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AMD Radeon AI PRO R9700 : lancement retail le 27 octobre à 1 350 EUR

Par :Wael.K
24 octobre 2025 à 13:10

Un retard qui en disait long : AMD ouvre enfin la voie au retail pour sa Radeon AI PRO R9700, annoncée pour le 27 octobre à 1 299 dollars, soit environ 1 230 à 1 350 euros selon le taux et la TVA locale.

Une carte pro pensée pour les stations multi-GPU

Jusqu’ici réservée aux OEM et intégrateurs, la série Radeon AI PRO 9000 arrive chez les revendeurs. AMD visait un lancement à la fin juillet, mais « les intégrateurs ont absorbé tout le stock », d’après la chronologie rapportée. Rien d’étonnant à ce que les pros aient priorisé l’approvisionnement.

asrock radeon ai pro r9700 creator 32 go 03
Asrock radeon ai pro r9700 creator 32 go

Dévoilée au Computex 2025, le modèle phare R9700 embarque le tout frais GPU RDNA Navi 48 d’AMD, 48 gravé en 4 nm avec 64 unités de calcul RDNA 4, soit 4 096 processeurs de flux et 128 accélérateurs IA dédiés aux opérations matricielles sur divers formats. Par rapport à la RX 9070 XT orientée jeu, la R9700 mise sur la capacité mémoire : 32 Go de GDDR6 à 20 Gbit/s sur bus 256 bits pour 640 Go/s, épaulés par 64 Mo d’Infinity Cache de 3e génération.

Carte graphique AMD Radeon AI PRO R9700 – lancement retail le 27 octobre, prix 1 299 $, GPU pro IA, design triple-fan

Côté performances, AMD annonce jusqu’à 191 TFLOPS en FP16 dense et jusqu’à 1 531 TOPS en INT4 sparse, avec un TDP qui monte à 300 W. Le tout tient dans un format double slot à ventilateur turbine, idéal pour empiler jusqu’à quatre cartes dans une station de travail sans asphyxier le châssis.

Disponibilité et positionnement

Le lancement retail est fixé au 27 octobre, à 1 299 dollars. Il faut dire que l’ouverture aux particuliers et aux monteurs de stations IA ou de visualisation professionnelle manquait clairement au catalogue AMD. Reste à voir si l’offre suivra cette fois, après les contraintes d’approvisionnement du milieu d’année.

Source : TechPowerUp

Intel Core Ultra 5 338H Panther Lake : premier leak et iGPU Arc B370 Xe3

Par :Wael.K
24 octobre 2025 à 12:50

Jamais deux sans trois. Voici la troisième apparition publique de Panther Lake : un Core Ultra 5 338H vient d’être repéré dans la base de données Geekbench, accompagné d’un iGPU Arc B370 Xe3. Ce nouveau repère vient confirmer le schéma déjà observé sur les modèles supérieurs et clarifie un peu plus le casse-tête du nommage Intel pour cette génération mobile.

Cette fuite complète ainsi le puzzle initié par le Core Ultra X7 358H, dont l’iGPU Xe3 à 12 cœurs marquait les débuts de Panther Lake, et confirmé peu avant par le Core Ultra X9 388H, capable de dépasser les 6300 points sous 3DMark Time Spy, soit environ +30 % de mieux que Lunar Lake.

Avec cette série d’apparitions successives, Panther Lake prend forme : une architecture mobile tournée vers l’efficacité énergétique, mais aussi vers une intégration IGPU XE3 plus ambitieuse, annonçant une transition vers la prochaine génération d’iGPU Xe3p.

Core Ultra 5 338H confirmé, et l’iGPU Arc passe à la série B

Selon cette fuite, le modèle s’appelle bien Core Ultra 5 338H, et non X5 338H. Il semblerait que la lettre X reste réservée aux versions dotées de l’iGPU complet, comme les X9 388H et X7 358H. Rien d’étonnant à ce que la génération Panther Lake ajoute une couche de complexité, encore plus que Meteor et Lunar Lake.

