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Android 16 : première bêta avec l'équivalent des Activités en direct d'iOS
La première version bêta d'Android 16 apporte un équivalent aux Activités en direct d'iOS et force les apps à profiter des plus grands écrans.
Après la version pour les développeurs en novembre, Google distribue la première bêta publique du prochain Android 16, lequel doit être finalisé au prochain trimestre. Parmi les nouveautés visibles pour l'utilisateur, il y aura les Live Updates. On peut les décrire comme une version plus restreinte des Activités en direct apparues dans iOS 16.
Android affichera la progression d'une action dans une notification spéciale (ce qu'Apple fait avec la Dynamic Island ou sur l'écran verrouillé), mais le spectre des apps pouvant utiliser ce service système est plus réduit. Google cite les services de taxi ou covoiturage, les livraisons et les consignes d'itinéraire. Pas de résultats sportifs, par exemple, ou de minuteur. Peut-être les scénarios possibles seront-ils étoffés à l'avenir.
iOS 18 simplifie l’envoi de nouvelles données pour les activités en direct
Les activités en direct ne peuvent plus servir à suivre une activité en temps réel sous iOS 18
Samsung a précédé Google avec sa propre interprétation des Activités en direct, il en a fait la démonstration il y a quelques semaines avec la bêta de One UI 7. Ces indicateurs, regroupés sour le terme de « Now Bar », s'affichent en bas de l'écran verrouillé des Galaxy. Ils peuvent afficher la progression de la lecture d'un média, une activité sportive en cours, un décompte… tout comme sur iOS.
Autre évolution importante d'Android 16, le retrait d'une possibilité précédemment donnée aux développeurs de bloquer le redimensionnement de leurs apps ou le suivi de la rotation de l'écran. Google veut que les utilisateurs puissent librement manipuler leurs apps sur les écrans de grandes tailles, comme les tablettes ou les smartphones pliables. Avec Android 16, les développeurs auront encore droit à une dérogation, mais à partir de la version 17, les apps n'y échapperont plus et le verrou sautera.
Parmi les autres améliorations, il y a la prise en charge du codec APV (Advanced Professional Video) et la promesse de multiplier les extensions pour Gemini. Elles permettent d'exécuter des requêtes complexes avec l'IA de Google, ses apps, celles de Samsung et quelques éditeurs tiers comme WhatsApp ou Spotify. L'objectif est de rendre beaucoup plus d'apps interopérables.
Android 16 doit sortir en version finale durant le second trimestre de cette année, en vertu d'un changement instauré l'année dernière pour faire mieux coïncider l'arrivée de la grande révision annuelle du système avec la sortie de nouvelles gammes de smartphones
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macOS 15.3 va corriger le bug du 15.2 avec les logiciels de sauvegarde
Mise à jour le 24 janvier : macOS 15.3, actuellement en version release candidate (la finale devrait arriver en début de semaine prochaine) a corrigé le bug signalé avec la 15.2. C'est ce que laisse entendre Bombich Software, l'éditeur de Carbon Copy Cloner.
Il indique que la création — sur un Mac Apple Silicon — d'un clone capable de démarrer est de nouveau possible dans macOS 15.3. Cette méthode est néanmoins déconseillée lorsqu'on veut sauvegarde régulièrement son Mac, car il est relativement aisé de restaurer ses données et réglages personnels sur sa machine après avoir réinstallé un système tout propre.
Article du 17 décembre
macOS 15.2 est arrivé avec un bug qui pénalise un logiciel de sauvegarde comme SuperDuper. Dave Nanian, le développeur de l'utilitaire SuperDuper — qui réalise des clones bootables d'un Mac — a constaté l'apparition d'un bug fâcheux avec macOS 15.2 sorti la semaine dernière.
Dans le parcours d'une sauvegarde, alors qu'il a apparemment achevé de cloner la partition des données utilisateur, SuperDuper cale et affiche une erreur « Resource Busy ». Il ne va pas plus loin et ne copie pas la partie dévolue au système. Ce type d'erreur pouvait se contourner par le passé, mais plus maintenant.
