Tel un « One more thing » que n’aurait pas renié feu Steve Jobs, Samsung a annoncé en toute fin de sa conférence l’apparition d’un nouveau smartphone dans leur gamme dans le courant du premier semestre 2025, le Galaxy S25 Edge, comme relaté par MacRumors.
Si très peu d’informations ont été données durant la conférence concernant ce nouvel appareil, il semble clairement être la réponse coréenne à l’iPhone 17 Air que les rumeurs prêtent à Apple.
Aucune caractéristique précise n’a filtré, la seule information tangible étant qu’il serait placé en-dessous du Galaxy S25 Ultra dans la grille tarifaire. Il devrait donc selon toute vraisemblance faire comme l’iPhone 17 Air certains compromis pour arriver à une telle finesse, notamment sur la puissance de calcul et les appareils photos embarqués.
Il y a maintenant quelques mois, Sam Altman se faisait railler par le patron de TSMC pour sa folie des grandeurs concernant les data-centers qu’il souhaitait créer pour faire évoluer l’intelligence artificielle. Il semble avoir trouvé une oreille bien plus attentive en la personne du nouveau président des États-Unis d’Amérique, qui vient d’annoncer le projet « Stargate » dirigé par Masayoshi Son, patron de SoftBank, comme le rapporte The Verge.
C’est par une annonce à la Maison Blanche que Donald Trump a lancé le projet d’investissement de 500 milliards de dollars dans le futur de l’intelligence artificielle, avec comme investisseurs principaux SoftBank (connue pour être l’actionnaire majoritaire d’ARM, avec 88 % des parts), Oracle (leader des bases de données et spécialisée dans le Cloud Computing, dont le patron Larry Ellison était un ami proche de Steve Jobs) et OpenAI (qu’on ne présente plus, représentée par Sam Altman).
Le 47e président des USA n’a donc pas traîné, profitant de la journée pour en même temps faire sauter les limitations que le précédent gouvernement Biden avait mises sur l’intelligence artificielle. Donald Trump a par la même invoqué la possibilité de créer un « état d’urgence » concernant l’IA, craignant que la Chine ne prenne l’avantage sur les USA, comme rapporté par France Info.
L’idée est de créer dans un premier temps une dizaine de data-centers réservés à l’intelligence artificielle, de 50 000 m2 chacun. Bien entendu, ils devront tous être situés sur le territoire américain, et gérés par des entreprises américaines. Le premier d’entre eux sera implanté au Texas, et tous devront d’une manière ou d’une autre être autonomes en énergie.
Les trois investisseurs de base seront rejoints par d’autres partenaires, dont ARM, Microsoft et Nvidia, et le fond d’investissements MGX des Émirats arabes unis viendra les soutenir.
Le projet est prévu pour durer sur plusieurs années, les investissements s’étalant sur quatre ans. Les buts principaux ont été dévoilés par Sam Altman, qui souhaite faire émerger la fameuse « intelligence artificielle générale » sensée devenir plus intelligente que l’humanité, et Larry Ellison qui de son côté a annoncé de gros développements pour la médecine.
Si le projet est conséquent, Microsoft a annoncé de son côté que ça ne remettait pas en cause les liens profonds que l'entreprise a noué avec OpenAI, annonçant que la firme de Sam Altman se reposait sur Azure en grande partie pour fonctionner, même si Redmond se garde le droit de limiter les ressources qu'elle alloue à son partenaire.
De son côté, Elon Musk ne semble pas digérer l’annonce faite par le gouvernement dont il fait partie, ayant posté sur X un rageur « De toute façon ils n’ont pas l’argent nécessaire »...
want to come visit the first site already under way?
this is great for the country. i realize what is great for the country isn't always what's optimal for your companies, but in your new role i hope you'll mostly put first.
Faux, comme vous le savez sûrement. Vous voulez visiter le premier site déjà en cours de construction? C’est une excellente chose pour le pays. Je comprends que ce qui est excellent pour le pays n’est pas toujours optimal pour vos entreprises, mais dans votre nouveau rôle, j’espère que vous mettrez autant que possible l’Amérique d’abord.
