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Reçu aujourd’hui — 26 décembre 2025 7.1 📜 Résumé - Tech.

Quand X récompense ceux qui propagent de fausses infos après un attentat

Par :Korben
26 décembre 2025 à 09:20

Pour ceux qui auraient raté l'info, deux terroristes ont ouvert le feu le 14 décembre dernier, lors d'une célébration de Hanoukka à Bondi Beach (Sydney en Australie), tuant 15 personnes. Et dans les minutes qui ont suivi, X s'est transformé, comme à son habitude, en machine à désinformation...

Un homme d'affaires pakistanais portant le même nom que l'un des tireurs (Naveed Akram) s'est alors retrouvé accusé d'être l'auteur de l'attentat. Sa photo a été partagée des milliers de fois, il a reçu des menaces de mort et sa famille a même été harcelée. Sauf que ce gars n'avait strictement rien à voir avec l'attaque, mais partageait juste un nom de famille très courant avec le vrai coupable.

Mais ça, les abrutis de cette planète n'y ont même pas pensé. C'est dire s'ils sont cons...

Après vous allez me dire : « Ouais mais y'a les Community Notes pour corriger ça » sauf que ça marche pas de fou ces notes de la communauté. A titre d'exemple, selon le Center for Countering Digital Hate , 74% de la désinformation liée aux élections américaines de 2024 n'a JAMAIS reçu de note de la communauté. Et quand une note finit par arriver, il faut compter entre 7 et 75 heures selon les cas pour qu'elle soit diffusée.

Donc autant dire une éternité à l'échelle d'Internet...

Et comme si la situation n'était pas encore assez critique, d'après une étude du MIT, les fausses infos se propagent 6 fois plus vite que les vraies sur ces plateformes. Bref, on est foutu face à la connerie humaine.

Surtout que d'après Timothy Graham , chercheur en médias numériques à l'université QUT en Australie, il y a maintenant une économie autour de la désinformation, notamment sur X car leur système de monétisation paie les créateurs en fonction de l'engagement généré par les utilisateurs vérifiés. Ainsi, Plus vos posts font réagir, plus vous gagnez d'argent.

Et devinez quel type de contenu génère le plus d'engagement ?

Hé bien les trucs faux, les trucs scandaleux, les trucs qui font monter les tensions.

Y'a même eu une vidéo de feux d'artifice présentée comme des « célébrations arabes » après l'attentat qui n'était que pure invention. C'était en fait les feux d'artifice de Noël du Rotary Club local, programmés des mois à l'avance. Le truc a fait des millions de vues avant d'être démenti. Certains parmi vous ont peut-être mordu à l'hameçon de cette fake news d'ailleurs.

Pire encore, Grok, l'IA d'Elon Musk intégrée à X, a carrément inventé le nom du héros qui a désarmé l'un des tireurs. Quand les utilisateurs lui demandaient qui avait sauvé des vies, l'IA sortait « Edward Crabtree » de nulle part, un nom totalement fictif tiré d'un site web frauduleux créé le jour même de l'attentat.

Et pendant ce temps, le vrai héros de cette tragédie, Ahmed al-Ahmed, un Australien d'origine syrienne qui a risqué sa vie pour désarmer l'un des tireurs et protéger les victimes, était à peine mentionné. Plus de 2,6 millions de dollars ont été collectés pour lui depuis, mais il a fallu creuser fort pour trouver la vraie histoire pendant que les fake news monopolisaient l'attention.

Le problème c'est que le modèle économique de X encourage les comptes à poster vite et fort, sans vérification. Avoir 5 millions d'impressions et seulement 2000 abonnés, ça permet de monétiser. Et plus on génère de réactions, plus on palpe... Du coup, poster « BREAKING : le tireur identifié » avec une photo d'un random est rentable, même si c'est faux.

Surtout si c'est faux, en fait... Vous savez ce syndrome de "Les merdias mainstream nous cachent des choses, mais heureusement j'ai vu une vérité alternative sur X.com et c'est encore la faute aux zarabes, à l'Europe et aux élites judéo-maçonique-réptiliennes qui veulent manger nos enfants" qui frappe ce genre de personnes dont le cerveau est trop atrophié pour qu'ils puissent développer une réflexion qui leur est propre.

