Actualité : BYD dépasse Tesla dans ce pays européen, le constructeur chinois impose sa domination
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Le DOGE d’Elon Musk continue de prendre la main sur de nombreux outils informatique des agences américaines. Certains de ses membres ont pu s’immiscer dans les données de Medicare et Medicaid, les services de santé des États-Unis. Son immixtion dans les systèmes du Trésor a été l’objet d’une passe d’armes juridique, mais deux de ses employés devraient garder un accès en lecture seule.
C’est un véritable sprint qu’ont enclenché Elon Musk et son département DOGE, officiellement chargé de « l’efficacité gouvernementale ». Ils mettent la main sur le plus de données possible à propos des utilisateurs des différentes agences américaines, avant que d’éventuels contre-pouvoirs viennent leur mettre des bâtons dans les roues.
Jusqu’à présent et depuis l’investiture de Donald Trump le 20 janvier dernier, la voie est libre pour eux. Des manifestations anti-Trump et anti-Musk commencent tout de même à avoir lieu dans les 50 États, avec des messages comme « rejetons le fascisme » ou « l’oligarchie », « défendons notre démocratie », « Musk n’a pas été élu ». Les agents du DOGE ont pu accéder au système informatique du Trésor américain, aux ressources humaines fédérales, aux services informatiques fédéraux ou encore à ceux de l’agence américaine qui étudie l’atmosphère et les océans (NOAA) ou du système de connexion gouvernemental login.gov.
Ils ont encore accédé à d’autres services publics cette semaine. Des agents du DOGE ont pu, selon le Wall Street Journal, accéder aux locaux des services de Medicare et Medicaid, le système d’assurance-santé public américain et le programme qui permet de fournir une assurance maladie aux personnes à très faibles revenus et ressources.
Selon les sources de nos confrères, le DOGE s’intéresse, comme pour les autres agences, aux systèmes informatiques de ces deux services de santé, rassemblés sous la responsabilité de l’Agence Fédérale du département américain de la Santé et des Services sociaux (Centers for Medicare & Medicaid Services, CMS). Ils seraient notamment à l’affût ce qu’ils considèrent comme de la fraude ou du gaspillage.
Le CMS « est le centre névralgique d’une grande partie de l’économie complexe des soins de santé du pays, avec des dépenses d’environ 1,5 milliard de dollars pour l’exercice 2024, soit environ 22 % du total fédéral », souligne le Wall Street Journal. L’agence rassemble 6 710 employés, dont de nombreux vétérans qui y travaillent depuis des décennies.
Au journal américain, un responsable du CMS explique que « deux vétérans seniors dirigent la coordination avec le DOGE ». Les responsables seraient dans un esprit de collaboration avec le DOGE pour l’instant, dans une recherche de plus grande efficacité.
Selon le Wall Street Journal, les personnels du DOGE ont accédé en lecture seule à un logiciel qui permet notamment de gérer les contrats du CMS. Ils n’ont pas encore accédé aux bases de données contenant des informations personnelles sur la santé des bénéficiaires de Medicare ou de Medicaid, ni au système HIGLAS. Ce dernier standardise et centralise les fonctions de comptabilité financière fédérale pour tous les programmes de CMS.
Du côté de l’accès aux données du Trésor américain, Ars Technica explique qu’une plainte [PDF] a été déposée lundi 3 février, par une association de retraités et des syndicats contre l’accès donné au DOGE à des informations personnelles et financières.
Mais selon notre consœur, Ashley Belanger, ces organisations auraient signé un accord [PDF] avec le ministère de la Justice (Department of justice, DOJ). Selon ses termes, le Trésor « ne donnera accès à aucun enregistrement de paiement ou système d’enregistrement de paiement géré par ou au sein du Bureau du service fiscal » aux employés du DOGE, sauf à deux d’entre eux, Tom Krause et Marko Elez. Comme l’explique Bloomberg, le premier était directeur général de Cloud Software Group (le groupe de Citrix et de Tibco). Le second est un ingénieur qui a travaillé dans les entreprises d’Elon Musk, SpaceX et X. L’accord doit encore être approuvé par le juge chargé de l’affaire.
Mais, selon le Washington Post, les agents du DOGE ont déjà eu accès à des dossiers concernant des millions d’employés fédéraux, « y compris des fonctionnaires du Trésor et du département d’État occupant des postes de sécurité sensibles ». Les sources du journal ont peur que ces informations soient utilisées de façon abusive pour menacer de représailles des fonctionnaires qui ne seraient pas jugés assez loyaux envers Donald Trump et le nouveau gouvernement.
Les données viendraient notamment de l’Office of Personnel Management (OPM, l’agence des ressources humaines des employés fédéraux américains), le DOGE ayant accédé à ses locaux et ses logiciels, comme nous l’indiquions. Le Washington Post raconte que des agents du DOGE auraient traité des responsables de l’OPM d’ « idiots » lors de réunions entre les deux services.