Voilà une astuce qu’il va vous falloir bookmarquer, car elle pourrait vraiment vous servir un paquet de fois dans votre quotidien ! C’est surtout pratique quand vous trainez dans l’espace, dans une station spatiale, un vaisseau, ou sur une autre planète. L’astronaute Don Pettit a montré comment changer un objectif photo, une tâche banale, prend une autre dimension quand tout flotte autour de vous.
Ce soir lors de son événement Galaxy Unpacked qui se tenait à San Jose, Samsung a officiellement levé le voile sur sa nouvelle série de smartphones haut de gamme : les Galaxy S25, S25+ et S25 Ultra. Cette nouvelle gamme mise bien évidemment sur l’intelligence artificielle (IA), des performances accrues et un support logiciel prolongé.
Ainsi auraient été repérées plusieurs Build, dont précisément l’iOS 18.3 22D8062 dédiée à l’iPhone SE 4, et l’iPadOS 18.3 22D2060 pour l’iPad Air et l’iPad standard.
Le remplaçant de l’iPhone SE 3 fait parler de lui depuis pas mal de temps déjà, avec des caractéristiques comprenant un passage au Face ID, un SoC A18 avec 8 Go de RAM, la Dynamic Island et un appareil photo de 48 MP entre autres.
Concernant l’iPad standard, il devrait garder sa forme actuelle, pour ne voir qu’une légère modification en passant son SoC à l’A17 ou l’A18 avec 8 Go de RAM, pour être compatible avec Apple Intelligence.
Pour finir, l’iPad Air, s’il ne change pas de design non plus, devrait accueillir un SoC M3 avec 8 Go de RAM, et possiblement un écran à 90 Hz.
Dans tous les cas, la découverte de ces Builds spécifiques indique que ces appareils sortiront en toute logique avec iOS/iPadOS 18.3, et donc avant avril et la sortie d’iOS/iPadOS 18.4, indiquée officiellement par Apple comme étant le lancement d’Apple Intelligence en Union européenne.
Comme prévu, Samsung a annoncé aujourd’hui sa nouvelle gamme de smartphones, amenés à ferrailler contre l’iPhone sous toutes ses formes. Et pour mener cette mission à bien, la firme coréenne a comme à son habitude scindé sa gamme en trois, avec le S25, le S25+, et tout en haut le S25 Ultra.
Les éléments communs
Toute la gamme présente le même processeur, à savoir un Qualcomm Snapdragon 8 Elite for Galaxy, une version adaptée aux téléphones de Samsung du processeur haut de gamme du constructeur américain. Chacun de ces processeurs reçoit 12 Go de RAM, ce qui devrait permettre de faire tourner Android 15 et la surcouche maison One UI 7 largement assez confortablement. Pour toute la gamme, Samsung annonce des mises à jour de l’OS pendant 7 ans, mises à jour de sécurité comprises.
Tous les appareils de la gamme 2025 sont aussi « Qi2 Ready », ce qui devrait leur permettre avec l’ajout d’une coque compatible de pouvoir se coller facilement à un chargeur sans-fil aimanté comme leurs camarades de Cupertino. En effet, contrairement aux iPhones, les téléphones de Samsung n’ont toujours pas la série d’aimants intégrés leur permettant de se coller sans accessoire. Attention cependant avec les accessoires Qi2 déjà existants, Samsung plaçant son pad de chargement un peu plus haut que ses concurrents, le placement de la bobine de charge peut poser quelques soucis, comme le relève 9to5Google.
L’intelligence artificielle en exergue
Mais bien entendu, l’accent a été mis sur l’intelligence artificielle. Samsung travaille avec Gemini de Google, intégrant les services améliorés de la firme de Mountain View. On retrouve ainsi la possibilité de lancer plusieurs actions à la chaîne sur différentes apps, la possibilité d’effectuer une recherche en entourant simplement un élément, et l’invocation du moteur Gemini par un appui long sur le bouton d’allumage du smartphone.
