Que serait notre quotidien sans quelques spéculations à tirer d’un live, d’un post, d’une photo ? Les joueurs sont particulièrement friands de ce genre de jeu de piste consistant à prédire une annonce avec une bride d’information. Des mises à jour sur la page Steam de Silksong ? Une annonce à venir ! Un Rob Wiethoff un peu trop bavard ? C’est sûr, Red Dead Redemption 2 arrive sur Nintendo Switch 2 ! Mais comment en est-on arrivé là ?
Oui d’accord, Wuchang : Fallen Feathers ressemble à votre souls-like chinois générique. Mais en réalité, il pioche autant du côté de Nioh que des FromSo. Retour d’expérience après le Summer Game Fest.
Après un long suspense ponctué de polémiques alimentées par le PDG Randy Pitchford en personne, Gearbox Software a finalement statué sur le prix de vente conseillé de Borderlands 4 : ça commence à 79,99€ puis ça monte encore avec les éditions spéciales.
L'éditeur de NBA 2K a annoncé la prolongation de son partenariat pluriannuel avec la NBA, la NBPA, la WNBA et la WNBPA. Autrement dit, attendez-vous à voir encore beaucoup de NBA 2K à l'horizon.
Si quelqu'un en doutait, Mat Piscatella de Circana a confirmé que la Nintendo Switch 2 a réalisé le plus gros démarrage de l'histoire des consoles sur le sol étasunien. Une simple formalité pour celle qui avait déjà posé de nouvelles bases en France, en Espagne ou encore au Japon.
Nintendo donne rendez-vous à ses fans le mercredi 18 juin pour un nouveau Nintendo Direct centré sur Donkey Kong Bananza, l’un des titres phares à venir sur Nintendo Switch 2.
Nintendo a annoncé la tenue d’un Nintendo Direct spécial intitulé Donkey Kong Bananza Direct, qui sera diffusé en direct le 18 juin. L’événement sera accessible via les comptes officiels de Nintendo sur les réseaux sociaux ainsi que sur l’application Nintendo Today!. Aucune autre information officielle n’a encore été dévoilée sur le contenu précis de la présentation.
Prévu pour sortir le 17 juillet, Donkey Kong Bananza sera le premier grand titre, avec Mario Kart World, à accompagner le lancement de la Nintendo Switch 2 qui est disponible depuis le 5 juin dernier. Ce nouvel opus mettra en scène Donkey Kong dans une aventure inédite, où il fera équipe avec un mystérieux personnage : une étrange créature rocheuse violette qu’il découvre enfouie dans le sol. Des fuites provenant du site coréen de Nintendo laissent entrevoir l’identité de ce nouveau personnage, bien que rien n’ait encore été confirmé officiellement.
Rendez-vous ce mercredi 18 juin à 15h (heure de Paris) pour en savoir plus sur Donkey Kong Bananza.
Après une sortie compliquée il y a désormais un an et demi sur Nintendo Switch, Hogwarts Legacy : L’Héritage de Poudlard est l’un des jeux de lancement de la Nintendo Switch 2. Warner Bros. Games nous promet une version nettement plus jouable que sur l’ancienne console de la firme de Kyoto, mais qu’en est-il vraiment une fois le titre installé ? Après plusieurs heures de jeu à circuler dans Poudlard et à découvrir ses secrets, le résultat final est à la hauteur des espérances.
Test réalisé sur Nintendo Switch 2 grâce à une version boîte envoyée par l’éditeur
Un retour à Poudlard deux ans plus tard
Alors que nous avons tourné et retourné Hogwarts Legacy : L’Héritage de Poudlard dans tous les sens lors de sa sortie le 10 février 2023 sur les consoles de dernière génération et PC, il est temps pour nous de repasser derrière les pupitres sur Nintendo Switch 2. Rappelons que depuis sa sortie initiale, Warner Bros. Games a multiplié les adaptations du titre sur d’autres plateformes : trois mois plus tard, un portage PS4 et Xbox One arrivait dans nos boutiques et la version Nintendo Switch voyait quant à elle enfin le jour en novembre 2023 – pile à l’heure pour les fêtes de fin d’année. Pour la sortie de la Nintendo Switch 2, Hogwarts Legacy : L’Héritage de Poudlard est donc présent, aussi bien en format numérique que physique. Quitte à tirer sur la corde, autant le faire avec manière de la part de l’éditeur américain.
