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Le fabricant des périphériques et interrupteurs Cherry ne va vraiment pas très bien...

Aujourd'hui connue pour ses claviers Cherry et surtout pour ses interrupteurs Cherry MX, l'entreprise Cherry a une assez longue histoire derrière elle. Elle avait fait ses débuts aux USA dans les années 50, pour ensuite devenir européenne (allemande, pour être précis) en 2008 suivant une acquisition...

XPG VALOR AIR PRO : boîtier gaming XXL et premier ventirad MAESTRO PLUS

Par :Wael.K
15 septembre 2025 à 12:09

Avec l’essor de l’esport et des plateformes de streaming, la personnalisation PC est devenue un vrai terrain de jeu pour les passionnés. Résultat : le marché des boîtiers explose, passant de 2,31 milliards de dollars en 2024 à près de 4 milliards attendus en 2033, selon Growth Market Reports.

Plus qu’une simple boîte en métal, le boîtier doit aujourd’hui allier refroidissement musclé, compatibilité XXL et look travaillé. C’est dans ce contexte que XPG dégaine son nouveau flagship, le VALOR AIR PRO, accompagné d’une première mondiale pour la marque : sa série de ventirads MAESTRO PLUS.

XPG VALOR AIR PRO : un boîtier spacieux pensé pour les gros setups

Fer de lance de la famille VALOR, le VALOR AIR PRO coche toutes les cases du boîtier moderne :

  • Support des cartes mères E-ATX,
  • Accueil des GPU jusqu’à 400 mm,
  • Radiateur top-mount de 360 mm,
  • Quatre ventilateurs ARGB 120 mm déjà préinstallés.

Le panneau avant reprend la grille diagonale caractéristique de la gamme AIR pour maximiser le flux d’air, avec la possibilité d’installer jusqu’à 9 ventilateurs (dont trois 140 mm en façade). La dissipation thermique est donc pensée pour encaisser sans broncher les sessions les plus intenses. Ajoutez à cela des filtres magnétiques anti-poussière (haut, bas, côté) et un panneau avant à démontage rapide, et l’entretien devient presque une formalité.

xpg valor air pro maestro plus air cooler series

Bref, qu’on soit débutant à la recherche d’un montage simple ou vétéran du watercooling exigeant de la place et de la flexibilité, ce boîtier s’adapte sans compromis et vient remplacer le boîtier XPG STARKER.

MAESTRO PLUS : premier ventirad signé XPG

Si beaucoup ne jurent que par l’AIO, le ventirad reste une valeur sûre : plus simple à monter, facile à entretenir et diablement efficace en silence. Avec sa nouvelle gamme MAESTRO PLUS, XPG entre dans la danse avec quelques atouts en poche :

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  • Un écran digital pour suivre en direct température CPU et taux d’utilisation,
  • Une compatibilité avec le logiciel XPG PRIME pour des graphiques détaillés,
  • Un design compact avec ARGB intégré, parfait pour sublimer un setup vitré.

Le tout vise aussi bien les débutants que les builders confirmés, en quête d’un équilibre entre performance thermique et look sobre mais moderne.

Un combo « boîtier + refroidissement » pour tous les gamers

En associant le VALOR AIR PRO et le MAESTRO PLUS, XPG couvre l’essentiel : espace, compatibilité, refroidissement et monitoring en temps réel. De la première config gamer à la tour haut de gamme pensée pour durer, la marque propose un duo cohérent, pensé pour évoluer et refléter le style de chacun.

Plus d’infos disponibles directement sur le site officiel : XPG VALOR AIR PRO et MAESTRO PLUS.

AnyCrap - Le site qui vend des produits qui n'existent pas

Par :Korben
15 septembre 2025 à 10:26

Ce weekend, j’ai découvert un truc complètement barré qui risque de vous faire repenser tout ce que vous savez sur le e-commerce. Ça s’appelle AnyCrap , et c’est littéralement une boutique en ligne qui vend… rien. Enfin si, elle vend des concepts de produits qui n’existent pas. Et c’est plus que brillant, vous allez voir !

L’idée est simple comme bonjour mais fallait y penser : Vous tapez n’importe quel nom de produit débile qui vous passe par la tête, genre des chaussettes téléportantes ou du café qui rend invisible, et le site vous génère instantanément une fiche produit complète avec description, caractéristiques et même des avis clients. Le tout propulsé par l’IA, évidemment.

Screenshot

Sur la page d’accueil, on vous promet de “trouver vos produits à travers les dimensions parallèles”. Marketing génial ou folie douce ? Les deux mon capitaine. Le slogan “Tomorrow’s products, available today (not actually available)” résume d’ailleurs parfaitement l’esprit de ce site… on est dans l’absurde assumé et ça fait du bien.