De son côté, Samsung a amélioré ses fonctions propriétaires. La fonction de retouche photo sait désormais reconnaître l’ombre d’une personne qu’on veut éliminer d’une photo, « Now Brief » vous permet de faire un résumé de votre journée, et Samsung Gallery peut chercher une image en utilisant une phrase naturelle. Enfin, une fonction « Personal Data Engine » vous permet de personnaliser votre expérience en analysant en local vos données.
Les différences entre chaque gamme
À tout seigneur tout honneur, commençons par le haut de gamme, le Galaxy S25 Ultra : avec des coins arrondis, il ressemble de plus en plus à un iPhone, si on enlève les cinq (oui cinq !) objectifs protubérants à l’arrière. Son écran passe de 6,8 à 6,9 pouces, et il perd un peu de poids avec 218 grammes sur la balance, bien qu’il garde la même batterie de 5 000 mAh que son prédécesseur. Les caméras arrières conservent le capteur 200 MP pour la lentille principale, cette fois accompagnée d’un ultra grand-angle de 50 MP contre 12 MP précédemment, et deux télé-objectifs, un de 3x pour 10 MP et un 5x de 50 MP. La caméra « selfie » reste à 12 MP. Il est disponible en 256 Go, 512 Go et 1 To.
Les Galaxy S25 et S25+ n’ont que peu de différences avec leurs prédécesseurs, restant avec respectivement 6,2 pouces et 6,7 pouces. Les caméras ne changent pas non plus, l’objectif principal étant accolé à un capteur 50 MP, aidé par un ultra grand-angle de 12 MP et un télé-objectif 3x de 10 MP. Les batteries ne changent pas non plus, avec 4 000 mAh et 4 900 mAh respectivement. On pourra retrouver les mêmes capacités que pour l’Ultra, avec en plus une version de base en 128 Go pour le S25.
Les S25 sont trouvables en 128 Go (902 €), 256 Go (962 €), 512 Go ( 1 082 €). Les S25+ en 256 Go (1 169 €) et 512 Go (1 289 €). Enfin, les S25 Ultra sont disponibles en 256 Go (1 472 €), 512 Go (1 592 €) et 1 To (1 832 €).
La marque coréenne a avancé ses pions... en attendant la réponse d'Apple qui, comme d'habitude, interviendra durant le dernier trimestre de cette année avec la prochaine gamme iPhone 17, devant comporter un nouvel arrivant avec l'iPhone 17 Air, qui ne semble pas avoir de concurrent au moins pour cette année.
Meta a décidé de frapper fort pour attirer les créateurs de TikTok sur Instagram et Facebook. Avec son programme Breakthrough Bonus, la société propose des primes pouvant aller jusqu’à 5 000 $ pour les nouveaux créateurs qui s’inscrivent et publient régulièrement du contenu sur ses plateformes.
Apple inaugure ce vendredi son tout nouveau magasin situé dans le Miami Worldcenter, offrant un espace où la nature et la technologie se rencontrent avec harmonie. Design innovant, caractéristiques environnementales hors normes et une attention particulière à l’accessibilité, ce nouvel Apple Store entend refléter les valeurs fondamentales de l’entreprise tout en célébrant l’influence multiculturel
On pourrait croire à une blague, mais pas du tout, il est bel et bien interdit d'utiliser Apple Pay sur les péages, du moins en France, sous peine d'une grosse amende !
Meta continue de rapprocher petit à petit ses différentes plateformes. Vous allez bientôt pouvoir ajouter votre compte WhatsApp dans votre Espace Comptes Meta, aux côtés de Facebook et Instagram. En réalisant cette opération, la messagerie pourra s’interconnecter à certains niveaux avec les deux réseaux sociaux.
Concrètement, il deviendra possible de partager vos statuts WhatsApp automatiquement sur Facebook et Instagram sous la forme d’une story, annonce Meta. Vos amis connaîtront ainsi vos états d’âme quel que soit leur réseau de prédilection.
