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Reçu aujourd’hui — 27 décembre 2025 7.4.2 📰 Infos Monde

Régulation du numérique : un nouvel avertissement pour les Européens

27 décembre 2025 à 11:00
L’ancien commissaire européen Thierry Breton ainsi que quatre personnalités de la société civile, engagés dans des efforts de contrôle des contenus en ligne, seront privés de visa pour les Etats-Unis. Ces sanctions doivent accélérer un début de prise de conscience et raviver un indispensable réflexe d’unité.

© JOHN THYS/AFP

Pour Volodymyr Zelensky, l'attaque visant Kiev montre que la Russie "ne veut pas mettre fin à la guerre" en Ukraine

27 décembre 2025 à 10:28
Une attaque visant Kiev dans la nuit du 26 au 27 décembre, imputée à la Russie, a tué au moins une personne dans la région et fait 28 blessés, dont deux enfants. Treize personnes ont dû être hospitalisées, selon un bilan publié par Vitali Klitschko, le maire de la capitale ukrainienne sur Telegram.

Ukraine : ce que l’on sait de la prochaine rencontre entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky

27 décembre 2025 à 10:26

C’est une rencontre attendue. Ce dimanche 28 décembre, le président ukrainien Volodymyr Zelensky et son homologue américain Donald Trump doivent se réunir en Floride, pour échanger notamment sur le sujet très sensible des territoires occupés par la Russie. Peu avant les négociations, le locataire de la Maison-Blanche avait un message très clair pour son homologue. Volodymyr Zelensky "n’aura rien tant que je ne donne pas mon accord", a-t-il averti dans un entretien accordé vendredi au site Internet Politico. "Je pense que ça se passera bien avec lui. Je pense que ça se passera bien avec [le président russe Vladimir] Poutine", a-t-il encore déclaré, précisant qu’il s’apprêtait à échanger prochainement avec le dirigeant russe, "autant de fois que je le souhaiterai".

Les pourparlers en vue d’un règlement du conflit se sont accélérés ces dernières semaines, à la suite de la présentation d’un plan dévoilé par Donald Trump. Alors que ce document était considéré initialement par Kiev et les Européens comme trop favorable à Moscou, Volodymyr Zelensky a dévoilé cette semaine les détails d’une nouvelle mouture, retravaillée mais critiquée par Moscou, qui a accusé l’Ukraine de vouloir "torpiller" les négociations. Cette version prévoit un gel de l’actuelle ligne de front sans offrir de solution immédiate concernant les revendications territoriales de la Russie, qui occupe plus de 19 % de l’Ukraine. "Nous avons un programme chargé", avait déclaré vendredi le président ukrainien à des journalistes, évoquant une rencontre "pendant le week-end" qui a ensuite été confirmée par son cabinet. Le chef d’État sera reçu par Donald Trump dans sa résidence floridienne de Mar-a-Lago, où il passe les fêtes de fin d’année.

Un accord peu probable

Selon Volodymyr Zelensky, les discussions porteront sur les "questions sensibles" du sort du Donbass, une région industrielle et minière de l’est de l’Ukraine que Moscou revendique, et de la centrale nucléaire de Zaporijjia (Sud) occupée par les soldats russes. Les deux hommes évoqueront aussi les garanties de sécurité que les Occidentaux pourraient fournir à l’Ukraine dans le cadre d’un éventuel accord de paix avec la Russie, a-t-il poursuivi. "Il y a certaines questions dont nous ne pouvons discuter qu’au niveau des dirigeants", a expliqué le président ukrainien, qui s’est entretenu vendredi avec plusieurs dirigeants européens dont le chancelier allemand Friedrich Merz, ainsi qu’avec le secrétaire général de l’Otan, Mark Rutte.

