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TEST Mandragora: Whispers of the Witch Tree – La nouvelle référence de la Dark Fantasy

19 avril 2025 à 21:26

Mandragora: Whispers of the Witch Tree est ce qu’on pourrait appeler le metroidvania souls-like de la saison. Le jeu reprend une formule maintenant classique : un gameplay dynamique, des mécaniques de game design inspirées par les jeux de FromSoftware et une exploration horizontale dans un monde sombre destiné à la déchéance. Mandragora réutilise une recette qui fonctionne, mais avec un charme nouveau qui lui est propre, donnant ce sentiment d’une œuvre à la fois rassurante et innovante.

Mandragora: Whispers of the Witch Tree, produit par Primal Game Studio, est à la base un projet Kickstarter ayant eu son petit succès avec plus 270 000 $ récoltés pour 5 000 contributeurs. La promesse était de créer un titre combinant plusieurs éléments d’œuvres bien connues : l’exploration d’un Castlevania, les mécaniques de combats de Dark Souls, la richesse narrative de The Witcher et la beauté graphique de Ori and the Will of the Wisps. Ainsi, Mandragora: Whispers of the Witch Tree assume fortement ses références et s’en inspire avec justesse pour être une œuvre brillante malgré quelques défauts.

Le cri d’un univers à l’agonie

Son monde se nomme Faeldumm et il se meurt. Les monstres ont envahi la majorité des régions et seules quelques cités et villages parviennent à survivre au milieu des ténèbres, repoussant les attaques sauvages grâce à des murs épais et des combattants endurcis. Les puissants de ce monde contiennent ce chaos en entretenant l’espoir et l’obéissance du peuple. Ils pointent du doigt les entités responsables de la déchéance de cet univers : les sorcières, créatures cruelles et profanes qui souillent l’ordre du monde.

Un monde autrefois magnifique qu’il faut protéger

Dans tout ceci nous incarnons un inquisiteur, un orphelin ayant survécu grâce à ses dons magiques, élevé pour servir le puissant prêtre-roi. Afin de lui arracher ses sombres secrets, notre maître nous ordonne d’aller capturer une sorcière. Évidemment, notre mission ne se déroulera pas comme prévu. Une mystérieuse voix fait son apparition pour nous guider… qui sait si ses paroles sont des mensonges qui servent à condamner le monde ou des vérités salvatrices, oubliées depuis bien trop longtemps ?

Dans un premier temps, il convient de dire que Mandragora porte très bien son titre de Souls-like, on y retrouve des mécaniques qui appartiennent au genre et surtout, un univers qui souhaite nous échapper et qui s’interprète. Le monde est cohérent, avec une narration agréable sans pour autant être trop cryptique. Un habile mélange des genres, entre le mystérieux du souls-like et le direct d’un RPG classique, qui permet d’apprécier une histoire efficace et franche, tout en soulevant des pointes de mystère de temps en temps.

Concernant l’écriture du titre, elle se révèle assez simple, mais permet d’avoir une aventure aussi humaine qu’épique. Certains choix que l’on peut faire durant les dialogues permettent de débloquer différentes fins, mais cela n’est pas toujours évident à distinguer. Si les textes des PNJ sont bien écrits, ceux des joueurs, en revanche, manquent cruellement de finesse, voire comportent des erreurs de vocabulaire. Certaines phrases n’ont tout simplement pas de sens et risquent de déclencher des avancées vers des fins que l’on ne souhaite pas forcément par manque de compréhension. Heureusement, notre personnage parle peu et cette impression s’oublie vite quand on le compare avec le reste.

Mandragora: Whispers of the Witch Tree recrutement du cuisinier
Les PNJ sont de sacrés personnages

En effet, on se plaît à discuter avec chaque PNJ, qui bénéficient tous d’un excellent doublage anglais et d’une bonne écriture. Leurs comportements sont assez réalistes et correspondent à comment des personnes peuvent agir dans un univers sombre et oppressant, avec quelques touches d’humour, preuve de la résilience humaine. Il est d’ailleurs très plaisant de remarquer l’utilisation d’expressions, de chansons populaires ou encore de subtiles références d’Internet faisant partie de la culture française. Une chouette attention de la part des traducteurs qui fait sourire. Chaque rencontre est un plaisir pour les oreilles et l’occasion de retrouver un peu d’humanité, pour le meilleur comme pour le pire.

Mortel, mais de toute beauté

Mais avant son histoire, ce qui est saisissant dans Mandragora, c’est sa direction artistique. Le jeu tourne sous le moteur Unreal Engine qui exploite à merveille les graphismes en 2.5D. Les modèles des bâtiments et des personnages sont simples, mais cela leur permet de rester la plupart du temps lisibles et compréhensibles, surtout quand de nombreux ennemis sont présents à l’écran ou que des effets de particules se superposent. On peut souligner l’utilisation d’un filtre donnant un effet de flou gaussien, appuyant l’ambiance onirique des lieux et donnant lieux à de superbes jeux de lumières

Dans l’ensemble, le jeu gère avec efficacité ses décors, en proposant des visuels magnifiques en arrière-plan qui montrent la richesse des environnements que l’on parcourt, tels que des moulins parmi les champs, les bois embrumés d’un marécage ou des étendues d’eau scintillantes dans le soleil couchant. Chaque zone possède un vécu qui est retranscrit par une narration environnementale maîtrisée. Il est un peu dommage que la profondeur de champ ne serve pas à montrer des événements de l’histoire, comme la présence d’un boss ou des déplacements de monstres, à l’image de certains metroidvania.

