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Samsung lance One UI 7 et ajoute de nouveaux modèles à la liste. Découvrez si votre smartphone ou tablette Galaxy est éligible à la mise à jour Android 15.[Plus]
SFR RED a décidé de frapper fort avant les vacances en proposant un forfait 5G qui embarque 300 Go pour Internet et qui coûte moins de 10 €/mois. Cela s’ajoute aux autres offres disponibles. 300 Go en 5G pour 9,99 €/mois Dans le détail, le forfait comprend les …
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Mais que vient-il de se passer ? Sans crier gare, l’éditeur NetEase Games a dévoilé le premier trailer de Blood Message, un jeu d’aventure-action ultra spectaculaire (et c’est peu de le dire). Développé par le studio chinois 24 Entertainment Lin’an (lui-même une filiale de filiale de Thunderfire Games), …
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Des chercheurs de l'Université de Glasgow ont identifié le design optimal pour les éoliennes sans pales, ces mâts qui vibrent au vent pour produire de l'électricité. Leur modèle, capable de produire 460 watts, est bien plus performant que les prototypes actuels. Cette avancée, publiée dans la revue Renewable Energy, pourrait accélérer le déploiement de cette technologie silencieuse et sûre, notamment en milieu urbain.
Pixar vient enfin de dévoiler son dernier bijou d'animation, Elio, situé dans l'espace. Sorti le 18 juin 2025, ce dessin-animé devrait attirer de nombreuses familles dans les salles de cinéma. Mais vaut-il vraiment le coup d'œil ? Voici notre avis, garanti sans spoilers.
Pour apporter un peu de fraicheur à un logement, les plantes sont de précieuses alliées. Dracaena, strelitzia, calathea... voici celles qui aident à rafraichir l'intérieur d'une maison ou d'un appartement (et comment en prendre soin).
Avec possibilité de capture vidéo en 3K et une meilleure autonomie, les lunettes connectées Oakley Meta HSTN s'invitent aux côtés des Ray-Ban Meta.
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La presse mondiale s’est enflammée, le 19 juin 2025 : « 16 milliards de mots de passe en fuite ! » Apple, Google, Facebook, tous concernés. Les titres alarmistes se sont multipliés, évoquant la « plus grande fuite de l'Histoire » et appelant à la vigilance extrême. Mais que s’est-il vraiment passé ? Numerama a interrogé deux experts en cybersécurité pour démêler le vrai du faux et comprendre comment réagir face à ce type d’annonce.
Adobe a lancé une application pour iOS destinée à la prise de photos. Elle propose une approche de « photographie computationnelle » qui a fait les grandes heures des Pixel à leur sortie. « Les gens se plaignent souvent du « look smartphone » : luminosité excessive, faible contraste, forte saturation des couleurs, lissage et accentuation importants », indique la société.
Project Indigo, c’est son nom, est donc la réponse d’Adobe à ce problème. Le principe est simple : l’application prend jusqu’à 32 clichés pour une seule prise de vue, afin de récupérer plus de détails sur la lumière et de réduire le bruit. Ce principe est déjà appliqué par Apple dans son application intégrée, mais Adobe pousse le concept plus loin.
Il existe un temps de traitement qui se voit à l’usage et qui peut atteindre plusieurs secondes selon l’appareil que vous utilisez. La compatibilité est d’ailleurs limitée, puisqu’il faut avoir au moins un iPhone 12 Pro, un iPhone 13 Pro, un iPhone 14 ou un modèle ultérieur. Pour une expérience « optimale », Adobe recommande cependant un iPhone 15 Pro au moins.
Un traitement spécifique s’applique également quand le zoom dépasse les capacités de l’optique sur l’appareil, pour tenter là aussi d’avoir une image plus nette. La technique n’utilise pas l’IA à la manière d’un traitement « super resolution » classique comme sur les jeux vidéo, mais se base sur les micro-décalages engendrés par les tremblements de la main pour reconstituer la scène.
L’application dispose de nombreux contrôles manuels. On peut ainsi changer rapidement la mise au point, la sensibilité ISO, la vitesse d’obturation, la balance des blancs ou encore la compensation de l’exposition. Par défaut, l’application enregistre ses clichés au format JPG, mais on peut aussi exporter en RAW. On peut aussi contrôler le nombre d’images dans la rafale. Indigo propose égaussi un bouton pour l’exposition longue.