Le problème semble résider dans la fonction d'Apple (ASR pour Apple Software Restore) pour la duplication de la partie contenant macOS afin de créer un volume bootable. Apple ayant retiré aux applications tierces la possibilité de réaliser des clones bootables par leurs propres méthodes, elles sont obligées de se tourner vers ASR. SuperDuper ne fait pas exception et il se retrouve dès lors piégé par le bug qui frappe ASR.
Dans l'attente d'un correctif, probablement hypothétique en cette période de l'année, David Nanian préconise de s'en tenir à la copie des données utilisateur, sans le système. En sélectionnant les options « Backup all files » et « Smart Update » dans les réglages de son application. En cas de problème avec le Mac, il suffira de restaurer un nouveau système puis de transférer le contenu utilisateur avec Assistant de migration.
S'il est néanmoins nécessaire que le volume de sauvegarde soit bootable, il y a moyen d'y adjoindre un système après coup en suivant cette méthode de l'éditeur de Carbon Copy Cloner. Ni l'éditeur de Carbon Copy Cloner ni celui de ChronoSync n'ont fait état pour le moment du même problème.
macOS : Firefox sera bientôt plus léger et plus rapide à installer
Mozilla optimise Firefox pour macOS. Les développeurs ont annoncé qu’un nouveau système de compression allait être utilisé à partir de la version 136 du navigateur. Résultat : la taille du fichier DMG est réduite d'environ 9 %, et le temps de décompression d'environ 50 %.
Mozilla se base désormais sur LZMA, un algorithme de compression de données sans perte prise en charge par macOS depuis Catalina. Il en existe d’autres (bzip2, zlib, lzfse), mais les développeurs ont estimé que celui-ci était le plus efficace dans leur cas. Mozilla ne pouvait pas tout de suite passer sur LZMA vu que le navigateur devait continuer de gérer les versions plus anciennes du système : elle a donc dû patienter quelques années.
Firefox a abandonné Sierra, High Sierra et Mojave au passage vers sa version 116 sortie… à l’été 2023. Mais alors, pourquoi avoir attendu aussi longtemps pour adopter LZMA ? Le problème vient du fait que Mozilla créé ses DMG avec libdmg-hfsplus, un programme pour Linux plus flexible que l’outil maison d’Apple pour effectuer des centaines d’opérations par jour. Celui-ci ne prenait pas en charge le LZMA, mais les choses ont récemment changées : la nouveauté a donc été introduite dans la version Nightly 135.0, et Mozilla estime désormais qu’elle a passé suffisamment de temps en cuisine pour arriver dans les bêtas et sur la mouture grand public.
Tout cela ne change rien pour l’utilisateur, qui devrait juste gagner du temps. Mozilla explique qu’une taille réduite reste importante, surtout dans les pays où les connexions Internet sont mauvaises ou très chères. Cette nouveauté est pour le moment réservé à la déclinaison Nightly de Firefox, qui deviendra la version finale dans les mois qui viennent.
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- Accusée de vendre des bracelets comprenant des substances toxiques, Apple se défend
Accusée de vendre des bracelets comprenant des substances toxiques, Apple se défend
Apple est visée par une action collective aux États-Unis concernant ses bracelets Apple Watch. La Pomme est accusée de cacher que certains de ses bracelets contiennent des substances toxiques, plus précisément des substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées (PFAS).
Les plaignants estiment qu’Apple trompe les consommateurs en leur faisant croire que ses bracelets sont sans danger. Ils appuient leur accusation en citant une étude récente selon laquelle des bracelets en fluoroélastomère de plusieurs marques contiennent un taux élevé de ces composés extrêmement persistants et mauvais pour la santé. Si les bracelets en fluoroélastomère d’Apple1 font partie de l’étude, on ne sait pas s’ils figurent parmi les 15 modèles, sur les 22 testés, où une forte concentration de PFAS a été détectée.