Illustration de l'article : Intel Core Ultra 300: HWMonitor confirme Panther Lake et le Core Ultra (detail produit)
Intel Core Ultra 300: HWMonitor confirme (detail produit)

Deuxième enseignement, l’iGPU intégré adopte l’appellation Arc B-Series, alors même qu’il s’agit d’unités Xe3. Intel avait évoqué de longue date une filiation avec Celestial, mais « Intel a déplacé Celestial vers l’architecture Xe3p » d’après la source, tandis que Xe3 serait une évolution de Xe2, une sorte de version « Prime » de Battlemage.

Pour simplifier, Battlemage et Celestial restent des références côté GPU dédiés, mais le marketing brouille les pistes côté intégrés.

Arc B370 : 10 cœurs Xe3 et un score encore timide

Le Core Ultra 5 338H s’accompagne ici d’une Arc B370, présentée comme une montée en gamme face à l’Arc A140T des puces Lunar Lake. Intel a abandonné le suffixe « T » et saute directement à une série 300 pour les iGPU. D’après les éléments collectés, la B370 embarquerait 10 cœurs Xe3, quand une hypothétique B390 grimperait à 12. Une variante 4 cœurs pourrait porter le nom B350, mais cela reste à confirmer.

INTEL PANTHER LAKE fiche

Côté performances, la B370 dépasse l’Arc 140T, mais de peu : environ 4 % d’avance seulement dans Geekbench. Il faut dire que l’échantillon tourne sur une plateforme de référence officielle et des pilotes probablement immatures. Reste à voir si les scores évolueront, les premières mesures ne reflétant pas toujours le niveau final.

Visuel du CPU Intel Core Ultra 5 338H Panther Lake avec iGPU Arc B370 Xe3, illustrant la fuite sur les processeurs mobiles.

En résumé, les CPU Panther Lake forment la série 300 chez Intel et, confusion supplémentaire, leurs iGPU aussi. On retiendra surtout deux points : le nom exact Core Ultra 5 338H pour ce SKU 3×8, et l’iGPU Arc B370 en architecture Xe3. Les modèles supérieurs pourraient s’appuyer sur des B380 ou B390, mais mieux vaut attendre des fiches techniques définitives avant d’entériner ces dénominations.

Source : VideoCardz

Z-A: 5,8 Millions d’Unités Vendues en Première Semaine

24 octobre 2025 à 12:00
Z A 58 Millions Dunites Vendues En Premiere Semaine.jpeg
Ce matin, The Pokémon Company a révélé que la dernière édition de la série de capture de monstres, Pokémon Legends: Z-A, a enregistré 5,8 millions d’unités vendues lors de sa première semaine, avec Nintendo précisant qu’environ la moitié des ventes se sont réalisées sur la Nintendo Switch 2. Ventes comparatives Bien que ce soit un […]

Vaccin COVID - Une turbo bonne nouvelle pour le traitement du cancer

Par :Korben
24 octobre 2025 à 10:04

Vous vous souvenez des débats enflammés sur les vaccins COVID et de ces théories complotistes de “turbo cancer” qui circulaient partout sur les réseaux sociaux ? Bon c’est un peu has been maintenant mais c’était cette fausse idée que les vaccins mRNA provoqueraient des cancers fulgurants…

Et bien accrochez-vous, parce que des chercheurs très sérieux viennent de découvrir EXACTEMENT l’inverse. Vous allez voir, c’est drôle !

Des oncologues de l’Université du Texas et de l’Université de Floride ont analysé les dossiers de plus de 1000 patients atteints de cancers du poumon ou de mélanomes avancés et ils ont remarqué un truc bizarre : les patients qui avaient reçu un vaccin mRNA contre la COVID dans les 100 jours suivant le début de leur immunothérapie vivaient beaucoup plus longtemps que les autres. Genre, 2 fois plus longtemps.

Concrètement, la survie médiane passe de 20 mois sans vaccin à 37 mois avec vaccin et au bout de 3 ans, 56% des patients vaccinés sont toujours en vie, contre seulement 31% chez les non-vaccinés.

Bon alors, comment c’est possible ? Hé bien pour comprendre, faut faire un détour rapide par l’immunothérapie. En effet, depuis une dizaine d’années, on traite certains cancers avec des médicaments qui ne ciblent pas la tumeur directement mais débloquent en réalité le système immunitaire.