Après, je ne pense pas être naïf, car la désinformation a toujours existé, mais là on parle quand même d'un système de merde qui récompense financièrement ceux qui la propagent. C'est plus un bug, c'est une feature et quand un innocent se fait menacer de mort parce qu'un comploplo en slip dans sa cave a voulu faire du clic, ça me fout les nerfs.

Bref, tant que l'engagement restera la métrique reine et que les plateformes paieront au buzz plutôt qu'à la véracité des faits, on continuera à subir ce genre de dérives horribles...

ddrescue + Raspberry Pi Imager - Le combo pour cloner vos cartes SD sans vous arracher les cheveux

Par :Korben
26 décembre 2025 à 09:00

Vous avez un parc de Raspberry Pi à déployer et vous en avez marre de refaire la config à chaque fois ? Ou pire, votre carte SD commence à faire des siennes et vous voulez la sauver avant qu'elle rende l'âme ? Hé bien j'ai le combo parfait pour vous les amis !

Je vais vous parler en réalité de deux outils complémentaires que vous connaissez déjà je pense : ddrescue pour le clonage/sauvetage de cartes SD, et Raspberry Pi Imager pour créer des images préconfigurées. Ensemble, ils forment une chaîne de production quasi "industrielle" pour vos projets Pi. Ça va vous faire gagner un temps précieux mais aussi vous sécuriser car on sait à quel point les cartes SD c'est capricieux parfois sur les Rpi (surtout quand y'a des coupures de jus ^^).

Commençons donc par ddrescue qui est l'outil libre parfait pour cloner des disques, mais avec un truc en plus que dd n'a pas : la gestion des erreurs et la reprise. Son secret, c'est le mapfile, un fichier journal qui garde trace de tout ce qui a été copié, du coup, si votre clone plante en plein milieu (câble qui se débranche, coupure de courant, carte SD qui fait la gueule), vous relancez la même commande et ça reprend exactement où ça s'était arrêté. Sans ce fichier, par contre, c'est retour à la case départ... snif.

⚠️ Attention : la destination va être écrasée. Donc vérifiez 3 fois vos /dev/... avant d'appuyer sur Entrée. Et oui, l'option --force porte bien son nom puisqu'elle autorise l'écriture sur un disque brut, donc si vous vous trompez de cible, c'est le drame.

La commande de base, c'est ça :

sudo ddrescue --force /dev/sdX /dev/sdY rescue.map

Vous remplacez /dev/sdX par votre carte source et /dev/sdY par la destination et le fichier rescue.map, c'est votre filet de sécurité, donc gardez-le précieusement à côté de vos images.

Après si vous préférez cloner vers un fichier image plutôt que directement vers une autre carte, c'est quasi pareil :

sudo ddrescue /dev/sdX raspios.img rescue.map

Et pour les cartes un peu fatiguées avec des secteurs défectueux, y'a une astuce en deux passes. D'abord une passe rapide qui saute les erreurs (le but c'est de récupérer le max sans s'acharner tout de suite) :

sudo ddrescue -n /dev/sdX raspios.img rescue.map

Puis une deuxième passe qui insiste sur les zones problématiques :

sudo ddrescue -r3 /dev/sdX raspios.img rescue.map

Le -r3 dit à ddrescue de réessayer 3 fois sur chaque secteur récalcitrant par contre, évitez de mettre --no-split par défaut. Ça peut sembler logique ("ne coupe pas"), mais sur un support vraiment abîmé, laisser ddrescue découper et isoler les zones foireuses est souvent plus efficace.