Du côté russe, l’accord semble néanmoins peu probable. Car contrairement à la version originale rédigée par les Américains et présentée il y a plus d’un mois, le nouveau texte ne comprend plus aucune obligation juridique de non-adhésion à l’Otan pour l’Ukraine, un chiffon rouge pour Moscou qui l’a présentée comme l’une des causes de la guerre. Le nouveau texte "diffère radicalement" de ce qui avait été négocié entre Washington et Moscou, a constaté vendredi le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, appelant à revenir aux ententes antérieures, faute de quoi "aucun accord ne pourra être conclu". Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a fait savoir qu’un "contact téléphonique" avait "eu lieu" entre Russes et Américains mais a refusé d’en révéler les détails, car "la diffusion de ces informations pourrait avoir un impact négatif sur le processus de négociation".

En attendant une percée dans les négociations, l’armée russe a accéléré ses avancées ces derniers mois. Mardi, les troupes ukrainiennes avaient dit s’être retirées de Siversk, une ville de l’est, face aux assauts ennemis. Une prise facilitant l’approche des dernières grandes cités du Donbass encore sous contrôle ukrainien, Kramatorsk et Sloviansk. Vendredi, non loin du front dans le nord-est, deux personnes ont été tuées et quatre blessées dans une frappe russe sur Kharkiv, la deuxième ville d’Ukraine.

© afp.com/Mandel NGAN, ANDREW CABALLERO-REYNOLDS

EN DIRECT, guerre en Ukraine : la nouvelle attaque massive sur la région de Kiev, preuve que la Russie « ne veut pas mettre fin à la guerre », dénonce Volodymyr Zelensky

27 décembre 2025 à 10:20
Selon le président ukrainien, l’attaque, toujours en cours, menée par « près de 500 drones ainsi que 40 missiles », a détruit des habitations civiles dans certains quartiers de la capitale et de la région. Au moins une personne a été tuée et treize blessées, selon les autorités locales.

© Valentyn Ogirenko / REUTERS

« Ce cessez-le-feu constitue une porte vers une solution pacifique » : la Thaïlande et le Cambodge mettent fin à trois semaines de conflit meurtrier

27 décembre 2025 à 09:45
Après trois semaines de conflit frontalier meurtrier, la Thaïlande et le Cambodge ont convenu d’un cessez-le-feu « immédiat », ce samedi. Un espoir fragile pour les populations déplacées qui aspirent à retrouver leurs foyers pour le Nouvel An.

"L’Europe est une puissance économique qui n’utilise pas sa puissance" : le regard des jeunes lauréats du concours de L’Express

27 décembre 2025 à 08:30

En mai dernier, L’Express a lancé un concours d’éloquence destiné aux jeunes européens de 18 à 25 ans : "Speak up Europe !" Deux sujets, au choix, leur étaient proposés : répondre au discours tenu à Munich par J.D. Vance, le vice-président des Etats-Unis. Ou bien faire l’éloge d’une personnalité européenne dont le visage devrait orner les billets de banque en euros. Les lauréats ont intégré la première promotion de L’Express Europe. Durant un an, ils pourront écrire dans notre journal et proposer des formats vidéo. Le 24 novembre, trois d’entre eux ont participé au colloque organisé par la rédaction à Strasbourg. Chacun d’entre eux livre ici ses impressions.

Le cri d’alarme de trois chefs d’entreprise

Le rapport Draghi alertait, il y a un an déjà, sur le décrochage de la compétitivité européenne, prise en étau entre les Etats-Unis et la Chine. Sur scène, le 24 novembre, au colloque européen organisé par L’Express à Strasbourg, Enrique Martinez (CEO de Fnac Darty), Anna Stellinger (directrice générale adjointe de la Confédération des entreprises suédoises) et Maciej Witucki (président de la confédération Lewiatan) ont réaffirmé ce diagnostic. Leur constat est clair : si l’Europe souhaite rester une puissance économique, elle doit réduire les contraintes administratives qui l’étouffent.