Ce qui me fascine, c’est que pendant que le marché de l’IA dans l’e-commerce atteint 6,63 milliards de dollars avec des assistants shopping ultra-sérieux, AnyCrap prend complètement le contre-pied. Au lieu d’optimiser les conversions et de tracker chaque pixel, ils ont créé un anti-marketplace où l’objectif n’est pas de vendre mais de faire rêver.

Cette anti-marketplace propose même des catégories comme “Weird Tech Stuff” et “Snacks From Outer Space” où chaque produit généré est unique, avec sa propre mythologie et ses caractéristiques loufoques. Techniquement, on est probablement sur un mix de ChatGPT pour les descriptions et peut-être DALL-E ou Midjourney pour les visuels et ce concept rejoint un peu d’ailleurs ce que propose Writecream avec son générateur de reviews fictives , sauf qu’ici c’est tout l’écosystème commercial qui est fictif.

La promesse de “livraison instantanée” de concepts m’a fait aussi marrer. En gros, vous commandez une idée et vous la recevez immédiatement dans votre cerveau. Zéro émission carbone, zéro déchet, 100% satisfaction garantie puisque vous n’avez rien acheté de tangible.

Dans un monde où on nous vend des NFT de singes à des millions et où le metaverse était censé révolutionner le shopping, AnyCrap a au moins le mérite d’être honnête sur sa proposition : on ne vous vend rien, mais on le fait avec classe.

Le site propose même une newsletter pour recevoir des produits fictifs chaque semaine. Maintenant, si on creuse un peu, AnyCrap pose surtout des questions intéressantes sur la nature même du commerce. Qu’est-ce qu’on achète vraiment quand on fait du shopping en ligne ? L’objet ou l’idée de l’objet ? Le produit ou la dopamine liée à l’acte d’achat ? En vendant littéralement du vent, AnyCrap révèle peut-être quelque chose de plus profond sur notre société de consommation…

Et pour les créatifs, c’est une mine d’or. Scénaristes en panne d’inspiration pour un objet magique ? Game designers cherchant des idées d’items ? Publicitaires voulant brainstormer sur des concepts produits ? AnyCrap devient un générateur d’idées déguisé en boutique.

Le plus beau dans tout ça c’est que le site accepte même les paiements (enfin, il y a un bouton pour soutenir le créateur). Donc techniquement, vous pouvez payer pour ne rien acheter…

Bref, c’est super fun ! Allez faire un tour sur AnyCrap.shop , inventez le produit le plus débile possible, et savourez l’absurdité. C’est gratuit, et ça va bien vous occuper en ce chouette lundi matin !

Attention aux extensions VS Code malveillantes qui volent les portefeuilles crypto des développeurs

Par :Korben
15 septembre 2025 à 10:15

Alerte rouge les amis !! Il y a actuellement des extensions VS Code qui volent discrètement des portefeuilles crypto. Et je ne parle pas d’une ou deux extensions pourries, mais d’une véritable campagne orchestrée par un groupe nommé WhiteCobra qui a réussi à placer 24 extensions malveillantes sur le VS Code Marketplace et Open VSX.

C’est l’histoire de Zak Cole, un développeur Ethereum qui bosse dans la crypto depuis plus de 10 ans. Le mec avait une sécurité béton, jamais perdu un seul wei aux mains des hackers. Mais même les plus prudents peuvent tomber dans le piège. Zack a installé une extension qui s’appelait contractshark.solidity-lang sur Cursor. Pour rappel, Cursor est un éditeur de code basé sur VS Code qui utilise le même système d’extensions. L’extension avait tout pour plaire : 54 000 téléchargements, une icône qui faisait pro, une description détaillée. Le piège parfait.

En quelques minutes, l’extension a lu son fichier .env, chopé sa clé privée et l’a envoyée sur un serveur pirate. Son portefeuille a ensuite été vidé. Heureusement pour lui, il utilisait des hot wallets séparés pour les tests avec seulement quelques centaines de dollars dedans mais d’autres n’ont pas eu cette chance. WhiteCobra serait responsable d’un vol de 500 000 dollars via une extension malveillante pour Cursor.

Le truc vraiment vicieux avec WhiteCobra, c’est leur niveau d’organisation. Ils ont toute une infrastructure sophistiquée et des techniques pour faire grimper artificiellement le nombre de téléchargements de leurs extensions malveillantes. Et d’après les informations disponibles, leur méthode est assez efficace puisque l’extension contient du code malveillant qui télécharge ensuite un payload supplémentaire, avec des versions spécifiques pour Windows, macOS ARM et macOS Intel.

Sur Windows, le malware installé est LummaStealer, spécialisé dans le vol de portefeuilles crypto, d’extensions web, de mots de passe stockés dans les navigateurs et même de données d’applications de messagerie. Sur macOS, c’est un binaire malveillant qui s’exécute localement.