Maintenant faut vérifier que tout s'est bien passé… alors oui, on peut faire des contrôles, mais il faut être clair, si vous comparez juste un bout, vous validez juste un bout. Par exemple cette commande compare seulement 1 Go, et pas toute la carte :

sudo cmp -n 1G /dev/sdX /dev/sdY

Donc si vous voulez comparer TOUT (et que ça ne vous dérange pas d'attendre ^^), vous pouvez comparer l'image et la carte clonée en faisant un hash sur la totalité. Par exemple, pour vérifier que l'image écrite sur la carte correspond bien à l'image d'origine :

sha256sum raspios.img
sudo ddrescue /dev/sdY - | sha256sum

Si les deux hashes sont identiques, là, on parle (beaucoup plus) sérieusement. Et si vous ne voulez pas streamer le disque, vous pouvez aussi faire un hash du périphérique directement (mais ça lit tout le disque, donc c'est long).

Vous l'aurez compris, ddrescue nous sert à cloner ou à sauver une carte existante, mais pour déployer proprement une image, on va maintenant utiliser le fameux Raspberry Pi Imager. Car oui, l'outil officiel de la fondation a une fonction que beaucoup de gens ne connaissent pas qui est la personnalisation avancée. Comme ça, avant de flasher votre carte, vous pouvez préconfigurer plein de trucs.

Par exemple, le hostname du Pi, genre pi-cuisine ou pi-garage, l'utilisateur et son mot de passe, le Wi-Fi avec SSID et mot de passe, le SSH activé avec mot de passe ou clé publique, le fuseau horaire et la config clavier. Et précision importante, Imager prépare tout ça pour que ce soit appliqué au premier boot (c'est injecté pour l'initialisation), ce qui revient au même pour vous, mais ça explique pourquoi c'est si pratique en mode headless.

Du coup, vous flashez la carte, vous la mettez dans le Pi, vous branchez l'alimentation, et souvent c'est accessible en SSH très vite :

ssh pi@pi-cuisine.local

C'est le mode headless parfait puisque ça vous évite d'avoir à brancher un écran + clavier + souris sur votre Rpi. Notez que l'extension en .local de mon exemple ci-dessus dépendra du mDNS (Bonjour / Avahi)... Sur certains réseaux (ou certains PC), ça pourra ne pas résoudre donc dans ce cas-là, vous passez par l'IP ou votre DNS/DHCP habituel.

Et maintenant, roulements de tambours, voici le workflow magique pour déployer un parc de Pi. Cela consiste tout simplement à configurer un Pi de référence avec tout ce qu'il vous faut dedans (paquets, services, configs...). Ensuite vous l'éteignez proprement, vous clonez sa carte avec ddrescue, et vous dupliquez cette image à volonté.

MAIS (et là c'est le point qui évite des sueurs froides), cloner une carte Linux telle quelle, ça clone aussi des identifiants qui devraient être uniques, typiquement :

  • le machine-id
  • les clés SSH hôte (host keys)

Donc si vous déployez 10 Pi clonés à l'identique, vous vous retrouvez avec 10 machines qui se présentent pareil, et côté SSH vous pouvez avoir des alertes cheloues (et côté admin, c'est pas propre).

La solution la plus simple c'est donc de préparer votre image "master" pour que chaque nouveau Pi régénère ça au premier démarrage. Sur votre Pi de référence (avant de cloner), vous pouvez faire :

sudo rm -f /etc/machine-id
sudo truncate -s 0 /etc/machine-id
sudo rm -f /etc/ssh/ssh_host_*

Comme ça, au prochain boot, le système régénère un machine-id propre, et OpenSSH régénère ses clés hôte. (Si jamais ça ne se régénère pas automatiquement sur votre variante d'OS, un redémarrage + réinstallation/relance SSH règle généralement le truc.)

Après ça, à chaque nouveau Pi, vous flashez l'image.

Maintenant si vous n'avez pas de parc à déployer, mais que vous voulez simplement personnaliser le hostname, le Wi-Fi, le user, etc., le plus simple ça reste donc de passer par Raspberry Pi Imager au moment du flash avec ses options avancées car si vous écrivez l'image avec dd/ddrescue directement sur la carte, Imager ne pourra évidemment pas appliquer ses paramètres.