Mandragora: Whispers of the Witch Tree ambiance environnement
Des décors à l’ambiance réussie

En revanche, les illustrations des cinématiques et des personnages sont particulièrement bluffantes. Elles utilisent ce qui est appelé un style pictural, ressemblant ainsi à de véritables peintures avec de légères animations, changeantes en fonction de l’humeur du PNJ représenté. On se surprend souvent à contempler un visage pourtant peu agréable, mais saisissant de vie, unique à cet art brut. Cela fait beaucoup penser au style du studio Vanilla Ware, qui utilise une animation semblable pour certaines de ses illustrations, mais avec un aspect plus réaliste et occidental.

Il est regrettable que la carte n’ait pas bénéficié de la même attention graphique. Son apparence est bien trop simple quand on la compare avec les illustrations, ce qui casse l’immersion. Ce choix peut s’expliquer par le fait qu’elle montre toutes les ressources à collecter et certains obstacles découverts, ce qui pourrait devenir illisible. On aurait quand même bien apprécié un entre-deux entre le style épuré et l’imagerie générale.

C’est en tout cas un rôle que remplit parfaitement la bande-son. Mandragora possède une ambiance sonore qui nous plonge parfaitement dans son univers sombre en proposant des thèmes représentant la mélancolie des lieux ou l’hostilité qui s’en dégage, auxquels s’ajoutent les sons d’ambiance propres aux niveaux ainsi que ceux que produisent les ennemis au loin : insultes, grondements ou raclements, par exemple. Cela nous fait d’autant plus remarquer les rares et véritables musiques du jeu qui possèdent une atmosphère chargée de mystère.

Patience et puissance

Comme mentionné plus haut, Mandragora: Whispers of the Witch Tree est à la fois un souls-like et un metroidvania, avec des notions de difficultés propres à ces deux genres. La prise en main du gameplay est rapide, mais il faut constamment faire preuve de prudence, d’attention et de méthode. Le jeu propose de nombreux moyens pour que le joueur puisse accomplir sa quête, que ce soit en gérant son équipement avec les marchands recrutables ou en se renforçant grâce aux impressionnants arbres de compétences.

Ces derniers, au nombre de 6, constituent le cœur du gameplay du jeu et peuvent se comparer à des classes connues des RPG, comme le paladin, le druide ou l’assassin. Les premiers niveaux servent à se familiariser avec une seule de ces spécialités, avant de débloquer les autres après quelques heures de jeu une fois niveau 25. Mandragora possède un système avec un fort potentiel de combinaisons de capacités.

Mandragora: Whispers of the Witch Tree Arbre de compétences
Un arbre de compétences bien fourni, mais qui reste simple

Si les arbres de compétences semblent compliqués, ils sont pourtant très simples. Chaque classe ne possède en réalité que 16 capacités passives que l’on peut débloquer ; les autres cercles représentent des gains de caractéristiques. Il est possible de privilégier différents chemins en fonction de son style et de mettre en place des synergies de compétences pour des effets dévastateurs.

Les sorts et capacités actives, quant à eux, ne se débloquent qu’à mesure que vous progressez dans l’aventure, que ce soit en vainquant des ennemis, en les achetant auprès de marchands ou dans des coffres cachés. Ce qui peut se révéler frustrant si jamais votre cheminement vous emmène loin des sorts spécifiques à votre choix de départ. D’autant plus que certains ennemis peuvent se révéler être de sérieux obstacles dans votre exploration de Faeldumm.

Sur le même sujet, il faudra environ une bonne cinquantaine d’heures pour terminer Mandragora: Whispers of the Witch Tree, sans pour autant pousser l’exploration à fond. La plupart des améliorations de déplacement se découvrent à partir d’une dizaine d’heures, en suivant la quête principale et elles se révèlent vite indispensables pour tous bon explorateur. En effet, Le jeu possède de nombreuses plateformes où il est difficile de se déplacer, les ennemis peuvent attaquer en nombre ou profiter d’une position avantageuse où une mauvaise esquive peut conduire à une chute mortelle.

Des affrontements éreintants

Comme le dit Primal Game Studio, Mandragora n’est pas un jeu de combat où il est possible d’échanger des séries de coups avec vos ennemis sans broncher. Ils sont bien trop nombreux, voire résistants. La stratégie est de mise et il faudra anticiper leurs attaques pour s’en sortir. Évidemment, cela se révèle essentiel contre tous les boss, qui seront souvent de formidables adversaires qu’il faudra prendre le temps de bien analyser pour leur survivre. Même si la plupart peuvent se montrer assez simples, ils possèdent généralement une attaque difficile à comprendre et capable de faire fondre la barre de vie, imposant un pic de difficulté inattendu au milieu d’un combat et jouant avec votre santé mentale.