L’éditeur de personnage reste toujours plutôt complet.
Comme son nom français l’indique, le jeu prend place dans l’univers d’Harry Potter : une série de livres et de films qu’on ne présente plus aujourd’hui. Vous incarnerez tout au long de l’aventure un sorcier ou une sorcière, qui, après une personnalisation plutôt complète de votre part, s’en ira pour la plus célèbre école des sorciers : Poudlard. Mais voilà que le monde est en danger et qu’en plus de votre apprentissage, vous allez devoir aider le Professeur Fig contre les forces du mal et notamment Ranrok. Un programme riche en émotions, surtout quand on sait que nous intégrons directement l’école en cinquième année : il faut donc rattraper le temps perdu pour se mettre rapidement au niveau des autres élèves.
La première étape essentielle consiste donc à sélectionner votre maison : si vous avez un compte Warner Bros., vous pouvez le lier avec votre compte officiel sur Wizarding World – votre maison de cœur sera ensuite automatiquement proposée. Si vous ne disposez pas d’un tel compte, quelques questions aléatoires vous seront posées et le choixpeau magique vous proposera une maison. Heureusement, si le choix ne vous satisfait pas, vous pouvez sélectionner manuellement l’entité de vos rêves. Mis à part votre lieu pour dormir qui est différent d’un point de vue cosmétique et une mission principale qui sera différente, le choix de la maison a peu d’impact sur le jeu en lui-même.
Concernant le contenu du jeu, on enchaînera donc entre exploration du vaste monde proposé par le jeu à pied ou à balai, énigmes et quêtes de Merlin toujours aussi prenantes qu’ennuyeuses ainsi que des histoires annexes qui nous permettront de récupérer des récompenses. Lors de votre exploration qui vous sera facilitée par la présence d’une carte consultable à tout moment, vous utiliserez à outrance le sortilège Revelio pour vous indiquer les pages à récupérer du guide ou encore les différents coffres qui se trouveront dans les environs. Ces coffres renfermeront du stuff pour habiller votre sorcier pour ainsi augmenter ses attributs : chapeau, baguette magique, uniforme, lunettes. La composante RPG est bien présente dans Hogwarts Legacy, bien que très light et surtout très accessible pour les néophytes du genre. On rappelle que lors de sa sortie, l’objectif d’Avalanche Studios était de proposer une expérience complète dans l’univers de J. K. Rowling tout en offrant une accessibilité importante.
Les cinématiques disposent d’effets visuels réussis.
Vous l’aurez donc compris, vous alternerez entre différents environnements dans ce Hogwarts Legacy : L’Héritage de Poudlard. École, Pré-au-Lard, forêts et autres contrées lointaines vous attendent dans ce jeu d’action-RPG. La dernière composante essentielle est bien évidemment les combats à la baguette magique : on s’amusera à lancer de multiples sorts à nos ennemis ainsi qu’à esquiver ou parer leurs attaques dévastatrices. Le titre s’appuie toujours sur un système de couleurs : en fonction de la couleur de protection utilisée par un ennemi, vous devrez utiliser un sort de cette même couleur pour le détruire et ensuite l’éliminer. Il faut admettre que les combats sont toujours très dynamiques et l’utilisation des multiples potions de soin à notre disposition ne sera pas de trop. Comme pour les précédentes versions, le Quidditch est absent de cette version – on sourira toujours sur la manière dont la mauvaise nouvelle a été amenée dans le jeu. Pour plus de détails sur le contenu du titre et de son gameplay, nous vous invitons à consulter le test complet de notre rédacteur en chef en cliquant directement à cette adresse.
Un portage exemplaire sur Nintendo Switch 2
Lors de sa sortie sur Nintendo Switch, les joueurs sont tombés sur Hogwarts Legacy et notamment la qualité de son portage : technique minimaliste, temps de chargement à n’en plus finir et framerate instable étaient des éléments à charge. Il faut tout de même rappeler que c’était un petit exploit d’avoir réussi à porter le titre sur une console au hardware vieillissant et bien qu’il s’agisse d’une version aux nombreux compromis, elle avait le mérite d’exister pour les joueurs qui ne disposaient d’aucune autre alternative. Annoncé lors du Nintendo Direct – Spéciale Switch 2, Hogwarts Legacy : L’Héritage de Poudlard était attendu au tournant et Warner Bros. Games a bien fait, même très bien fait les choses.