Et SURTOUT, avant de lancer quoi que ce soit, pensez à identifier vos disques pour pas faire de bêtises (c'est une commande Linux, btw) :

lsblk -o NAME,SIZE,MODEL,MOUNTPOINT

Ah et désactivez aussi l'automontage sur votre machine, sinon vous allez avoir des soucis avec la destination qui se retrouvera occupée par l'OS.

Bref, avec ddrescue et Raspberry Pi Imager, vous avez maintenant de quoi cloner vos cartes SD beaucoup plus sereinement (et pas juste "les yeux fermés").

Enjoy !

Oubliez la fusée ! Voici le vrai problème mortel qui nous empêche d'aller sur Mars

26 décembre 2025 à 08:56
Avant de poser le pied sur Mars, les astronautes devront terrasser un danger invisible qui relègue le problème de la fusée au second plan. Les rayons cosmiques traversent les cellules et l’ADN, et ils augmentent fortement le risque de maladies graves. Les scientifiques testent déjà des boucliers et des solutions biologiques pour réduire ces effets.

Euria : Infomaniak vous propose son IA éthique et souveraine, par Charly

Par :Charly
26 décembre 2025 à 08:51

Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.

J'attends toujours et jusqu'à présent une IA souveraine qui fonctionne bien, éthique et aussi pour voir comment elle peut m'aider à être plus productif.

Mais également une IA qui ne revend pas mes données et ayant une conduite respectueuse envers tout un chacun.

Je suis tombé récemment sur Euria, qui est une nouvelle IA lancée par le célèbre hébergeur Infomaniak.

Celle-ci est donc souveraine, éthique, développée pour une démarche qui n'a rien à voir avec les ChatGPT et consort. Et ce n'est pas tout, cette démarche est aussi écolo.

Ce qu'il faut savoir : Fidèle à ses valeurs l'hébergeur a construit ce projet de façon responsable où le mot confidentialité prend de la hauteur comparé aux autres étrons qui pillent sans vergogne ici et là tout ce qu'elles peuvent. Sur la partie écologique : les IA comme vous le savez consomment beaucoup d'énergie, la particularité ici est que l'infrastructure la restitue.

Comment ? La chaleur récupérée est restituée pour chauffer des habitations via le réseau de chauffage de la ville. Pas mal pour un début, Infomaniak, à l'instar d'autres services Suisse (Proton), nous a habitué à être agréablement surpris. Je cite l'hébergeur : "Cela évite la combustion d’environ 3 600 tonnes de CO₂ de gaz naturel par an, contribuant à la réduction des émissions locales."

J'ajoute que l'énergie dont l'IA a besoin pour fonctionner est d'origine renouvelable. D'autres devraient s'en inspirer...

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IA : pourquoi Apple joue gros avec la refonte de Siri prévue pour 2026

26 décembre 2025 à 08:37
Apple face à l'IA : l'année où Siri joue sa survieLongtemps perçue comme une entreprise capable d’imposer son tempo à l’industrie, Apple traverse une phase plus délicate sur le terrain de l’intelligence artificielle. Alors que les usages se transforment rapidement autour des IA conversationnelles toujours plus fluides, l’entreprise avance avec bien plus de prudence, parfois au point de donner le sentiment d’un décalage. Et au […]

Quand l'IA vous aider à hacker la mémoire des jeux

Par :Korben
26 décembre 2025 à 07:42

Les vieux de la vieille connaissent forcement Cheat Engine puisque c'est LE logiciel culte pour tripatouiller la mémoire des jeux , trouver l'adresse où est stockée votre santé, votre or, vos munitions, et la modifier à la volée. Sauf que manuellement, c'est un travail de fourmi... Trouver un pointeur stable qui ne change pas à chaque redémarrage du jeu, ça peut prendre des jours, voire des semaines de bidouillage.

Hé bien quelqu'un a eu l'idée un peu folle de brancher Claude directement sur Cheat Engine et visiblement le résultat est au rendez-vous.

Le projet s'appelle cheatengine-mcp-bridge et c'est un pont entre les IA compatibles MCP (Claude, Cursor, Copilot) et Cheat Engine. Concrètement, ça veut dire que vous pouvez maintenant demander à Claude de faire le boulot de reverse engineering à votre place, en langage naturel.