Mandragora: Whispers of the Witch Tree Combat contre un boss
Certains combats demandent de dépasser ses limites avec finesse

Surtout si on prend en compte le fait que, à notre goût, la plupart des ennemis possèdent bien trop de points de vie. Cela concerne aussi bien les boss qui peuvent se révéler assez épuisants, que les monstres de base. Heureusement, Mandragora en est conscient et propose de réduire certains paramètres, comme les dégâts subis par le joueur, les coûts d’endurance ou la santé des ennemis jusqu’à 70 % de leur montant initial. Ce qui nous parait correct pour une bonne expérience de jeu.

On pourrait rétorquer qu’il est possible de foncer à travers les hordes de monstres pour éviter de perdre du temps ou des ressources, mais cela est sans compter les récompenses lâchées à leurs morts : de l’essence pour monter de niveau, de l’or pour les marchands et des matériaux pour fabriquer vos équipements. Et vu l’importance de la fabrication dans ce jeu, il vaut mieux posséder le plus de ressources possible.

S’équiper pour briller

Mandragora: Whispers of the Witch Tree fait la part belle aux marchands, bien plus que ne le font les autres titres du genre. Ils sont un élément essentiel dans la progression du personnage et permettent de grandement faciliter la survie, que cela soit en fabriquant des armes, des armures, des potions ou pour l’enchantement. La récolte est une nécessité dans ce jeu.

L’introduction des marchands se fait en douceur et récompense naturellement l’exploration. Presque la totalité d’entre eux sont optionnelles et demandent de faire preuve de curiosité pour les recruter, que ce soit en leur parlant dans les villages, en accomplissant des quêtes ou en les sauvant de griffes de monstres. Chaque marchand est une belle rencontre qui apporte son lot de mystère et là possibilité de se renforcer, à condition d’investir dans son activité.

Et oui… malheureusement le commerce et l’artisanat ne sont pas des activités faciles ni florissantes dans ce monde, vos compagnons vont bien vous le faire comprendre. Les commerces possèdent un système de niveau qu’il faut faire progresser, que ce soit en fabriquant des objets ou en donnant des diagrammes, sortes de parchemins trouvables un peu partout. Plus un marchand possède une activité de haut niveau, plus il proposera des équipements de qualité et réduira ses prix. D’où la furieuse nécessité de récolter le plus de matériaux possible, que cela soit sur des monstres ou en les récoltant dans l’environnement.

Entretenez un petit jardin chez votre alchimiste favorite

En soi, Mandragora: Whispers of the Witch Tree possède une boucle de gameplay assez vertueuse, plus on explore, plus on est familier avec les adversaires sur lesquels on trouve de matériaux, plus il est possible de se créer un équipement puissant. De plus, on s’attache bien vite à la personnalité de chacune de nos rencontres et on peut même regretter qu’il n’y ait pas plus d’interactions entre eux pour développer un esprit de communauté.

Verdict

Malgré quelques défauts, Mandragora: Whispers of the Witch Tree s’est fait sa place parmi les références du genre metroidvania souls-like. C’est un pari réussi de la part des développeurs de chez Primal Game Studio qui ont fait preuve aussi bien de passion que d’expertises. Il aurait été agréable que le jeu exploite bien plus de concepts, comme l’utilisation de l’arrière-plan ou les interactions entre PNJ. Heureusement, la gestion des compétences avec les arbres de classes et la fabrication d’équipements constituent des mécaniques de jeu qui s’apprécient grandement.
Si vous cherchez une bonne expérience d’exploration, dans un univers sombre et avec des combats intéressants, malgré quelques pics étranges de difficulté, alors ce jeu trouvera sans problème sa place dans votre collection.

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Preview : 2XKO : deuxième round avant le match final, voici notre seconde preview

Par :Cael
19 avril 2025 à 19:01
En août 2024, nous avions participé à l'Alpha Lab de 2XKO presque en catimini, en dégotant un code dans la grande loterie des participations organisée par Riot Games. Un coup de chance qui nous avait permis de découvrir un jeu de combat 2v2 particulièrement riche, mais certes loin d'être terminé. Aujourd'hui, alors que l'éditeur lance l'Alpha Lab 2, nous pouvons confirmer que nous sommes arrivés par l'entrée des artistes, la semaine dernière, à un gros événement parisien où nous avons pu tâter les nouveautés.