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Lire la suiteDes invités passionnants et des sujets palpitants ! Notre émission UNLOCK est à retrouver un mercredi sur deux en direct, de 17 à 19h sur Twitch. Pensez aussi aux rediffusions sur YouTube !
Un projet de camp de base lunaire a été exposé lors du salon Tech&Fest. Les spationautes pourraient travailler sur la surface de la Lune et potentiellement enfiler des combinaisons produites par Spartan Space et désignées par Decathlon.
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Pendant le Sommet sur l’IA, Next replonge dans les épisodes de son podcast Algorithmique
Du 6 au 11 février se tient à Paris le Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle, occasion d’une variété de moments d’échanges entre scientifiques, sociétés civiles, chefs d’État – dont le vice-président américain J.D. Vance, le vice-premier ministre chinois Ding Xuexiang, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ou encore le premier ministre indien Narendra Modi – et patrons d’entreprises de la tech.
Mais de quoi on parle, au juste, lorsqu’on évoque l’intelligence artificielle ? Pour en comprendre les principaux enjeux, Next vous propose d’écouter ou réécouter les six épisodes de son podcast Algorithmique.
Sans nous vanter (quoique si, il faut qu’on apprenne à le faire si on veut convaincre plus de gens de s’abonner à Next), les auditeurs de ce podcast l’ont qualifié de « clair, pédagogique, avec des interlocuteurs de grande qualité » ou encore d’« excellente facture ». Il nous a même attiré des « merci » et des « re merci », auxquels nous répondons : avec grand plaisir ! Abonnez-vous, c’est votre soutien qui nous permet de créer ce genre de projet !
Avec l’aide de l’informaticien et philosophe Jean-Gabriel Ganascia et de la docteure en IA Amélie Cordier, on se plonge d’abord dans une tentative de définition des contours historiques, éthiques, et même pratiques, de la discipline.
Vient ensuite l’enjeu des biais sociaux, qui revient régulièrement dans les conversations (souvenez-vous de ces résultats repérés dans Stable Diffusion ou ChatGPT). Avec la spécialiste des sciences de l’éducation et ancienne informaticienne Isabelle Collet et la chercheuse en intelligence artificielle Raziye Buse Çetin, on s’attaque à la manière dont ceux-ci s’infiltrent dans l’IA et sur certaines des pistes qui permettent d’y remédier.
À ce point de la réflexion vient la nécessité de se pencher sur des cas concrets. Valérie, chargée du numérique au collectif Changer de Cap, et Camille Lextray, créatrice de contenu, racontent ici comment des systèmes algorithmique défectueux influencent la vie de gens. La première détaille les difficultés des bénéficiaires d’aides de la Caisse d’Allocation Familiale (CAF) lorsqu’ils se retrouvent accusés à tort, et automatiquement, d’avoir reçu des paiements indus. À sa suite, l’autrice de Briser la chaîne (Leduc, 2024) retrace le combat qu’elle a mené en justice pour tenter de rendre le pouvoir sur les mécaniques de modération d’Instagram.
Un autre effet concret de l’IA est celui que ces produits, cette industrie, ont sur la planète. Pour mieux les envisager, Next rencontre dans ce quatrième épisode le sociologue des sciences et des techniques Clément Marquet et la professeure en informatique Anne-Laure Ligozat, tous deux spécialistes des enjeux environnementaux du numérique… et par extension, de l’IA.
En parallèle de ces constats, les travaux d’encadrement et de régulation sont allés bon train, que ce soit au sein des entreprises, avec divers engagements éthiques, ou dans les parlements. En Europe, l’aboutissement le plus emblématique aura été le règlement sur l’IA, qui a commencé d’entrer en vigueur ce mois-ci. Dans l’épisode 5 d’Algorithmique, le sociologue Bilel Benbouzid et la juriste spécialiste de la gouvernance de l’intelligence artificielle Imane Bello nous fournissent les boussoles pour se repérer dans les débats.
On ne saurait terminer un tel tour d’horizon sans s’interroger sur le rôle des citoyens. C’est pourquoi, pour clore cette première saison, Algorithmique a tendu le micro à Théo Alves da Costa, co-président de Data for Good, à Karl Pineau, co-président de Designers éthiques, et à Valentin Hacault, en charge des formations chez Latitudes. Le but : explorer ce que, concrètement, techniciens et non-spécialistes de la tech peuvent faire pour s’emparer du vaste sujet de débats qu’est l’intelligence artificielle.
Algorithmique a convaincu Framasoft, Dans Les Algorithmes, l’April qui les a tous retranscrits, ou encore #Règle30. À notre avis, cela signifie qu’il a toutes ses chances de vous intéresser aussi.
En plus, si vous vous abonnez à Algorithmique sur votre plateforme de podcast favorite, vous y verrez automatiquement notre prochaine série audio apparaître… d’ici quelques semaines.
Vous avez déjà tout écouté ? Dans ce cas, vous connaissez la musique : parlez-en, faites connaître le podcast autour de vous ! Vous nous aideriez beaucoup !