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Reçu aujourd’hui — 20 juin 20257.1.1 🖥️ Sites principaux

SFR RED lance un forfait 5G avec 300 Go à moins de 10 €

SFR RED a décidé de frapper fort avant les vacances en proposant un forfait 5G qui embarque 300 Go pour Internet et qui coûte moins de 10 €/mois. Cela s’ajoute aux autres offres disponibles. 300 Go en 5G pour 9,99 €/mois Dans le détail, le forfait comprend les …

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Blood Message : NetEase Games dévoile un jeu d’aventure-action ultra spectaculaire (trailer)

20 juin 2025 à 17:20

Mais que vient-il de se passer ? Sans crier gare, l’éditeur NetEase Games a dévoilé le premier trailer de Blood Message, un jeu d’aventure-action ultra spectaculaire (et c’est peu de le dire). Développé par le studio chinois 24 Entertainment Lin’an (lui-même une filiale de filiale de Thunderfire Games), …

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Pour la vie pro comme perso, équipez votre ordinateur avec Microsoft 365 et Windows 11 à prix canons

20 juin 2025 à 18:15
Bonne nouvelle si vous êtes à la recherche de clés d'activation pour des suites bureautiques telles que Microsoft 365, ou encore des systèmes d'exploitation, comme Windows 10 et Windows 11. Vous pouvez, dès à présent, vous offrir ces logiciels à tarifs (très) attractifs et mieux anticiper la prochaine rentrée !

Comment fonctionnent les éoliennes sans pales et sont-elles efficaces ?

20 juin 2025 à 18:10
Eoliennes-sans-pales

Des chercheurs de l'Université de Glasgow ont identifié le design optimal pour les éoliennes sans pales, ces mâts qui vibrent au vent pour produire de l'électricité. Leur modèle, capable de produire 460 watts, est bien plus performant que les prototypes actuels. Cette avancée, publiée dans la revue Renewable Energy, pourrait accélérer le déploiement de cette technologie silencieuse et sûre, notamment en milieu urbain.

Améliorations de performance dans Unreal Engine 5.6 par rapport à la version 5.4

Des Problemes De Compilation De Shaders Dans Unreal Engine 5.jpg
Unreal Engine 5.6 apporte des améliorations significatives en matière de performances CPU et GPU par rapport à la version 5.4, ce qui laisse présager un avenir prometteur pour les jeux utilisant ce moteur développé par Epic. Performances accrues et améliorations visuelles Une vidéo comparative partagée par MxBenchmarkPC sur YouTube met en avant la démo technique […]

Gros débit, Wi-Fi 7 et petit prix : et si la meilleure offre fibre était chez B&You ? [Sponso]

20 juin 2025 à 17:37

Est-il encore nécessaire de préciser que l’offre Pure Fibre de Bouygues Telecom est sans doute la meilleure disponible actuellement sur le marché ? Peut-être, car Bouygues a décidé de lui offrir un petit truc en plus : un forfait bourré de data à un prix ridiculement bas.
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Intel 18A : Ce que nous savons sur sa production et ses performances à venir

Intel chip.
Intel a dévoilé son nouveau nœud de fabrication 18A lors du symposium VLSI au Japon, en présentant des objectifs de performance et des détails de conception. Prévu pour une production de masse dans la seconde moitié de 2025, le 18A alimentera les futures puces Panther Lake pour le grand public, ainsi que les processeurs Xeon […]

« On est dans le marketing de la peur » : des experts décryptent la (fausse ?) fuite inédite de 16 milliards d’identifiants

La presse mondiale s’est enflammée, le 19 juin 2025 : « 16 milliards de mots de passe en fuite ! » Apple, Google, Facebook, tous concernés. Les titres alarmistes se sont multipliés, évoquant la « plus grande fuite de l'Histoire » et appelant à la vigilance extrême. Mais que s’est-il vraiment passé ? Numerama a interrogé deux experts en cybersécurité pour démêler le vrai du faux et comprendre comment réagir face à ce type d’annonce.

☕️ Avec Indigo, Adobe veut casser le « look smartphone » des photos sur iOS

Adobe a lancé une application pour iOS destinée à la prise de photos. Elle propose une approche de « photographie computationnelle » qui a fait les grandes heures des Pixel à leur sortie. « Les gens se plaignent souvent du « look smartphone » : luminosité excessive, faible contraste, forte saturation des couleurs, lissage et accentuation importants », indique la société.

Project Indigo, c’est son nom, est donc la réponse d’Adobe à ce problème. Le principe est simple : l’application prend jusqu’à 32 clichés pour une seule prise de vue, afin de récupérer plus de détails sur la lumière et de réduire le bruit. Ce principe est déjà appliqué par Apple dans son application intégrée, mais Adobe pousse le concept plus loin.

