très bien maîtrisée
Une molette multimédia pratique
Un RGB puissant
Un châssis rigide, stable et agréable sous les doigts
Points faibles
Un logiciel MSI Center limité
Un éclairage parfois trop envahissant
Patins antidérapants uniquement à l’avant en position basse
Les touches Fn multimédia redondantes
8.7
Le MSI Strike 600 est-il vraiment silencieux ?
Oui, grâce aux switches Kailh Midnight Pro Silent et au châssis multicouche isolant, le MSI Strike 600 est nettement plus silencieux que la majorité des claviers mécaniques gaming.
Le MSI Strike 600 est-il compatible Mac ?
Il fonctionne, mais certaines fonctions multimédias et MSI Center sont limités.
Le MSI Strike 600 convient-il pour travailler en open space ?
Oui, son niveau sonore réduit et sa frappe feutrée sont adaptés à un environnement partagé.
Les switches du MSI Strike 600 sont-ils hot-swap ?
Utilitaire gratuit et en français qui se niche dans la zone de notification et qui vous informe automatiquement à l’arrivée d’un nouvel e-mail dans votre messagerie en ligne : Outlook.com, Hotmail.com, Yahoo, Gmail...
Bandai Namco met enfin des mots sur l’univers de Code Vein II, un monde post‑apocalyptique fracturé par la Resurgence où le joueur, chasseur de Revenants, devra remonter le temps pour empêcher l’extinction.
Un monde au bord de l’effondrement
Au cœur du récit, la Resurgence, phénomène ancien qui a perverti le vivant comme l’inerte et engendré les Horrors. Les Revenants ont d’abord jugulé la catastrophe, puis, il y a cent ans, ont scellé à nouveau la menace après une guerre meurtrière. Les plus illustres d’entre eux sont devenus les Héros. Depuis, des Cocoons sont apparus à travers le monde pour contenir la Resurgence. Problème : un siècle plus tard, des explosions ravagent les zones qui les entourent et l’annihilation progresse région par région.
Autre tournant narratif, l’émergence de la Luna Rapacis, à l’origine de Revenants qui dégénèrent en Horrors dénués d’esprit. Selon l’éditeur, la survie de l’humanité tient à une mission claire : briser les sceaux des Cocoons et abattre « la Descendance de la Resurgence », entité tapie en leur sein et tenue secrète par quelques Revenants seulement.
Voyage dans le passé et compagnons de route
Le joueur incarne un chasseur de Revenants chargé de remonter cent ans en arrière, à l’époque des Héros, pour récupérer les clés des sceaux. Il sera accompagné de Lou, une jeune fille capable de manipuler le temps.
Au programme : exploration d’un monde post‑apo, combats contre des ennemis puissants et intrigue qui traverse les époques. Bandai Namco met aussi en avant Josée Anjou, qui résume l’esprit de résistance : « Tant que j’aurai deux jambes pour marcher et deux bras pour me battre, je donnerai tout pour garder l’espoir de cette ville en vie ».
Code Vein II est attendu sur PS5, Xbox Series X|S et PC, avec une sortie fixée au 30 janvier 2026. La page officielle détaille l’univers et les premiers visuels.
Secousse dans la microélectronique : Wei-Jen Lo, ex-vice-président senior de TSMC, a rejoint Intel comme vice‑président R&D fin octobre, selon Liberty Times cité par TrendForce. Le timing fait grincer des dents, alors que TSMC enquête sur de possibles transferts d’informations liées aux procédés de pointe sous 2 nm.
Soupçons de fuite chez TSMC après le départ de Wei-Jen Lo vers Intel
D’après les médias taïwanais, Lo aurait demandé avant son départ des briefings et des copies de documents internes couvrant le 2 nm, A16, A14 et d’autres technologies de prochaine génération. À l’époque, ces requêtes semblaient banales pour un dirigeant de ce rang, mais TSMC examine désormais le dossier et n’exclut pas d’agir. Le cadre légal pourrait même s’élargir : l’affaire pourrait être scrutée au titre de la sécurité nationale si les allégations se confirmaient.
Le contexte est sensible. Il s’agirait du deuxième incident majeur touchant le 2 nm de TSMC en quelques mois. Le 27 août, trois ingénieurs ont été inculpés pour vol de fichiers clés liés au développement 2 nm, avec des peines de 7 à 14 ans requises. En parallèle, Intel pousse son nœud 18A en production de masse cette année et vise la 14A en 2027, tandis que TSMC prévoit l’A16 au second semestre 2026.
Le profil de Lo pèse lourd : 21 ans chez TSMC, un rôle central dans la construction du portefeuille technologique, plus de 1 500 brevets accumulés par son équipe, dont environ 1 000 aux États‑Unis, et la confiance du fondateur Morris Chang. Il a conservé son poste jusqu’à 75 ans, au‑delà de l’âge de retraite habituel de 67 ans chez TSMC.