L’application est gratuite et ne réclame pas de compte Adobe. Dans le descriptif, on peut lire qu’elle sera régulièrement mise à jour. Et pour cause, elle est publiée par Adobe Labs et est considérée comme un projet de recherche, ce qui explique son nom. Rien ne dit que l’application restera disponible de manière définitive. Ses fonctions seront peut-être intégrées plus tard dans une application payante destinée à concurrencer certains ténors du domaine, comme Halide Mark II. Seul vrai problème pour l’instant, l’application n’existe qu’en anglais.
S'ils représentent à peine 0,5 % des écoutes aujourd'hui, les morceaux générés à l'aide d'une intelligence artificielle (IA) ne cessent de se multiplier depuis plusieurs mois. Deezer annonce être le premier à déployer un « système d'étiquetage IA » sur sa plateforme de streaming musicale.
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La Commission européenne envisage un tournant majeur dans la gestion de ses infrastructures numériques.
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D'après un avis de l'administration fédérale de l'aviation (FAA), le vol 10 de la fusée géante Starship était potentiellement attendu pour la fin juin. L'explosion de l'étage supérieur, dix jours avant, repousse à une date incertaine le prochain test du lanceur.
Aujourd’hui, deux importants règlements européens entrent en application. L’étiquette énergétique fait ainsi officiellement son entrée pour les smartphones et les tablettes. En outre, les fabricants ont désormais plusieurs nouvelles obligations, notamment sur les pièces détachées et les mises à jour des systèmes d’exploitation.
Beaucoup les attendaient, ils sont enfin là : les règlements UE 2023/1669 (Energy Labelling) et UE 2023/1670 (Ecodesign) entrent en application aujourd’hui. À la clé, une série d’obligations pour les fabricants de smartphones et de tablettes. Rappelons qu’un règlement, comme le RGPD, s’applique de manière uniforme sans nécessiter de transposition, contrairement aux directives. Ils peuvent cependant donner lieu à des interprétations différentes selon les pays membres de l’Union.
Le premier règlement est le plus visible dans ses conséquences : tous les smartphones et tablettes commercialisés doivent désormais être accompagnés d’une étiquette énergétique. Il y a des exceptions : les produits d’occasion ne sont pas concernés, pas plus que les smartphones disposant d’écrans flexibles et ceux conçus « pour la communication de haute sécurité ».
L’étiquette reprend le même modèle que pour l’électroménager, avec une note allant de A, pour les appareils les plus vertueux, à G pour les moins efficaces. Ces étiquettes s’accompagnent cependant de plusieurs autres informations importantes.
Que trouve-t-on sur cette étiquette ? Déjà, la classe énergétique, qui reflète le ratio entre la capacité de la batterie et son autonomie estimée. En haut à droite de la fiche, un code QR renvoie vers la fiche du produit dans la base de données européenne Eprel (European Product Registry for Energy Labelling). Une information que remet en avant le ministère de la Transition écologique dans son communiqué.
Sous l’échelle colorée, on trouve l’autonomie estimée de l’appareil. Celle-ci est basée sur une utilisation jugée standard, mêlant de la navigation web, des appels téléphoniques, des jeux, des transferts de données ainsi que des périodes de veille. Le cycle est répété jusqu’à épuisement de la batterie et extinction de l’appareil.
Viennent ensuite quatre pictogrammes disposés en carré. En haut à gauche se trouve la note de résistance aux chutes. Pour obtenir la note maximale, comme on peut le voir en Annexe II du règlement, un smartphone doit résister à un minimum de 270 chutes d’une hauteur de 1 m. Les modèles repliables (mais sans écran flexible) ont des exigences moindres : 210 chutes quand ils sont fermés, 45 quand ils sont ouverts. Les tablettes doivent résister au moins à 208 chutes, avec une différence là aussi pour les modèles pliables : 182 pour une tablette repliée, 20 quand elle est ouverte.
À sa droite se situe la note de réparabilité, également donnée via une lettre, toujours avec la même échelle. Elle prend en compte des critères comme la documentation et l’accès aux pièces détachées. En bas à gauche, on peut voir le nombre de cycles que la batterie peut endurer avant d’atteindre 80 % de sa capacité d’origine, pourcentage à partir duquel on considère qu’elle est usée et devrait faire l’objet d’un remplacement. Enfin, en bas à droite, on trouve l’indice IP, qui reflète la résistance à la pénétration de l’eau et des poussières.
Pour Que Choisir, l’étiquette est globalement une bonne information. Le magazine exprime cependant « quelques réserves », car ce nouvel affichage représente avant tout un compromis entre législateur, industriels et laboratoires. « L’intérêt commercial n’est jamais bien loin », estiment nos confrères.
