OpenAI : le poste le plus stressant de l'IA est à nouveau vacant



Dans une manœuvre stratégique majeure, le géant des semi-conducteurs Nvidia a mis la main sur la technologie et les cerveaux de sa rivale Groq, sans pour autant l'acquérir formellement.


Un bref éclat de lumière dans la nuit lunaire, et c'est un petit morceau d'histoire astronomique qui s'écrit en Irlande, capturé par un œil aussi chanceux qu'attentif.
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En tête du marché des moniteurs OLED avec 21,9 % de parts, ASUS ne compte pas ralentir la cadence. Le constructeur multiplie les teasers et vient de dévoiler sur X une nouvelle vidéo préparant le terrain pour un futur écran ROG OLED en 2026.
L’accent est mis sur une promesse claire : un affichage « zero fringing ». ASUS évoque explicitement l’adoption d’une structure de sous-pixels RGB stripe, dite linéaire, en opposition aux matrices Pentile encore largement utilisées sur les dalles OLED actuelles.
Le message diffusé par ASUS est sans ambiguïté sur l’intention : réduire les phénomènes de color fringing, ces franges colorées visibles autour des caractères et des éléments fins, particulièrement perceptibles en usage bureautique sur des écrans OLED Pentile. Cette communication s’inscrit dans le sillage des annonces récentes de LG Display, qui met en avant des dalles OLED PC reposant sur une véritable structure RGB stripe, réputée pour une meilleure restitution du texte.
A new era is loading…
— ROG Global (@ASUS_ROG) December 26, 2025
Perfect blacks. Zero fringing. No compromises.
See it first at #CES2026. Tag the friend who’s been waiting for the right #OLED#RGBOLED #ROGOLEDmonitor #PCmonitor #display pic.twitter.com/5HTv5whgou
LG Display a notamment évoqué une dalle 27 pouces 4K (3840 × 2160) à 240 Hz, conservant une organisation RGB linéaire des sous-pixels, tout en intégrant une fonction de Dynamic Frequency and Resolution (DFR). Ce mode permettrait de basculer entre un affichage UHD à 240 Hz et un mode FHD à 480 Hz, afin de privilégier soit la finesse d’image, soit la fréquence de rafraîchissement. Sur ce format, la densité annoncée atteint environ 160 pixels par pouce, un seuil élevé pour un écran OLED destiné à un usage PC rapproché.
À ce stade, ASUS ne communique ni référence produit, ni diagonale exacte, ni fiche technique détaillée. Toutefois, la proximité des éléments de langage laisse supposer que le constructeur pourrait s’appuyer sur un panneau aux caractéristiques proches de celles présentées par LG Display lors du prochain CES.
Selon LG Display, la structure RGB stripe améliore la netteté perçue du texte et limite les artefacts colorés, notamment dans les environnements Windows et les usages bureautiques prolongés. ASUS ROG reprend cette promesse avec l’expression « zero fringing », qu’il conviendra néanmoins de vérifier en conditions réelles, en l’absence de données techniques officielles et de mesures indépendantes.

La convergence des discours entre fabricant de dalles et marque gaming suggère toutefois une orientation claire du marché : proposer des écrans OLED PC plus polyvalents, capables de concilier haute définition, fréquences de rafraîchissement extrêmes et confort visuel sur le long terme.
Le CES 2026 se tiendra du 6 au 9 janvier à Las Vegas, et ASUS ROG a déjà confirmé une présence axée sur l’affichage, avec un espace presse dédié. C’est à cette occasion que ce moniteur OLED RGB stripe devrait, sauf surprise, être officiellement dévoilé.
Lire aussi ASUS ROG G1000 : un boîtier avec affichage LED « AniMe Holo » rotatif attendu au CES 2026
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L'année touchant à sa fin, c'est l'occasion de (re)découvrir les 10 voitures électriques qui ont marqué 2025. On n'a pas pu s'empêcher d'ajouter un onzième modèle tellement il nous a impressionnés.
La nouvelle mise à jour 1.61 de HWMonitor passe presque inaperçue au premier regard. Pourtant, derrière cette révision logicielle se cache un indice particulièrement intéressant sur les prochaines générations de processeurs.
En élargissant sa prise en charge matérielle, l’outil de CPUID offre un aperçu très concret de ce que préparent AMD et Intel pour les mois à venir, notamment à l’approche de la période charnière 2025–2026. Comme souvent, ce type de mise à jour agit comme un révélateur discret, mais fiable, des architectures encore à venir.
Avec cette version 1.61, HWMonitor prend désormais en charge plusieurs processeurs encore absents du marché. Côté Intel, on retrouve les futurs Arrow Lake Refresh »Core Ultra 200K Plus’‘, avec la prise en charge des Core Ultra 9 290K Plus, Core Ultra 7 270K Plus et Core Ultra 5 250K Plus. Une confirmation implicite qu’Intel prépare bien une itération intermédiaire de sa gamme Arrow Lake, probablement destinée à corriger certaines limites observées sur la première génération, notamment en matière de performances gaming et de latence interne.

Cette intégration anticipée n’est pas anodine. CPUID a pour habitude d’ajouter le support matériel plusieurs mois avant les annonces officielles, ce qui laisse entendre que ces processeurs sont déjà bien avancés sur le plan du microcode et des identifiants matériels.
Du côté d’AMD, la mise à jour est tout aussi révélatrice. HWMonitor prend désormais en charge le Ryzen 5 7500X3D, un modèle Zen 4 à cache 3D pensé pour démocratiser la technologie X3D à un tarif plus accessible que nous avons déjà analysé à sa sortie le mois dernier. Une stratégie claire pour prolonger la durée de vie de l’AM5 tout en maintenant l’attrait du gaming chez AMD.

