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Test ROG Xbox Ally X : le banc d’essai ultra complet de Notebookcheck
Disponible depuis le 16 octobre 2025, la ROG Xbox Ally X, née de la collaboration entre Asus et Microsoft, fait entrer l’expérience Xbox dans une console portable puissante et raffinée. Équipée du Ryzen AI Z2 Extreme et de la Radeon 890M, elle gagne jusqu’à 15 % de performances. Notebookcheck signe un test d’une précision rare, complet avec benchmarks et mesures thermiques.
Notebookcheck vient de publier un banc d’essai complet qui évalue la nouvelle console portable d’Asus sous toutes les coutures. Développée avec Microsoft, elle promet une expérience Xbox en plein écran et un vrai bond de puissance grâce au Ryzen AI Z2 Extreme et à la Radeon 890M. Voici l’essentiel avant de consulter le test intégral.
Une configuration musclée pour le jeu nomade
Sous son châssis de 715 g, l’Ally X embarque un AMD Ryzen AI Z2 Extreme, un GPU Radeon 890M RDNA 3.5, 24 Go de RAM LPDDR5X et 1 To de stockage NVMe Gen 4. L’écran IPS Full HD 120 Hz est lumineux (500 nits) et compatible FreeSync Premium.

L’ensemble promet une expérience de jeu fluide, que la presse juge proche d’un véritable PC gamer miniaturisé.
Ergonomie : plus massive, mais bien plus confortable
La console adopte un design plus imposant, mais ses nouvelles poignées changent tout.
Le confort de jeu s’améliore sensiblement, même sur de longues sessions. Asus a également revu la ventilation, l’accès SSD M.2 et la rigidité du châssis : un ensemble plus pratique, plus stable et mieux fini.

Une vraie expérience Xbox sur Windows
C’est la grande nouveauté : l’Xbox Fullscreen Experience. Ce mode simplifie Windows et offre une interface unifiée, pensée pour le jeu.

On peut lancer Steam, EA App ou Ubisoft Connect sans passer par le bureau classique. Aucune hausse de performances mesurée, mais une fluidité d’usage inédite pour un handheld Windows.
Les Performances de la ROG Xbox Ally X en chiffres
Benchmarks synthétiques
3DMark Time Spy Graphics | ||
Appareil | Score | Écart |
Asus ROG Xbox Ally X (Z2 Extreme) | ~3,620 | Référence |
MSI Claw 8 AI+ (Core Ultra 7 258V) | ~3,450 | -5% |
GPD Pocket 4 (Ryzen AI 9 HX 370) | ~3,500 | -3% |
Asus ROG Ally X (Z1 Extreme) | ~3,170 | -12% |
Zotac ZGC (Ryzen 7 8840U) | ~2,900 | -20% |

Cinebench R23 Multi-Core | ||
Appareil | Score | Écart |
GPD Pocket 4 (Ryzen AI 9 HX 370) | ~16,500 | 13% |
Asus ROG Xbox Ally X | 15 120 | Référence |
Asus ROG Ally X (Z1 Extreme) | ~15000 | -3% |
Zotac Zone (Ryzen 7 8840U) | ~13 000 | -12% |
MSI Claw 8 AI+ (Core Ultra 7 258V) | ~9,800 | -33% |
En jeu : une expérience stable à 1080p
L’analyse des benchmarks révèle que le mode Medium représente le meilleur compromis pour la ROG Xbox Ally X. Dans cette configuration, les jeux compétitifs comme Dota 2 maintiennent plus de 100 FPS, F1 24 atteint 88 FPS et Strange Brigade tourne à près de 80 FPS. Pour les titres AAA exigeants, Cyberpunk 2077 se stabilise à 40 FPS, Final Fantasy XV à 46 FPS et Baldur’s Gate 3 à 40 FPS, ce qui reste parfaitement jouable. Cette configuration permet également de préserver l’autonomie autour de 3h30 tout en maintenant des températures et un niveau sonore raisonnables.