La démo de Deadzone: Rogue n’est finalement pas si nulle et l’accès anticipé débutera le 29 avril

Par :Estyaah
19 avril 2025 à 18:09

On avait découvert Deadzone: Rogue lors de la sortie de sa démo en novembre dernier. Les développeurs de Tribes 3: Rivals, nous proposaient une variante roguelite de son feu extraction shooter pourri Starsiege: Deadzone. Mais malgré un feeling correct, l’IA de merde et les niveaux un peu nuls ne nous avaient pas convaincus. Malgré tout, il y a une dizaine de jours, les créateurs ont annoncé la sortie de l’accès anticipé pour le 29 avril prochain. Mais une chose a retenu notre attention dans ce billet de blog : « fort de plus de 100 000 whishlists et d’une note de plus de 90 % ». Comment est-ce possible pour une démo aussi pourrave ? Les gens ont-ils toujours plus un goût de merde ?

Par déontologie journalistique (promis, ce n’est pas une insulte), nous avons voulu vérifier si l’expérience avait été retravaillée. Surprise, c’est bien le cas. Alors oui, les ennemis sont toujours des putains de robots, mais ils sont maintenant beaucoup plus vifs, et il y a rapidement un certain challenge. Pareil pour les environnements : ce n’est toujours pas très inspiré, mais ça fonctionne plutôt bien au final. Et il semble que le feeling se soit également légèrement amélioré, alors qu’il n’était déjà pas trop mal. D’autre part, l’aspect roguelite avec les armes de différents niveaux de puissance et effets aléatoires, associées à des augmentations de capacités temporaires, accroche immédiatement. Enfin, cerise sur le gâteau, il apparaît qu’il soit possible de jouer en coopération. On n’irait pas jusqu’à dire que c’est un sans faute, mais force est de constater que c’est une bien meilleure expérience qu’il y a six mois. Et vu le nombre de wishlist, il est fort probable que le titre ait son petit succès lors de sa sortie. Il sera proposé à 20 € pendant deux semaines, puis à 25 €.

En attendant le 29 avril pour le lancement de l’accès anticipé, vous pouvez toujours tester la démo de Deadzone: Rogue en vous rendant sur sa page Steam.

The Research – part one, la nouvelle mise à jour de Gloomwood est sortie

Par :Loulou
19 avril 2025 à 17:22

Après la sortie de la dernière mise à jour de décembre 2024, les devs du jeu Gloomwood sont restés bien silencieux depuis, et ce n’est que dans le courant de la semaine que ces derniers ont publié un billet de blog Steam pour annoncer le déploiement d’une nouvelle mise à jour, The Research. Désormais, vous pouvez vous transformer en Goatman, Bat Barber ou Crowman,et bénéficier de leurs capacités. Pour ce faire, il vous faut au préalable user de votre scie à os sur le cadavre de ces créatures pour récupérer les parties nécessaires à la création d’un sérum. En dehors de ça, vous disposez également d’un journal de bord répertoriant moult informations (carte, recettes de sérum, état de santé…).

Avec cette nouvelle mise à jour, l’action prime davantage sur la discrétion et vous permet d’abattre avec moins de difficulté vos ennemis. Il semblerait même que vos semblables monstrueux vous rejoignent durant vos confrontations. Les devs ont d’ores et déjà annoncé que de nouvelles transformations arriveront plus tard, dont des créatures de plus petites tailles.

Actuellement, Gloomwood est toujours en accès anticipé et bénéficie d’une réduction de -25 % dans le cadre des Lovecraftians Days de Steam, soit un peu moins de 15 €, si vous êtes intéressé.

Metal Gear : un concert symphonique d'exception aura lieu à Londres en 2025

19 avril 2025 à 15:20
Décidément revenue d'entre les mortes, la saga Metal Gear accouchera bientôt d'un remake très attendu (ou redouté, on ne sait pas trop) tandis que les plans de Konami quant au futur de la série restent à déterminer. En tout cas, vous serez ravis d'apprendre qu'un concert inédit aura lieu dans la capitale anglaise… et vous le serez d'autant plus si vous les moyens de vous rendre sur place.

Il vend des Switch piratées au Japon et écope d'une peine de prison avec sursis, une première du pays

19 avril 2025 à 12:54
On ne rigole pas avec Nintendo, surtout pas quand il s'agit de violer ses droits d'une quelconque manière. L'entreprise vient de gagner son procès contre un Japonais de 58 ans qui avait vendu des Switch modifiées par ses soins, pour savoir si les gens pensaient de lui "qu'il était génial".

Wednesdays

19 avril 2025 à 12:47
J’annonce, ce test va être weird et personnel. Je vais parler à la première personne, de ma vie, de moi, et probablement éviter l’humour. Bref, pas du tout ce qu’on fait normalement sur Factornews. Mais quand on veut causer de jeux comme Wednesdays, qui est weird et personnel, il faut se mettre sur la même longueur d’onde.

GoldenEye 007 a failli avoir son remaster, mais Nintendo a dit non

19 avril 2025 à 11:12
On compte désormais plutôt studios spécialisés dans le portage et la préservation de jeux vidéo : le plus connu est sans doute Bluepoint pour le compte de Sony, mais il ne faudrait pas oublier Nigthdive Studios, désormais sous l'égide d'Atari, dont le pedigree commence à s'épaissir sérieusement. La firme était à deux doigts de travailler sur GoldenEye 007.