Ce qui rend ces attaques dangereuses, c’est surtout la vitesse à laquelle WhiteCobra peut rebondir. Ils sont capables de déployer rapidement de nouvelles campagnes après qu’une extension malveillante ait été supprimée. Ils changent les noms, les descriptions, créent de nouveaux comptes développeurs et c’est reparti.

Le problème de fond, c’est que ni Microsoft ni Open VSX n’ont de mécanismes de vérification vraiment efficaces. Microsoft fait bien passer un antivirus sur les extensions, mais ça ne détecte pas ce genre de comportement malveillant sophistiqué. Open VSX, qui est actuellement utilisé par Cursor et Windsurf, héberge toujours ces extensions malveillantes malgré les signalements.

Alors comment se protéger ? Déjà, méfiez-vous des extensions avec des noms qui ressemblent à des projets connus mais avec une petite variation (c’est du typosquatting). Vérifiez aussi toujours qu’il y a un repository GitHub lié et actif. Regardez les reviews avec attention, car les fausses sont souvent génériques et postées en masse sur une courte période.

Suite à cette attaque, Zak Cole a complètement revu sa façon de bosser après s’être fait avoir. Il utilise maintenant des machines virtuelles isolées, des hardware wallets exclusivement, et des coffres-forts chiffrés pour ses secrets. Il a aussi créé une whitelist d’extensions et évite d’installer de nouveaux outils à la va-vite.

Bref, si vous êtes développeur, faites un audit immédiat de vos extensions installées. Changez vos clés. Et surtout, arrêtez de stocker des informations sensibles dans des fichiers .env en clair. Utilisez des gestionnaires de secrets ou au minimum du chiffrement.

En tout cas, cette campagne WhiteCobra n’est pas terminée. Ils continuent d’uploader de nouvelles extensions malveillantes pour remplacer celles qui sont supprimées… c’est un vrai jeu du chat et de la souris permanent entre eux et les équipes de sécurité. En attendant que Microsoft et Open VSX mettent en place de vraies mesures de sécurité, c’est donc à nous de rester vigilants.

Pensez à activer les versions immuables sur GitHub pour éviter les problèmes de sécurité

Par :Korben
15 septembre 2025 à 09:58

Vous saviez qu’en ce moment, les attaques sur la supply chain faisaient des ravages ? En effet, les attaquants exploitent régulièrement la possibilité de modifier des tags existants pour injecter du code malveillant dans les pipelines CI/CD.

Mais heureusement, GitHub a enfin sorti LA fonctionnalité qui peut empêcher ce carnage : les Immutable Releases et je pense que c’est le genre de truc que tous les développeurs devraient activer illico sur leurs repos. Je vais vous expliquer pourquoi.

En fait, une fois que vous publiez une release avec cette option activée, plus personne ne peut toucher ni aux assets ni au tag associé. C’est comme si vous mettiez votre release dans un coffre-fort dont vous jetez la clé. Même vous, en tant que mainteneur, vous ne pouvez plus modifier les binaires ou déplacer le tag vers un autre commit.

D’après la documentation officielle , chaque release immuable génère automatiquement une attestation cryptographique. Cette attestation contient le SHA du commit, le tag et la liste des assets. Vos utilisateurs peuvent vérifier l’intégrité de ce qu’ils téléchargent en s’assurant que cela correspond exactement à ce que vous avez publié.

Pour activer cette option merveilleuse, c’est dans les settings de votre repo ou de votre organisation. Une fois activé, toutes les nouvelles releases deviennent alors automatiquement immuables. Les anciennes releases restent toutefois modifiables (pour éviter de casser vos workflows existants), mais bon, c’est mieux de migrer progressivement.

Attention quand même, il y a quelques pièges à éviter. Premièrement, vous ne pouvez plus ajouter d’assets après publication. Donc si votre CI upload les binaires après avoir créé la release, il faut inverser : Créez d’abord une draft release, uploadez les assets, puis publiez. Deuxièmement, si vous supprimez une release immuable, vous ne pourrez JAMAIS réutiliser le même tag. C’est définitif.

Pour les projets qui utilisent des tags de version majeure style v1 qu’ils mettent à jour régulièrement (coucou GitHub Actions), pas de panique. Vous pouvez continuer à utiliser cette pratique pour les tags qui ne sont pas associés à des releases. L’immuabilité ne s’applique qu’aux releases publiées, pas aux tags simples.

Les équipes de sécurité recommandent d’ailleurs d’activer cette fonctionnalité sur tous les repos qui publient du code versionné. C’est particulièrement critique pour les bibliothèques open source, les GitHub Actions, et tout ce qui est consommé par d’autres projets. En gros, si votre code finit dans la supply chain de quelqu’un d’autre, vous leur devez cette protection.

Le truc cool aussi, c’est que ça protège contre les erreurs humaines. Combien de fois j’ai vu des mainteneurs qui écrasaient accidentellement une release avec la mauvaise version ? Ou qui supprimaient un asset critique par erreur ? Avec les Immutable Releases, ces accidents appartiennent au passé.