Un juge doit encore statuer sur les suites à donner à cette plainte. Dans tous les cas, Apple s’est rapidement défendue publiquement en envoyant cette déclaration à la presse :
Les bracelets Apple Watch sont sans danger pour les utilisateurs. En plus de nos propres tests, nous collaborons avec des laboratoires indépendants pour effectuer des tests rigoureux et analyser les matériaux utilisés dans nos produits, y compris les bracelets Apple Watch.
Même si le fabricant assure que ses bracelets sont inoffensifs, il n’en reste pas moins qu’il cherche à éliminer les PFAS de ses produits. Dans un document publié en 2022, Apple indique que ce processus va « prendre du temps » en raison de plusieurs défis, notamment l’identification d’alternatives viables.
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Les bracelets Apple en fluoroélastomère sont les bracelets Sport, Sport Nike et Océan. ↩︎
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- iOS : l’Epic Games Store s’enrichit d’une vingtaine de jeux et va en offrir un chaque semaine
iOS : l’Epic Games Store s’enrichit d’une vingtaine de jeux et va en offrir un chaque semaine
Epic est bien décidé à démocratiser son Games Store sur mobile. L’entreprise a annoncé qu’elle venait d’ajouter une vingtaine de jeux sur sa boutique, payants comme gratuits. Elle a également lancé un programme de cadeau offrant un titre pendant une certaine durée, à la manière de ce qu’elle propose depuis longtemps sur PC. Le mélange de rogue-like et de dungeon-defense Dungeon of the Endless: Apogee est le premier à ouvrir le bal : habituellement facturé 7,19 €, il sera gratuit jusqu’au 20 février. Epic promet que la cadence accélérera par la suite pour passer sur un rythme de cadeaux hebdomadaire.
Il est possible d’acheter plusieurs titres intéressants après avoir mis à jour l'Epic Games Store (n'hésitez pas à la réinstaller complètement depuis le site d'Epic si la procédure coince). On y trouve par exemple Out There, Samorost 2, Hidden Folks ou Pilgrims. D’autres jeux comme Cultist Simulator ou Bloons TD 6 arriveront par la suite. Epic a également mis en place une fonction d’autoconnexion évitant d’avoir à ré-entrer son compte sur chaque jeu, et a aussi amélioré le système de mise à jour automatique de l’app de sa boutique.
Si c’est un bon début, Epic se rend bien compte du fait que proposer son jeu en dehors de l’App Store peut engendrer des frais supplémentaires aux développeurs. Apple impose en effet la Core Technology Fee (CTF), qui taxe 50 centimes sur chaque installation à partir d’un million de téléchargement annuel. Pour faire passer la pilule, l’entreprise de Tim Sweeney s’est engagée à payer cette taxe pendant un an pour les jeux rendus temporairement gratuits sur sa boutique.
Dans un billet de blog, le patron d’Epic déclare avoir conscience que cette combine « n'est pas financièrement viable pour tous les magasins d'applications tiers ou pour Epic à long terme ». Il estime cependant devoir le faire « le temps que la Commission européenne enquête sur la non-conformité d'Apple avec la loi ». Tim Sweeney espère en effet que l’Union européenne va sévir auprès d’Apple et de son plan d’ouverture qui, selon lui, ne respecte pas le DMA.
La version mobile de l’Epic Games Store ne décolle pas particulièrement, avec 29 millions de téléchargements à la fin 2024 sur les 100 millions visés. L’entreprise blâme la difficulté d’installer la boutique tierce sur iOS et Android, la démarche n’étant pas aisée pour un néophyte. Le patron a partagé une image montrant les différentes étapes : il faut quinze clics sur iOS, 12 sur Android.
Tim Sweeney affirme que de nombreux développeurs sont découragés par le système d’Apple, et cite au passage quelques témoignages anonymes. Certains expliquent qu’ils ne veulent pas s’embêter avec les accords à signer avec Cupertino, là où d’autres déclarent craindre la CTF. En attendant, Epic redouble d’efforts pour attirer les développeurs, et in fine les joueurs grâce à des programmes revoyant ses commissions à la baisse.