Cette intégration devrait aussi permettre une reconnexion plus rapide à WhatsApp sur les appareils où vous avez été déconnecté pour une raison ou une autre. D’autres interconnexions entre les trois services sont prévues, comme une gestion centralisée des avatars et des stickers.
Est-ce qu’en ajoutant votre compte WhatsApp au hub Meta vos conversations privées vont fuiter vers Facebook ? Le groupe promet que non. Les données principales des services resteront normalement cloisonnées et, dans le cas de WhatsApp, les messages seront toujours chiffrés de bout en bout.
Mais ce rapprochement a bel et bien un intérêt publicitaire pour Meta. « Si vous choisissez d’ajouter vos comptes au même Espace Comptes, nous regrouperons vos informations sur l’ensemble de vos comptes. Nous allons l’utiliser à cette fin : Vous permettre de contrôler les expériences partagées ; Si nous vous affichons des publicités sur les produits Meta, nous personnalisons les publicités pour vous et pour d'autres personnes et nous mesurons leurs performances », indique le groupe sur une des pages de son labyrinthique centre de confidentialité. En clair, votre profil publicitaire devrait se montrer plus précis.
L’enregistrement de votre compte WhatsApp au hub Meta ne sera pas obligatoire. Cette option va être déployée progressivement au cours des prochains mois dans le monde entier. Quand vous y aurez droit, elle apparaitra dans vos paramètres WhatsApp.
Dans un secteur dominé par les géants américains, Mistral AI -la jeune start-up française spécialisée dans l’IA générative- pourrait bientôt se tourner vers les marchés financiers. Cette décision reflète une volonté de préserver son indépendance et de renforcer sa capacité à innover face à des concurrents puissamment financés, comme OpenAI et Google.
L'augmentation générale de 2€ chez Canal+ n'aura pas lieu rapporte AlloForfait. Courant décembre, le service avait prévenu ses abonnés d'une hausse de prix sur toutes ses formules. Un solide 2 € en plus sur la facture mensuelle. Cette information transmise par un courriel était reproduite sur les espaces client, l'augmentation devait survenir en janvier.
Il s'agirait en réalité d'un bug informatique, assure aujourd'hui Canal+ dans un nouveau message envoyé à ses clients. Il n'y aura pas d'augmentation et l'exécution des contrats d'abonnement va se poursuivre sans changement, précise la missive.
La sortie d'iOS 18.3 est toute proche : après la version Release Candidate lancée hier soir, la version finale de cette mise à jour devrait arriver la semaine prochaine. Elle devrait permettre la sortie de trois nouveaux produits, selon une source jugée fiable du site MacRumors qui a repéré...
Si vous comptez vous offrir un casque Bluetooth avec réduction active du bruit ambiant (ANC), le modèle le plus haut de gamme de Beats, actuellement en promotion à -50%, est un excellent candidat.
Le président Donald Trump a signé un décret pour renommer le Golfe du Mexique en “Golfe d’Amérique”. Un geste fort dans sa logique d’“America First”, mais qui n’est pas sans poser de gros problèmes, surtout pour les géants de la tech comme Apple et Google.
Le Studio Pro de Beats est actuellement vendu 200 € par Amazon, c’est moitié moins que le prix officiel fixé par la filiale d’Apple et c’est aussi son prix le plus bas depuis sa sortie. Si vous cherchez un gros casque circum-aural (il entoure les oreilles) avec isolation active et une puce Bluetooth créée par Apple, mais qui s’adapte aussi très bien aux smartphones Android, ce n’est pas un mauvais choix à ce tarif.
Dans la gamme Beats, le Studio Pro est le casque le plus gros et le plus complet, le plus cher aussi, du moins à son prix de base. Si nous avions été sévères dans notre test, notre avis aurait été bien différent à 200 €. À ce prix, les défauts (intégration paradoxalement plus limitée dans l’univers Apple, mode filaire inutile) sont faciles à oublier face à tous ses avantages, à commencer par une bonne qualité sonore et une isolation active efficace.