Si l’on ne pourra que regretter la présence d’une carte clé de jeu obligeant le joueur à télécharger le jeu sur sa console, il est tout de même à noter la présence d’une version dans nos rayons, mais ce n’est pas tout ! Vendu contre 59,99 € en physique ou numérique, le titre dispose d’une mise à niveau Switch 2 contre 10 € pour les détenteurs d’une version Nintendo Switch. Il suffira de se rendre sur le Nintendo eShop pour payer cette mise à niveau et ainsi profiter d’une version toute propre du jeu tout en insérant la cartouche originale dans sa console.
Il sera toujours nécessaire de changer régulièrement les sorts à utiliser.
Soyons clairs dès le départ, Hogwarts Legacy : L’Héritage de Poudlard sur Nintendo Switch 2 n’est pas la version ultime du titre. Les moutures PS5, Xbox Series X et PC proposent une bien meilleure réalisation et un framerate plus important que cette nouvelle adaptation. Mais cette version Nintendo Switch 2 a un avantage : c’est qu’elle permet de jouer au titre partout – aussi bien sur votre téléviseur que dans votre lit, et peu importe le type d’affichage choisi, le rendu est plus qu’honnête. Tout d’abord, il faut savoir qu’à l’exception de quelques rares ralentissements sur des séquences avec beaucoup d’éléments à l’écran, le jeu propose un framerate capé à 30 FPS stable, et ce, aussi bien en version portable que dockée.
La console n’a quasiment pas chauffé lors de notre session de test bien qu’elle soit très énergivore en termes de batterie, mais c’est un problème propre à tous les titres Nintendo Switch 2. Nous remarquons tout de même qu’en sortant la console de son dock à l’issue d’une session de jeu de plus de deux heures, la console souffle encore et transpire : le processeur doit évidemment davantage travailler pour faire fonctionner le DLSS et le refroidissement proposé par le dock n’est pas de trop.
Tant que nous parlons de la partie technique et plus particulièrement du rendu final graphique sur Nintendo Switch 2, rentrons dans le vif du sujet. Contrairement à d’autres productions comme notamment Cyberpunk 2077 ou encore FAST Fusion, Hogwarts Legacy : L’Héritage de Poudlard ne propose pas plusieurs modes graphiques. De ce fait, que vous jouiez en version portable ou dockée, il n’y aura aucun choix entre Performance et Qualité normalement. Peu importe votre façon de jouer, n’attendez-vous pas à avoir du 60 FPS puisque le titre ne dépassera pas les 30 images par seconde.
Déjà, sachez qu’en jouant en nomade, le titre souffre nettement plus dans le domaine graphique. Malgré l’écran 1080p de la Nintendo Switch 2, sachez que le titre propose au final un upscale important grâce au DLSS pour atteindre cette résolution. Le signal produit de base est en 540p et la résolution est doublée grâce à la technologie proposée par NVIDIA. Ne profitant pas de toute la puissance du processeur, on se retrouve finalement avec tout de même des textures moches et bien plus floues qu’en dockée, mais également une distance d’affichage moins importante.
Vous rencontrerez de multiples créatures imaginées par J.K. Rowling lors de votre aventure
Concernant la partie dockée, on se retrouve ici avec un rendu final en 2K (1440p) avec un signal produit de base en 720p qui se voit toujours doublé grâce au DLSS : l’image est plus nette et on sent une différence importante entre les deux modes. Toutefois, vous noterez tout de même que peu importe votre façon de jouer, vous aurez droit à de l’aliasing, du popping à outrance avec des éléments qui apparaîtront sans prévenir sur l’écran. Mais malgré tout, le jeu reste agréable à jouer sur la Nintendo Switch 2 et se rapproche davantage d’une version PS4 que d’une version Xbox Series S.
Autre élément qui embêtera les joueurs : les temps de chargement. Dès que vous utiliserez le déplacement rapide, attendez-vous à un temps de chargement entre 15 et 20 secondes. Pour passer d’une pièce à une autre, il arrive également qu’une mini-attente symbolisée par un rond bleu indique que le jeu charge des données en ce moment même. Enfin, notamment dans le château de Poudlard, nous avons rencontré des temps de chargement entre 5 et 6 secondes lorsque nous changions de section. Rien de bien embêtant, mais ce sont des éléments qui n’étaient pas forcément présents sur la version PS5 et qui donnent déjà de premières indications sur la console et sa capacité à réduire les chargements.