Selon Liberty Times, sa mission chez Intel couvrirait la supervision des équipements avancés et du développement de modules, de la R&D à la pré‑production, un périmètre intimement lié à l’amélioration des rendements. Reste une zone grise : Lo était‑il soumis à la clause de non‑concurrence de 18 mois en usage chez TSMC ? Certaines sources affirment qu’il pourrait ne pas l’avoir signée.
Poursuites, perquisitions et gel d’actifs
TSMC a saisi le tribunal de la propriété intellectuelle et du commerce à Taïwan, estimant qu’« il y a une forte probabilité » que Lo utilise ou transfère des informations confidentielles, d’après Reuters. Intel, de son côté, dément les accusations et assure soutenir son nouveau cadre.
L’enquête s’est accélérée : les enquêteurs taïwanais ont perquisitionné les domiciles de Lo, saisissant ordinateurs et supports amovibles. Un tribunal a validé la saisie de ses actions et biens immobiliers. Les autorités ont gelé plus de 2 milliards de dollars NT, dont 1,8 milliard en actions TSMC, selon China Times.
À ce stade, rien n’est tranché. Mais si les faits étaient avérés, l’affaire redéfinirait les lignes de fracture entre fondeurs au moment où chacun verrouille ses feuilles de route sous‑2 nm.
AMD passe à l’offensive sur la gamme X3D : le Ryzen 7 9850X3D est désormais listé officiellement avec un boost à 5,6 GHz. Un signe clair que la riposte s’organise face aux prochaines générations d’Intel, notamment les Arrow Lake Refresh : Core Ultra 290K, 270K Plus.
Ryzen 7 9850X3D officiel : 8 cœurs, 5,6 GHz et 120 W
Après plusieurs rumeurs crédibles relayées sur notre site, AMD a publié une page dédiée au Ryzen 7 9850X3D. La fiche confirme une configuration à 8 cœurs et 16 threads, 96 Mo de cache L3, un boost maximal à 5,6 GHz et un TDP de 120 W. Par rapport au Ryzen 7 9800X3D, on gagne 400 MHz de fréquence en pointe, à cache et nombre de cœurs identiques. D’après les informations disponibles, AMD tirerait parti de dies mieux triés pour proposer une alternative plus affûtée face aux plateformes Intel à venir.
AMD Ryzen 7 9850X3D : 8 cœurs Zen 5, 3D V-Cache
La puce s’inscrit dans la famille « Granite Ridge » des Ryzen 9000 X3D. Si AMD ne détaille pas encore les performances applicatives, la combinaison 3D V-Cache + boost relevé laisse présager des gains sensibles en jeu, cœur de cible de ces références.
Un Ryzen 9 9950X3D2 en ligne de mire
Au-delà de cette annonce, un modèle phare resterait en préparation : le Ryzen 9 9950X3D2. Selon les fuites, il embarquerait 16 cœurs et 32 threads, avec de la 3D V-Cache sur les deux chiplets pour un total d’environ 192 Mo de L3. Il serait cadencé à 4,30 GHz de base, pour un boost proche de 5,6 GHz, et un TDP aux alentours de 200 W. La nouvelle dénomination « X3D2 » laisserait entendre un compromis de 100 MHz sur le pic de boost par rapport à une version X3D simple pile, en échange d’un cache nettement accru. Toutefois, seul le Ryzen 7 9850X3D est confirmé à ce jour par AMD.
AMD se positionne ainsi en amont des « Arrow Lake Refresh » attendus début 2026 et de « Nova Lake » pressenti pour fin 2026. La marque semble temporiser, tout en consolidant son offre X3D à court terme.
Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
Chaque fin d'année Aomei vous propose des logiciels en cadeaux, c'est le moment d'en profiter.
Le site propose 20 logiciels avec des licences offertes avec entre autres : AOMEI Backupper Pro, Cloner Pro, AnyViewer Pro, FoneBackup Pro, Partition Assistant Pro, Wise Care 365, Glary Utilities Pro, IObit Uninstaller PRO, Ashampoo WinOptimizer, etc.
Pour info l'éditeur parle de 21 logiciels, perso je n'en ai trouvé que 20 à télécharger.
Ces logiciels sont téléchargeables jusqu'au 31 décembre 2025, mais surtout doivent être activés avant le 10 Janvier 2026.
Précisions importantes : il y a un peu de tout au niveau des licences, certaines sont valables six mois, d'autres un an, et enfin d'autres sont valables à vie.
Il y en a même une qui n'est valable que 30 jours !
Il n'y a pas d'assistance comprise et pour certains programmes les mises à jour vers les futures versions ne sont pas possibles, lisez bien le fichier texte fourni avec chaque archive.