La semaine dernière, Apple diffusait le final de la saison 2 de Silo. Mais elle entend bien profiter du succès de sa série dystopique. Cette dernière serait prolongée pour au moins deux saisons supplémentaires. Une nouvelle qui ravit les fans, d’autant plus que des changements visuels majeurs ont été annoncés pour la saison 3.
Ross Ulbricht, condamné à perpétuité en 2015 pour avoir fondé le marché noir en ligne Silk Road, vient de recevoir une grâce présidentielle de Donald Trump. Une décision qui divise, forcement, essayons de comprendre pourquoi.
Maccy est un gestionnaire de presse-papiers destiné au Mac. Ce n’est certainement pas le premier du genre et il ne vient pas de sortir non plus, cela fait même plusieurs années qu’il est disponible. Je ne la connaissais pas avant qu’un lecteur le signale sur le Discord du Club iGen (merci YuYu ツ) et cette app est intéressante pour plusieurs raisons. Développée en Swift, elle est à la fois moderne et légère, tout en respectant les standards d’interface de macOS. Son code source est par ailleurs distribué sur GitHub, ce qui en fait une app open-source, et elle propose toutes les fonctionnalités attendues dans la catégorie.
Pour rappel, le concept est d’enregistrer tout ce qui passe par le presse-papier de macOS, qu’il s’agisse de texte, d’images ou de fichiers. Maccy les stocke dans sa base de données et permet ensuite de lister tous les élément préalablement copiés pour les ajouter de nouveau au presse-papier, ou en coller un directement dans l’app en cours. Un champ de recherche est de la partie pour retrouver un élément et tout peut se faire au clavier, même s’il est aussi possible de cliquer sur une icône dans la barre des menus pour afficher la même interface.
Par défaut, le raccourci clavier ⌘⇧c affiche l’interface de Maccy au niveau du curseur de macOS. Le champ de recherche est alors sélectionné, permettant de filtrer la liste à partir du texte saisi dans la foulée. On peut aussi utiliser les flèches haut et bas pour naviguer dans l’historique et même accéder aux derniers éléments avec la touche ⌘ suivie d’un numéro au-dessus des lettres, de 1 à 9. D’autres raccourcis clavier existent, comme ⌥⌫ pour supprimer l’élément actuellement sélectionné et ⌥p pour l’épingler, ce qui veut dire qu’il ne sera jamais supprimé et toujours affiché en haut de la liste.
Maccy propose aussi de nombreuses options pour configurer l’app selon ses besoins. On peut notamment ajuster la quantité d’éléments stockés (100 par défaut, jusqu’à 999), désactiver les fichiers ou images pour ne garder que le texte (ou vice-versa), ne pas stocker les données copiées depuis certaines apps comme un gestionnaire de mots de passe, etc. Un paramètre permet de coller sans garder le formatage, un autre de modifier l’aspect de la liste d’éléments pour ajouter ou au contraire retirer des informations. Même si l’app reste assez simple, elle est vraiment complète et devrait convenir à tous les besoins.
Puisque son code est open-source, vous pouvez compiler Maccy vous-même pour l’installer sans payer. Si vous utilisez le gestionnaire de paquets Homebrew, vous pouvez aussi l’installer gratuitement par ce biais : brew install maccy. À défaut ou pour soutenir le développeur, l’app est aussi vendue 10 € sur le Mac App Store ou vous pouvez donner n’importe quelle somme depuis le site officiel. Dans tous les cas, macOS 14 (Sonoma) est nécessaire au minimum et l’interface est traduite en français.
Visual Intelligence est un ensemble de fonctionnalités reposant sur l'Intelligence Artificielle IA et destinées à traiter les images de différentes façons, un sous-ensemble de Apple Intelligence™. Las, ces fonctions amenées depuis iOS 18.2 ne supportent que les iPhone 16.