Mais l’information la plus intéressante concerne l’apparition du Ryzen 7 9850X3D, basé cette fois sur Zen 5. Celui-ci afficherait une fréquence boost supérieure de 400 MHz par rapport au 9800X3D, et sa sortie serait programmée pour le CES 2026. Une évolution qui confirme la volonté d’AMD de conserver une longueur d’avance sur les performances en jeu, là où le cache 3D reste un avantage décisif.

À noter toutefois l’absence du Ryzen 9 9950X3D dans la liste actuelle, suggérant soit un calendrier encore évolutif, soit une intégration progressive au fil des mises à jour.
Autre point notable : la présence du support préliminaire des processeurs mobiles Medusa Point, basés sur l’architecture Zen 6. Bien que leur lancement soit encore lointain, attendu courant 2026, leur apparition dans HWMonitor montre que les bases logicielles sont déjà en place.
Ces puces mobiles devraient inaugurer une nouvelle étape dans l’efficacité énergétique d’AMD, avec une architecture pensée dès le départ pour les usages hybrides, l’IA locale et les plateformes mobiles hautes performances. Leur ajout précoce dans les outils de monitoring va de pair avec leur intégration récente dans GCC 16, signe que l’écosystème logiciel se prépare activement.
Après les récentes fuites sur la microarchitecture Zen 6 et l’élargissement du cœur de calcul, cette prise en charge logicielle vient ajouter une pièce supplémentaire au puzzle. Sans annonce officielle, l’écosystème commence clairement à se préparer à l’arrivée de la prochaine génération de processeurs.
En apparence anodine, la mise à jour 1.61 de HWMonitor agit comme un véritable révélateur de feuille de route. En intégrant à l’avance Arrow Lake Refresh chez Intel, les Ryzen X3D récents et surtout les premières références Zen 6 mobiles, CPUID confirme que les fondations logicielles des CPU de 2025–2026 sont déjà solidement en place.
Entre le rafraîchissement d’Arrow Lake côté Intel, la montée en puissance continue des Ryzen X3D et l’arrivée progressive de Zen 6 chez AMD, le marché des processeurs entre dans une phase charnière. Desktop, mobile, gaming et IA locale convergent vers des architectures plus larges, mieux instrumentées et pensées pour durer. Sans communication officielle, l’écosystème logiciel parle déjà. Et il laisse peu de doute sur une chose : 2026 ne sera pas une année de transition, mais un vrai point d’inflexion pour les CPU x86.
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Après une année 2025 riche, que pouvons-nous attendre de 2026 du côté de la science ? Entre événements annoncés et progrès espérés, un petit aperçu de ce à quoi pourrait ressembler l'année à venir en matière de recherche.
L’ANTGAMER ANT275PQ MAX en ligne de mire : un écran capable de grimper à 1080 Hz, mais seulement en 720p. HKC détaille désormais un double mode qui oppose 1440p à 540 Hz et 720p à 1080 Hz.
D’après HKC, le ANTGAMER ANT275PQ MAX sera présenté au CES 2026 sous la marque ANTGAMER. Dans les documents de presse, il est décrit comme un écran LCD esports QHD intégrant une fonction double mode. La fiche signale un 27 pouces IPS en 2560 x 1440 avec technologie HMO (High Mobility Oxide), et prise en charge DisplayPort 2.1 UHBR20 pour viser des fréquences très élevées en QHD sans compression lourde.

Ce modèle avait émergé en août comme un 540 Hz en QHD. La nouveauté, c’est cette bascule : choisir le 1080 Hz abaisse la définition à 720p. HKC parle du « double-mode » qui permet cette option. Le tarif en Chine était affiché autour de 980 dollars, soit environ 895 euros au taux du jour.
Techniquement, l’ensemble intrigue et interroge les usages. Comme le rappelle la source, « vous pouvez vous vanter d’avoir le panneau le plus rapide », mais il semblerait que la compétition en 720p reste marginale. Reste un argument clair : à 540 Hz en 1440p via DP 2.1 UHBR20, l’écran vise les joueurs qui privilégient le taux de rafraîchissement sans sacrifier la définition QHD.
HKC prévoit une démonstration au CES 2026.
Source : VideoCardz
Depuis 2014, Whatsapp a ajouté des coches bleues ou "blue check marks" ou "blue ticks" à sa liste d'accusés de réception. Que signifie le tick ou la coche bleue qui s'affiche à côté de certains de vos messages WhatsApp? NextPit vous explique tout.
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Le Lawrence Livermore National Laboratory (LLNL) américain et l'institut allemand Fraunhofer ILT unissent leurs forces dans le projet ICONIC-FL. L'objectif : développer via la simulation des lasers capables de tirs à haute fréquence, une étape indispensable pour transformer l'exploit de la fusion par confinement inertiel en une source d'énergie industrielle et continue.


Une violente tempête dans le Colorado a provoqué une panne électrique au National Institute of Standards and Technology (NIST), décalant l'horloge atomique, référence du temps officiel américain. Résultat : un retard de 4,8 microsecondes, infime mais potentiellement critique pour les technologies de pointe.
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