Vous en avez marre de réécouter 50 fois la même vidéo YouTube pour prendre des notes, en ratant systématiquement les passages importants ? Alors vous n’êtes manifestement pas au courant qu’il existe un petit outil Python qui extrait automatiquement tous les sous-titres d’une vidéo en 3 lignes de code.

Spoiler : ça marche même avec les sous-titres auto-générés par YouTube (et c’est souvent plus précis que vos grosses oreilles fatiguées).

Le titre de cette actualité pourrait sembler exagéré. Des AMD Radeon RX 9070 XT moins performantes que d'autres juste parce qu'elles sont équipées de puces GDDR6 de la marque Samsung ? Quand bien même ce serait vrai, l'écart de performances en question doit être infime, quasi insignifiant, non ? Eh...

Depuis l'introduction du PCIe en 2003, ayant poussé l'AGP vers une sortie brutale, le format n'a eu cesse de progresser. PCIe 2.0, 3.0, et ainsi de suite. Chaque fois, la surprise était totale, puisque les débits doublent d'une génération à l'autre. Alors que le PCIe 5.0 se démocratise sur nos carte...

Franchement, voir des animés pixellisés en 2025, c’est un peu comme écouter des MP3 à 96 kbps… ça fait mal aux yeux et surtout ça fait mal au coeur ! Heureusement, Video2X vient de sortir en version 6.4 avec sa dose d’intelligence artificielle pour transformer vos vidéos dégeu en chef-d’oeuvre 4K, et en plus c’est gratuit !

Après des années de galère avec la version 5.0.0 beta qui plantait plus souvent qu’elle ne fonctionnait, cette réécriture complète en C/C++ marque enfin l’avènement de l’upscaling vidéo accessible à tous ! Et ça c’est cool, vous allez voir !

Vous vous souvenez de Spectre et de Meltdown ? Mais siiii, ces petites vulnérabilités qui ont foutu le bazar dans tous les processeurs en 2018 ?

Eh bien figurez-vous que Microsoft vient de mettre à jour son outil de vérification, histoire de nous rappeler que nos CPU sont toujours aussi troués qu’un emmental (Oui, le gruyère n’a pas de trou). Le module SpeculationControl pour PowerShell évolue donc et c’est l’occasion parfaite de faire un petit check-up sécurité de vos machines.

Internet ressemble de plus en plus à une brocante géante où chaque site veut vous vendre une brosse à dents connectée ou vous inviter à investir dans la crypto du futur. Même YouTube, autrefois havre de paix, vous envoie trois pubs pour chaque vidéo de chat de 2 minutes. Les bloqueurs de pubs classiques (uBlock Origin, AdGuard, Ghostery…) font le taf, mais la guerre est loin d’être gagnée. Les pubs natives, les scripts malins, les sites qui vous bloquent si vous bloquez leurs pubs… on tourne en rond.

L'autre jour, lors de l'ISC 2025, AMD a parlé de sa nouvelle MI355X, mais aussi de l'efficacité énergétique des futurs centres de données "zettascale". Fort d'avoir déjà le numéro 1 et le numéro 2 des superordinateurs du Top500 à son actif, ainsi que de nombreux systèmes dans le top 10 du Green500 A...

Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.

La version 4.8 de Rufus est disponible depuis le 11 juin 2025.

Pour rappel, Rufus est le soft le plus facile à utiliser et le plus complet en termes de fonctionnalités pour créer une Clé USB bootable pour installer un Système.

Il permet d'installer d'installer Windows quelle que soit votre configuration et de contourner les restrictions qu'a mis en place Microsoft pour l'installation de Windows 11.

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Visual C++ est un langage de programmation utilisé pour créer des applications Windows, il est indispensable à votre Système d'Exploitation. Je vous propose d'installer (ou de mettre à jour) les versions actuelles.

Les différentes versions de Visual C++ sont utilisées par de nombreux programmes et sont ajoutées à votre Système au fur et à mesure que vous installez des softs ou des jeux.

Oui, vous l'avez sans doute remarqué, lorsque vous lancez une installation, on vous informe parfois qu'un élément manquant est requis et on vous propose de le télécharger et de l'installer en même temps (et si vous refusez, soit l'installation du dit programme échoue, soit elle va à son terme et le programme fonctionnera mal ou ne fonctionnera tout simplement pas du tout).