Pour les entreprises, c’est un argument de vente en or. Ça permet de garantir à vos clients que vos releases ne peuvent pas être altérées après publication, c’est un niveau de confiance supplémentaire surtout dans des secteurs régulés où la traçabilité est cruciale.

Bref, GitHub est en train de déployer progressivement cette fonctionnalité en public preview. Pour l’instant, il faut l’activer manuellement pour chaque repo, mais ils travaillent sur une API pour permettre l’activation en masse. D’ici là, prenez donc 2 minutes pour l’activer sur vos projets critiques.

Voilà, après les dégâts causés par les attaques de type tag hijacking ces dernières années, ne pas activer les Immutable Releases sur vos repos publics, c’est comme laisser votre porte d’entrée grande ouverte avant de partir en vacances. Vous pouvez le faire, mais ne venez pas pleurer si ça tourne mal.

Le Great Firewall chinois vient de fuiter

Par :Korben
15 septembre 2025 à 09:38

Près de 600 Go, c’est le poids de la plus grosse fuite de l’histoire du Great Firewall chinois. Il y a quelques jours, un collectif hacktiviste du nom de Enlace Hacktivista a balancé sur le net tout le code source, les documents internes, les logs de travail et même les communications privées du système de censure le plus sophistiqué au monde. C’est à ce jour la plus grosse fuite de l’histoire du Great Firewall chinois !

Le Great Firewall est un système qui permet à la Chine de filtrer internet pour toute sa population. Un système tellement efficace qu’il bloque non seulement Google, Facebook ou Twitter, mais qui arrive aussi à détecter et neutraliser les VPN les plus sophistiqués. Et aujoud’hui, tout son fonctionnement interne est accessible à qui veut bien se donner la peine de télécharger un fichier torrent de 571 Go.

Les documents proviennent de deux sources principales : Geedge Networks, une boîte dirigée par Fang Binxing (surnommé le “père du Great Firewall”), et le laboratoire MESA de l’Académie chinoise des sciences. En gros, on a là les architectes principaux de la censure numérique chinoise qui se retrouvent à poil sur internet.

Mais le plus dingue dans cette histoire, c’est pas tant la fuite elle-même. C’est ce qu’elle révèle sur l’export de cette technologie. Les documents montrent que la Chine ne se contente pas de censurer son propre internet, non… elle vend clé en main son système de censure à d’autres pays autoritaires.

Le produit star ? Un truc appelé Tiangou, décrit dans les documents comme une solution tout-en-un pour dictateur pressé : vous branchez, vous configurez, et hop, vous pouvez surveiller et censurer votre population comme en Chine. Le système inclut plusieurs modules aux noms poétiques : le Tiangou Secure Gateway qui bloque les VPN et peut injecter du code malveillant, le Cyber Narrator qui surveille l’activité internet par région, et les systèmes TSG Galaxy et Network Zodiac pour stocker et analyser les données des utilisateurs.

D’après les documents qui ont fuité, le Myanmar a déployé ce système dans 26 centres de données, avec des tableaux de bord capables de monitorer 81 millions de connexions TCP simultanées ! C’est pas rien ! Ce système est d’ailleurs intégré directement dans les points d’échange internet du pays, permettant un filtrage massif et sélectif du trafic.

Le Pakistan n’est pas en reste car d’après les documents, Geedge a installé son infrastructure DPI (Deep Packet Inspection) dans le cadre d’un système plus large appelé WMS 2.0. Amnesty International parle d’une surveillance de masse en temps réel sur les réseaux mobiles pakistanais où en gros, chaque SMS, chaque appel, chaque connexion internet peut être intercepté et analysé.

Les documents révèlent aussi que l’Éthiopie et le Kazakhstan ont acquis des licences pour le système Tiangou et apparemment, ce n’est que la partie émergée de l’iceberg.

Au début, Geedge utilisait des serveurs HP et Dell pour faire tourner son système, mais face aux sanctions occidentales, ils sont passés à du matériel 100% chinois. Le système s’adapte donc, évolue, contourne les obstacles, exactement comme les utilisateurs qu’il est censé bloquer, sauf qu’il a plus de moyens.

Les chercheurs qui analysent actuellement les données étudient le code pour mieux comprendre le système car maintenant que celui-ci est public, les développeurs d’outils de contournement peuvent potentiellement y trouver des faiblesses.

Enlace Hacktivista, le groupe à l’origine de la fuite, n’en est pas à son coup d’essai mais là, ils ont frappé un grand coup et pour ceux qui voudraient jeter un œil aux documents (attention, c’est à vos risques et périls), Enlace Hacktivista a mis le tout à disposition via torrent et téléchargement direct. Les chercheurs recommandent fortement d’utiliser des machines virtuelles isolées ou des environnements sandboxés pour analyser ces fichiers. Pas question de lancer ça sur votre PC principal, on ne sait jamais ce qui peut se cacher dans ces giga octets de code chinois.