L'intelligence amenée dans Siri par différentes IA ChatGPT de OpenAI peut nécessiter un abonnement à ce dernier pour un service prétendument intégré et compris dans iOS 18 si on est un gros utilisateur. Ça n'est pas ce qui avait été promis par Apple: "accès gratuitement sans créer de compte".
Voilà donc Visual Intelligence part de Apple Intelligence™ uniquement supporté sur les différents iPhone 16 et non comme initialement communiqué les iPhone 15 Pro et 15 Pro Max. Ça n'est pas non plus ce qui avait été promis par Apple.
Certains d'entre vous pensaient qu'à la sortie de la période de Béta durant cette année 2025 d'autres iPhone comme les iPhone 15 non-Pro pourraient être supportés, mais c'est d'ores et déjà l'inverse qui arrive.
Apple prétexte de l'absence de touche physique dédiée à la photo et à la vidéo pour expliquer cet absence de support, quand l'iPhone a été lancé avec un écran multitouch permettant de créer logiciellement des boutons à l'écran quand on veut comme on veut. Un prétexte assez ridicule.
L'explication se trouve probablement dans les détails: A17 Pro des iPhone 15 Pro vs. A18 des iPhone 16. Pas la mémoire ce coup-ci mais les types supportés par leurs NPU respectives. Le A18 est deux fois plus rapide en théorie, mais via du int4 (entiers 4 bits), quand le A17 Pro ne les supporte pas et a recours au int8 (entiers 8 bits). Cela peut être un début d'explication.
Clairement et même en Béta, Apple laisse déjà tomber les iPhone 15 Pro pour certains services inclus dans Apple Intelligence™. Je m'attend à d'autres limitations ultérieures, notamment liées aux 8Go de RAM des uns et des autres, quand sortiront les iPhone 17.
L’histoire se répète pour les gros jeux qui sortent en fanfare sur l’App Store et se plantent avec des ventes confidentielles par rapport à leurs ambitions. Le dernier exemple en date est fourni par Resident Evil 2 qui est disponible sur la boutique d’Apple depuis le 10 décembre et qui atteindrait à peine les 10 000 ventes, d’après les statistiques collectées par AppMagic. Précisons ainsi d’emblée qu’il s’agit là d’estimations, seul Capcom a les chiffres officiels, même si c’est la spécialité de ce service, alors on peut partir que les ordres de grandeur sont bons, à défaut des chiffres précis.
Le remake de Resident Evil 2 est une app que l’on peut télécharger gratuitement depuis l’App Store, avec un achat in-app unique qui débloque l’intégralité du jeu. Si le titre complet est actuellement vendu 40 €, il a longtemps été en promotion de lancement à 10 € et c’est pendant cette phase que l’essentiel des ventes aurait eu lieu, d’après AppMagic. Environ 9 500 personnes auraient payé pendant la promotion qui a tenu jusqu’au 8 janvier et depuis, c’est la dégringolade avec moins de 200 ventes. Au total, le jeu de Capcom aurait ainsi rapporté autour de 100 000 $ depuis sa sortie, sans compter la part d’Apple, ce qui est insignifiant pour un jeu de ce calibre.
Ce n’est pas la première fois qu’un gros jeu sort sur l’App Store sans faire beaucoup de ventes, c’est la même rengaine qui se répète mois après mois. On peut noter qu’avec autour de 10 000 ventes, Resident Evil 2 ferait mieux que ses concurrents, ce qui en dit long sur ce marché.
Face à ces échecs, pas sûr que l’industrie ne se presse pour adapter leurs gros jeux aux puces Apple Silicon, que l’on trouve dans les Mac comme les iPhone et iPad. Apple va avoir un gros travail à faire si elle espère compter dans le monde du jeu vidéo AAA, une idée qui est loin d’être nouvelle, elle aussi…
Face aux mutations rapides des technologies et des usages numériques, l’Arcep vient de présenter son plan stratégique (et quinquennal...) dénommé, Ambition 2030. Avec cette initiative, le régulateur des télécoms entend adapter ses missions aux transformations de l’économie numérique tout en garantissant des infrastructures résilientes et inclusives pour les décennies à venir.