Le mode Ultra doit être évité pour la majorité des jeux car il entraîne une perte de performances de 30 à 40% sans amélioration visuelle significative. F1 24 en est l’exemple le plus frappant avec une chute catastrophique à 17 FPS contre 67 FPS en High. Seuls les titres bien optimisés comme Dota 2, qui maintient 78 FPS en Ultra, peuvent justifier ce réglage.
À l’inverse, le mode Low s’avère idéal pour les sessions de jeu prolongées avec une autonomie pouvant atteindre 4h30, particulièrement adapté aux jeux compétitifs où la fluidité prime sur la qualité graphique. AC Shadows constitue un cas à part avec seulement 29 FPS en Low, révélant une optimisation défaillante qui rend le jeu inadapté au format handheld dans son état actuel.
Profils de puissance
Les modes énergétiques modifient sensiblement le comportement du GPU :
Mode | Puissance | Score 3DMark Graphics | Température moyenne |
---|---|---|---|
Turbo 35 W | 35 W | 3 620 pts | 68 °C |
Turbo 25 W | 25 W | 3 560 pts | 63 °C |
Performance 17 W | 17 W | 3 317 pts | 58 °C |
Silencieux 13 W | 13 W | 2 802 pts | 52 °C |
Le GPU reste stable, et la console conserve entre 26 et 31 FPS sur les AAA les plus lourds en FHD Ultra, preuve d’un bon équilibre thermique. La montée en charge reste maîtrisée : les ventilateurs atteignent 43,4 dB en mode Turbo, sans gêner la prise en main.
Autonomie : enfin une vraie avancée
La batterie de 80 Wh double quasiment l’endurance du modèle précédent, un point unanimement salué par les testeurs.
Mode d’utilisation | Autonomie moyenne |
---|---|
Turbo (jeux AAA) | ≈ 2 h 15 |
Performance | ≈ 3 h |
Éco | ≈ 4 h |
Jeux indépendants | 5 à 6 h |
Cette endurance permet enfin de jouer plusieurs heures sans dépendre du secteur, un exploit rare sur les machines Windows portables.
Verdict de Notebookcheck
Notebookcheck attribue 86 % à la ROG Xbox Ally X. La console séduit par sa montée en puissance maîtrisée, sa bonne autonomie et une ergonomie en progrès, tout en conservant une approche technique très solide.
Les seules réserves : un format plus encombrant, un mode Turbo bruyant et l’absence de Wi-Fi 7.
Lire le test complet avec benchmarks et mesures détaillées :
Test complet de la ROG Xbox Ally X sur Notebookcheck
Pourquoi ce test fait autorité
Notebookcheck applique une méthodologie standardisée : Cinebench, 3DMark, PCMark, autonomie, chauffe, bruit et qualité d’écran. C’est la référence technique pour juger la console sans biais marketing.
Conclusion
Avec la ROG Xbox Ally X, Asus affine sa vision d’une console portable Windows crédible. Plus rapide, mieux pensée et plus aboutie, elle confirme son rôle de passerelle entre PC et Xbox.
Et si vous voulez les vrais chiffres, FPS, températures et décibels, le test complet de Notebookcheck reste incontournable. La ROG Xbox Ally X ne domine pas toutes les catégories, mais s’impose comme le meilleur compromis actuel entre puissance, autonomie et confort.
La console est disponible depuis le 16 octobre 2025 à partir de 899,99 €, accompagnée de 3 mois de Xbox Game Pass Premium. Un chargeur 65 W, non fourni, reste recommandé pour exploiter pleinement le mode Turbo.
Pour les informations détaillées (prix, fiche technique, disponibilité, jeux certifiés), consultez nos fiches complètes :
• ROG Xbox Ally X : notre dossier complet
• ROG Xbox Ally standard : notre fiche détaillée
Envie d’une vue d’ensemble rapide ? Lisez aussi notre comparaison : ROG Xbox Ally vs Ally X.
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Test – Barre de son Creative Stage Pro
Que vaut la barre de son Stage Pro de Creative ?
En ce mois d’octobre, c’est une nouvelle fois la marque Creative nous a ravi ce mois-ci avec notamment l’arrivée à la rédaction de la barre de son Stage Pro. Il y a quelques semaines, vous avez pu découvrir également le test des Pebble PRO, des haut-parleurs USB 2.0 minimaliste avec Bluetooth et éclairage RGB personnalisable ainsi que d’une autre enceinte, la SoundBlaster GS3.
Notre modèle du jour est actuellement affiché au prix de 140 € sur Amazon. Voyons ensemble ses qualités et ses défauts. Place au test !
Unboxing
Commençons notre test par notre traditionnelle partie unboxing. On retrouvera sur la face avant montre la barre de son et le caisson avec le logo Creative, le nom « Stage Pro » et les principales fonctions mises en avant. Les faces latérales, droite et gauche donc, affichent simplement le logo Creative et les principales caractéristiques du produit.