Voilà en tout cas, cette technologie de censure et de surveillance est devenu un business global pour contrôler les populations. Merci la Chine ! Et maintenant que le code est dans la nature, on peut s’attendre à ce que d’autres états tentent de créer leurs propres versions du Great Firewall.

Maintenant, est-ce que ça va permettre de mieux contourner la censure ? Est-ce que ça va dissuader certains pays d’acheter cette technologie ? Ou est-ce que la Chine va simplement développer une version 2.0 encore plus sophistiquée ?

On verra bien…

Source

ChatGPT peut faire fuiter vos emails avec une simple invitation Google Calendar

Par :Korben
15 septembre 2025 à 09:08

Vous attaquez votre lundi matin, tranquillement avec votre petit café… vous ouvrez ChatGPT pour lui demander votre planning de la semaine et là, PAF (façon De Funès ^^), toute votre correspondance Gmail part directement chez un cybercriminel.

Ce serait fou non ? Et bien c’est exactement ce qu’un chercheur vient de démontrer et tout ça à cause d’une simple invitation Google Calendar.

Eito Miyamura, co-fondateur d’EdisonWatch , a lâché une bombe sur X le 12 septembre et sa démo est terrifiante. En gros, il simule un attaquant qui envoie une invitation Google Calendar vérolée, ensuite vous demandez innocemment à ChatGPT “Qu’est-ce que j’ai de prévu aujourd’hui ?”, et l’IA se transforme en espion qui fouille vos emails et les envoie au pirate. Vous n’avez même pas besoin de voir ou d’accepter l’invitation. Elle est là, dans votre calendrier, comme une bombe à retardement.

Et ça tombe mal niveau comm, car OpenAI vient tout juste d’intégrer le support complet du MCP (Model Context Protocol) dans ChatGPT. Cette technologie permet en effet à l’assistant de se connecter directement à Gmail, Google Calendar, SharePoint, Notion… Pratique pour la productivité, mais catastrophique pour la sécurité.

Cette attaque exploite ce qu’on appelle l’injection de prompt indirecte. Au lieu d’essayer de tromper ChatGPT directement, l’attaquant cache ses instructions malveillantes dans des données que l’IA est autorisée à lire. Dans ce cas précis, le texte d’un événement calendrier… Ensuite ChatGPT lit l’invitation, voit les instructions cachées, et les exécute docilement.

Selon les experts en sécurité qui se sont penchés sur le problème, le MCP n’a pas été conçu avec la sécurité en priorité. Les risques incluent donc les injections de prompt, les permissions d’outils vulnérables et les outils sosies qui peuvent remplacer silencieusement les outils de confiance.

Sympa, hein ?

D’ailleurs, ce n’est pas la première fois qu’on voit ce genre d’attaque puisqu’en août, des chercheurs avaient déjà démontré comment une invitation compromise pouvait manipuler Google Gemini pour contrôler des appareils domotiques et voler des informations. Le papier s’appelait joliment “Invitation Is All You Need”. Prophétique.

Vitalik Buterin lui-même a réagi à cette vulnérabilité. Il explique que compter aveuglément sur un seul système IA est trop fragile et facilement manipulable et je trouve que cette nouvelle exploitation de ChatGPT lui donne raison !

D’ailleurs, même avec les navigateurs IA, vous n’êtes pas tranquille. D’après cette autre découverte, vous pouvez littéralement vous faire vider votre compte bancaire en scrollant sur Reddit. En effet, des instructions malveillantes peuvent être cachées dans des commentaires sur des sites que l’attaquant ne contrôle même pas, ce qui peut entrainer votre navigateur IA à faire des choses que vous n’avez pas autorisé.

Bref, cette nouvelle vulnérabilité met en lumière un problème fondamental des LLM : ils ne savent pas faire la différence entre des instructions légitimes et des commandes malveillantes cachées dans du contenu. Car contrairement aux applications traditionnelles qui peuvent séparer les instructions développeur des inputs utilisateur, les LLM acceptent tout en langage naturel. Pour rester flexibles, ils doivent pouvoir répondre à des configurations infinies d’instructions et c’est cette flexibilité qui fait leur force… mais qui est également leur talon d’Achille.

Trail of Bits a même démontré une variante encore plus sournoise où des images spécialement forgées contiennent des prompts cachés. Invisibles en haute résolution, les instructions malveillantes apparaissent quand l’image est réduite par les algorithmes de prétraitement. L’IA lit alors le message et l’interprète comme une instruction légitime.