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Apple attaquée pour la présence de PFAS dans ses bracelets
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- Apple assure que le nouveau CarPlay n’est pas abandonné, sans donner de preuve de vie
Apple assure que le nouveau CarPlay n’est pas abandonné, sans donner de preuve de vie
Apple a discrètement retiré toute notion de date sur la page dédiée à CarPlay. Pendant longtemps, le CarPlay de nouvelle génération, celui qui doit prendre le contrôle de tous les écrans du tableau de bord et offrir une intégration renforcée entre le système d’Apple et celui de la voiture, était annoncé pour fin 2024. Désormais, la page américaine du site ne fait plus aucune promesse, ce qui a été noté par MacRumors, avec cette question évidente : le projet était-il abandonné ?
Peu de temps après, Apple a envoyé un communiqué à MacRumors pour tordre le cou à la rumeur : l’entreprise californienne tient à faire savoir que son travail sur le CarPlay de nouvelle génération se poursuit et qu’elle travaille avec plusieurs constructeurs automobiles. Néanmoins, Apple ne donne aucun détail supplémentaire, ni des noms de marque, encore moins des dates, puisque le bref communiqué précise que chaque constructeur automobile se chargera d’annoncer lui-même l’arrivée de la fonctionnalité.
Voici le communiqué au complet :
La prochaine génération de CarPlay se construit sur des années de succès et les enseignements apportés par CarPlay et doit offrir le meilleur d’Apple et des constructeurs automobiles au sein d’une expérience profondément intégrée et personnalisable. Nous continuons à collaborer étroitement avec plusieurs constructeurs, pour leur permettre de mettre en avant leur marque et leur design dans la prochaine génération de CarPlay. Chaque marque partagera davantage de détails quand ils seront prêts à annoncer les modèles qui prendront en charge la nouvelle génération de CarPlay.
En marge, Apple dit aussi qu’elle reste impliquée dans le développement du CarPlay actuel, une fonctionnalité qui est disponible dans plus de 98 % des voitures vendues aux États-Unis, comme l’entreprise de Tim Cook aime régulièrement le rappeler. La part de marché du nouveau CarPlay devrait être bien plus faible, surtout au lancement : pour l’heure, seuls Aston Martin et Porsche ont levé le voile sur leur implémentation de la fonctionnalité. C’était en décembre 2023 et depuis, pas un mot, on n’a pas la moindre idée quant à un calendrier de sortie, voire si le nouveau CarPlay est toujours bel et bien prévu.
Le nouveau CarPlay prendra la route avec Porsche et Aston Martin
Apple a beau essayer de rassurer avec ce communiqué, le CarPlay de nouvelle génération entre dans une ère où on croira en son arrivée quand on le verra. L’industrie automobile n’a jamais fait preuve d’enthousiasme face à ce projet et peut-être qu’il aboutira techniquement dans une ou deux voitures hors de prix, mais il semble bien que la Pomme soit la seule encore réellement intéressée par le projet.
Apple n’a pas oublié le nouveau CarPlay… contrairement aux constructeurs automobiles ?
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Le nouveau Tesla Model Y arrive en Europe, mais qu'il est cher !
Promo : jusqu'à -340 € sur des iPad Pro M4
Plusieurs iPad Pro de la dernière génération M4 sont en promotion chez Amazon France. Les réductions peuvent être substantielles, mais il y a un mais. Ce sont des modèles assez costauds et donc chers de base qui ont les réductions les plus importantes, la note baisse mais elle reste conséquente.
- iPad Pro 11" M4 cellulaire avec 512 Go à 1 600 € (-119 €)
- iPad Pro 11" M4 Wi-Fi avec 2 To à 2 080 € (-349 €)
- iPad Pro 11" M4 cellulaire avec 2 To à 2 410 € (-269 €)
- iPad Pro 13" M4 cellulaire avec 256 Go à 1 650 € (-339 €)
- iPad Pro 13" M4 Wi-Fi avec 1 To à 1 970 € (-329 €)
- iPad Pro 13" M4 Wi-Fi avec 1 To et verre nano-texturé à 2 090 € (-339 €)
- iPad Pro 13" M4 cellulaire avec 2 To et verre nano-texturé à 2 660 € (-499 €)
- iPad Pro 13" M4 Wi-Fi avec 2 To et verre nano-texturé à 2 720 € (-189 €)
- iPad Pro 13" M4 cellulaire avec 2 To à 2 750 € (-279 €)
Néanmoins, si l'on visait d'un de ces gros iPad, c'est une bonne opération. Il y a des promos sur des modèles avec les deux tailles d'écran, en Wi-Fi seulement ou en cellulaire et même l'option du verre nano-texturé qui réduit les reflets sur ces grandes dalles.