Le truc, c’est que les cellules cancéreuses sont malignes (sans mauvais jeu de mots..) puisqu’elles utilisent une protéine appelée PD-L1 pour littéralement désactiver les lymphocytes T, les fameux soldats de notre système immunitaire. Les inhibiteurs de checkpoint comme le pembrolizumab ou le nivolumab empêchent alors cette désactivation et le système immunitaire peut enfin faire son boulot et attaquer la tumeur.

Sauf que ça ne marche pas sur tous les cancers. Il y a ce qu’on appelle les tumeurs “chaudes” et les tumeurs “froides”. Les chaudes ont été repérées par le système immunitaire et ont été infiltrées par des cellules immunitaires. Les froides, par contre, sont invisibles. Aucune cellule immunitaire autour, aucune réaction. Et pour ces tumeurs froides, l’immunothérapie classique ne sert à rien et c’est un cauchemar à combattre.

De leur côté, les vaccins mRNA COVID agissent comme une alarme incendie pour le système immunitaire. Quand vous recevez votre dose de Pfizer ou Moderna, votre corps produit un tsunami d’interféron de type I. C’est une molécule de signal qui met tout le système immunitaire en alerte rouge : Les cellules présentatrices d’antigènes se réveillent, les lymphocytes T se multiplient, et tout le monde passe en mode combat !

Et cette activation généralisée, elle ne se limite pas au virus COVID puisque le système immunitaire en profite pour scanner TOUT ce qui traîne, y compris les cellules cancéreuses qui jusque-là passaient inaperçues. Les tumeurs froides deviennent alors chaudes et se mettent à exprimer du PD-L1 pour tenter de se protéger. Et c’est justement à ce moment-là que les inhibiteurs de checkpoint entrent en jeu et bloquent cette défense.

Les chercheurs ont donc testé ça sur des modèles animaux pour comprendre le mécanisme exact et ont confirmé que le vaccin seul ne suffit pas. Il faut la combinaison vaccin mRNA + immunothérapie pour obtenir l’effet maximal. L’un réveille le système immunitaire, l’autre maintient l’attaque active contre la tumeur.

Le plus fou dans cette histoire, c’est que personne ne cherchait cet effet. Élias Sayour, l’un des chercheurs principaux à l’origine de cette découverte, bossait déjà sur des vaccins mRNA anti-cancer personnalisés depuis 2016 et avait remarqué que les molécules d’ARN messager pouvaient entraîner le système immunitaire même sans cibler des antigènes tumoraux spécifiques. Mais de là à imaginer que les vaccins COVID développés en urgence pour une pandémie auraient ce pouvoir contre le cancer, personne ne l’avait anticipé.

D’ailleurs, il y a eu quelques cas rapportés dans la littérature médicale de patients dont les tumeurs ont spontanément régressé après une vaccination COVID et à l’époque, tout le monde trouvait ça anecdotique… peut-être des coïncidences. Mais avec cette étude portant sur plus de 1000 patients et contrôlant 39 variables différentes (stade du cancer, traitements antérieurs, comorbidités, etc.), c’est difficile de parler de hasard.

Cinq fois plus de chances d’être en vie trois ans après le diagnostic, juste en ajoutant un vaccin qu’on a déjà sous la main et qui a été administré à des milliards de personnes, c’est pas rien.

Maintenant, avant de crier au miracle, quelques précisions importantes quand même. Cette étude est observationnelle, et ce n’est pas un essai clinique randomisé. Ça veut dire que les chercheurs ont analysé des données existantes, et n’ont pas assigné aléatoirement les patients à un groupe ou l’autre. Il pourrait donc y avoir des biais cachés. Par exemple, les patients qui ont choisi de se faire vacciner pendant leur traitement cancer sont peut-être aussi ceux qui suivent mieux leurs protocoles de soin en général ?

Mais les chercheurs ont anticipé cette critique et ont utilisé des techniques statistiques avancées pour éliminer un maximum de facteurs confondants et même avec ça, le signal reste fort. Assez fort en tout cas pour justifier de passer à l’étape d’un vrai essai clinique prospectif.

L’équipe lance donc un essai à grande échelle sur des patients atteints de cancer du poumon, avec 2 groupes : un qui reçoit l’immunothérapie standard, l’autre qui reçoit immunothérapie + vaccin mRNA COVID. Si les résultats confirment ce qu’ils ont observé, on pourrait alors voir les protocoles de traitement évoluer très rapidement.