Ainsi, quand une IA suit des instructions malveillantes depuis du contenu web, les protections traditionnelles comme la same-origin policy ou CORS deviennent inutiles. L’IA opère avec tous vos privilèges sur toutes vos sessions authentifiées. Accès potentiel à vos comptes bancaires, systèmes d’entreprise, emails privés, stockage cloud… C’est vite le jackpot pour un attaquant.

Alors, comment se protéger ?

Hé bien Google recommande de changer les paramètres de Calendar pour que seules les invitations de contacts connus ou acceptées apparaissent. Cachez aussi les événements refusés et surtout, restez extrêmement prudent avec les intégrations tierces et les autorisations accordées…

Voilà, donc la prochaine fois que ChatGPT vous demandera l’autorisation d’accéder à votre Gmail, réfléchissez-y à deux fois car ça pourrait vous coûter bien plus cher qu’un peu de temps gagné.

Source

Que se passe-t-il ? Les RTX 50 Founders Edition ont disparu du store officiel, saperlipopette !

Sachez avant toute chose que quasiment jamais nous ne voyons cette interjection venue du passé dans le langage commun. Bien moins fleuri et plus doux, saperlipopette signifie la surprise, l'étonnement. Si vous avez parcouru le store officiel de NVIDIA France (et ça marche pour tous les pays), vous a...

Test – Aspirateur laveur H15S de Dreame

Que vaut l’aspirateur laveur H15S de Dreame ?

Après ces longues vacances d’été où les enfants ont bien marqué leur présence en mettant des cochonneries un peu partout dans la maison, l’heure est au grand ménage et c’est là que nous pouvons compter, comme toujours, sur la marque Dreame que nous affectionnons beaucoup. Aujourd’hui, c’est l’une de leurs nouveautés qui nous parvient en la présence de l’aspirateur laveur H15S !

Vous le retrouverez hors promotion au prix de 499 €. Cependant, à l’heure où ses lignes sont écrites, il dispose d’une offre de lancement l’affichant à -50 €.

 

Unboxing

Commençons notre test par notre traditionnelle partie unboxing. On retrouvera sur la face avant une grande photo du Dreame H15S occupe le centre, avec son design sobre et moderne mis en valeur sur un fond clair. Le nom du produit et le logo Dreame apparaissent discrètement, comme une promesse de qualité.

Dreame H15S

À l’arrière, plusieurs visuels illustrent les usages concrets de l’aspirateur laveur, du parquet brillant aux poils d’animaux disparus. Les points forts, en termes de technologie, sont mis en avant de façon claire et séduisante.

À gauche, on retrouve les caractéristiques techniques essentielles présentées de manière structurée, dans plusieurs langues. C’est la face la plus informative, pensée pour rassurer les acheteurs exigeants. Tandis qu’à droite, le logo Dreame s’affiche en grand, accompagné d’un slogan autour du « smart cleaning ». C’est un rappel identitaire plus qu’un descriptif.

 

Caractéristiques techniques 

Caractéristiques techniques Drame H15S

Fonctionnalités principales

  • Nettoyage triple arête, 0 espace oublié
  • GapFree™ Bras robotisé AI DescendReach
  • Nettoyage triple arête Portée à plat à 180°
  • Jusqu’à 21 000 Pa d’aspiration
  • Nettoyage automatique à 90 °C par simple pression
  • Séchage silencieux en 30 min

Contenu

  • Aspirateur laveur
  • Manche
  • Socle de recharge
  • Brosse de nettoyage
  • Solution de nettoyage
  • Brosse rotative de rechange
  • Filtre de rechange
  • Manuel d’utilisation

Dreame H15S

 

Test

Le Dreame H15S rejoint notre catégorie de test sur les aspirateurs laveurs, et à première vue, on pourrait se dire qu’il s’agit ici d’un aspirateur laveur de plus dans une offre déjà saturée sur un marché toujours plus concurrentiel. Mais à mesure qu’on l’utilise, il dévoile une personnalité technologique qui mérite qu’on s’y attarde un peu.

Le design est somme toute classique pour ce type d’appareil et pourtant, il attire l’œil. On sent que Dreame a compris qu’un aspirateur n’est pas qu’un outil fonctionnel, mais aussi un objet qui vit dans notre maison et que l’on voit. Les lignes sont sobres, modernes, assez élégantes pour qu’on n’ait pas honte de le laisser visible. Ce n’est pas une sculpture contemporaine, soyons honnête, mais il dégage une certaine classe discrète. On a presque envie de l’exhiber comme un signe qu’on prend soin de son intérieur avec style, presque !

