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Test du Nothing Phone (3) : que vaut le premier « vrai flagship » de Nothing ?

9 juillet 2025 à 17:17
Alors nous y sommes. 721 jours après la sortie du Nothing Phone (2), la marque londonienne revient enfin sur le devant de la scène – et le fait en fanfare. Depuis, des ailes ont poussé sur le dos de l'entreprise et, avec elles, des envies de grandeur. Le Nothing Phone (3) est un flagship, un vrai, nous promet la boîte de Carl Pei. Alors, très bien. Jugeons-le comme tel.

Boris Dolley, RTE : « l’open source est une clé merveilleuse » de la souveraineté numérique

9 juillet 2025 à 17:08
Next.ink explore l'empreinte environnementale du numérique
Boris Dolley, RTE : « l’open source est une clé merveilleuse » de la souveraineté numérique

Dans le 4e épisode d’Écosystème, l’informaticien Boris Dolley détaille les nouveaux enjeux que l’IA fait peser sur le réseau de transport en électricité et la manière dont l’open source peut aider au développement d’un numérique responsable et souverain.

« Plug, baby, plug ! » Cette phrase lancée par Emmanuel Macron lors du Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle, en février 2025, illustre bien un des enjeux du moment : pour soutenir la course à l’IA, pour alimenter les data centers et les supercalculateurs, il faut de l’énergie.

Et s’il est un acteur qui est aux premières loges de cette demande croissante, c’est RTE, le gestionnaire du réseau public de transport d’électricité. Dans le quatrième épisode de notre série audio Écosystème, nous avons rencontré Boris Dolley, directeur du bureau de l’Open source de RTE et responsable de sa stratégie numérique responsable.

L’occasion d’aborder deux axes de réflexions sur les enjeux environnementaux du numérique : d’un part, sa consommation énergétique. De l’autre, les possibilités qu’apportent les logiques de numérique responsable et des pratiques des communautés de l’open source pour maîtriser les impacts socio-environnementaux du numérique au sein d’une entité comme RTE.

IA : la « soudaineté » de l’arrivée des grands data centers « change la donne »

Comme de nombreuses entreprises, l’institution a en effet commencé à développer des éléments d’automatisation dès les années 1970, pour « augmenter peu à peu la part du numérique dans le système névralgique » qu’est le réseau électrique. À l’heure actuelle, explique l’informaticien, le système est « intégralement numérique ».

Entre autres usages, l’informatique est très utile pour faciliter les prévisions pluriannuelles d’offre et de demande en électricité. Et c’est sur ce point que l’intelligence artificielle « changer la donne ». Historiquement, l’essentiel des centres de données existant en France était suffisamment petits (sous les 40 MW) pour se raccorder au réseau par l’intermédiaire d’Enedis, le gestionnaire du réseau de distribution d’électricité.

Concrètement, cela signifie que « sur le réseau de transport d’électricité, on ne percevait pas l’essor des data centers et du numérique il y a encore 10 ans », explique Boris Dolley. Avec la multiplication des infrastructures de grande taille, notamment des centres de données hyperscale, c’est-à-dire intégrant des architectures techniques capables de s’adapter rapidement à de fortes demandes de ressources de calcul, RTE a vu arriver un nombre croissant de demandes pour des établissements réclamant toujours plus de puissance.

« En 2019, on les voit apparaître. Maintenant, ils prennent une part significative de l’énergie du pays », explique Boris Dolley. De fait, dans le cadre des annonces de février, l’un des centres de données construit en partenariat avec les Émirats arabes unis devrait ainsi aller jusqu’à un gigawatt, l’équivalent de ce que produisent des réacteurs nucléaires.

4 piliers du numérique responsable

Au sein de RTE, Boris Dolley est par ailleurs en charge du numérique responsable. « On a le droit et le devoir de nous soucier d’être responsable numériquement pour notre compte, précise-t-il tout de suite, en revanche, nous avons l’interdiction absolue de guider qui que ce soit, notamment nos clients, à l’être ». Dans le cadre strictement interne à RTE, il détaille sa mission selon quatre piliers.

Développer une stratégie de numérique responsable, « c’est d’abord s’intéresser à l’empreinte intrinsèque du numérique sur les limites planétaires ». Il s’agit, ensuite, de réfléchir à la mesure dans laquelle « le numérique peut aider à réduire l’empreinte de l’homme sur les limites planétaires », à la mesure dans laquelle l’informatique peut aider tout ou partie de l’humanité dans son existence, et enfin, pour les « sachants du numérique », d’aider les décideurs, les entreprises, les citoyens, à comprendre ce qu’impliquent les dépendances au numérique.

De l’open source sobre… et souverain ?

Dans ce cadre – et en tant qu’expert du sujet –, Boris Dolley se fait non seulement défenseur de l’open source, mais aussi grand promoteur de la documentation des logiciels créés selon ces modalités.

Car aujourd’hui, souligne-t-il, un logiciel (industriel) ne meurt que parce que des besoins « sont venus s’ajouter en périphérie » du projet initial, « sont devenus significatifs, et qu’à la fin, pour savoir ce à quoi le logiciel devait répondre initialement, il faut faire du reverse engineering ».

« Si on conceptualise bien le besoin au départ, si on met les utilisateurs au centre de toute la chaîne de construction, et qu’on documente tout ce que l’on a fait d’un point de vue fonctionnel, et que l’on évite de faire des logiciels obèses », alors ceux-ci pourront durer dans le temps.

Par ailleurs, alors que l’accès à l’énergie et aux ressources nécessaires à l’industrie technologique alimentent les discussions géopolitiques, Boris Dolley voit dans l’open source un espace privilégié pour cultiver des formes d’autonomie stratégique. Grâce à ces modalités ouvertes de développement, « on sait gérer notre réseau de transport électrique, on maîtrise les enjeux de dépendances ».

L’open source, pour lui est une « clé merveilleuse » pour gérer les questions de souveraineté numérique, car en situation de crise, qu’elle soit diplomatique ou environnementale, « si on voulait réinternaliser les compétences qui doivent maîtriser le logiciel dont on est tributaire, on peut complètement le faire ».

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