Il existe un temps de traitement qui se voit à l’usage et qui peut atteindre plusieurs secondes selon l’appareil que vous utilisez. La compatibilité est d’ailleurs limitée, puisqu’il faut avoir au moins un iPhone 12 Pro, un iPhone 13 Pro, un iPhone 14 ou un modèle ultérieur. Pour une expérience « optimale », Adobe recommande cependant un iPhone 15 Pro au moins.

Un traitement spécifique s’applique également quand le zoom dépasse les capacités de l’optique sur l’appareil, pour tenter là aussi d’avoir une image plus nette. La technique n’utilise pas l’IA à la manière d’un traitement « super resolution » classique comme sur les jeux vidéo, mais se base sur les micro-décalages engendrés par les tremblements de la main pour reconstituer la scène.

L’application dispose de nombreux contrôles manuels. On peut ainsi changer rapidement la mise au point, la sensibilité ISO, la vitesse d’obturation, la balance des blancs ou encore la compensation de l’exposition. Par défaut, l’application enregistre ses clichés au format JPG, mais on peut aussi exporter en RAW. On peut aussi contrôler le nombre d’images dans la rafale. Indigo propose égaussi un bouton pour l’exposition longue.

L’application est gratuite et ne réclame pas de compte Adobe. Dans le descriptif, on peut lire qu’elle sera régulièrement mise à jour. Et pour cause, elle est publiée par Adobe Labs et est considérée comme un projet de recherche, ce qui explique son nom. Rien ne dit que l’application restera disponible de manière définitive. Ses fonctions seront peut-être intégrées plus tard dans une application payante destinée à concurrencer certains ténors du domaine, comme Halide Mark II. Seul vrai problème pour l’instant, l’application n’existe qu’en anglais.

Le nouvel iPad 11 avec sa puce A16 a déjà droit à sa toute première réduction de prix

L'iPad 10 a récemment laissé sa place à l'iPad 11, la nouvelle tablette pas chère d'Apple, qui bénéficie notamment de la puissance de la puce A16. Et cette nouvelle ardoise est d'ores et déjà en promo sur Amazon, Cdiscount et Boulanger, qui l'affichent à 389,99 euros au lieu de 409 euros.
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Promotion : la friteuse sans huile Moulinex Easy Fry multifunction à prix plancher en ce moment

La Easy Fry de Moulinex est un appareil trois-en-un qui combine la fonction de friteuse sans huile, de multicuiseur et de mini-four. Proposée à 179,99 € (soit 22 % de moins que le tarif habituel de 229,99 €), cette référence polyvalente n'a jamais été affichée à un prix aussi bas depuis trois mois. À ce tarif, elle est disponible chez Amazon uniqueme...

Smartphones, tablettes : l’étiquette énergie et l’écoconception entrent en application

Le smartphone, un micro-onde comme les autres
Smartphones, tablettes : l’étiquette énergie et l’écoconception entrent en application

Aujourd’hui, deux importants règlements européens entrent en application. L’étiquette énergétique fait ainsi officiellement son entrée pour les smartphones et les tablettes. En outre, les fabricants ont désormais plusieurs nouvelles obligations, notamment sur les pièces détachées et les mises à jour des systèmes d’exploitation.

Beaucoup les attendaient, ils sont enfin là : les règlements UE 2023/1669 (Energy Labelling) et UE 2023/1670 (Ecodesign) entrent en application aujourd’hui. À la clé, une série d’obligations pour les fabricants de smartphones et de tablettes. Rappelons qu’un règlement, comme le RGPD, s’applique de manière uniforme sans nécessiter de transposition, contrairement aux directives. Ils peuvent cependant donner lieu à des interprétations différentes selon les pays membres de l’Union.

Le premier règlement est le plus visible dans ses conséquences : tous les smartphones et tablettes commercialisés doivent désormais être accompagnés d’une étiquette énergétique. Il y a des exceptions : les produits d’occasion ne sont pas concernés, pas plus que les smartphones disposant d’écrans flexibles et ceux conçus « pour la communication de haute sécurité ».

L’étiquette reprend le même modèle que pour l’électroménager, avec une note allant de A, pour les appareils les plus vertueux, à G pour les moins efficaces. Ces étiquettes s’accompagnent cependant de plusieurs autres informations importantes.