Dreame H15S

Une fois en main, la première chose qui surprend, c’est la fluidité du déplacement. Le H15S glisse littéralement sur le sol, comme s’il était impatient de prouver sa valeur. C’est d’ailleurs très satisfaisant ! Et dès les premiers mètres, on comprend qu’il ne fonctionne pas comme un aspirateur laveur classique. Il est capable d’adapter automatiquement sa puissance en fonction de ce qu’il détecte sous sa brosse. Cela peut paraître anecdotique, mais c’est précisément ce genre de détail qui transforme l’expérience. On n’a plus besoin de réfléchir à choisir le mode « puissance max » pour une tache ou le mode « léger » pour la poussière : l’appareil fait ce travail à notre place. À l’usage, on a vraiment le sentiment que l’aspirateur sait lire le sol.

Dreame H15S

Et c’est là que se révèle tout le savoir-faire de Dreame. L’H15S est pensé pour s’intégrer dans la vie quotidienne sans alourdir la charge mentale que l’on déteste toutes. On le sort, on le met en route, on l’utilise, et tout se règle quasiment de lui-même. Les miettes qui traînent après un goûter d’enfants, les traces de lait séché sur le carrelage de la cuisine, les poils de chat incrustés dans le tapis du salon, tout disparaît en quelques secondes sans effort particulier. Il est d’ailleurs utilisé plusieurs fois par jour, notamment après chaque repas. On a presque envie de chercher la faille, le moment où il montrerait ses limites, mais il tient tête aux petites catastrophes du quotidien.

L’autonomie fait partie des bonnes surprises. La batterie permet d’aller jusqu’à 50 minutes de nettoyage, ce qui, dans les faits, correspond à la possibilité de faire sans stress tout un appartement ou une maison de taille moyenne. Il n’est pas rare de voir des aspirateurs sans fil s’essouffler bien plus vite, obligeant à scinder le ménage en plusieurs sessions. Ici, pas de frustration : on sait qu’on a de la marge. Dreame annonce une couverture de trois cents mètres carrés, et même si c’est une estimation théorique, elle reflète bien la tranquillité qu’on ressent en l’utilisant. À voir maintenant l’épuisement de la batterie dans le temps.

Dreame H15S

L’expérience utilisateur est également enrichie par un écran LED et par des messages vocaux. C’est le genre de fonction qu’on pourrait juger superflue au premier abord, mais qui finit par devenir très agréable. L’écran donne des indications claires sur l’état de la batterie, le mode utilisé ou l’entretien nécessaire. La voix, elle, accompagne l’utilisateur comme un petit guide personnel. On pourrait s’en passer, certes cela relève plus du gadget qu’autre chose, mais on se surprend vite à apprécier cette fonctionnalité.

Un autre point qui distingue le H15S est la personnalisation qu’il permet. On peut décider de la puissance d’aspiration, du débit d’eau ou encore de la façon dont il sèche le sol. Ce n’est pas forcément une fonction que tout le monde utilisera au quotidien, car l’automatisation suffit souvent, mais avoir ce niveau de contrôle donne une impression de produit haut de gamme, qui s’adapte à nos envies plutôt que l’inverse.

Dreame H15S

Évidemment, il faut replacer ce modèle dans la gamme Dreame. Le H15S n’est pas le plus luxueux de la série. Le H15 Pro et le H15 Pro Heat, par exemple, proposent des fonctionnalités plus poussées, comme l’eau chauffée pour un lavage encore plus efficace ou un bras articulé qui descend le rouleau au ras des plinthes pour n’oublier aucune poussière. Le H15S, lui, se contente de l’essentiel. Mais ce n’est pas une faiblesse pour autant, il est plus abordable. C’est précisément ce qui le rend intéressant : il offre une expérience fluide, efficace et agréable, sans surcharger l’utilisateur de fonctions parfois trop gadget. C’est un appareil qui se concentre sur l’essentiel, et qui le fait très bien, pour un prix plus accessible que ses aînés.

À l’usage, ce qui marque le plus, c’est à quel point l’appareil simplifie la corvée du ménage. On ne se demande plus si on va avoir le temps ou l’énergie de passer l’aspirateur laveur, on le fait simplement parce que ça devient rapide et presque agréable. Il n’y a pas de moment où l’on peste contre une batterie qui se vide trop vite, où l’on s’agace d’un mode mal adapté ou d’une interface obscure. Le H15S disparaît derrière sa fonction, et il laisse à chaque fois un sol impeccable. C’est exactement ce qu’on attend d’un bon appareil ménager : qu’il se fasse oublier dans l’acte même de son utilisation.

Dreame H15S

Après plusieurs jours de test, on finit par comprendre la véritable force de ce Dreame H15S : il ne cherche pas à impressionner avec des chiffres ou des démonstrations spectaculaires. On sait qu’en le sortant, le résultat sera au rendez-vous, sans prise de tête, sans compromis. Il va à l’essentiel.

Conclusion 

En conclusion, le Dreame H15S est un aspirateur laveur performant, bien que milieu de gamme. C’est un compagnon domestique pratique qui vous aidera au quotidien. Il réussit à allier puissance, autonomie et simplicité. Il ne sera peut-être pas celui qui séduira les amateurs de technologies extrêmes ou de fonctions futuristes, mais pour la grande majorité des foyers, il représente sans doute un compromis idéal : un appareil fiable, efficace, élégant et avec une belle autonomie.