La face arrière quant à elle détaille les spécifications techniques, les connectiques et quelques visuels explicatifs, mais nous y reviendrons plus en détails juste en dessous.
Caractéristiques techniques
Marque | Creative |
Puissance de sortie maximale du haut-parleur | 160 Watts |
Dimensions du produit | 11,2P x 55l x 8,1H centimètres |
Poids de l’article | 6 000 Grammes |
Nombre d’articles | 1 |
Taille du haut-parleur | 41,3 Centimètres |
Fonctionnalités
- SCÈNE SONORE LARGE AVEC LA TECHNOLOGIE SUPERWIDE | Malgré son format compact, la Stage Pro offre un son ample qui remplit la pièce grâce à la technologie SuperWide, élargissant la scène sonore pour une expérience d’écoute captivante et immersive.
- PUISSANCE DE CRÊTE DE 160 W AVEC HAUT-PARLEURS OPTIMISÉS SUR MESURE | Découvrez un son riche et puissant grâce à une puissance de crête de 160 W et à des haut-parleurs pleine gamme spécialement réglés pour offrir un son précis et de haute qualité, que ce soit pour vos films, jeux ou playlists.
- CONNECTIVITÉ POLYVALENTE | La Stage Pro offre une large gamme d’options de connexion : HDMI ARC, audio USB, entrée optique, entrée auxiliaire et Bluetooth 5.3, pour une lecture fluide en sans-fil comme en filaire sur tous vos appareils.
- COMMANDES INTUITIVES POUR UNE UTILISATION QUOTIDIENNE | Prenez le contrôle facilement : ajustez le volume, changez de source et bien plus encore grâce aux commandes situées sur le panneau supérieur ou à la télécommande incluse pour plus de confort, même à distance.
- FORMAT COMPACT, EXPÉRIENCE CINÉMATOGRAPHIQUE | Améliorez votre divertissement avec la barre de son 2.1 canaux Stage Pro. Propulsée par Dolby Audio et la technologie SuperWide, elle offre un son riche qui remplit la pièce, avec des basses profondes et des dialogues clairs — idéale pour les films, la musique et le gaming. La connectivité fluide via HDMI ARC, USB ou Bluetooth garantit une installation simple et rapide sur votre TV ou votre PC.
Contenu
- 1 x Creative Stage Pro
- 1 x Caisson de basses avec câble de 2,0 m (fixe)
- 1 x Guide de démarrage rapide
- 1 x Télécommande IR (sans pile)
- 1 x Câble USB A vers C (1,5 m)
- 1 x Adaptateur secteur avec prise secteur interchangeable
Installation
L’installation de la Creative Stage Pro est simple et rapide, conçue pour que l’expérience audio soit opérationnelle en quelques minutes. La barre de son se place idéalement sous le téléviseur, sur un meuble ou fixée au mur grâce à ses points de fixation intégrés. Le caisson de basses, compact, peut être disposé près de la barre ou dans un coin de la pièce sans gêner, car il est sans fil et ne nécessite pas de branchement direct à la barre.
Côté connexions, tout est intuitif : un câble HDMI ARC relie la barre au téléviseur et permet de contrôler le volume via la télécommande du TV, tandis que les options optique, AUX ou USB-C offrent une compatibilité avec d’autres appareils audio. Le Bluetooth 5.3 permet de diffuser de la musique depuis un smartphone ou une tablette sans fil, et la synchronisation est immédiate. L’écran LED à l’avant facilite la gestion des sources et du volume, et la télécommande incluse permet de basculer entre les modes sonores ou ajuster les paramètres en toute simplicité.
En quelques gestes, la Creative Stage Pro est installée et prête à délivrer un son immersif, offrant une expérience audio améliorée sans complication ni câbles encombrants.
Test
La Creative Stage Pro est une barre de son au format 2.1 qui comprend une barre donc, ainsi qu’un caisson de graves, pensée pour équiper aussi bien un bureau que votre télé dans un espace restreint. Elle affiche une puissance de crête de 160 W, répartie entre deux canaux pour la barre (≈ 2 × 20 W RMS) et un caisson (≈ 40 W RMS).
Au niveau des dimensions, la barre mesure environ 550 × 112,1 × 80,7 mm , tandis que le caisson est plus imposant, 115 × 265 × 420 mm pour environ 3,4 kg.
Un affichage LED est intégré, et la barre dispose de boutons de contrôle sur le dessus (power, volume, sélection source, mode SuperWide). Le tout est accompagné d’une télécommande qui permet un contrôle plus fin, notamment les réglages des graves, aigus, modes audio, etc..