Quant au processeur M4, il assurera une excellente longévité à ces tablettes qui, de génération en génération, sont presque toujours plus puissantes que nécessaire. Si vous voulez ajouter le Pencil Pro, il est à 141,70 €
Test de l’iPad Pro 13" M4 : l’heure de changer de formule ?
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Apple confirme l'arrivée de CarPlay 2 bientôt chez plusieurs constructeurs
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- Tesla commercialise la nouvelle Model Y en Europe dans une coûteuse édition de lancement
Tesla commercialise la nouvelle Model Y en Europe dans une coûteuse édition de lancement
Tesla annonce la commercialisation de la nouvelle Model Y en Europe et notamment en France (ainsi qu’aux États-Unis), deux semaines après la Chine et quelques autres pays. Pour rappel, il s’agit d’un modèle retravaillé, avec un nouveau design à l’avant et l’arrière, un intérieur revu et quelques changements sous le capot, essentiellement pour améliorer le confort et l’efficience. Le lancement dans nos contrées se fait en parallèle de l’ancien modèle, qui reste en vente à un prix inférieur. En effet, pour le moment du moins, Tesla ne propose qu’une seule Model Y revue, un modèle de lancement facturé à partir de 60 990 €.
Pour ce prix élevé, c’est 7 000 € de plus que l’ancienne Model Y Performance et même 13 000 € que l’ancien modèle comparable, vous aurez une voiture à transmission intégrale équipée de la grosse batterie (environ 79 kWh) qui doit permettre d’effectuer 568 km selon les normes WLTP. Si l’édition de lancement est obligatoirement équipée de jantes de 20 pouces moins efficientes, on peut tout de même noter que c’est 35 km de plus que l’ancienne transmission intégrale avec les mêmes jantes. Reste que c’est très cher, même si Tesla est généreux sur l’équipement, avec de série l’attelage et la couleur gratuite… à condition de choisir entre noir et gris pour le moment. Pas d’intérieur blanc non plus pour ce lancement.
La version limitée a droit à quelques badges spécifiques à l’extérieur et à l’intérieur, des tapis de meilleure qualité ou encore quelques touches de « daim vegan » dans l’habitable. Tesla promet des livraisons dès le mois de mars, tandis que la Model Y classique débute à 42 990 € pour une autonomie similaire (565 km WLTP) et des livraisons immédiates. Si vous cherchez une voiture dans un format quasiment identique, tout aussi connectée et sans lien avec la politique américaine actuelle, la G6 de Xpeng est une option intéressante, avec un prix de départ identique, une autonomie réduite (435 km WLTP) compensée par une charge plus rapide (système 800V).
Apple Store : un support sécurisé Kensington pour le Mac mini M4
Encore plus petit et donc encore plus facile à dérober, le Mac mini M4 a droit à son support de fixation sécurisé signé Kensington. L'Apple Store référence ce nouvel accessoire pour le petit Mac. Le Mac mini est enfermé dans un châssis métallique que l'on pourra fixer dans différentes positions et tenir attaché avec le câble de 1,83 m. Un verrou à 4 chiffres complète le dispositif. Ce support est vendu 79,95 €.
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- Donald Trump défend Apple et les entreprises de la tech face à l’UE à Davos
Donald Trump défend Apple et les entreprises de la tech face à l’UE à Davos
Alors que se tient le forum économique de Davos, Donald Trump s’est lancé dans la défense des entreprises américaines de la tech face à l’Union européenne, avec la verve qu’on lui connait.