Dans cet outil, y'a trois couches qui communiquent ensemble : l'IA qui reçoit vos questions en langage humain, un serveur Python qui traduit tout ça en commandes techniques, et un script Lua côté Cheat Engine qui exécute les opérations sur le processus ciblé.

Et les possibilités sont dingues puisque l'outil expose pas moins de 39 "tools" MCP différents. Vous pouvez lire la mémoire (entiers, floats, strings, pointeurs), suivre des chaînes de pointeurs complexes du genre [[base+0x10]+0x20]+0x8, scanner des valeurs, analyser du code désassemblé, identifier des objets C++ via les infos RTTI, et même poser des breakpoints hardware. Il y a même le support du DBVM, le mode hyperviseur de Cheat Engine qui permet un traçage niveau Ring -1 , beaucoup plus difficile à détecter pour les protections anti-cheat classiques.

Avec ce MCP, vous lancez un jeu, vous demandez à Claude "Scanne l'or, j'en ai 15000". L'IA trouve alors 47 résultats. Vous dépensez un peu d'or dans le jeu, vous dites "Maintenant j'en ai 15100". Claude filtre et garde 3 adresses. Ensuite vous demandez "C'est quoi qui écrit sur la première adresse ?", et hop, breakpoint hardware posé automatiquement. Ensuite, un petit "Désassemble moi cette fonction", et vous avez tout le code de la fonction AddGold devant les yeux.

Tout ce processus qui prenait des heures de tatonnement se fait maintenant en mode conversation.

Pour l'instant c'est en lecture seule, pas d'écriture mémoire possible (probablement une sage précaution) et l'outil utilise les registres de débogage hardware DR0 à DR3, ce qui limite à 4 breakpoints simultanés mais garantit une compatibilité maximale avec les protections anti-cheat basiques.

Côté prérequis, c'est Windows only (à cause des canaux nommés ), Python 3.10 minimum, et Cheat Engine 7.5 ou plus récent. Et l'installation demande quelques étapes également... Il faut d'abord activer DBVM dans les settings de Cheat Engine, charger le script Lua, et configurer le chemin du serveur MCP dans votre IDE. Et n'oubliez pas de désactiver l'option "Query memory region routines" sinon vous risquez un joli écran bleu CLOCK_WATCHDOG_TIMEOUT.

C'est un projet encore frais mais j'ai trouvé ça cool, d'où le partage ici. Bon évidemment, on reste dans le domaine du reverse engineering et du modding de jeux et comme toujours, c'est destiné à un usage éducatif et de recherche donc ne venez pas pleurer si vous vous faites bannir d'un jeu en ligne, hein.

Mais en tout cas, pour les passionnés de rétro-ingénierie, les créateurs de trainers, ou simplement les curieux qui veulent comprendre comment fonctionne un jeu sous le capot, c'est un outil incroyable ! L'IA qui se met au hacking de jeux, on n'arrête vraiment plus le progrès.

Source

Qu’est-ce que le dark web ? Ce que cache vraiment la face invisible d’internet

26 décembre 2025 à 07:37
Qu'est-ce que le dark web ?Lorsque l’on parle d’internet, on pense spontanément à Google, aux réseaux sociaux ou aux sites d’actualité. Pourtant, cette partie visible ne représente qu’une fraction du web. Sous la surface se trouve un ensemble bien plus vaste de contenus non indexés, parmi lesquels le dark web occupe une place singulière. Souvent associé aux activités illégales, il […]

« AI slop » élu mot de l’année 2025 : le symptôme d’un web saturé par l’IA

26 décembre 2025 à 07:34
"AI slop" : quand l'IA transforme internet en bouillieChaque année, les dictionnaires désignent un mot censé capter l’air du temps. En 2025, le choix de Merriam-Webster a valeur de symptôme. Loin d’un terme technique ou prospectif, c’est une expression volontairement péjorative qui s’impose : « AI slop« . Une manière de nommer un phénomène que de nombreux internautes ressentent déjà au quotidien, sans toujours parvenir […]

☕️ Contrôle parental : après Apple, Google se fait épingler par l’ANFR

26 décembre 2025 à 08:03

Avec la loi n° 2022 – 300 du 2 mars 2022, l’ANFR a hérité de la vérification du contrôle parental. Depuis le 13 juillet 2024, cela concerne « l’ensemble des nouveaux appareils connectés à internet mis sur le marché », notamment les smartphones.