Premiers constats, son format compact qui lui permet tout de même de délivrer un volume appréciable, avec de l’énergie dans les scènes exigeantes. Mais attention, ce n’est pas un système haut de gamme, les basses profondes extrêmes manquent d’ampleur, ce qui est compréhensible dans cette gamme de prix. En usage cinéma ou jeux, elle remplit bien l’espace sans être invasive ni écrasante dans des salons de taille modeste. Chez moi par exemple, c’est un grand salon séjour avec cuisine ouverte et une cage d’escalier elle-aussi ouverte menant à l’étage. C’est donc un grand, trop grand espace pour ce type de barre de son, mais j’ai bien gardé cela en tête tout au long de mon test. Si vous avez un salon avec une configuration plus adaptée, cela ne sera donc pas un souci.
En mode Near Field, l’écoute sonne plus « centrée » et précise, adaptée à un usage sur ordinateur par exemple et donc, de proximité. En mode Far Field, l’audio est plus diffus, avec une impression de scène sonore élargie, utile pour une position de visionnage à distance. Ces modes ont vraiment leur utilité selon la distance d’écoute. Toutefois, dans une pièce très grande, le mode Far Field peut paraître un peu déséquilibré, car l’illusion d’espace ne peut pas compenser les limites physiques. Le caisson de graves apporte un soutien appréciable aux basses, mais comme souvent dans ce genre de système compact, il ne peut pas rivaliser avec un subwoofer de référence. Les explosions, les ambiances qui font boom boom sont présentes, mais sans réelles profondeurs.
Grâce à la technologie SuperWide, l’illusion d’une scène sonore plus large fonctionne assez bien. Ce n’est pas parfait ni miraculeux, mais cela ajoute une dimension d’immersion bienvenue, surtout lorsque l’on regarde un film.
Parmi les points forts, on peut citer sa polyvalence de connexion : HDMI ARC, optique, USB, Bluetooth, ce qui la rend compatible avec de nombreux systèmes audio ou sources. Le passage automatique avec HDMI ARC est un plus appréciable pour le confort d’usage. Le concept des modes SuperWide est un vrai plus différenciateur pour adapter l’écoute selon la position. Le rapport prix / prestations est globalement bon voire très bon, surtout parce qu’on a un caisson inclus pour ce budget somme toute réduit.
Quant aux limites, l’absence de Dolby Atmos est regrettable mais au vu du prix… Les basses très profondes manquent, surtout pour les puristes ou dans de grandes pièces comme dit précédemment. En effet, le mode Far Field peut devenir moins convaincant quand on est très éloigné ou que la pièce est vaste. Le réglage matériel (EQ) n’est pas ultra complet : les options de personnalisation sont limitées à ce que permet la télécommande.
Conclusion
La Creative Stage Pro est selon moi une excellente option milieu de gamme, à un prix très accessible, pour qui veut remplacer les haut-parleurs internes d’un TV ou avoir une solution audio raisonnable pour un PC / setup multimédia, sans se ruiner. Son compromis entre puissance, connectique, immersion et prix la positionne comme une des plus intéressantes dans sa catégorie.
Si vous avez une pièce de taille modeste à moyenne, et que vous n’êtes pas un audiophile exigeant en basses extrêmes ou formats Dolby Atmos, la Stage Pro offrira une expérience largement supérieure à ce qu’une TV ordinaire peut fournir. En revanche, pour les vrais passionnés de son ou dans des grandes salles, elle aura ses limites — mais cela reste cohérent avec son positionnement tarifaire.
On rappellera que notre modèle du jour est actuellement affiché au prix de 140 € sur Amazon.
Test – Barre de son Creative Stage Pro a lire sur Vonguru.
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- ROG NUC 9 Mini : Ryzen 9 9955HX3D et RTX 5070, plus de stockage mais GPU en retrait
ROG NUC 9 Mini : Ryzen 9 9955HX3D et RTX 5070, plus de stockage mais GPU en retrait
Asus muscle son mini-PC gaming avec un CPU d’enfer, mais rogne côté GPU. Le nouveau ROG NUC 9 Mini embarque un surpuissant Ryzen 9 9955HX3D (16 cœurs Zen 5, 3D V-Cache), taillé pour offrir des perfs de bureau dans un châssis compact, tout en limitant la partie graphique à une RTX 5070 Laptop.
ROG NUC 9 Mini : ce qui change vraiment
La bascule vers AMD est claire : Asus mise sur le Ryzen 9 9955HX3D pour doper les FPS et la réactivité, grâce à son cache 3D et ses 16 cœurs Zen 5. Côté GPU, l’option la plus haut de gamme s’arrête à la GeForce RTX 5070 Laptop, alors que la version Intel ROG NUC 2025 grimpe jusqu’à une RTX 5080. Un choix qui illustre encore la préférence historique d’Asus pour les configs NUC d’origine Intel.