J'ai d'ailleurs noté que certains de ces fichiers texte d'information, qui, s'ils contiennent bien la bonne clé de licence ou offre promotionnelle, n'ont parfois pas été mis à jour (par exemple au niveau des date ou version) depuis l'année dernière...
Oui, je sais, je chipote, mais bon, d'année en année les offres sont de moins en moins intéressantes.
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –
Il y a des aspirateurs robots sont là pour facilierun peu le quotidien, et puis il y a le Roborock Saros 10R, qui donne l’impression d’avoir engagé un petit employé silencieux à domicile. Mon aspirateur robot à 300 balles de chez Eufy avait tendance à faire n’importe quoi (alors qu’il était neuf), je l’ai donc renvoyé, et j’ai craqué sur ce monstre à cause d’une promotion Black Friday (850 € au lieu des 1 280 € habituels), est c’est assez fou tout ce que peut faire un aspirateur robot de nos jours. Précisons que c’est un aspirateur qui nettoie aussi le sol, et qui le fait bien.
Le Saros 10R est déjà très surprenant par son design. Roborock a totalement supprimé la traditionnelle tourelle LIDAR pour intégrer la technologie StarSight 2.0, un système de cartographie et d’évitement basé sur trois LIDAR répartis sur le corps du robot, avec une caméra RVB frontale. Résultat : un robot extrêmement bas, moins de 8cm. Dans les faits, il passe sous les meubles où la poussière pensait être tranquille pour la décennie à venir. Et surtout, cette nouvelle approche de la navigation lui permet d’anticiper les obstacles, d’éviter les câbles et d’analyser les formes pour contourner sans jamais cogner. Sous les pieds de chaises, il se faufile comme s’il connaissait le plan par cœur.
Et ça fonctionne ! C’est le premier aspirateur robot qui n’a aucun problème à contourner les câbles, même les plus fins, et à ne pas paniquer pour se faufiler entre plein de pieds de chaise.
Côté nettoyage, Roborock mise sur son nouveau duo de brosses censées éliminer les emmêlements. Et en utilisation réelle, c’est très efficace : les poils ne s’enroulent pas autour de la brosse principale, et la brosse latérale extensible récupère ce qui traîne dans les coins. Sur sol dur, le Saros 10R offre une aspiration très puissante, avec un passage souvent suffisant pour retrouver un sol impeccable. Sur tapis, il s’en sort aussi très bien, et il n’hésite pas à faire un deuxième passage si besoin. L’intelligence embarquée permet aussi de lever automatiquement les serpillières dès qu’il détecte un tapis. Pour tout vous dire c’est ce point qui m’a fait craquer, parce que j’ai beaucoup de tapis chez moi, et effectivement, quand il nettoie le sol à l’eau, il arrive à ne pas les mouiller DU TOUT.
Le robot impressionne également par son système qui ajuste indépendamment les trois roues pour franchir les seuils jusqu’à 4 cm. Chez moi, là où mon Eufy restait bloqué sans raison apparente, le Saros 10R continue simplement son chemin. C’est tout bête, mais ça change l’expérience d’usage : un robot qui ne nécessite pas votre aide toutes les 5 minutes est un robot que l’on garde.
La pièce maîtresse de cet appareil c’est sa station 4.0, probablement ce qui se fait de plus avancé aujourd’hui. Une fois le robot retourné à sa base, celle-ci vide complètement le bac à poussière, lave les serpillières avec de l’eau chaude, les sèche à 55°C, remplit automatiquement le réservoir d’eau propre, distribue le détergent (facultatif, vous pouvez rester à l’eau) et procède même à un nettoyage interne. En clair, c’est l’un des rares appareils que l’on peut réellement qualifier de “sans entretien”, avec une intervention humaine presque inexistante d’une semaine à l’autre.
L’intégration à la maison connectée est excellente. On peut lui parler avec la commande “hello rocky”, mais il se pilote aussi via Alexa, Google Assistant, Siri, et même via Matter. L’application Roborock reste l’une des plus claires du marché : cartographie ultra détaillée, zones interdites, programmation précise, tout y est, et sans jamais se perdre dans des menus compliqués. L’autonomie de plus de 3 heures permet de couvrir de grands espaces d’un seul trait.
Au final, le Saros 10R coche toutes les cases du robot ultra premium : intelligent, puissant, silencieux, autonome et capable de se débrouiller seul dans une maison moderne remplie d’obstacles. À son prix d’origine de 1 280 €, c’est clairement un produit de luxe, efficace mais difficile à recommander (sauf si vous êtes franchement blindé). À 850 €, en revanche, ça se considère déjà un peu plus pour réduire votre charge mentale liée au ménage. Dispo ici sur Amazon, et pensez à cocher le coupon !
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