Pour rappel, vous le retrouverez hors promotion au prix de 499 €. Cependant, à l’heure où ses lignes sont écrites, il dispose d’une offre de lancement l’affichant à -50 €.

Test – Aspirateur laveur H15S de Dreame a lire sur Vonguru.

RTX 5090 et 5080 Founders Edition retirées des stores NVIDIA, EOL ou simple pénurie ?

Par :Wael.K
15 septembre 2025 à 00:31

En septembre 2025, NVIDIA a retiré les RTX 5090 et 5080 Founders Edition de ses boutiques en ligne en France, Allemagne, États-Unis et Royaume-Uni. Quelques semaines après des baisses de prix officielles et le lancement du programme « Verified Priority Access » pour la RTX 5090, cette disparition intrigue. Habituellement, les cartes restaient listées comme « en rupture », mais cette fois, elles ont purement disparu des fiches produit. NVIDIA assure néanmoins que la production continue et parle de stocks limités.

Introduction

En France comme en Allemagne, aux États-Unis et au Royaume-Uni, les GeForce RTX 5090 et 5080 Founders Edition ont tout simplement disparu des boutiques en ligne de NVIDIA. Fini la mention « rupture de stock », les cartes produit elles-mêmes ont été effacées. Un changement radical, survenu après plusieurs baisses de prix et le lancement du programme d’accès prioritaire pour la RTX 5090, qui soulève plus de questions qu’il n’apporte de réponses.

Une disparition remarquée dans plusieurs pays

En France, la RTX 5090 et la 5080 FE n’apparaissent plus sur le store officiel, comme en Allemagne, au Royaume-Uni et aux États-Unis. La seule Founders Edition encore visible reste la RTX 5070 à 589,00 €. Jusqu’ici, NVIDIA se contentait de marquer ses cartes comme « indisponibles », mais jamais de les effacer totalement de son catalogue en ligne.

nividia rtx5070 fe seule carte restante en vente

Des prix ajustés juste avant la disparition

Ce retrait intervient quelques semaines après un ajustement des prix MSRP : la RTX 5090 est passée de 2 329 € à 2 099 €, la 5080 de 1 169 € à 1 059 €, et la 5070 affiche désormais 589 €. Des corrections tarifaires qui semblaient préparer le terrain à une relance de stock, et non à une disparition.

Le rôle du programme « Verified Priority Access »

En parallèle, NVIDIA a étendu en Europe son programme Verified Priority Access, permettant à certains joueurs sélectionnés d’acheter une RTX 5090 FE au prix public conseillé. L’initiative visait justement à garantir une meilleure disponibilité face à la demande. Voir les cartes disparaître des fiches produit quelques jours plus tard rend l’opération encore plus mystérieuse.

NVIDIA temporise mais entretient le flou

Face à l’emballement, NVIDIA a clarifié la situation dans un échange avec Wccftech :

« Les GeForce RTX 50 Founders Edition sont toujours en production. Ce sont des produits limités qui peuvent régulièrement être en rupture sur notre site et revenir dès que le stock est réapprovisionné. »

Porte-parole de NVIDIA GeForce auprès de Wccftech

Un discours rassurant, mais qui n’explique pas pourquoi les cartes ont été totalement retirées de la boutique, au lieu de simplement apparaître comme « indisponibles », comme c’est l’usage. En vrai l’effacement complet des fiches produit reste inhabituel et entretient le doute sur la stratégie réelle de la marque vis-à-vis de ses modèles FE.

Conclusion

La disparition des RTX 5090 et 5080 Founders Edition des boutiques NVIDIA, en France comme à l’international, alimente inévitablement les rumeurs d’un arrêt anticipé. Beaucoup y voient un signe avant-coureur de l’arrivée des modèles RTX 50 Super, déjà évoqués pour décembre 2025, le CES 2026 ou même dès octobre. Une certitude : cette manœuvre ne calmera pas la spéculation, elle ne fera que l’attiser.

NVIDIA assure que la production continue, mais entre baisses de prix, programme d’accès prioritaire et disparition pure et simple des fiches produit, le doute s’installe. Les joueurs attendent désormais de voir si un vrai réassort viendra confirmer ou infirmer le discours officiel.

France : NumSpot attire des ex-Google, OVH et SG pour sa plateforme souveraine

15 septembre 2025 à 00:55

Un article signé GOODTECH.info

Quelques mois après l’ouverture officielle de sa plateforme cloud souveraine, NumSpot muscle son équipe dirigeante avec l’arrivée de cinq profils de haut niveau. Objectif : accélérer le développement de son offre technologique et affirmer sa place dans un marché européen […]

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