Pour ce test, sachez que nous avons testé le jeu depuis une version carte clé de jeu. De ce fait, nous avons téléchargé le jeu dans son intégralité depuis le Nintendo eShop, et la présence de la cartouche dans la console est bien obligatoire pour lancer le titre. De notre côté, notre installation finale pèse 24,1 Go après la mise en place de la mise à jour 1.0.2 et du pack de voix françaises. Comme de nombreux jeux, seules les voix anglaises sont incluses dans le jeu de base, les autres doublages sont disponibles en téléchargement gratuit depuis la boutique en ligne de Nintendo. Concernant le transfert des sauvegardes, bonne nouvelle pour les joueurs Nintendo Switch, mauvaise nouvelle pour les sorciers pratiquant sur les autres supports : le transfert de notre progression est uniquement disponible entre la version Nintendo Switch et Nintendo Switch 2. Pour les autres supports, il faudra recommencer une aventure et pourquoi pas repartir d’une autre maison.
Le mode photo est très complet et propose de prendre des captures d’écran avec davantage de détails graphiques
Dernière nouveauté nettement mise en avant par Nintendo avec la sortie de sa nouvelle console : l’arrivée d’un capteur optique sur les Joy-Con 2 pour utiliser la manette comme une souris. Hogwarts Legacy : L’Héritage de Poudlard est bien compatible avec cette fonctionnalité, mais cette dernière ne sera pas à mettre entre toutes les mains. Si vous avez la possibilité de modifier la sensibilité de cette dernière depuis les Paramètres du jeu, sachez que les touches ont une disposition spécifique dans ce mode. Bien que le mappage soit intelligent et bien réfléchi, nous avons tout de même eu des difficultés à atteindre les boutons R/ZR ainsi que les boutons X/A/Y/B, la faute à notre petite main droite. Dans la main gauche, nous conservons le déplacement de notre personnage avec le Joy-Con 2 gauche ainsi que les divers sorts et menus rapides via les flèches, sans oublier la visée avec les gâchettes à l’arrière. Mais l’ensemble fonctionne très bien et la précision est au rendez-vous pour le coup : une fonctionnalité à essayer même sur un canapé tout en utilisant bien sûr les dragonnes fournies avec la console.
Verdict
Si vous n’avez pas encore joué à Hogwarts Legacy : L’Héritage de Poudlard depuis sa sortie en 2023 sur les consoles de dernière génération et PC, cette mouture Nintendo Switch 2 arrive à point nommé. Bien que souffrant toujours de quelques défauts propres au jeu de base, le titre a profité d’une très bonne optimisation sur la Nintendo Switch 2. Le jeu est enfin jouable correctement, que ce soit en version dockée ou portable. On regrettera amèrement l’impossibilité de récupérer sa précédente progression, nous obligeant à repartir une nouvelle fois à l’aventure.
Dans une publication dédiée sur les réseaux sociaux, Ubisoft et le studio Unfrozen annoncent conjointement la mauvaise nouvelle : l'accès anticipé de Heroes of Might & Magic : Olden Era est finalement reporté à un peu plus tard cette année.
inZOI fait partie de ces jeux qui divisent. Si certains crient au génie, d'autres fustigent une formule vouée à l’échec. Comme souvent, la vérité se situe très probablement quelque part entre les deux. En tout cas, on constate un déclin de l’intérêt autour du jeu. Mais malgré tout, le studio garde le sourire : le jeu se vend bien et c'est le principal.
Sortie surprise mise en avant pendant le Xbox Games Showcase, Final Fantasy 16 est disponible sur Xbox Series depuis le 8 juin, marquant la première sortie d'un Final Fantasy traditionnel sur la console de Microsoft depuis Final Fantasy 15 en novembre 2016.
Si le titre tactique Marvel's Midnight Suns n'a pas trouvé le succès qu'il méritait, la Maison des Idées retente le coup sur mobiles avec un nouveau projet tactique bien nerveux qui utilise aussi un système de cartes à jouer pour corser la progression. Voici de nouvelles images de Marvel : Mystic Mayhem.