Entre nostalgie et nouveautés, Painkiller dévoile son arsenal

Par :Loulou
19 avril 2025 à 02:34

Cette semaine s’est déroulée le Galaxies Gaming Showcase 2025 et de nombreuses annonces plus ou moins intéressantes ont été faites. Parmi elles, on retrouve une vidéo de Painkiller nouvelle génération, un FPS coopératif où vous devrez détruire du démon à la chaîne pour mériter votre place au paradis. Pour les nostalgiques et les néophytes de la licence, le trailer vous spoile sans remord presque toutes les armes qui seront présentes dans le jeu. Hormis les armes de poing, tout le reste sont les pétoires iconiques du jeu avec des tirs alternatifs. Dans l’ensemble, le gunfeel a l’air pas mal, même si c’est encore joué à la manette.

On notera également que le gatling/rocket gun permet de tirer des projectiles auto-guidés, ceci va ravir nos amis consoleux adeptes de l’aide à la visée. En somme, les devs ne prennent pas trop de risques en jouant la carte de la nostalgie. C’est bien dommage que plus de dix ans après Painkiller Hell & Damnation, il n’y ait pas l’introduction de nouvelles armes plus inventives et impactantes pour marquer le coup.

Sinon, Painkiller est toujours prévu pour l’automne prochain. En attendant de nouvelles infos, vous pouvez toujours ajouter ce dernier à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.

Découvrez les armes expérimentales de Mouse P.I. For Hire

Par :Loulou
19 avril 2025 à 01:17

Dans le courant de la semaine, Fumi Games, le studio derrière le développement du rétro-FPS Mouse P.I. For Hire, a publié une vidéo pour dévoiler quelques armes du jeu. Catégorisées comme expérimentales, ces dernières comprennent :

  • The COOL-D permettant de geler vos adversaires et les briser en mille morceaux pour en faire des glaçons apéritifs,
  • NO MORE LUKEWARM SODA transformant quiconque touché par un projectile en liquide,
  • CLEAN-D projetant de l’acide pour dissoudre la chair de vos ennemis et ne laissant que leur squelette,
  • MIND-D faisant exploser n’importe quelle tête grâce à des ondes

Les animations de mort qui s’en suivent sont plutôt marrantes et permettent profiter de la puissance de chaque arme. Le jeu a l’air toujours aussi fun, que ce soit dans sa direction artistique ou son gameplay. Pour rappel, vous incarnerez une souris détective luttant contre la pègre ayant corrompu la ville de Sourisville. En parallèle de la distribution de plombs, vous devrez mener une enquête pour découvrir la vérité derrière la présence de ces gangs tous aussi loufoques les uns que les autres.

La date de sortie est toujours prévue courant 2025. En attendant une annonce plus précise, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.

[TEST] Kingdom Come: Deliverance II : de prince à roi, il n’y a qu’un pas

Par :Estyaah
18 avril 2025 à 21:34

Apres un Kingdom Come: Deliverance qui aveiet convencut les joeors, malgré une realisation dung aultres temps & des combats très rigoureus, les Polonais de Warhorse Studios sont retornés sur la suite artiser, Kingdom Come: Deliverance II, mais avecques des deniers bien plus encores. Cela se senteit sur tout du coste de la communication, qui moltepliait les anonces & representations avecques les comediens pris comme essamples por le gieu. Por autant, on nestoit points soucieux sur ço que la compaignee estoit capable de produire, a veüt de lor parcours. Il ne restoit plus qu’à croisier les deitz por que les grosses lacunes du premiers opus söent corrigiées, tot en conservant à moins les qualités descripture. Mais plus on sapprochieit de la date de publication, plus on estoit confiants. Certes, il y a encores des soucis menors, mais cest indubitable : Kingdom Come: Deliverance II est une excellente oevre, & sans dote le meillor gieu de role à la première persone jamais realisé.

Genre : RPG | Développeurs : Warhorse Studios | Éditeur : Deep Silver (Embracer Group) | Plateforme : Steam, GoG, Epic Games Store | Prix : 60 € | Configuration recommandée : i7-13700K, 7800X3D, 32 Go de RAM, RTX 4070, RX 7800 XT | Langues : Tchèque, Français, Anglais… | Date de sortie : 04/02/2025 | Durée de jeu : jusqu’à 120 h

Test effectué sur une version Steam fournie par notre partenaire Gamesplanet.

Kingdom Come Deliverance II - Chemin menant au château de Trosky, que l'on aperçoit en haut d'une colline.
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Quelle descoverte !