Maciej Witucki témoigne d’un sentiment d’effacement européen, soulignant que le PIB allemand est désormais inférieur à celui de l’Inde, alors que le continent se retrouve marginalisé au coeur des tensions sino-américaines. Selon lui, la solution est d’aboutir la construction du marché unique et d’alléger la régulation européenne. Il ne s’agit pas de renier le modèle social, précise-t-il, mais de donner de l’air aux entreprises. Et, ne nous sous-estimons pas. "L’Europe est une puissance économique qui n’utilise pas sa puissance", souligne Witucki. Face aux géants américains et chinois, l’Europe dispose de réels moyens de pressions, ses entreprises produisant notamment des semi-conducteurs, des F35 et bien plus encore. Anna Stellinger nuance ce diagnostic sans l’adoucir. Pointant du doigt la noirceur du rapport Draghi, elle estime que celui-ci n’est pas à l’image de l’Union Européenne, qui compte parmi les pays les plus innovants au monde. Le problème européen est intérieur selon elle : "nous nous mettons nous-mêmes des bâtons dans les roues". Nos atouts sont nombreux, rappelle-t-elle, mais la sur-régulation heurte nos entreprises au profit de nos concurrents. Nous avons un devoir de réduire ces normes et d’éliminer les obstacles qui nuisent à notre croissance, conclut Anna Stellinger.

Enrique Martinez constate lui aussi la perte de compétitivité européenne en matière d’innovation. Le tort est, selon lui, "d’avoir été trop loin pour protéger le consommateur", et ce au détriment des entreprises européennes. En multipliant les normes, l’Europe a freiné l’innovation et vu disparaître ses industries, remplacées par des multinationales étrangères, dont la place au sein de l’Union Européenne ne cesse de grandir.

""Le rapport Draghi alerte : 800 milliards d’euros d’investissements au sein de l’Union Européenne seraient nécessaires pour ne pas se faire distancer sur la scène internationale. Mais où trouver cette somme ? Enrique Martinez défend la nécessité é d’un plan d’attractivité pour les entreprises à l’américaine, similaire à l’Inflation Reduction Act" proposé en 2022 par l’administration Biden, dans le but d’encourager les investissements européens et internationaux en Europe. Comme le soutient Maciej Witucki, "il ne faut pas avoir peur des capitaux étrangers" qui sont tout aussi essentiels au développement économique de l’Union Européenne. Anna Stellinger souligne quant à elle un autre levier : faciliter la circulation des capitaux déjà présents sur le sol européen mais aujourd’hui sous-utilisés. Les fonds de pension notamment gèrent 2 700 milliards d’euros au sein de l’Union Européenne, une somme pas ou trop peu exploitée. Stellinger défend l’ouverture d’un marché des capitaux dynamique afin de permettre à ces fonds d’investir plus librement et de rendre davantage de capital accessible aux entreprises.

En creux, un message simple s’impose : l’Europe n’est pas condamnée. Elle dispose des talents, des savoir-faire et des atouts nécessaires pour s’affirmer sur la scène internationale. Mais pour y parvenir, une priorité s’impose : assouplir le cadre normatif qui freine ses entreprises. Déréguler, réduire les barrières à l’innovation, libérer les capitaux et en finir avec une forme d’auto-flagellation qui n’existe ni aux Etats-Unis, ni en Chine. C’est à ce prix que l’Europe pourra revenir dans le match. Hector Laine

Giuliano da Empoli face au chaos politique mondial

Strasbourg, un lundi, "dernier jour de calme" avant l’ouverture des séances, me dit-on dans le café d’un hôtel avoisinant le Parlement européen. C’est à quelques centaines de mètres de celui-ci que se déroule le temps d’un après-midi, la réunion de ces voix européennes qui, de diverses manières, œuvrent à la renaissance d’une puissance européenne souveraine.

À 14h30, la présentation est faite, dans une salle des congrès remplie d’un public intergénérationnel et c’est le politiste Giuliano da Empoli, auteur du best-seller Le Mage du Kremlin, se définissant lui-même comme étant "moitié suisse, moitié italien et moitié français" qui arrive sur scène.

Le ton de la journée est alors vite lancé : précis, érudit mais jamais dénué d’ironie. Giuliano da Empoli parle du monde dans un français impeccable, observateur attentif de l’état d’esprit européen, il décrit un continent comme hypnotisé par le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche si bien qu’il en reste spectateur.