Balancer des trucs à la tête des gens, c'est un petit peu le crédo des Brésiliens de Pocket Trap. Après le très bon Ninjin: Clash of Carrots adapté de l'anime éponyme qui mélangeait beat'em up et shoot'em up à base de carottes, ils ont à nouveau assouvi leur passion du lancer de boulettes avec Dodgeball Academia. Là encore, succès garanti pour cette revisite du sport américain dans un univers complètement loufoque. Jamais deux sans trois et cette-fois-ci, ils...
La semaine dernière, Fulqrum Publishing, qui édite Stygian: Outer Gods, a publié une vidéo pour présenter le futur contenu de leur jeu d’exploration/horreur avec des éléments de RPG en accès anticipé. Alors qu’ils nous avaient déjà partagé la roadmap le mois dernier, on peut cette fois-ci voir en mouvement quelques environnements, objets et armes à venir. Étonnamment, le feeling a l’air sympa. On peut néanmoins supposer qu’on ne sera pas noyés sous les munitions.
Finalement beaucoup plus ambitieux que ce qu’on avait initialement imaginé, il s’avère que la proposition de Misterial Games est vraiment intéressante, malgré des IA profondément débiles et des performances dégueulasses. Mathmoite, notre streamer de l’extrême, avait passé quelques soirées dessus et avait plutôt apprécié l’ambiance sombre et poisseuse, collant parfaitement à l’univers de Lovecraft.
Après le succès commercial de Legacy of Kain Soul Reaver 1 & 2 Remastered, Aspyr Media s'apprêterait à ressusciter Legacy of Kain : Defiance selon l'organisme de classification de Taiwan.
Regardé d'un œil méfiant depuis son annonce officielle, le gacha Suikoden Star Leap se rendra également disponible sur PC pour venir quérir les quelques récalcitrants qui n'aiment pas le jeu mobile.
PulluP Entertainment est le dernier à publier ses résultats pour l'ensemble de l'exercice fiscal clos le 31 mars 2025. L'attente en valait la peine, puisque le groupe français, qui rassemble les labels Focus et Dotemu, a enregistré la meilleure année de son histoire avec un chiffre d'affaires de 390 millions d'euros, un résultat opérationnel de 37,8 millions d'euros et un résultat net de 19,4 millions d'euros.
Il y a une dizaine de jours, les développeurs de 314 Arts ont partagé un nouveau devlog pour leur jeu de zombies Projekt Z: Beyond Order. Pour rappel, c’est un FPS coopératif jusqu’à quatre joueurs dans des niveaux inspirés du principe de Left 4 Dead. Mais il y a aussi du loot, puisqu’on aura des éléments de construction de bases ainsi que des armes à crafter ou améliorer.
Dans cette nouvelle vidéo, ils nous parlent justement des ajustements qu’ils ont pu faire dans le hideout. Apparemment, il devait initialement être possible de tout construire comme on voulait, à la manière d’un vulgaire jeu de survie lambda. Mais comme aucun testeur ne semblait convaincu, ils ont opté pour des emplacements prédéfinis pour les différents points importants, comme l’atelier ou encore l’armurerie. On peut également voir la partie modification des armes, permettant de les améliorer, jusqu’à augmenter leur rareté, ce qui évite aux joueurs de jeter leur fusil favori pour un autre trouvé en raid, mais de meilleure qualité. On nous parle aussi des personnages et de leurs particularités, on vous laisse découvrir ça dans la vidéo :
Mais ce qui fait le plus plaisir, ce sont les quelques séquences de shoot. Quel pied ! Peu importe l’arme montrée, le gunfeel a l’air incroyable et l’impact sur les zombies est très cool. On a vraiment hâte de mettre les mains dessus. D’ailleurs, on nous indique que des playtests vont bientôt être ouverts et qu’on peut s’inscrire depuis ce formulaire.
Quelques jours plus tard, on a découvert une seconde vidéo, cette fois-ci sur le compte YouTube d’Unity, parlant de la gestion des lumières dans Projekt Z: Beyond Order. On y apprend notamment que le studio allemand est composé de quatre salariés, mais qu’ils sont épaulés par dix prestataires travaillant à temps plein sur le jeu. Le fondateur de 314 Arts nous explique qu’ils ont fait le choix du Screen Space Global Illumination, dont l’avantage est de générer les ombres en temps réel. Il embraye sur tout le travail qu’ils ont réalisé pour obtenir des performances correctes, dans un discours qui ressemble tout de même pas mal à une pub pour le moteur un peu controversé. Même si le sujet est un tout petit peu technique, c’est très compréhensible pour les non-développeurs.