Kingdom Come: Deliverance II n’est pas comme les autres RPG. C’est un long périple, quelquefois fastidieux, mais extrêmement attachant. Quel jeu peut se vanter de toujours surprendre le joueur après une centaine d’heures, au détour d’un chemin, à la vue d’un panorama d’une crédibilité incroyable ? Le CryEngine a repris du service pour ce deuxième volet, mais on sent que l’équipe artistique s’est démenée pour en tirer le meilleur. Les performances sont admirables, et le rendu est parfois extraordinaire, surtout en pleine nature, grâce à une modélisation superbe et une gestion de la lumière magistrale. À de très nombreuses reprises, alors que je voyageais à cheval entre deux villages, j’ai mis pied à terre pour admirer la composition. Quelques arbres par-ci, un bosquet par-là, le tout sur un terrain aux reliefs très réalistes, qui font inévitablement penser à nos campagnes, même si l’action se déroule ici beaucoup plus à l’est, en Bohème. On sera également amenés à visiter des places fortes, des châteaux et une grande cité, tous admirablement réalisés. On sent que les développeurs ont énormément apporté d’attention aux détails, alors qu’ils ont tout de même créé un vaste monde ouvert, divisé en deux cartes. Ils l’ont peuplé de personnages qui font globalement illusion et apportent de la vie à l’univers, bien qu’ils ne brillent pas spécialement par leur « intelligence ». Il est assez facile d’exploiter leurs faiblesses, et leur comportement est typique du jeu vidéo, mais ce n’est pas choquant, ni réellement gênant.

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Kingdom Come Deliverance II - Un livre

Une belle estoire

La narration est sans doute la pièce maîtresse de Kingdom Come: Deliverance II. L’histoire débute a priori quelques jours ou semaines après les événements du premier épisode – dont je n’avais fait que l’introduction de quatre heures. Pas d’inquiétude, tout est compréhensible même si vous débutez par cet épisode. Il vous manquera uniquement quelques références peu importantes. La quête principale comporte son lot de rebondissements et de cinématiques de très bonne facture, et nous met rapidement dans une position classique du jeu vidéo : on a tout perdu, et il faut remonter la pente. Si cette aventure est très bien réalisée, la myriade de quêtes secondaires est peut-être la plus grande réussite du titre. Ce qui le différencie de la quasi-totalité de la production vidéoludique, c’est qu’il y a quasiment toujours un imprévu, même pour la moindre des rencontres. C’est bien écrit et j’ai souvent été surpris par les retournements de situations. Les dialogues sont pleins d’humour, mais ce n’est pas trop lourd – en tout cas, à mon goût. J’ai vraiment été transporté, et j’ai pris plaisir à incarner notre héros Henry. J’ai été tiraillé par des choix à faire ou révolté par certains événements. Certes, on voit qu’on est dans un jeu vidéo : les animations ne sont pas parfaites, les échanges dans les dialogues manquent parfois de naturel ou sont un peu trop hachés, et on ne peut pas toujours choisir la nuance que l’on voudrait. Mais on s’y croit quand même et on ressent réellement des émotions.

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Des combats de grande arduité

Il est encouragé de parcourir Nexusmods pour façonner l’aventure à sa guise. J’ai par exemple utilisé le mod permettant de supprimer l’animation insupportable pour ramasser les plantes.

Bien que je n’aie pas pu le constater par moi-même, la réputation d’avoir des combats catastrophiques précédait Kingdom Come: Deliverance. Aussi, j’appréhendais un peu cette mécanique, d’autant plus que Warhorse persistait à les définir comme « historically acurate ». Finalement, il s’avère que j’ai énormément apprécié. Au lieu des six possibilités d’attaque du premier, on retrouve trois ou quatre angles – selon le type d’arme –, et c’est donc fatalement moins difficile de contrer les assauts adverses. Les animations et l’impact des coups sur les ennemis donnent une très bonne impression de puissance, et les combats singuliers peuvent parfois durer quelques minutes, avec des entrechoquements de lames aussi exaltants que dans un film de chevaliers. On est dans un RPG, c’est en forgeant qu’on devient forgeron – au sens propre, comme au sens figuré. Les combats sont donc difficiles au début, surtout lorsqu’il y a plus d’un adversaire. Mais ils deviennent assez rapidement gérables, et on peut utiliser des préparations pour augmenter sa force ou son endurance afin d’avoir de meilleures chances. D’autre part, il est possible d’user de discrétion pour assassiner les cibles qui ne nous ont pas remarqué et ainsi réduire leur nombre avant un assaut frontal. Les armes de jet sont également difficiles à manier au début de l’aventure, et il faudra beaucoup pratiquer pour maitriser l’arc, l’arbalète et même le canon à main. Mais si l’on a parcouru le monde pour les quêtes secondaires avant de suivre la trame principale, on explose très facilement tout le monde, même à cinq ou six contre un, ce qui peut parfois briser un peu l’immersion. Cela dit, c’est parfois bien utile d’avoir augmenté ses capacités, notamment en infiltration, puisqu’une séquence obligatoire nécessite de se balader dans un château sous le nez des gardes. Un passage plutôt frustrant, heureusement unique dans l’aventure.