Au cœur de ces nouveaux jeux de puissance, l’ancien conseiller de Matteo Renzi y trouve ceux qu’il appelle "les ingénieurs du chaos", ces patrons de la tech et ces grands acteurs du secteur privé qui appuient l’ascension au pouvoir des mouvements extrémistes et populistes tel l’exemple du mouvement Maga aux États-Unis.

Face à eux, Da Empoli déplore que l’Europe adopte une "posture de soumission politique" face à une "administration américaine tournée vers la confrontation". C’est alors que d’un ton mi-amusé mi-inquiet, il interroge "Quel est l’intérêt d’être à 27, si c’est pour avoir le poids international du Luxembourg ?".

"L’idée centrale de Giuliano da Empoli : le temps des prédateurs" est arrivé et l’Europe est démunie. C’est dans un monde en mutation accélérée ou l’Europe ne trouve pas ou peu sa place et où le chaos "n’est plus l’arme des insurgés", mais un instrument assumé du pouvoir que ces alliances dangereuses formées entre populistes autoritaires, magnats de la tech et entrepreneurs de l’IA, se forment.

C’est donc avec un esprit plutôt critique à l’encontre de la tech que l’auteur voit dans ces mutations la bascule d’un pouvoir qui auparavant s’exerçait au sein des institutions classiques et qui se trouve maintenant dans le contrôle des flux d’informations, des plateformes et des données numériques.

Giuliano da Empoli dépeint à Strasbourg une Europe qui "traite avec des moyens techniques un défi politique", qui se comporte comme si la complexité du monde contemporain pouvait se résoudre par la régulation administrative.

L’Union des 27 résonne comme un espace réglementaire plutôt que comme une puissance capable d’influencer les jeux de puissances à l’échelle mondiale. De fait, cette posture de faiblesse nourrit une posture de dépendance face aux géants chinois et étasuniens.

S’il se montre si inquiet quant à l’avenir de nos démocraties, c’est parce que Giuliano Da Empoli observe chez des dirigeants comme Donald Trump une "logique du miracle" au sens quasi-théologique : le "prédateur" promet de résoudre les crises non pas par la règle ou la procédure, mais en enfreignant la loi, se présentant comme une figure exceptionnelle qui peut affronter des problèmes hors de portée des institutions classiques.

Pour illustrer son propos, l’écrivain utilise l’exemple des récentes arrestations menées par l’ICE aux Etats-Unis. Cette logique est une attaque directe contre l’État de droit provoquant selon lui une sidération de nos démocraties. Se profile, pour les moins optimistes, la menace d’un changement de régime. La démocratie libérale est un modèle à secourir et l’Europe, ne peut mettre en œuvre ce sauvetage qu’à condition de reconnaître la nature profondément politique des défis qui s’imposent à elle. Sortir de la gestion pour aller vers la stratégie, c’est à ce prix que l’Europe saura faire face à la nouvelle économie du chaos qui redessine l’ordre mondial. Léa Le Coustumer Mari

Les quatre saisons de la liberté

C’est sous la pluie d’automne, au Palais des Congrès de Strasbourg, que j’ai passé ma première journée en tant que jeune ambassadrice de l’Express. Une météo qui confirme la métaphore de Mathieu Laine énoncée l’après-midi même, et nous rappelle symboliquement que l’Europe, aussi, a changé de saison. Née d’un printemps de la guerre, l’Europe a fondé sa valeur centrale sur la liberté. Mais après tout un été à se développer, la voilà menacée par des prédateurs extérieurs. Elle se paralyse, se polarise, et ne parvient pas à mobiliser les moyens qui lui permettraient d’agir à la hauteur de ses ambitions. Et c’est bien de cette posture passive qu’elle se doit de sortir

William Marx souligne que l’Europe a écrit son histoire avec l’ensemble de ses pays membres, et c’est à l’unisson qu’elle doit continuer d’écrire son roman. L’angle est clair : refaire d’elle le personnage principal. Face aux critiques américaines, elle doit répondre fièrement, et non s’indigner et se soumettre. Face à la recherche d’un homme fort pour traverser l’automne et affronter les prédateurs, elle doit se remémorer que c’est unie qu’elle est la plus forte. L’Europe possède déjà les moyens de sa réussite, les capitaux pour investir en elle-même, les structures politiques et économiques pour créer de la valeur, mais elle doute.