Si vous avez la curiosité de consulter votre panneau Ajout / Suppression de programmes, vous constaterez que de nombreuses versions de Visual C++ sont déjà installées :

Je vous propose désormais plusieurs fois par an d'installer en une seule fois toutes les versions indispensables actuelles.

Pourquoi ? Eh bien c'est simple : vu que tous ces packages n'occupent que quelques centaines de mégaoctets ils ne vous encombreront donc pas, et, lorsqu'au fil des prochains mois vous installerez de nouveaux programmes cela vous évitera de perdre du temps et surtout vous serez sûrs que vous ne rencontrerez pas de dysfonctionnements.

Sachant en plus que certains programmes que vous installez refusent de démarrer sans vous dire quel est le package de Visual C++ dont ils ont besoin ! mur Il faut alors se rendre sur le site de l'éditeur et chercher l'information (quand elle est disponible...), puis trouver ensuite sur la toile la version requise à télécharger... perte de temps et agacement garantis !

Le dernier pack que je vous avais proposé datait du mois dernier.

Contre toute attente une nouvelle version est déjà disponible.

(habituellement les publications sont espacées d'au moins trois mois)

Je vous propose bien évidemment de la télécharger et de l'appliquer.

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Un article signé GOODTECH.info

Le Fairphone 6 arrive. Le fabricant néerlandais engagé dans la lutte contre l’obsolescence programmée prépare le lancement officiel de son nouveau smartphone pour le 25 juin 2025, selon plusieurs fuites concordantes. Ce modèle de sixième génération promet de faire évoluer […]

L’article Le Fairphone 6 sera lancé le 25 juin : ce que l’on sait déjà est apparu en premier sur Goodtech.

Développé par Madh93, cet outil en Go baptisé Prxy résout un problème que beaucoup d’entre nous subissent en silence à savoir comment accéder proprement à ses services auto-hébergés sans transformer sa connexion en passoire ou en goulot d’étranglement. L’idée, c’est du split-tunneling application par application, une approche chirurgicale qui évite les compromis habituels.

Que vaut le robot tondeuse A1 Pro de Dreame ? 

Il y a quelques temps déjà, nous avons testé pour vous le modèle A1 de Dreame. Plus récemment, nous avons eu la chance de tester également la marque Mammotion au travers de ses modèles YUKA Mini 800 et LUBA 2 AWD 1000. Aujourd’hui, on s’attaque au A1 Pro de Dreame ! Au programme, gestion intelligente et intuitive des zones, roues tout-terrain, et planification de trajectoires en U pour des résultats optimaux.

Ce dernier est disponible hors promotion au prix de 1 599 € mais il est actuellement à -17% sur Amazon avec un prix affiché de 1 329 €. Place au test !

Unboxing

Dès qu’on pose les yeux sur la face avant du carton, on y retrouvera une belle photo où y trône au centre notre modèle du jour, élégamment photographié de trois quarts, avec sa tourelle LiDAR bien visible. Le fond est noir mat, propre, premium. Le logo de la marque se fait discret, en haut à gauche, tandis que le nom complet du produit,« Dreame A1 Pro – Superior mowing life never before », est indiqué.

À l’arrière et même sur le dessus, place aux détails techniques. Dreame résume les capacités de l’A1 Pro en quelques icônes et phrases clés : navigation 3D par LiDAR, pas besoin de fil périmétrique, planification intelligente en U, tonte personnalisée par zones, et reconnaissance d’obstacles en temps réel. Les deux côtés latéraux sont peu informatifs.

À l’intérieur, nous retrouverons le guide d’installation rapide.