L’Agence nationale des fréquences a contrôlé le Pixel 9 de Google : « Les analyses ont mis en évidence que, dans certains cas d’usage concernant les mineurs de plus de 15 ans, l’appareil ne respectait pas l’exigence réglementaire consistant à proposer l’activation du dispositif de contrôle parental lors de la première mise en service de l’équipement ».

Google a été mis en demeure de corriger le tir, ce qui a été fait via la mise à jour BP3A.251105.015 du 14 novembre 2025. Elle est déployée sur les Pixel 7 à 9, ainsi que les Pixel Tablet et Fold, avec divers autres correctifs.

« L’ANFR a vérifié l’efficacité de cette mesure », mais précise : « Toutefois, l’ANFR attire l’attention des utilisateurs sur le fait que, dans certains cas, cette activation, du fait qu’elle se poursuit au-delà de la procédure d’initialisation de l’appareil, peut être abandonnée sans que ceux-ci en aient clairement manifesté l’intention ».

Il y a tout juste un mois, c’était l’iPhone 16 qui était épinglé par l’ANFR pour le même genre de problème. Apple aussi avait corrigé le tir. Que ce soit chez Apple ou Google, on peut supposer que les modifications ne concernent pas que les deux smartphones testés (iPhone 16 et Pixel 9), mais plus largement iOS et Android.

iPhone, iPad, MacBook… Apple prévoit de lancer plus de 20 produits en 2026

26 décembre 2025 à 08:00

Si vous pensiez avoir bouclé votre budget pour les produits Apple, préparez-vous à revoir vos plans. Des iPhone, MacBook, iPad et accessoires high-tech seront au rendez-vous, avec des innovations et des mises à jour qui risquent de faire grimper la facture. Voici un aperçu des 25 produits qu’Apple pourrait lancer l’an prochain.

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Un bouclier rouge dans Gmail pour sauver vos données : la nouveauté géniale de NordVPN [Sponso]

26 décembre 2025 à 07:30

C'est facile de réduire le risque de tomber dans le piège d’un email frauduleux. NordVPN les bloque automatiquement avec toute une série d’autres cybermenaces. Il s’affiche à -74 % durant les fêtes.
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Voici les séries les plus piratées en 2025, deux classiques de Netflix en tête du classement

26 décembre 2025 à 07:00

Malgré l'intensification de la répression, le téléchargement illégal reste encore très répandu sur la toile. En 2025, plusieurs programmes phares de Netflix dont Stranger Things figurent parmi les séries les plus piratées via BitTorrent.

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Efficacité de nettoyage, cuve MaxiSpace : Whirlpool dévoile un lave-vaisselle haut de gamme et intelligent

26 décembre 2025 à 07:00
Dans le secteur du gros électroménager, les vraies ruptures technologiques sont plutôt rares… Mais pas impossibles ! En effet, avec sa nouvelle gamme MaxiSpace, Whirlpool semble avoir résolu l’une des équations les plus complexes du marché : comment augmenter significativement la capacité de chargement d’un lave-vaisselle, le tout sans modifier les d...

Actualité : Retours, échanges, reconditionné : les pièges à éviter après Noël

26 décembre 2025 à 07:00
Le ruban est à peine coupé que le doute s'installe… L'écran scintille bizarrement, la couleur n'est pas la bonne. Pire, le smartphone reconditionné tant attendu refuse de s'allumer ! Entre le soulagement d'avoir fini les courses de Noël et la fureur de découvrir un produit défaillant, il n'y a qu'un pas souvent franchi dans la file d'attente d'un com...