Une situation dont on peut faire l’éloge, comme nous le rappelle Bana Jabri : le doute est le début de la sagesse. Sa pratique met à mal les idées préconçues et les évidences sans preuve, il pousse à la remise en question et la recherche du savoir. C’est donc une bonne chose, à condition de ne pas s’enliser dans une paralysie, et se laisser dévorer par ceux qui profitent de ce doute pour imposer leurs idées. L’Europe doit ainsi choisir : faire de ce doute actuel la promesse d’un nouveau printemps – pour une Europe libre, audacieuse et actrice de son avenir ; ou une menace d’un hiver qui la gèlerait dans sa posture défensive, soumise, et son auto-flagellation.

Au cœur de ce colloque, il semble naturel de croire à une Europe qui se ressaisit. Entouré de chercheurs, de leader et d’écrivains, on ne peut que se rendre à l’évidence et apprécier à quel point cette union réussit quand elle agit. Notre liberté de penser, de commercer, de circuler a fait naître ces acteurs. Que se passerait-il alors si nous arrêtions de douter ? Si nous nous donnions pleinement les moyens de briller ?

Un avant-goût de cette hypothèse nous est présenté par la CEO et Fondatrice de The Exploration Company en fin d’après-midi, et il résonne déjà comme un succès : fondée en 2021, sa start-up franco-allemande enchaîne les levées de fonds et les contrats, et impose son projet de conquête spatiale au monde. Une Elon Musk à l’européenne ? Hélène Huby, tout simplement ! Avec son intelligence, son ambition, son talent, son humilité, et une équipe qui lui ressemble. Elle rappelle, pendant sa présentation, que ce projet franco-allemand a pu naître après avoir convaincu chacune des parties qu’une coopération avec l’autre serait bénéfique. Cessons cette méfiance envers nous-même, et récompensons-nous des succès issus de notre confiance. Puisse ce projet simplifier l’émergence d’autres initiatives européennes aussi ambitieuses.

Puisque c’est cette Europe que j’ai envie de défendre et de représenter. Une Europe libre, démocrate, solidaire, audacieuse. C’est encore Anna Stellinger qui résume le mieux cet après-midi de colloque : il est temps que l’Europe devienne active et non réactive – pour cela nous devons, ensemble, faire preuve de courage. Léa Rivière

© Charlotte Krebs/L'Express

"Des explosions dans la capitale": la Russie frappe Kiev en amont de la rencontre entre Zelensky et Trump

27 décembre 2025 à 09:32
Seulement quelques heures après l'annonce officielle de la rencontre entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump prévue ce dimanche 28 décembre, la Russie frappe l'Ukraine et notamment sa capitale, Kiev. Selon un nouveau bilan, 22 personnes ont été blessées, dont deux enfants. Douze personnes ont dû être hospitalisées.

Cinq ans après le Capitole et affaibli politiquement, Donald Trump poursuit sa conquête autoritaire de Washington

27 décembre 2025 à 08:00
REPORTAGE - Les événements du 6 janvier 2021 devaient signer la fin de sa carrière politique. Donald Trump est pourtant revenu au pouvoir plus fort que jamais. Plongée au cœur d’une capitale que le président continue de vouloir mettre au pas par tous les moyens possibles.

© Louie Palu/Agence VU

De 1944 à 1984, le quotidien des Noirs américains capturé par des photographes de quartier et exposé désormais à New York

27 décembre 2025 à 08:00
Tirés d’un fonds texan, 60 000 clichés témoignent de la vie des Noirs américains dans la seconde moitié du XXᵉ siècle. Fêtes familiales, bals adolescents, concours de beauté… Le centre photographique de Kingston, dans l’Etat de New York, consacre une large exposition à ces images joyeuses, prises en pleine époque de lutte pour les droits civiques.

© Benny Joseph/Documentary Arts/Texas African American Photography Archive (TAAP)

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