La nouvelle étiquette énergie

Que trouve-t-on sur cette étiquette ? Déjà, la classe énergétique, qui reflète le ratio entre la capacité de la batterie et son autonomie estimée. En haut à droite de la fiche, un code QR renvoie vers la fiche du produit dans la base de données européenne Eprel (European Product Registry for Energy Labelling). Une information que remet en avant le ministère de la Transition écologique dans son communiqué.

À gauche, la fiche du Galaxy S25+ de Samsung. À droite, la fiche de l’iPhone 16 Pro

Sous l’échelle colorée, on trouve l’autonomie estimée de l’appareil. Celle-ci est basée sur une utilisation jugée standard, mêlant de la navigation web, des appels téléphoniques, des jeux, des transferts de données ainsi que des périodes de veille. Le cycle est répété jusqu’à épuisement de la batterie et extinction de l’appareil.

Viennent ensuite quatre pictogrammes disposés en carré. En haut à gauche se trouve la note de résistance aux chutes. Pour obtenir la note maximale, comme on peut le voir en Annexe II du règlement, un smartphone doit résister à un minimum de 270 chutes d’une hauteur de 1 m. Les modèles repliables (mais sans écran flexible) ont des exigences moindres : 210 chutes quand ils sont fermés, 45 quand ils sont ouverts. Les tablettes doivent résister au moins à 208 chutes, avec une différence là aussi pour les modèles pliables : 182 pour une tablette repliée, 20 quand elle est ouverte.

À sa droite se situe la note de réparabilité, également donnée via une lettre, toujours avec la même échelle. Elle prend en compte des critères comme la documentation et l’accès aux pièces détachées. En bas à gauche, on peut voir le nombre de cycles que la batterie peut endurer avant d’atteindre 80 % de sa capacité d’origine, pourcentage à partir duquel on considère qu’elle est usée et devrait faire l’objet d’un remplacement. Enfin, en bas à droite, on trouve l’indice IP, qui reflète la résistance à la pénétration de l’eau et des poussières.

Efficacité et critiques

Pour Que Choisir, l’étiquette est globalement une bonne information. Le magazine exprime cependant « quelques réserves », car ce nouvel affichage représente avant tout un compromis entre législateur, industriels et laboratoires. « L’intérêt commercial n’est jamais bien loin », estiment nos confrères.

Se pose ensuite la question du contrôle, car les informations fournies sur ces étiquettes sont déclaratives. En clair, les constructeurs pourraient être tentés de tricher. En France, ce sera à la DGCCRF de s’occuper de contrôler les informations, comme elle le fait sur les étiquettes déjà présentes sur l’électroménager depuis des années. Sur les 350 entreprises contrôlées en 2023, la moitié d’entre elles étaient hors des clous.

Du côté de l’association HOP (Halte à l’obsolescence programmée), on se dit « très déçu » par cette nouvelle étiquette. Comme elle l’avait déjà expliqué, cette étiquette remplace en effet le projet français dans ce domaine, supplanté par la version européenne. L’association regrettait déjà un nombre plus important de compromis et le retrait de certaines informations.

HOP critique en particulier « le caractère non agrégé » de la fiche, avec plusieurs notes séparées qui rendent incommode la comparaison des appareils. Autre point problématique, également souligné par Que Choisir, le prix des pièces détachées n’est pas pris en compte dans l’indice de réparabilité, alors que la version française le faisait. La seule disponibilité n’est pas suffisante en effet, dès lors que le prix des pièces peut s’envoler et décourager la clientèle face à la réparation, au profit d’achats neufs.

En revanche, HOP se réjouit de l’entrée en vigueur de l’autre règlement, qui touche cette fois à l’écoconception.

Mises à jour : cinq ans au moins de correctifs de sécurité

Bien que plus discret, l’autre règlement va avoir des conséquences profondes sur le marché des smartphones et tablettes.

L’une de ses principales mesures est ainsi de rendre obligatoire un support de cinq ans minimum sur les mises à jour logicielles. Attention, on parle de cinq ans pour les mises à jour de sécurité.

Ces correctifs sont cruciaux pour l’entretien d’un appareil, car les failles non corrigées peuvent être rapidement exploitées dans de vastes campagnes de piratage. C’est particulièrement vrai dans le monde Android : les constructeurs ont lancé de très nombreux modèles d’entrée de gamme, dont l’entretien logiciel ne dépassait parfois pas les deux ans. Ce qui a participé à l’image du smartphone comme « un produit jetable » pour une partie de la population.

Ce n’est pas tout : les constructeurs auront un temps limité pour publier ces mises à jour. Ils auront ainsi 4 mois pour répercuter un correctif de sécurité sur un appareil si son code source a été publié ou s’il a été mis à disposition d’un autre appareil de la même marque. Ce délai passe à 6 mois pour les mises à jour de fonctionnalités.