Se pose ensuite la question du contrôle, car les informations fournies sur ces étiquettes sont déclaratives. En clair, les constructeurs pourraient être tentés de tricher. En France, ce sera à la DGCCRF de s’occuper de contrôler les informations, comme elle le fait sur les étiquettes déjà présentes sur l’électroménager depuis des années. Sur les 350 entreprises contrôlées en 2023, la moitié d’entre elles étaient hors des clous.
Du côté de l’association HOP (Halte à l’obsolescence programmée), on se dit « très déçu » par cette nouvelle étiquette. Comme elle l’avait déjà expliqué, cette étiquette remplace en effet le projet français dans ce domaine, supplanté par la version européenne. L’association regrettait déjà un nombre plus important de compromis et le retrait de certaines informations.
HOP critique en particulier « le caractère non agrégé » de la fiche, avec plusieurs notes séparées qui rendent incommode la comparaison des appareils. Autre point problématique, également souligné par Que Choisir, le prix des pièces détachées n’est pas pris en compte dans l’indice de réparabilité, alors que la version française le faisait. La seule disponibilité n’est pas suffisante en effet, dès lors que le prix des pièces peut s’envoler et décourager la clientèle face à la réparation, au profit d’achats neufs.
En revanche, HOP se réjouit de l’entrée en vigueur de l’autre règlement, qui touche cette fois à l’écoconception.
Bien que plus discret, l’autre règlement va avoir des conséquences profondes sur le marché des smartphones et tablettes.
L’une de ses principales mesures est ainsi de rendre obligatoire un support de cinq ans minimum sur les mises à jour logicielles. Attention, on parle de cinq ans pour les mises à jour de sécurité.
Ces correctifs sont cruciaux pour l’entretien d’un appareil, car les failles non corrigées peuvent être rapidement exploitées dans de vastes campagnes de piratage. C’est particulièrement vrai dans le monde Android : les constructeurs ont lancé de très nombreux modèles d’entrée de gamme, dont l’entretien logiciel ne dépassait parfois pas les deux ans. Ce qui a participé à l’image du smartphone comme « un produit jetable » pour une partie de la population.
Ce n’est pas tout : les constructeurs auront un temps limité pour publier ces mises à jour. Ils auront ainsi 4 mois pour répercuter un correctif de sécurité sur un appareil si son code source a été publié ou s’il a été mis à disposition d’un autre appareil de la même marque. Ce délai passe à 6 mois pour les mises à jour de fonctionnalités.
En outre, les mises à jour fonctionnelles devront avertir si elles risquent d’entrainer un impact négatif sur les performances. Les fabricants seront tenus de modifier la nouvelle version pour que cet impact disparaisse, à moins que l’utilisateur donne son consentement exprès pour l’installation. Un joli casse-tête en perspective pour les entreprises impliquées.
Une évolution majeure donc, car les plus longs supports étaient souvent gardés pour les modèles les plus haut de gamme. L’industrie a cependant senti le vent tourner et a commencé à réagir. Depuis deux ans par exemple, Google assortit ses Pixel d’une période de sept ans, comprenant les mises à jour majeures d’Android. Samsung a fait de même sur les gammes Galaxy S24 et S25. Apple, longtemps en tête dans ce domaine, garantit officiellement des mises à jour pour cinq ans, même si cette période va souvent plus loin.
L’autre grande mesure de ce règlement concerne la disponibilité des pièces détachées pour les smartphones et tablettes. Elle doit être d’au moins sept ans, avec un découpage en deux phases. Durant les cinq premières années, les pièces doivent être disponibles en un maximum de cinq jours. Pour les deux dernières années (et les éventuelles années supplémentaires), la disponibilité doit se faire sous dix jours.
Le même règlement définit également plusieurs autres mesures. Par exemple, la batterie d’un smartphone ou d’une tablette doit pouvoir assurer un minimum de 800 charges avant descendre à 80 % de capacité.
Un smartphone non pliable doit également résister à un strict minimum de 45 chutes (sans protection), chiffre qui passe à 35 pour un smartphone plié et 14 pour un déplié. Les fabricants doivent aussi veiller « à ce que l’écran de l’appareil passe le niveau de dureté 4 sur l’échelle de dureté de Mohs », afin de résister aux rayures.
Plusieurs mesures sont ajoutées pour simplifier la réparation des appareils. À l’exception de la batterie, toutes les pièces détachées doivent pouvoir être facilement manipulées, sans outils, avec des outils courants ou fournis directement. Les éléments de fixation doivent être amovibles, renouvelés ou réutilisables.