Malgré l’appellation « Mini », le châssis ne change pas par rapport au modèle Intel. En revanche, la plateforme gagne en polyvalence avec un stockage porté à 4 To en PCIe SSD (contre 2 To précédemment) et jusqu’à 96 Go de DDR5, cadencés à 5600 MT/s au lieu de 6400 MT/s sur l’itération Intel. Un compromis logique pour caser un CPU plus costaud tout en gardant un format SFF maîtrisé.

Thermique, puissance et prix
Asus annonce des plafonds de puissance de 75 W pour le CPU et 115 W pour le GPU, de quoi maintenir un bon équilibre thermique dans ce petit volume. Le ROG NUC 9 Mini est affiché autour de 2000 EUR et semble, pour l’instant, réservé au marché chinois où il a été officialisé.
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- MANGMI AIR X : console portable Android de 286g avec Snapdragon 662 et écran 1080p
MANGMI AIR X : console portable Android de 286g avec Snapdragon 662 et écran 1080p
À moins de 80 dollars, la MANGMI AIR X tente un coup : une console Android légère de 286 g qui vise l’émulation rétro et le cloud gaming sans ruiner le portefeuille.
Une portable Android très accessible
MANGMI signe sa première console de poche avec un positionnement sans détour : prix plancher et composants éprouvés. Sous le capot, un Snapdragon 662 associé au GPU Adreno 610, 4 Go de LPDDR4X et 64 Go d’eMMC. L’ensemble tourne sous Android 14, suffisant pour les jeux mobiles légers et les émulateurs populaires type NES, SNES ou PlayStation 1.