Actualité : Gmail : après 21 ans de frustration, vous pourrez enfin modifier votre identifiant @gmail.com

Depuis 2004, Gmail impose une règle immuable : votre adresse électronique est un choix définitif. Vous regrettez ce pseudo qui sonne trop adolescent ? Votre nom a changé après un mariage ? Tant pis. Mais cette prison numérique touche peut-être à sa fin.Un document en hindi révèle la nouveautéC'est le groupe Telegram Google Pixel Hub qui a déniché la...

Actualité : La pénurie de mémoire vive pousse ASUS vers l'impensable : devenir fabricant, et tout changer ?

La pénurie de mémoire qui secoue l'industrie informatique pourrait bien pousser l'un des acteurs majeurs du PC à franchir une étape radicale. Selon des informations révélées par le média technique persan Sakhtafzarmag, ASUS envisagerait sérieusement d'établir ses propres capacités de fabrication de DRAM d'ici la fin du deuxième trimestre 2026.Une dém...

Les anciennes cartes Radeon sont 30 % plus rapides. Le nouveau pilote est surprenant.

Le dernier noyau Linux réserve une surprise de taille aux utilisateurs de cartes graphiques AMD très anciennes. La version 6.19 du système apporte des modifications qui se traduisent par un gain de performances significatif par rapport aux chipsets Southern Islands et Sea Islands, sortis il y a plus de treize ans. D'après les tests publiés par Phoronix, l'augmentation des performances atteint jusqu'à 30 %, les différences les plus notables étant visibles dans les jeux et applications plus anciens utilisant OpenGL. Les architectures GCN 1.0 et GCN 1.1 ont équipé les cartes graphiques Radeon HD 7000 et HD 8000, cette dernière étant principalement destinée au marché OEM. Pour de nombreux joueurs, ces cartes ont marqué la première décennie du jeu PC moderne. Aujourd'hui, elles sont considérées comme une curiosité historique, bien qu'elles équipent encore des milliers de systèmes Linux. L'amélioration des performances ne provient pas de modifications matérielles, mais d'une avancée majeure au niveau des pilotes. Pendant plus de vingt ans, les anciennes cartes AMD ont utilisé le pilote Radeon DRM classique sous Linux. Les GPU AMD plus récents ont été développés principalement pour les générations ultérieures d'architecture GCN. De ce fait, les utilisateurs des systèmes les plus anciens n'ont pas pu bénéficier de cette amélioration, même s'ils pouvaient techniquement passer au nouveau pilote. Grâce au travail de Timur Kristóf et du groupe Valve Linux Open-Source Graphics Driver, l'AMDGPU est désormais entièrement compatible avec les architectures GCN 1.0 et 1.1. Cette évolution permet à ces cartes de tirer parti de l'infrastructure de pilotes moderne qui excluait auparavant les anciennes cartes Radeon. Phoronix a mené des tests sur une plateforme moderne équipée d'un processeur Ryzen 9 9950X3D, de mémoire DDR5 et d'une carte graphique Radeon HD 7950. Les résultats montrent clairement que les gains de performance les plus importants sont observés sur les anciens jeux OpenGL, même si des améliorations sont également visibles dans d'autres cas. Le facteur clé réside dans la prise en charge native par AMDGPU du pilote Vulkan Mesa RADV, qui ouvre des perspectives inédites pour ces cartes. S'il est impossible de faire tourner les derniers jeux AAA sur des cartes graphiques vieilles de treize ans, la différence en termes de fluidité et de stabilité est flagrante. Passer aux GPU AMD vous donne accès à des méthodes de rendu plus modernes, à une meilleure prise en charge des API graphiques et à des fonctionnalités inaccessibles à cette génération de matériel depuis des années. Cette histoire met une fois de plus en lumière une caractéristique unique de l'écosystème Linux. Ce système a longtemps servi de refuge aux matériels anciens, notamment aux cartes graphiques AMD. La communauté open source a pu développer des pilotes et des outils pendant des années, même pour des chipsets qui ne sont plus pris en charge officiellement par les fabricants. Concrètement, cela signifie que des cartes datant de vingt ans bénéficient encore de correctifs et d'optimisations. Le noyau Linux 6.19, dont la sortie est prévue en février 2026, s'annonce comme l'une des mises à jour les plus importantes pour les possesseurs de cartes graphiques GCN 1.0 et 1.1. Pour de nombreux utilisateurs, ce sera un argument de poids pour conserver leur matériel actuel encore quelque temps. (Lire la suite)