Et contrairement aux vaccins anti-cancer personnalisés qui nécessitent d’analyser la tumeur de chaque patient pour créer un vaccin sur mesure (c’est cher et complexe…), les vaccins COVID eux sont déjà produits en masse, approuvés, dispo partout, et relativement peu chers.

On savait que non seulement ces vaccins COVID ne causaient pas de cancer mais découvrir qu’en plus ils pourraient bien devenir un outil standard pour TRAITER le cancer, c’est turbo-marrant je trouve… La science nous réserve toujours des surprises, et c’est pour ça qu’elle me passionne !

Si ça vous dit, l’étude a été publiée dans Nature, et vous pouvez la lire en intégralité ici si vous voulez rentrer dans les détails statistiques et biologiques.

Votre iPhone pollue le Wi-Fi de tout le monde et ça c'est moche

Par :Korben
24 octobre 2025 à 09:14

Vous streamez une vidéo sur votre iPad, tout va bien, et puis ça lag. Pas beaucoup hein, juste une petite micro-saccade bien en rythme toutes les deux secondes. Ce n’est pas la faute de votre routeur et pourtant vous avez beau pinger votre réseau local, ça saute de 3 ms à 90 ms… Bienvenue dans le monde merveilleux d’AWDL, la technologie Apple qui transforme plus d’un milliard d’appareils en mini-pollueurs du spectre WiFi.

Christoff Visser, ingénieur au labo de recherche d’Internet Initiative Japan, a eu ce problème et en a parlé lors de sa dernière présentation à la conférence RIPE 91 . Il était en train de streamer un jeu avec Moonlight quand ça s’est mis à sauter à intervalles réguliers. Ça l’intrigue, alors il fait ce que ferait n’importe quel ingénieur réseau qui se respecte… Il sort Wireshark et commence à tout sniffer.

Et là, surprise… Son iPad saute entre les canaux WiFi.

Mais pas aléatoirement, hein… précieusement toutes les deux secondes. C’est alors qu’il comprend que le coupable est le protocole AWDL (Apple Wireless Direct Link). Vous voyez AirDrop, cette app magique qui vous permet d’envoyer des fichiers entre iPhone et Mac sans rien configurer ? Handoff, qui vous laisse continuer votre mail de l’iPhone sur le Mac ? Sidecar, pour utiliser votre iPad comme second écran ? Hé bien toute cette magie Apple repose sur ce protocole propriétaire non-documenté qui tourne en permanence sur vos appareils.

Voici comment ça marche… Pour que deux appareils Apple puissent se parler n’importe où dans le monde, ils doivent d’abord se trouver. Apple a donc défini ce qu’on pourrait appeler des canaux sociaux : le canal 6 pour le 2,4 GHz, les canaux 44 et 149 pour le 5 GHz. Ce sont si vous voulez, des points de rendez-vous. Vos appareils sautent alors régulièrement sur ces canaux pour vérifier si quelqu’un veut leur parler, puis reviennent sur le canal de votre réseau WiFi.

Sauf que si vous êtes un admin réseau malin, vous n’utilisez PAS ces canaux parce que tout le monde les utilise. Vous scannez le spectre, vous trouvez un canal vide, et vous configurez votre réseau là-dessus pour éviter les interférences. Logique, non ?

Bah non. Pas avec Apple.

Parce que vos appareils Apple, eux, ils s’en foutent. Ils vont QUAND MÊME sauter sur les canaux 6, 44 ou 149 pour checker si quelqu’un veut leur parler, puis revenir. Hop. Toutes les deux secondes. Que vous utilisiez AirDrop ou pas. Que vous ayez d’autres appareils Apple à proximité ou pas. En permanence !

C’est dingue non ? Du coup, on se retrouve avec ces micro-coupures et une latence qui explose. Visser a découvert que ce problème est remonté sur les forums utilisateurs depuis 2019 . Les gens se plaignent, mais personne ne comprend vraiment ce qui se passe parce qu’Apple ne documente pas AWDL et que ces paquets sont invisibles sur votre propre machine. Du coup, diagnostiquer ça est presque impossible.