L’écran 5,5 pouces IPS affiche en 1920×1080 au format 16:9 avec une luminosité annoncée à 400 nits. Bonne surprise côté contrôles : joysticks analogiques à effet Hall avec éclairage RGB, gâchettes linéaires et gyroscope 6 axes pour plus de précision in‑game. La batterie de 5000 mAh accepte une charge à 15 W et un petit ventilateur se charge de dissiper les calories.

Côté connectivité, on retrouve le classique Wi‑Fi 5 et Bluetooth 5.0, un port USB‑C, une prise casque 3,5 mm et un lecteur de carte TF pour étendre le stockage. La console est proposée en trois coloris : Retro GB, blanc et noir.

Le ticket d’entrée est fixé à 79,99 $. Une offre de lancement abaisse même la note à 74,99 $ pour les inscrits à la newsletter entre le 15 et le 21 octobre, avec un étui de transport offert. À ce tarif, difficile de ne pas y voir une porte d’entrée crédible dans l’univers des handhelds Android, à condition d’accepter ses limites de performances face aux modèles beaucoup plus onéreux.

Fiche technique en bref
- SoC: Qualcomm Snapdragon 662, GPU Adreno 610
- Mémoire/stockage: 4 Go LPDDR4X, 64 Go eMMC + microSD (TF)
- Écran: 5,5″ IPS, 1920×1080, 16:9, 400 nits
- Commandes: sticks Hall RGB, gâchettes linéaires, gyroscope 6 axes
- Batterie/charge: 5000 mAh, 15 W, refroidissement à un ventilateur
- Réseau/ports: Wi‑Fi 5, Bluetooth 5.0, USB‑C, jack 3,5 mm
- Dimensions/poids: 286 g
- OS: Android 14
- Couleurs: Retro GB, blanc, noir
En clair, l’AIR X cible l’essentiel : 1080p, bons contrôles, Android à jour et autonomie honnête. Pas une bête de course, mais une option maligne pour l’émulation et le jeu mobile à petit prix.
Lire aussi : Test de la Razer Kishi V3 Pro : l’expérience console sur mobile
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- Fin du support Windows 10 : ce qui change, ESU 2026 et l’état des pilotes GPU
Fin du support Windows 10 : ce qui change, ESU 2026 et l’état des pilotes GPU
Rideau pour Windows 10. Après près de dix ans de bons et loyaux services, Microsoft met fin au suivi du système le 14 octobre 2025. Plus de mises à jour de sécurité régulières ni d’assistance : votre PC continuera de tourner, mais il sera exposé aux nouvelles failles si vous ne changez rien.
Ce qui change dès maintenant
Toutes les éditions sont concernées, de la Home à l’Enterprise. Microsoft recommande de passer à Windows 11 ou d’activer le programme Extended Security Updates (ESU) pour rester protégé.

Ce dernier prolonge les correctifs de sécurité pendant un an supplémentaire, jusqu’en octobre 2026. L’inscription demande un compte Microsoft et la synchronisation de certains paramètres dans le cloud, avec une activité minimale tous les 60 jours pour conserver la couverture.
Particularité pour l’Espace économique européen : l’accès aux ESU y est gratuit. Pas de frais ni de synchronisation des données requise pour recevoir les patchs, même si la connexion au compte Microsoft reste nécessaire.
Et pour les joueurs et les GPU ?

Bonne nouvelle côté gaming, il n’y a pas de raison immédiate d’abandonner Windows 10 si votre priorité est le jeu. Les trois grands du GPU, AMD, NVIDIA et Intel, maintiennent encore leurs pilotes sur Windows 10 et n’ont pas annoncé de coupure à court terme.

En parallèle, leurs équipes concentrent logiquement les optimisations sur les architectures récentes (RDNA+, Intel Arc et suivantes), mais le système reste supporté. Pour eux, continuer à prendre en charge Windows 10 est pragmatique : il équipe encore une large base d’utilisateurs, dont environ un tiers des joueurs.
Concrètement, si vous restez sur Windows 10, le plus sûr est d’activer les ESU, surtout si votre machine ne peut pas passer à Windows 11. Sinon, anticipez une migration pour éviter les risques de sécurité à moyen terme, même si les pilotes graphiques suivent encore le rythme pour l’instant.
Lire aussi : UpDownTool : repasser de Windows 11 à Windows 10 LTSC avec des mises à jour assurées jusqu’en 2032
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Thunderbird 144.0.1 Fr
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Suivi réseau : comparer des scans Nmap avec l’outil ndiff
Apprenez à comparer deux scans Nmap avec Ndiff pour détecter rapidement les changements d’hôtes et de services et suivre l’évolution de votre réseau.
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