Paramount a annoncé une offre actualisée pour acquérir Warner Bros. Discovery

Paramount a annoncé une offre actualisée, entièrement en numéraire, pour acquérir Warner Bros. Discovery. Un élément clé de cette nouvelle proposition est une « garantie personnelle » du milliardaire Larry Ellison, fondateur d'Oracle, qui s'est engagé à fournir des dizaines de milliards de dollars de financement en fonds propres pour cette opération. Selon un communiqué de presse officiel, Larry Ellison a personnellement garanti un financement en actions de 40,4 milliards de dollars ainsi que d'éventuelles demandes de dommages et intérêts contre Paramount. Si le financement en actions figurait déjà dans l'offre, la garantie personnelle du milliardaire constitue un ajout récent destiné à convaincre le conseil d'administration de Warner Bros. Discovery d'accepter la proposition. Cette offre améliorée intervient une semaine seulement après le rejet par le conseil d'administration de WBD de la proposition initiale de Paramount, qui lui avait préféré un accord antérieur avec Netflix. Le géant du streaming avait annoncé le 5 décembre son intention de racheter le studio pour 27,75 dollars par action, dans le cadre d'une transaction en numéraire et en actions, pour une valeur d'entreprise totale de 82,7 milliards de dollars. Trois jours après l'annonce de l'accord avec Netflix, Paramount a formulé une offre de 108,4 milliards de dollars à 30 dollars par action. Cependant, le conseil d'administration de WBD a rejeté l'offre, la qualifiant d'« illusoire » et accusant Paramount d'avoir induit les actionnaires en erreur quant au financement de l'opération. David Ellison, fils de Larry et PDG de Paramount Skydance, a souligné dans un communiqué que la société « a maintes fois démontré son engagement à acquérir WBD ». Il estime que l'offre de 30 dollars par action demeure « la meilleure option pour maximiser la valeur actionnariale » et profitera à tous les actionnaires de Warner Bros. Discovery. Par conséquent, il est possible que l' accord avec Netflix ne se concrétise pas. (Lire la suite)

Samsung a décidé de reprendre la production de mémoire DDR4.

Selon des sources internes, Samsung entend prolonger la durée de vie de sa mémoire DDR4 afin de tirer profit de la forte hausse de la demande. Le cycle actuel de renouvellement des puces DRAM a tellement perturbé les chaînes d'approvisionnement que les fabricants de mémoire peinent déjà à répondre à la demande du secteur de l'intelligence artificielle. Des solutions DRAM grand public à la mémoire HBM, les lignes de production sont confrontées à des goulots d'étranglement, obligeant des entreprises comme Samsung, SK Hynix et Micron à prendre des mesures d'urgence. D'après DigiTimes, Samsung a décidé de prolonger la durée de vie de sa mémoire DDR4 en raison de la forte augmentation du prix des modules. Tous les futurs produits seront destinés aux serveurs. Samsung Electronics devrait ralentir le déploiement de la DDR4 au quatrième trimestre 2025 et, dès le premier trimestre 2026, conclure des contrats à long terme avec certains clients, assortis de conditions d'approvisionnement fixes et non modifiables. Ce format non résiliable et non remboursable permet à l'entreprise coréenne de sécuriser la demande en DDR4 et DDR5 à l'avance, sans craindre de désistements de dernière minute. De plus, le prix étant fixe et indexé sur le marché, les fluctuations de prix ultérieures n'auront aucun impact sur le prix final du contrat. Cette approche, particulièrement intéressante, devrait permettre à l'entreprise de décrocher d'importants contrats. (Lire la suite)
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