Si la question de la présence d’autant de personnalités de la Silicon Valley à son investiture pouvait a priori paraître étonnante, l’idée de chercher la protection du nouveau président des États-Unis d’Amérique face à l’Union européenne semblait l’une des réponses les plus probables à cette interrogation. Et il n’a pas fallu longtemps pour que le locataire du Bureau ovale vienne à la rescousse de ses camarades de soirée, comme le rapporte Bloomberg.
Il faut dire que l’Union européenne porte des coups de plus en plus répétés et toujours plus grands dans le porte-feuille des GAFAM, entre les arriérés d'impôts de 13 milliards d’euros d'Apple concernant son optimisation fiscale avec l’Irlande ou les 2,4 milliards d’euros d'amende contre Google. Et les choses ne font à priori que commencer, le DSA et le DMA étant taillés pour mettre des bâtons dans les roues des grandes entreprises de la tech.
Vous savez, ils ont mené une action en justice contre Apple, et ils ont gagné alors que la plupart pensaient que ça n’était pas si grave. Ils ont gagné 15 ou 16 milliards sur le dos d’Apple. Ils ont gagné des milliards sur le dos de Google. Et je crois qu’ils veulent gagner des milliards et des milliards sur le dos de Facebook.
Que vous le vouliez ou non, ce sont des entreprises américaines [...] Ils (l’Union européenne, NDLR) ne devraient pas faire ça. C’est, autant que je le sache, une forme de taxation. Nous avons beaucoup de griefs envers l’Union européenne.
Ces paroles vite arrivées ne sont, à n’en pas douter, que les premières d’une passe d’armes qui s’annonce longue et complexe entre le pouvoir américain et les instances européennes, tant les entreprises du secteur se sont arrangées pour avoir toute l’attention du président américain, à commencer par son conseiller à l’efficacité gouvernementale en la personne d’Elon Musk, patron de X. À l’Union européenne de répondre.
La LaserWriter fête ses 40 ans
Il y a quarante ans aujourd’hui Apple sortait la LaserWriter, une des toutes premières imprimantes laser grand public, qui plus est contenant la technologie Adobe PostScript, permettant des rendus de texte plus précis que les impressions standard de l’époque.
Voilà de quoi donner un coup de vieux à tous les routards de la PAO (Publication Assistée par Ordinateur), avec cet anniversaire ! Alors que l’impression laser est entrée dans les mœurs, et remplace de plus en plus les imprimantes jet d’encre pour le quotidien (quand l’imprimante n’est pas purement et simplement supprimée...), ce périphérique était un OVNI à l’époque : comme nous le rappelle MacRumors, l’engin était vendu pour la modique somme de 6 995 dollars en 1985, soit l’équivalent de 24 000 dollars actuels !
Il faut dire que non seulement cette technologie était très récente, avec la première imprimante laser grand public vendue par HP en 1983, mais Apple avait mis le paquet sur la LaserWriter : elle intégrait tout ce qui se faisait de mieux et de plus avancé, avec l’une des premières utilisations d’AppleTalk, qui permettait la mise en réseau de l’imprimante avec plusieurs Mac, l’intégration de PostScript, une résolution incroyable pour l’époque de 300 points par pouce, le tout contrôlé par un processeur Motorola 68000 (si si, le même que dans le Macintosh d’origine) et une quantité incroyable de 1,5 Mo de RAM au maximum. Pour remettre les choses en place, le Macintosh 128 sorti un an plus tôt comportait le même processeur (à 8 MHz, quand l’imprimante s’envolait à 11 MHz), et ne pouvait accueillir plus de 1 Mo de RAM... ou quand l’imprimante est plus puissante qu’un ordinateur !
Si Apple a ensuite continué à proposer des imprimantes dans sa gamme de produits pendant plusieurs années, Steve Jobs à son retour considérant que ces accessoires étaient plus inutiles qu'autre chose dans la gamme, il mit fin à ce pan de l'histoire de la marque. C’est en 1999 que la production s’arrêtera avec la LaserWriter 8500, laissant ainsi la place aux constructeurs traditionnels.