En outre, les mises à jour fonctionnelles devront avertir si elles risquent d’entrainer un impact négatif sur les performances. Les fabricants seront tenus de modifier la nouvelle version pour que cet impact disparaisse, à moins que l’utilisateur donne son consentement exprès pour l’installation. Un joli casse-tête en perspective pour les entreprises impliquées.

Une évolution majeure donc, car les plus longs supports étaient souvent gardés pour les modèles les plus haut de gamme. L’industrie a cependant senti le vent tourner et a commencé à réagir. Depuis deux ans par exemple, Google assortit ses Pixel d’une période de sept ans, comprenant les mises à jour majeures d’Android. Samsung a fait de même sur les gammes Galaxy S24 et S25. Apple, longtemps en tête dans ce domaine, garantit officiellement des mises à jour pour cinq ans, même si cette période va souvent plus loin.

7 ans minimum de disponibilité pour les pièces détachées

L’autre grande mesure de ce règlement concerne la disponibilité des pièces détachées pour les smartphones et tablettes. Elle doit être d’au moins sept ans, avec un découpage en deux phases. Durant les cinq premières années, les pièces doivent être disponibles en un maximum de cinq jours. Pour les deux dernières années (et les éventuelles années supplémentaires), la disponibilité doit se faire sous dix jours.

Le même règlement définit également plusieurs autres mesures. Par exemple, la batterie d’un smartphone ou d’une tablette doit pouvoir assurer un minimum de 800 charges avant descendre à 80 % de capacité.

Un smartphone non pliable doit également résister à un strict minimum de 45 chutes (sans protection), chiffre qui passe à 35 pour un smartphone plié et 14 pour un déplié. Les fabricants doivent aussi veiller « à ce que l’écran de l’appareil passe le niveau de dureté 4 sur l’échelle de dureté de Mohs », afin de résister aux rayures.

Et encore d’autres mesures

Plusieurs mesures sont ajoutées pour simplifier la réparation des appareils. À l’exception de la batterie, toutes les pièces détachées doivent pouvoir être facilement manipulées, sans outils, avec des outils courants ou fournis directement. Les éléments de fixation doivent être amovibles, renouvelés ou réutilisables.

Les batteries sont à part et leur remplacement dépend d’un paramètre important : l’indice IP67. Si l’appareil est certifié ou dispose d’une certification plus élevée, la réparation peut être confiée à un réparateur professionnel. Toujours en ce qui concerne la batterie, son état de santé doit pouvoir être accessible depuis les réglages de l’appareil, tout comme le nombre de cycles déjà écoulés ou encore la date de première utilisation.

Le règlement évoque également la question du chiffrement, le texte utilisant d’ailleurs le mot « cryptage ». Tous les appareils sont ainsi tenus de chiffrer par défaut les données de l’utilisateur enregistrées « dans la mémoire interne », à l’aide d’une clé aléatoire. Une fonction doit être présente pour réinitialiser complètement le téléphone, en effaçant la clé et en en générant une nouvelle.

Toutes ces mesures sont également entrées en application aujourd’hui dans toute l’Union européenne. Précisons qu’elles s’appliquent uniquement aux nouveaux appareils commercialisés à compter d’aujourd’hui, contrairement à l’étiquette qui, elle, s’applique déjà à tous les produits existants.

Actualité : Google Chrome est aléatoirement bloqué sur Windows ? C'est la faute de Microsoft

Depuis début juin, des utilisateurs font remonter sur les forums un bug étrange lié à Google Chrome. Sur Windows, le navigateur se ferme tout seul ou s'avère tout simplement impossible à lancer. Au sein du support de Google, une explication a enfin été apportée le 17 juin par une community manager : il s'agit d'un bug introduit par Microsoft au sein...

Witcher 4 : Informations sur le développement et les premières images du tech demo

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L’équipe de développement de The Witcher 4 souhaite profiter pleinement de l’évolution technologique depuis la sortie de The Witcher 3. Leur ambition de proposer une expérience véritablement next-gen s’est rapidement manifestée lors du tech demo présenté à l’édition de cette année d’Unreal Fest. Une adaptation aux nouvelles technologies Dans un entretien avec GamesRadar+, le responsable […]

Meta et Oakley lancent des lunettes connectées pour les sportifs… avec Kylian Mbappé

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Après avoir transformé l'essai avec les Ray-Ban Meta, le géant de la tech récidive et s'attaque au monde du sport. En s'associant avec l'emblématique marque Oakley, Meta ne se contente pas de lancer un nouveau gadget, mais cherche à créer une toute nouvelle catégorie de produits : les lunettes de performance dopées à l'intelligence artificielle. Et pour incarner cette ambition, un ambassadeur de choix : Kylian Mbappé.