Caractéristiques techniques

Fonctionnalités

• Réglages plus rapides des limites sans câbles – Grâce à la technologie OmniSense, cartographiez facilement votre pelouse et personnalisez les différentes zones de tonte selon vos préférences; Finis les câbles désordonnés ou les bornes RTK complexes qui vous empêchent de profiter d’une pelouse fraîchement coupée et impeccable
• Gestion intelligente et intuitive des zones – Les routines de tonte sont vraiment simples, vous n’avez plus besoin de surveiller l’ensemble du processus; Les tâches de tonte en temps réel ou planifiées, les zones de tonte ou interdites, ainsi que les zones temporaires ou prédéfinies peuvent toutes être réglées avec l’application Dreamehome
• Évitement d’obstacles 3D omnidirectionnel – Grâce à la technologie de données à nuage de points 3D et aux algorithmes intelligents avancés, l’A1 Pro identifie et contourne intelligemment les obstacles dans les limites définies, pour une tonte sûre et contrôlée de la pelouse
• Roues tout-terrain puissantes – Les roues tout-terrain offrent une traction puissante pour les terrains difficiles et les conditions météorologiques défavorables
• Planification de trajectoires en U pour des résultats optimaux – L’A1 Pro fonctionne selon une trajectoire en U novatrice qui couvre parfaitement votre pelouse, pour une uniformité et une qualité de coupe impressionnantes; Des terrains spacieux jusqu’à 2 000 m² peuvent être entièrement entretenus en seulement 24 heures*

Contenu

• Robot tondeuse Dreame A1 Pro

• Station de charge : composée de trois éléments à assembler, dont une brosse intégrée pour nettoyer automatiquement le capteur LiDAR à chaque retour du robot.

• Adaptateur secteur

• Kit de fixation : comprenant des vis et une clé Allen pour ancrer solidement la station de charge au sol

• Lames de rechange : neuf lames supplémentaires sont fournies

• Brosse de nettoyage

• Manuel d’utilisation et guide de démarrage rapide

Test & Application

Depuis quelque temps, les robots tondeuses gagnent en intelligence, en autonomie et – surtout – en pertinence. Si bien que toutes les marques si mettent. La preuve, nous en avons testé au moins 5 rien que cette année. L’époque du câble périphérique, des réglages laborieux et des résultats aléatoires semble enfin derrière nous. C’est dans cette lignée que s’inscrit le Dreame A1 Pro, l’un des dernier-né du constructeur chinois connu pour ses aspirateurs robots, mais qui s’attaque ici à un tout autre terrain : nos pelouses. Et comme souvent avec Dreame, le produit mêle promesses ambitieuses et innovations technologiques pointues. Mais que vaut-il vraiment une fois posé dans l’herbe ?

Le déballage du A1 Pro donne d’entrée le ton : Dreame soigne l’expérience utilisateur. Tout est bien agencé, la documentation est claire et la station de charge s’assemble sans peine. Le robot lui-même affiche un design futuriste mais sobre, avec une carrosserie mate élégante qui résiste bien aux rayures et au temps – un détail qui compte lorsqu’on parle d’un appareil censé braver les éléments au quotidien.

Ce qui frappe dès la première utilisation, c’est la fluidité avec laquelle le A1 Pro se repère dans l’espace. Exit les câbles périmétriques, ici c’est un LiDAR 3D ultra-précis qui pilote le robot. Le capteur balaie le jardin à 360°, crée une carte virtuelle dans l’application Dreamhome, et vous permet de dessiner des zones interdites, de prioriser certaines sections ou encore de planifier les horaires de tonte. Le tout se fait en quelques minutes, depuis votre smartphone, sans suer sang et eau. On le chargera bien évidemment à fond avant sa première utilisation.

Mais c’est en action que la magie opère. Le robot ralentit à l’approche d’un obstacle, le contourne avec fluidité, et repart comme si de rien n’était. Cela dit, tout n’est pas parfait : certains objets bas – comme un petit jouet oublié, une petite pierre ou une branche tombée – peuvent parfois échapper à sa vigilance. Ce n’est pas un drame, mais cela rappelle que malgré ses capteurs, le A1 Pro reste une machine : il ne voit pas tout.

Le Dreame A1 Pro n’est pas un coiffeur de précision, mais il fait le job. Avec une largeur de coupe de 22 cm et une hauteur réglable de 3 à 7 cm, il assure une tonte uniforme, sans laisser de trace. Il ne coupe pas de manière aussi fine que certains modèles haut de gamme, mais le résultat visuel reste très propre, même après plusieurs jours. Pour les côtés et les finitions si vous êtes maniaques comme moi, il faudra vous munir d’un autre outil style coupe bordure afin de parfaire le tour. L’algorithme adapte la trajectoire pour éviter les passages inutiles, ce qui optimise l’autonomie.