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Cest dens les vielz pots…

Impossible de se tromper, Kingdom Come: Deliverance II est un RPG pur jus, en droite lignée du précédent jeu : on a des dizaines de compétences que l’on améliore en pratiquant, en étudiant des livres, ou en apprenant auprès de PNJ. Il y en a de globales, comme la force, l’agilité ou l’éloquence, et d’autres plus spécifiques, comme le maniement de l’épée, la fabrication ou l’alchimie. Tous les deux niveaux, on gagne un bonus supplémentaire, souvent situationnel. On aura, par exemple, un gain d’endurance au combat, plus de chances d’impressionner ses interlocuteurs, ou encore, permettre à son chien de chasser. Cette mécanique fonctionne bien : on est toujours impatient de découvrir quelle nouvelle capacité on va pouvoir choisir. Malgré un peu plus de 120 heures de jeu, je n’ai pas pu monter l’ensemble des stats. Cependant, certaines arrivent rapidement au niveau max – notamment celle de l’épée –, ce qui facilite grandement quelques phases de gameplay.

Kingdom Come: Deliverance II propose plusieurs activités qui peuvent s’apparenter à des mini-jeux : les dés, l’alchimie et le forgeage. Je ne vais pas vous expliquer le principe des dés, donc passons directement à l’alchimie. Il s’agit d’une méthode très sympa pour réaliser des potions, et j’ai passé pas mal de temps à en fabriquer. Le but est de suivre une recette détaillée dans notre livre, et il faut suivre les instructions. Deux poignées d’ortie, on fait bouillir pendant un sablier, puis on ajoute de la camomille broyée… Vous voyez le principe. A priori, c’est une mécanique reprise du précédent opus, et c’est une très bonne idée, car ça fonctionne parfaitement. Par contre, j’ai beaucoup moins apprécié le travail à la forge, que j’ai trouvé plus répétitif, puisque, je vous le donne en mille, il faut taper à de nombreuses reprises avec son marteau sur la pièce à forger, préalablement chauffée à blanc.

Elle aussi reprise du précédent titre, l’interface est un modèle du genre. La carte est magnifique et l’inventaire est très bien réalisé. Il est à la fois esthétique et compréhensible. D’autre part, les objets que l’on peut ramasser font apparaître un petit label en parchemin, qui n’a évidemment aucun sens du point de vue réalisme, mais qui s’intègre à merveille dans le gameplay.

 

Doulce musique & belles interpretations

Lors de la publication des premières previews, quelques semaines avant la sortie du jeu, la presse et les influenceurs francophones avaient été unanimes : le doublage était à chier. Assez rapidement, l’éditeur Plaion (qui possède Deep Silver) avait indiqué qu’un nouvel enregistrement était en cours, et qu’il serait proposé en partie à la sortie du jeu, puis complètement dans un patch ultérieur. D’un naturel moqueur, j’étais donc plutôt enthousiaste de découvrir la catastrophe le jour de la sortie. Mais j’ai été assez déçu : finalement, le doublage des quêtes du début du jeu avait été corrigé en priorité, et c’était déjà de très bonne qualité. Comme j’ai avancé plutôt lentement dans l’aventure, le patch complet est arrivé avant que je ne rencontre trop d’incohérences. Cependant, il reste quelques PNJ atrocement doublés, mais c’est tellement nul qu’il est difficile de savoir si c’est le produit d’une intelligence artificielle ou celui d’un aphasique sous Lexomil. Heureusement, c’est largement compensé par le très bon travail effectué sur tous les autres personnages, notamment les principaux, dont l’interprétation fait plaisir à voir. Les intonations sont pertinentes et collent parfaitement aux situations, c’est vraiment chouette. De son côté, la musique médiévale est également superbe. Certains morceaux restent en tête – surtout après 100 heures de jeu –, et il m’est souvent arrivé de siffloter quelques airs. On peut d’ailleurs trouver l’OST sur les différentes plateformes de streaming et sur YouTube.

Vive le roy !

Kingdom Come: Deliverance II est une expérience incroyable. Le monde ouvert créé par Warhorse Studio est à la fois très crédible, mais aussi extrêmement beau, surtout en pleine nature, avec la lumière du crépuscule rasant les hautes herbes. Pour autant, il tourne plutôt bien et ne devrait pas poser trop de soucis de performances. Mais si on est attiré par ses atours, c’est pourtant bien sa narration qui nous retient : pleine de rebondissements, de surprises et d’humour, l’histoire nous emporte volontiers, même dans les nombreuses quêtes secondaires. Côté gameplay, on craignait que les mécaniques de combat soient un peu rugueuses, compte tenu de l’attachement des développeurs à la précision historique. Cependant, il s’avère que c’est très plaisant, voire exaltant en duel. Certes, on est dans un RPG, donc mieux vaut développer les compétences des domaines que l’on apprécie pour profiter au mieux du titre. L’inconvénient, c’est que certains passages pourront devenir un peu trop faciles après quelques dizaines d’heures, notamment les affrontements contre plusieurs adversaires, qui prennent une tournure parfois comique. L’immersion reste néanmoins très bonne, notamment grâce à la cohérence de l’univers, uniquement brisée de-ci, de-là par le comportement de quelques PNJ. Et les activités annexes que sont le forgeage et l’alchimie apportent des mécaniques intéressantes, voire amusantes. Tout cela se fait dans une ambiance musicale admirable, et avec des doublages français globalement très réussis, sauf rares exceptions. Si vous avez une centaine d’heures devant vous, n’hésitez pas, lancez-vous, même si vous n’avez pas fait le premier.

Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.

index.feed.received.yesterday — 18 avril 20257.3.1 🎲 Sites principaux

Les bons plans NoFrag du week-end préparent Pâques

Par :Estyaah
18 avril 2025 à 17:54

Dans quelques jours, les bons plans NoFrag du week-end fêteront Pâques. Mais si, vous savez, ce jour où les cloches volent et où les lapins chient des œufs, comme c’est écrit dans la Bible. Cette année, vous invitez, alors il faut bien se préparer. En apéritif, rien de mieux que des olives décorées, fichées sur de jolis pics, et accompagnées d’un petit Spritz. Pour l’entrée, proposez une petite terrine et des rondelles de saucisson, qui épateront à coup sûr vos convives. On passe à la volaille pour le premier plat, avec une recette mère & fille : « belle dinde fourrée à l’œuf dur et sa crème de champignons ». Le second plat est évidemment la recette père & fils : « paupiettes de veau au steak haché de taureau et leur sauce rouge, accompagnées de fines galettes de tubercules ». Vous aurez pris le soin de dresser la table avec des couverts de bon aloi. Vient ensuite le plateau de fromages. N’hésitez pas à sortir des sentiers battus. Pour le dessert, on reste dans le thème du lapin, avec un carrot cake, agrémenté de quelques friandises. C’est pas le tout, il ne faut pas oublier de cacher des chocolats dans le jardin, sinon les enfants vont être déçus ! Alors ne lésinez pas sur la quantité. Et voilà, vous avez les ingrédients d’une journée inoubliable !

Les bons plans Amazon

Même en vacances, notre expert Gothax est allé explorer les rayons de notre partenaire Amazon pour vous proposer une petite sélection :

Et si aucun de ces produits ne vous fait de l’œil, vous pouvez tout de même nous soutenir en ajoutant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’URL de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous permettre de grappiller quelques euros fort utiles.

Code promo DOOMFRAG

On vous rappelle que DOOM: The Dark Ages, qui sort le 15 mai 2025, bénéficie toujours de 11 % de réduction sur ses précommandes avec le code promo DOOMFRAG. Cela fait que l’édition standard passe à 71 €, et l’édition premium à 97 €. Mais il y a aussi de nombreuses promotions proposées par notre partenaire Gamesplanet :

Et dans tous les cas, si vous trouvez des choses qui vous intéressent, vous pouvez ajouter ?ref=nofrag à la fin de l’URL pour nous faire gagner quelques centimes. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !

Merci à tous pour votre soutien !

Le FPS Soulslike Covenant donne de ses nouvelles 4 mois après son annonce

Par :Val
18 avril 2025 à 15:00

Legion Studios vient de dévoiler une nouvelle bande-annonce de Covenant, leur prochain jeu de combat dark fantasy en vue à la première personne, actuellement en développement sur PC (Steam). Pas encore de date de sortie, mais le ton est donné : du Soulslike, des boss, du combat viscéral, et une ambiance bien sombre.

C’est quoi Covenant ?

Covenant vous met dans la peau du dernier messager vivant d’un monde mythique, un ange guerrier chargé de découvrir ce qui a fait sombrer Malach, un ancien héros tombé dans l’abîme. Pour comprendre sa chute, vous devrez traverser un monde ouvert interconnecté, affronter des monstres, résoudre des énigmes, et surtout… survivre à tout ce qui veut votre peau.

Les mécaniques clés

  • Un univers Dark Fantasy à la Dark Souls avec de l’exploration libre, des raccourcis à débloquer, des secrets à dénicher, des plateformes et énigmes sur le chemin.
  • Des combats en vue FPS ultra physiques : frappes, coups de pied, roulades et saisies des ennemis à la gorge.
  • Des mouvements dynamiques : glissades, sauts muraux, esquives… tout est fluide, mais demande du skill.
  • Système de posture et d’arme 1 main/2 mains que l’on retrouve dans les Soulslike : plus de puissance ou plus de mobilité, à vous de choisir.
  • Sorts, auras, stances : la manière de bouger et de se battre change complètement selon la posture choisie.
  • PVP : duels en 1v1, 2v2, et 3v3 dans des arènes dédiées.
  • De la co-op possible pour faire la campagne à plusieurs ou affronter les boss en bande.
  • Système de craft de build poussé : armes, sorts, anneaux, tenues, catalyseurs… plein de façons d’adapter votre style de jeu.

Covenant, c’est un gros mélange entre Dark Souls, Destiny et un FPS brutal à la DOOM, le tout dans un univers de fantasy sombre et mystique. Si vous aimez les défis, le lore cryptique, et les duels qui font suer, gardez un œil dessus.

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