☕️ Midjourney lance la V1 de son modèle de génération de vidéos

Après les images fixes, place à la vidéo : Midjourney a lancé mercredi la première version d’un modèle dédié, surnommé V1. Elle le présente comme un outil à la fois puissant, abordable et simple d’accès, pour créer des séquences vidéo à partir d’une image de départ, que cette dernière soit fournie par l’utilisateur (une photo par exemple) ou générée via Midjourney.

« Faites glisser une image vers la barre d’invite et marquez-la comme « image de départ », puis saisissez une invite de mouvement pour décrire la manière dont vous souhaitez qu’elle s’anime », décrit l’éditeur. Le modèle V1 dispose également d’un mode d’animation automatique, capable donc de transformer une image en vidéo sans consigne spécifique de l’utilisateur.

En filigrane de son billet d’annonce, Midjourney revendique une approche plutôt créative et ludique, là où des concurrents tels que Veo3 (Google) ou Firefly (Adobe) essaie d’ores et déjà de se positionner comme des outils très opérationnels, destinés à être intégrés aux circuits de production graphique.

L’entreprise ne perd cependant pas de vue les considérations mercantiles : elle indique qu’une tâche vidéo sera facturée environ 8 fois la somme demandée pour une génération d’images. En sortie, comme avec les images fixes, l’utilisateur se voit livrer non pas une, mais quatre propositions pour une même vidéo. Les clips dans leur version de base sont limités à une durée de cinq secondes, mais il est possible de demander quatre fois de suite à les prolonger de quatre secondes (l’opération étant bien sûr facturée), ce qui permet donc d’obtenir des séquences allant jusqu’à 21 secondes.

Rappelons que les outils de Midjourney sont accessibles sur abonnement, avec différents paliers calculés en fonction du nombre d’heures de calcul GPU consommées par l’utilisateur. L’abonnement de départ à 10 dollars par mois permet de générer des vidéos, à hauteur de 200 minutes de calcul. Pour le lancement, Midjourney restreint au Web l’accès à son modèle vidéo V1, et choisit une nouvelle fois de passer par Discord (où l’on peut visualiser de nombreux exemples de vidéos ou d’images animées).

Si la génération automatisée de vidéos peut apparaître comme une fin en soi pour les métiers de la pub, du cinéma ou de la télévision, Midjourney affirme ne voir ce nouveau modèle que comme une étape dans sa quête d’élaboration d’un outil capable de générer des environnements 3D en temps réel.

« Nous avons besoin d’images (nos premiers modèles). Nous devons faire bouger ces images (modèles vidéo). Nous devons pouvoir nous déplacer dans l’espace (modèles 3D) et tout cela rapidement (modèles temps réel). Nous travaillerons dès l’année prochaine à construire ces éléments individuellement, les publier et petit à petit les assembler en un système unifié. Ce sera peut-être onéreux au départ, mais tout le monde pourra en profiter plus tôt que vous ne le pensez. »

Midjourney fait depuis le 10 juin dernier l’objet d’une plainte déposée par Disney et Universal pour infractions directes et indirectes au droit d’auteur.

L'action Tesla chute de près de 4 % à la suite d'informations selon lesquelles l'usine d'Austin ferme temporairement la ligne de production du Cybertruck et de la Model Y pour des raisons de maintenance

20 juin 2025 à 16:25
L'action Tesla chute de près de 4 % à la suite d'informations selon lesquelles l'usine d'Austin ferme temporairement la ligne de production du Cybertruck et de la Model Y
pour des raisons de maintenance

Tesla a du mal à vendre son pickup électrique Cybertruck et les stocks s'accumulent rapidement. L'entreprise aurait plus de 800 millions de dollars de Cybertruck dont personne ne veut. Cet état de choses crée des incertitudes sur l'avenir du programme. Un récent rapport indique que Tesla envisage...

Actualité : 64 ou 128 Go ? Faut-il encore faire des compromis sur le stockage de son smartphone ?

Les smartphones avec beaucoup de stockage, ça coûte cher. Pour le mesurer, il suffit de prendre quelques exemples concrets. Un iPhone 16 classique coûte 969 € sur le site d’Apple dans sa version 128 Go (Gigaoctets). Mais pour un iPhone 16 256 Go, la facture s’alourdit de 100 € ; elle passe même à 1349 € pour une version 512 Go. Et pas la peine d’épin...

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