Cela fait longtemps que l’on suit le projet, mais on est toujours aussi enthousiasmés par ce qu’on nous présente. Et le fait qu’ils indiquent préférer prendre leur temps pour atteindre leurs standards ne peut qu’être rassurant, surtout quand on voit l’ambition du projet et la taille restreinte du studio. C’est sans doute pour cela qu’aucune date de sortie n’a encore été annoncée.
En attendant, si Projekt Z: Beyond Order vous intéresse, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
La planète Terre n'a plus de ressources exploitables mais un nouvel El Dorado attire toutes les convoitises. Situé sur une lointaine planète, plusieurs expéditions sont montées, plus dangereuses les unes que les autres.
Du 16 au 23 juin s'est tenu une nouvelle édition du Steam Néo-Fest, un événement proposant de nombreuses démos de jeux à venir, profitant au passage des annonces du Summer Game Fest. Après une semaine de tests de démos, voici un retour avec une vingtaine d'entre elles.
Ball x Pit est un rogue mélangeant le casse-brique et le Space Invaders, dans lequel on devra repousser des monstres arrivant du haut de l'écran en leur envoyant des boules de différentes catégories.
Si Nintendo a mis les petits plats dans les grands à l'occasion de la commercialisation de sa nouvelle console en proposant des mises à jour pour certains jeux rétrocompatibles de la première Switch afin d'améliorer leurs performances, certains titres bénéficient d'apports non-négligeables sur Nintendo Switch 2, et ce sans aucune mise à jour dédiée. Alors sur Reddit, la communauté s'active, et travaille sur une liste des jeux Switch bénéficiant d'un boost de performance sur la nouvelle console de Nintendo.
Racheté juste avant la parution de Necromunda : Hired Gun par Focus, le studio français Streum On Studio n'aura finalement rien publié d'autre chez l'éditeur parisien avant de plier bagages, puisque l'équipe annonce aujourd'hui retrouver son indépendance et publie une nouvelle bande-annonce qui pourrait bien être celle d'E.Y.E : Divine Cybermancy 2...
Dans la foulée du démarrage fulgurant enregistré sur Steam, Stellar Blade a désormais dépassé les 3 millions d'exemplaires vendus dans le monde, selon la presse spécialisée coréenne.
SNK ouvre la première saison de Fatal Fury : City of the Wolves avec Andy Bogard, dont la gratuité arriverait presque à excuser l'absence dans le jeu de base. J'ai dit "presque".
En février dernier, nous abordions pour la première fois aPS3e, ce tout premier émulateur Android dédié aux jeux PS3. Le projet n'en était alors qu'à l'état embryonnaire, mais les choses ont bien évolué depuis : le voici désormais directement accessible depuis le Google Play Store.
Malgré les déboires d'un projet qui semble bien mal engagé, Sony entend ne pas réitérer les erreurs d'un certain Concord, en soutenant Marathon comme il se doit à l'approche de sa commercialisation. Et c'est Hermen Hulst qui le dit.
Entre promesses technologiques et réalité matérielle, CD Projekt Red commence à lever le voile sur The Witcher 4 — ou du moins sur le moteur qui l’animera. Mais si l’Unreal Engine 5 en met plein les mirettes, la Xbox Series S, elle, tousse déjà. Le studio polonais prévient : viser les 60 images par seconde sur la petite console de Microsoft relèvera plus de la sorcellerie que de la programmation.
Annoncé à quelques mois de sa sortie, Blades of Fire est l'héritier génétique et spirituel de Castlevania : Lords of Shadow puisqu'il s'agit tout simplement du nouveau MercurySteam (Metroid Dread). S'il est d'abord tombé dans les trous de notre calendrier, j'ai fini par requérir un code pour incarner son musculeux forgeron, découvrir son univers fantasy et donner sa chance à cet ambitieux titre AA en vue d'un test... qui a failli être transformé en billet d'humeur. Alors battons le fer tant qu'il est chaud, et essayons d'expliquer en quelques paragraphes comment l'engouement des premiers jours s'est vite mué en routine décevante, à la façon d'un couple raté au sortir du camping de Palavas.
Meta dévoile une nouvelle génération de lunettes connectées destinées à la recherche. Avec un suivi oculaire ultra précis et des capteurs physiologiques inédits, ...
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