Les batteries sont à part et leur remplacement dépend d’un paramètre important : l’indice IP67. Si l’appareil est certifié ou dispose d’une certification plus élevée, la réparation peut être confiée à un réparateur professionnel. Toujours en ce qui concerne la batterie, son état de santé doit pouvoir être accessible depuis les réglages de l’appareil, tout comme le nombre de cycles déjà écoulés ou encore la date de première utilisation.
Le règlement évoque également la question du chiffrement, le texte utilisant d’ailleurs le mot « cryptage ». Tous les appareils sont ainsi tenus de chiffrer par défaut les données de l’utilisateur enregistrées « dans la mémoire interne », à l’aide d’une clé aléatoire. Une fonction doit être présente pour réinitialiser complètement le téléphone, en effaçant la clé et en en générant une nouvelle.
Toutes ces mesures sont également entrées en application aujourd’hui dans toute l’Union européenne. Précisons qu’elles s’appliquent uniquement aux nouveaux appareils commercialisés à compter d’aujourd’hui, contrairement à l’étiquette qui, elle, s’applique déjà à tous les produits existants.
La période de lune de miel est bel et bien terminée. L’évaluation de Monster Hunter Wilds est désormais extrêmement négative sur Steam.
Cet article Monster Hunter Wilds déçoit : les joueurs dénoncent le contenu et les performances a été publié en premier par GinjFo.
Après les images fixes, place à la vidéo : Midjourney a lancé mercredi la première version d’un modèle dédié, surnommé V1. Elle le présente comme un outil à la fois puissant, abordable et simple d’accès, pour créer des séquences vidéo à partir d’une image de départ, que cette dernière soit fournie par l’utilisateur (une photo par exemple) ou générée via Midjourney.
« Faites glisser une image vers la barre d’invite et marquez-la comme « image de départ », puis saisissez une invite de mouvement pour décrire la manière dont vous souhaitez qu’elle s’anime », décrit l’éditeur. Le modèle V1 dispose également d’un mode d’animation automatique, capable donc de transformer une image en vidéo sans consigne spécifique de l’utilisateur.
En filigrane de son billet d’annonce, Midjourney revendique une approche plutôt créative et ludique, là où des concurrents tels que Veo3 (Google) ou Firefly (Adobe) essaie d’ores et déjà de se positionner comme des outils très opérationnels, destinés à être intégrés aux circuits de production graphique.
L’entreprise ne perd cependant pas de vue les considérations mercantiles : elle indique qu’une tâche vidéo sera facturée environ 8 fois la somme demandée pour une génération d’images. En sortie, comme avec les images fixes, l’utilisateur se voit livrer non pas une, mais quatre propositions pour une même vidéo. Les clips dans leur version de base sont limités à une durée de cinq secondes, mais il est possible de demander quatre fois de suite à les prolonger de quatre secondes (l’opération étant bien sûr facturée), ce qui permet donc d’obtenir des séquences allant jusqu’à 21 secondes.
Rappelons que les outils de Midjourney sont accessibles sur abonnement, avec différents paliers calculés en fonction du nombre d’heures de calcul GPU consommées par l’utilisateur. L’abonnement de départ à 10 dollars par mois permet de générer des vidéos, à hauteur de 200 minutes de calcul. Pour le lancement, Midjourney restreint au Web l’accès à son modèle vidéo V1, et choisit une nouvelle fois de passer par Discord (où l’on peut visualiser de nombreux exemples de vidéos ou d’images animées).
Si la génération automatisée de vidéos peut apparaître comme une fin en soi pour les métiers de la pub, du cinéma ou de la télévision, Midjourney affirme ne voir ce nouveau modèle que comme une étape dans sa quête d’élaboration d’un outil capable de générer des environnements 3D en temps réel.
« Nous avons besoin d’images (nos premiers modèles). Nous devons faire bouger ces images (modèles vidéo). Nous devons pouvoir nous déplacer dans l’espace (modèles 3D) et tout cela rapidement (modèles temps réel). Nous travaillerons dès l’année prochaine à construire ces éléments individuellement, les publier et petit à petit les assembler en un système unifié. Ce sera peut-être onéreux au départ, mais tout le monde pourra en profiter plus tôt que vous ne le pensez. »
Midjourney fait depuis le 10 juin dernier l’objet d’une plainte déposée par Disney et Universal pour infractions directes et indirectes au droit d’auteur.
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