Visser a donc contacté Apple via leur Feedback Assistant et il n’a obtenu aucune réponse. Même après sa conf à RIPE91, Apple a gardé le silence…

Bref, le “ça marche tout seul” d’Apple a un coût sauf que ce n’est pas Apple qui le paie. C’est nous, les admins réseaux et tous les autres appareils sur le réseau. Apple a optimisé l’expérience de SES utilisateurs en externalisant le problème sur l’infrastructure WiFi des autres.

Alors y’a t-il des solutions ?

Bah justement. Vous avez trois options mais je vous préviens, elles sont toutes pourries.

  • Option 1 : Désactiver AWDL avec sudo ifconfig awdl0 down. Cool, ça marche sauf que vous perdez AirDrop, Handoff, Sidecar, et toutes les fonctionnalités cools qui font qu’un iPhone est un iPhone. Autant acheter un Android à ce tarif…
  • Option 2 : Configurer votre réseau WiFi sur les canaux 6, 44 ou 149. Utiliser les mêmes canaux que tout le monde pour éviter que vos appareils Apple ne sautent est donc une bonne option, même si ces canaux sont souvent saturés. Et au Japon, le 149 est carrément interdit !
  • Option 3 : Vivre avec en totale acception de votre sort. Vous devez accepter que vos appareils Apple sont des gros dégueulasses qui vont polluer le WiFi, accepter ces micro-latences et accepter que votre admin réseau va vous poursuivre avec un couteau dans les couloirs de la boite quand il aura lu mon article.

Et comme ce n’est pas un problème de matériel, acheter un nouveau routeur WiFi 7 ne changera rien puisque le problème, c’est la communication directe entre VOS appareils. Apple pousse même le RFC 9330 (L4S) pour réduire les délais réseau, mais ça ne résoudra rien non plus parce qu’AWDL, c’est du peer-to-peer et ça bypass votre routeur.

Quelqu’un n’a même pas besoin d’être connecté à votre réseau pour foutre le bordel. Il peut juste passer à côté de vous dans un café, déverrouiller son iPhone, et boom, votre réseau va glitcher quelques secondes pendant que vos appareils négocieront avec le sien.

Visser a donc présenté tout ça en espérant que les admins réseau et les FAI soient enfin informés du souci et puisse répondre enfin aux utilisateurs qui rencontrent ce problème invisible. Donc, voilà, la prochaine fois que votre connexion WiFi merdera sans raison, regardez autour de vous et comptez les iPhones et autres appareil Apple car chacun d’eux est en train de jouer à saute-moutons entre les canaux de votre réseau.

Plus d’un milliard d’appareils qui font ça en permanence, partout dans le monde, c’est pas rien quand même…

Bref…

Source

Comment sauvegarder tous les pilotes de votre Système (nouvelle méthode)

24 octobre 2025 à 08:57

Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.

Je vous ai expliqué et rappelé dans plusieurs articles et vidéos qu'il était possible de sauvegarder tous les pilotes facilement.

Oui, il existe dans Windows un dossier nommé DriverStore qui une fois conservé pourra servir à réinstaller facilement tous vos pilotes en quelques clics sans avoir besoin de parcourir tous les recoins du Web pour les retrouver.

Il est clair que réinstaller un Système d'Exploitation est déjà une corvée sans s'infliger ensuite la recherche des indispensables pilotes.

Cette astuce est d'autant plus utile que de plus en plus de précieux pilotes disparaissent du Web au fil des années, soit parce que certains fabricants veulent vous pousser à acheter des matériels plus récents et les retirent de leurs sites d'assistance, soit parce que certains sites dédiés indépendants ont fermé (et fermeront...) du fait de l'adoption massive des bloqueurs de pubs qui les a privés de revenus vitaux pour payer les hébergements.

Je vous propose aujourd'hui une autre méthode qui sera peut-être un petit peu plus compliquée à mettre en œuvre (mais vous allez le voir rien d'insurmontable 😉) mais qui a l'avantage de permettre de ne sauvegarder que les pilotes les plus récents.

Cet article Comment sauvegarder tous les pilotes de votre Système (nouvelle méthode) est apparu en premier sur votre site préféré www.sospc.name

Micron SOCAMM2 : jusqu’à 192 Go en LPDDR5X pour doper les serveurs IA

Par :Wael.K
24 octobre 2025 à 10:22

Micron accélère sur la mémoire à faible consommation dédiée à l’IA. Ses modules SOCAMM2, désormais en phase d’échantillonnage, atteignent jusqu’à 192 Go par barrette LPDDR5X et annoncent un gain énergétique significatif pour les data centers. Cette présentation intervient quelques jours seulement après la finalisation par la JEDEC du standard JESD328, officialisant les modules SOCAMM2 LPDDR5X destinés aux applications d’intelligence artificielle.