Et justement, parlons autonomie. Dreame annonce jusqu’à 2000 m²/jour et un cycle complet en environ 65 minutes. Dans notre cas (surface de 500 m² avec une légère pente), le robot a réussi à tout couvrir en moins de 3 heures avec une recharge intermédiaire. Il retourne de lui-même à sa station (si cette dernière est bien accessible bien sûr) dès que la batterie faiblit ou qu’il détecte la pluie, ce qui évite de retrouver un appareil planté sous un orage, et nous n’avons que ça en ce moment dans le Var. Le tout fonctionne dans un silence remarquable, à tel point qu’il peut tondre tôt le matin sans gêner les voisins, et dans notre cas, c’est surtout le dimanche qu’il laisse opérer sa magie.

L’application Dreamhome est au cœur de l’expérience. Elle permet de cartographier, planifier, surveiller en temps réel, recevoir des notifications… Bref, c’est l’interface qui donne vie au robot. La prise en main est relativement intuitive, mais elle nécessite une bonne couverture Wi-Fi dans le jardin. En cas de signal instable, certaines commandes peuvent se perdre, et il faudra parfois se reconnecter pour relancer l’exécution. Un petit bémol pour les grandes propriétés ou les zones éloignées de la maison. Cela et donc aussi à prendre en compte selon où vous allez installer ce dernier.

Dans l’ensemble, le Dreame A1 Pro impressionne par son confort d’utilisation. Il s’oublie très vite, tant il fait bien son travail de manière autonome. Son entretien est minime : un petit coup de chiffon de temps en temps, le remplacement occasionnel des lames (faciles à clipser), et une vérification rapide de la carte dans l’app suffisent à assurer son bon fonctionnement.

Mais pour tirer le meilleur de ce robot, il faudra un jardin relativement bien entretenu. Les terrains très accidentés ou truffés de petites bordures peuvent encore poser problème, même avec ses roues renforcées. On est sur un produit très intelligent, mais qui reste tributaire des lois physiques et d’une certaine logique de tonte en terrain dégagé. Autre point, il ne va pouvoir gérer que 2 zones comparés à notre YUKA Mini 3, et ayant 4 zones à couvrir, ce n’est pas le robot qui s’adaptera le mieux à mon terrain. Ceci est donc bien à prendre en compte lors de vos comparatifs et de votre achat futur.

D’ailleurs, si on regarde dans les détails ce qui différencient les version A1 et A1 Pro, nous pourrions nous pencher sur le fait que le Dreame A1 Pro est équipé de roues tout-terrain avec crampons, offrant une meilleure adhérence sur des surfaces irrégulières ou en pente. Cette amélioration permet au robot de naviguer plus efficacement sur des terrains variés. Il est également bien plus léger ! 12,6 kg contre 15,3 kg pour son grand frère. L’esthétique a aussi un peu changé, uniquement dans son revêtement, avec une finition mat pour l’A1 Pro et brillante pour l’A1. Nous sommes d’accord, ce n’est pas grand chose, et à l’heure où ses lignes sont écrites, la différence de prix n’est même plus notable.

Conclusion

Le Dreame A1 Pro coche presque toutes les cases pour qui cherche une tondeuse robot moderne, autonome et performante, avec un terrain adapté à ses fonctionnalités. Sa navigation sans câble périphérique, sa facilité d’installation et ses résultats très satisfaisants en font un allié redoutable pour l’entretien des moyennes et grandes surfaces. Pour rappel, ce dernier est disponible hors promotion au prix de 1 599 € mais il est actuellement à -17% sur Amazon avec un prix affiché de 1 329 €.

En somme, c’est un robot fiable, intelligent et bien conçu. À condition de lui offrir un terrain adapté, il vous rendra la vie plus douce – ou en tout cas, plus tondue, le tout avec un minimum d’effort.

Test – Robot tondeuse A1 Pro de Dreame a lire sur Vonguru.