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Je viens de lire un article super intéressant sur pourquoi les milliardaires sont en train de se faire fabriquer des bunkers un peu partout dans le monde, et franchement, ça me dégoûte.
Ils feraient mieux d’investir pour nous sortir de la merde collective dans laquelle ils nous ont mis plutôt que d’aller se cacher comme des rats. Les mecs n’ont jamais ouvert une conserve de leur vie, et je donne pas cher de leur peau après l’apocalypse.
D’après cet article, Douglas Rushkoff, un théoricien des médias, s’est retrouvé un peu par hasard à une conférence dans le désert pour ultra-riches. Lui pensait qu’il était là pour discuter du futur de l’humanité, mais visiblement, non, les mecs voulaient juste savoir où construire leurs bunkers. Alaska ou Nouvelle-Zélande ? Bitcoin ou Ethereum pour payer la construction ? C’était apparemment leur seule préoccupation.
Et ces bunkers ne sont pas de simples abris, hein… Ce sont de vrais palaces souterrains. Ron Hubbard, qui dirige la société Atlas Survival Shelters et se décrit comme “l’Amazon des bunkers”, a construit des milliers de ces trucs. Il a par exemple bossé pour les frères Tate (vous savez, ceux qui sont accusés de trafic d’êtres humains), pour MrBeast, et même pour Mark Zuckerberg à Hawaii.
D’après Hubbard, un bunker “confortable” d’un demi-million de dollars, ça se compose de huit à neuf pièces, deux chambres, une cuisine, une salle de bain, une salle de décontamination, et même une pièce pour le générateur. Certains ont des salles de cinéma souterraines, des caves à vin climatisées, et même des poteaux de strip-tease (je vous jure, les frères Tate en voulaient dans leur bunker).
Selon Vice qui a également abordé le sujet, au Kansas, un ancien silo de missiles a été transformé en “Survival Condo Project” où avec 3 millions de dollars vous pouvez acheter un appartement clé en main entouré de 3 mètres de béton armé. En Nouvelle-Zélande, les milliardaires de la Silicon Valley sont également convaincus que ce pays sera l’un des rares à survivre à ce qu’ils appellent sombrement “l’Événement”.
Zuckerberg, par exemple, est en train de se faire construire un bunker de 460 mètres carrés sous son ranch à Kauai, avec des espaces de vie, une salle technique, une trappe d’évacuation, des portes insonorisées à code, son propre approvisionnement en nourriture, un réservoir d’eau et un système de pompage. Le tout pour la modique somme de 270 millions de dollars.
Et Douglas Rushkoff leur a expliqué plusieurs fois, en vain, que “la survie réussie est un sport d’équipe”. En gros, pour survivre, vos voisins doivent aussi survivre. Sinon, ils viendront frapper à la porte de votre bunker, vous sortiront de là et vous tueront. Mais bon, ces génies refusent les solutions “pro-sociales”… Leur compréhension du succès est uniquement individuelle. Pour eux, c’est “le gagnant rafle tout” et tant pis pour les autres…
Hubbard précise aussi que 99% de ses clients sont “très chrétiens” et qu’il ne vend quasiment jamais de bunkers à des gens de gauche ou des démocrates. Selon lui, c’est parce que les gens de droite se gèrent eux-même tandis que les gens de gauche pensent que le gouvernement viendra les aider. Lol.
Ron Hubbard
Voilà, et si vous n’avez pas la place pour vous faire creuser un méga-bunker, il y a aussi des entreprises qui installent des panic rooms blindées dans les maisons. Leurs clients vivent souvent dans des villes et ils veulent un endroit où se barricader en cas de cambriolage ou d’assaut. Mais le plus dingue dans tout ça, c’est qu’à présent, les milliardaires de la tech sont passés à autre chose … Ils sont quasiment tous convaincus qu’ils pourront “télécharger leur conscience dans le cloud”.
Rushkoff, qui a écrit un livre entier sur le phénomène ("Survival of the Richest: Escape Fantasies of the Tech Billionaires"), explique qu’il a été surpris par le niveau d’intelligence de ces milliardaires de la tech. Et attention c’est pas un compliment : “Aucun de ceux que j’ai rencontrés n’était de vrais programmeurs, de vrais inventeurs, de vrais ingénieurs… La plupart étaient juste les potes de vrais ingénieurs, plus capables de vendre la tech ou de construire un business.”
Photo Ron Hubbard
Dans cet autre article, Douglas Rushkoff note qu’il y a quand même certaines personnes extrêmement riches qu’il connaît, qui ont eu une expérience mystique qui les a complètement transformés en défenseurs de l’activisme climatique et de l’ économie régénérative . Mais la plupart des autres ultra riches redoublent d’efforts pour faire cavalier seul et laisser l’humanité derrière eux…
Mais alors moi après avoir lu cet article, je me demande maintenant ce qui se passera après “l’Événement” ? Parce que bon, leur argent ne vaudra peut-être plus rien du tout et après ils feront quoi quand leurs réserves de bouffes commenceront pas se réduire ?