SOCAMM2 : plus de capacité, moins d’énergie

Évolution directe du premier SOCAMM, le SOCAMM2 augmente la capacité de 50 % à encombrement identique. Pensé pour les charges IA gourmandes en bande passante et en mémoire, il s’appuie sur de la LPDDR5X afin de combiner débit élevé et consommation contenue, un point clé pour maîtriser les thermiques côté serveur.

Module Micron SO-CAMM2 192 Go en gros plan, memoire basse consommation pour serveurs d’IA, face avant sur fond blanc.

D’après Micron, cette hausse de capacité peut réduire le délai avant le premier jeton en inférence temps réel de plus de 80 %. Le fabricant précise aussi que le passage à son procédé DRAM 1-gamma vise plus de 20 % de baisse de consommation par rapport à la génération précédente. Rien d’étonnant à ce que les exploitants de racks IA, souvent équipés de plusieurs téraoctets de mémoire, y voient un potentiel de réduction d’énergie non négligeable.

Gros plan d’un module Micron SOCAMM2 192 Go, mémoire basse consommation dédiée aux serveurs IA, vue côté droit sur fond blanc

Travaillant avec NVIDIA sur l’intégration de DRAM basse consommation dans les serveurs, Micron destine ces modules aux plateformes gérant de larges fenêtres de contexte. Le constructeur avance que le SOCAMM2 consomme plus de deux tiers de moins qu’une configuration RDIMM équivalente, tout en n’occupant qu’environ un tiers de l’espace sur la carte. Moins d’énergie, plus compact : un duo qui pourrait aussi faciliter les architectures à refroidissement liquide.

Gros plan sur un module Micron SOCAMM2 192 Go, mémoire basse consommation pour serveurs IA, présenté sur fond blanc, vue de t

Caractéristiques et disponibilité

Les échantillons atteignent jusqu’à 192 Go par module, à des vitesses allant jusqu’à 9,6 Gbit/s. La production de masse suivra le calendrier des partenaires. Il faut dire que l’orientation est claire : les SOCAMM2 visent uniquement les plateformes de centres de données. Micron n’indique aucun plan pour le grand public ou le desktop.

Micron résume l’enjeu ainsi : « une DRAM à faible consommation pour des serveurs IA à large contexte ». Reste à voir si cette approche, combinant densité et frugalité, s’imposera face aux RDIMM classiques dans les prochaines vagues d’inférence à grande échelle.

Source : VideoCardz

EA et l’IA : des outils internes ralentissent les devs, malgré un partenariat avec Stability AI

Par :Wael.K
24 octobre 2025 à 09:48

Chez EA, l’IA devait accélérer la création. Un an après, il semblerait que ce soit l’inverse : des outils internes feraient perdre du temps aux équipes, alors que l’éditeur officialise un partenariat avec Stability AI.

EA pousse l’IA, mais les équipes dénoncent des ratés

Electronic Arts, connu pour Les Sims, Apex Legends et Battlefield, a annoncé un accord avec Stability AI censé aider les artistes à itérer plus vite et à développer plus efficacement. Pourtant, d’après Business Insider, l’éditeur encourage ses salariés à utiliser des outils d’IA en interne depuis au moins un an, avec des résultats mitigés.

stability ai and ea partner to reimagine game development

Des sources internes évoquent des hallucinations fréquentes et du code à corriger manuellement, à rebours des gains de productivité attendus. Comme le résume une source citée, « l’IA hallucine souvent, au point de devoir tout reprendre ».

Les artistes se disent aussi inquiets de voir leurs créations servir à entraîner ces modèles, ce qui, selon eux, dévaloriserait leur travail et réduirait la demande. Autre point sensible : il est rapporté qu’environ 100 salariés du contrôle qualité auraient été remerciés, l’IA pouvant résumer plus vite les retours des testeurs.

Un virage sectoriel vers l’automatisation

Malgré ces critiques, EA double la mise sur l’IA via Stability AI, tandis que le contexte industriel va dans le même sens. Krafton, l’éditeur de PUBG et Subnautica, annonce devenir « AI-first » avec un investissement de 70 millions de dollars (environ 65 M€) dans la puissance GPU pour des agents autonomes et l’automatisation. Fin septembre, il a aussi été révélé que les nouveaux investisseurs à la tête d’EA comptent sur l’IA pour « réduire significativement les coûts opérationnels ».

Rien d’étonnant à ce que la pression monte autour de l’efficacité, mais reste à voir si ces outils gagneront enfin en fiabilité sur le terrain.

Annonce officielle : Stability AI and EA Partner to Empower Artists, Designers, and Developers to Reimagine Game Development

Ryzen 9000G Strix Point en vue : l’AGESA 1.2.7.0 mentionne « STX » aux côtés de Phoenix

Par :Wael.K
24 octobre 2025 à 09:39

Une ligne de code suffit parfois à relancer tout un feuilleton. Cette fois, c’est l’AGESA 1.2.7.0 d’AMD qui met le feu aux poudres en laissant apparaître des indices sur Strix Point côté desktop.

AGESA cite « STX » avec « PHX » : Ryzen 9000G viserait Strix Point

Selon le leaker @9550pro, la dernière mise à jour AGESA 1.2.7.0 fait mention de Strix Point dans son code. Un constat appuyé par @xgfancz, qui a repéré dans la liste des architectures la référence « STX », présumée pour Strix Point, aux côtés de « PHX » pour Phoenix Point, déjà au cœur des Ryzen 8000G desktop. De quoi raviver l’idée que les Ryzen 9000G ne se limiteraient pas à Krackan Point, comme envisagé initialement.

Ryzen 9000G Strix Point mentionné dans AGESA 1.2.7.0, tag STX aux côtés de Phoenix, APU AMD next‑gen

Si la bascule vers Strix Point se confirme, les APU desktop pourraient grimper jusqu’à 16 unités de calcul pour l’iGPU et basculer sur RDNA 3.5 au lieu de RDNA 3. À la clé, un niveau de performances graphiques intégré potentiellement comparable à celui de l’AMD Ryzen Z2 Extreme, désormais courant dans de nombreux PC de jeu portables. Il faut dire que la perspective d’un iGPU musclé en desktop reste très attendue.

Capture CPU‑Z Ryzen 9000G/Strix Point: AGESA 1.2.7.0 mention STX aux côtés de Phoenix, spécifications CPU et GPU intégrés

Calendrier et prudence

D’après les rumeurs, les APU 9000G Strix Point n’arriveraient pas avant la fin de l’année. Et même dans ce scénario, rien n’indique qu’ils seraient lancés en même temps qu’un éventuel refresh des 8000G déjà évoqué.

Comme souvent, les fuites restent à manier avec prudence. « STX apparaît aux côtés de PHX dans l’AGESA 1.2.7.0 », rappellent les leakers, mais seule une annonce officielle lèvera le doute.

Reste à voir si AMD validera Strix Point sur desktop et jusqu’où l’iGPU pourra grimper en pratique. Les signaux techniques se multiplient, certes, mais la stratégie de lancement pourrait encore évoluer.

Source : TechPowerUp

Solasta II : Accès anticipé prévu pour le premier trimestre 2026

24 octobre 2025 à 09:36
Solasta Ii Acces Anticipe Prevu Pour Le Premier Trimestre.jpeg
Lors de la présentation Galaxies Gaming Showcase, le développeur français Tactical Adventures a révélé la fenêtre de sortie d’accès anticipé pour Solasta II. La suite du jeu de rôle tactique basé sur des tours sorti en 2021 sera disponible sur PC au début de 2026 via Steam. Les détails concernant le prix et la période […]

TikTok Shop cartonne en France : le live shopping devient une machine à vendre

TikTok Shop : un premier bilan positif au bout de six moisSix mois après son lancement en France, après être arrivé en Espagne et en Irlande, TikTok Shop affiche des résultats qui confirment l’ambition de la plateforme : fusionner le divertissement et l’e-commerce. En combinant l’algorithme du réseau social à un parcours d’achat intégré, le géant chinois veut imposer son modèle où la vidéo devient la […]
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