Ils viendront surement nous manger.
Photo d’illustration : Ron Hubbard
Je ne l’avais pas forcément anticipé, mais plus l’IA s’amuse à générer de fausses infos, plus les gens se réfugient vers les médias traditionnels. En tout cas, c’est à cette conclusion que sont arrivés les chercheurs de Johns Hopkins, de l’Université nationale de Singapour et de Carnegie Mellon dans une étude publiée récemment .
Ces derniers ont mis en place une collaboration avec Süddeutsche Zeitung , l’un des mastodontes de la presse allemande, pour élaborer un quiz interactif. Le principe c’était de proposer aux lecteurs 5 images et leur demander lesquelles étaient générées par IA. Je vous donne la conclusion direct : 36% des participants ont été incapables d’identifier correctement les fausses images. C’est fou non ?
Et là où ça devient vraiment intéressant, c’est après ce quiz… car une fois confrontés à cette difficulté de distinguer le vrai du faux, les lecteurs ont modifié leur comportement. L’étude montre en effet une augmentation de 2,5% des visites quotidiennes sur le site du journal .
Ça peut paraître peu, mais pour un média en place qui ronronne depuis longtemps, c’est plutôt pas mal. Et comme si ça ne suffisait pas, le taux de désabonnement a également chuté d’un tiers parmi ceux qui ont participé au quiz.
Filipe Campante, l’un des chercheurs de Johns Hopkins, explique que cette sensibilisation crée en fait une prise de conscience car les gens réalisent soudainement la valeur d’avoir des sources fiables dans un océan de contenus douteux. Plus les participants étaient surpris par leur incapacité à distinguer le vrai du faux, plus ils augmentaient leur consommation de contenus vérifiés par la suite.
C’est une forme de vaccination où une petite dose contrôlée de désinformation renforce les défenses de l’esprit critique (Oui, je sais, les “grosses doses” vous ont déjà eu pour certains d’entre vous… snif.)
Et surtout, il semblerait que l’effet persiste dans le temps . Ce n’est donc pas juste un pic temporaire d’intérêt car les lecteurs ont développé une sorte de réflexe de vérification, en se tournant vers des sources fiables quand ils tombaient sur des infos douteuses ailleurs.
Bien sûr, il y a des limites à cette étude car elle a été menée avec un public allemand, déjà habitué à payer pour de l’information de qualité… Faudrait donc voir ce que ça pourrait donner sur le secteur des médias français où tout le monde est habitué à se gaver de confiture gratuite jusqu’à la gerbe…
Quoiqu’il en soit, la tendance de fond reste encourageante.
Pour les médias traditionnels, c’est donc une super opportunité car au lieu de voir l’IA uniquement comme une menace existentielle et de chialer toute la journée sur leur propre sort, ils peuvent l’utiliser comme un argument de différenciation. Cette authenticité peu devenir un sérieux argument marketing et certains journaux commencent déjà à intégrer des modules éducatifs sur la détection de fakes dans leur stratégie d’engagement. C’est pas con, va falloir que j’y pense aussi ^^.
Bref, cette méchante IA, censée remplacer les journalistes et tout ce qui a un cerveau, va peut-être bien finir par renforcer la valeur du journalisme fait par des humains, car les lecteurs ne veulent pas juste de l’information… Non, ils veulent de la confiance. Et pour l’instant (oui, pour l’instant…), cette confiance est encore présente chez les médias qui emploient de vrais journalistes, avec de vraies sources et de vrais processus de vérification…
Quoiqu’il en soit, imaginez ce que pourrait donner si on formait notre jeunesse à tout cela… On pourrait créer une génération beaucoup plus résistante à la désinformation !
Et évidemment, tout cela pourrait s’appliquer à d’autres domaines où l’authenticité devient rare. Je pense par exemple aux artistes qui pourraient bénéficier de cette prolifération d’œuvres générées par IA ou aux photographes qui pourraient voir leur travail à nouveau mis en valeur face aux deepfakes. Visiblement, les gens veulent de l’authenticité donc tout n’est pas foutu, mais bon après, si votre travail est artistiquement sans intérêt et qu’une IA peut faire exactement le même truc que vous, c’est sûr que va falloir vous sortir un peu les doigts ou penser à une reconversion professionnelle.
Voilà, moralité, plus on est bombardé de contenus artificiels, plus on apprécie l’humain qui se cache derrière l’information. En tout cas, pour le moment… ^^
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