Ce fabricant crée des aspirateurs robots avec une "vraie" puissance d'aspiration !
Nombreux sont ceux qui essaient, un seul y est parvenu. Voici l'aspirateur robot avec la plus grande puissance d'aspiration sur le marché ![Plus]
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Valve a officiellement déposé la marque "Steam Frame" le 2 septembre 2025, un nom qui, selon les documents légaux, couvre explicitement les consoles de jeux vidéo et le matériel informatique. Cette initiative relance les spéculations sur le retour de l'entreprise sur le marché des consoles de salon, après le succès phénoménal de sa machine portable, le Steam Deck.
La Cnil inflige des amendes historiques à Google et à Shein. En cause, des publicités déguisées dans Gmail et une gestion illégale des cookies publicitaires. Les deux groupes sont accusés de bafouer le consentement des utilisateurs français.
Coutumier du fait, ASUS remet le couvert avec une RTX 5080 Noctua Edition ! Vous aurez compris qu'ASUS s'associe à nouveau à Noctua afin de nous proposer une carte graphique au look unique, car oui les ventilateurs Noctua ont leur teinte classique iconique : […]
Lire la suiteDirection Intel qui lance une nouvelle carte graphique professionnelle. Avec la Arc Pro B50, Intel nous propose une petite carte affichant une consommation faible, une bonne capacité mémoire, mais surtout, un format double slot low profile ! Une petite carte qui se destine à des charges de travail en lien avec l’IA, les travaux d’architecture, etc. […]
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Xbox est heureux de dévoiler aujourd'hui la nouvelle série spéciale Breaker de la manette sans fil Xbox : trois modèles inédits lancés simultanément pour toujours plus de choix. Audacieuses et singulières, les éditions Heart Breaker, Ice Breaker et Storm Breaker offrent chacune une identité propre, mêlant finitions métalliques, reflets translucides et détails texturés. […]
Lire la suiteAu Computex, sur le stand de Noctua, nous avons pu poser les yeux sur la nouvelle génération de carte graphique développée en collaboration avec ASUS, la RTX 5080 Noctua Edition. La carte était véritablement impressionnante de par ses dimensions et son poids. Toutefois, il semblerait que la carte soit aussi impressionnante de par son prix […]
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On le sait, AMD prépare la suite pour ses processeurs Ryzen et EPYC avec l'architecture ZEN 6, et la firme a de nouveau choisi une stratégie à double nud de gravure. Les CCD (Core Complex Die), qui intègrent les curs de calcul, profiteront du procédé TSMC N2P en 2 nm, tandis que l'IOD (I/O Die) sera produit en N3P 3 nm. Une évolution de taille par rapport à la génération précédente, mais aussi une évolution par rapport aux dernières rumeurs qui tablaient sur de 3 et 4 nm. […]
Lire la suiteUne nouvelle souris devrait très prochainement faire son apparition chez Logitech, à savoir la Pro X Superlight 2c. Une souris qui a été designée avec des pros, qui se destinent donc aux joueurs avertis. Disponible en noir, blanc et rouge, cette nouvelle souris s'offre un capteur Hero 2 en 44 000 DPI, Polling Rate 8 kHz et qui prend 88G. On retrouve également des switchs optiques LightForce, un chargement en USB-C, le Logitech LightSpeed wireless technology et des patins en PTFE. […]
Lire la suiteSi les boitiers pour nos machines ont de moins en moins d'emplacements en 2.5" et 3.5", il est assez facile de compenser avec les emplacements M.2 de la carte mère, voire un NAS. Mais des fois, la solution d'un boitier externe branché directement en USB est plus simple, d'où l'arrivée prochaine du TS434U chez SilverStone. Avec des dimensions de 158 x 173 x 210 mm, il permet l'installation d'un maximum de quatre disques durs en hot-swap, avec quatre paniers compatibles 3.5" et 2.5" afin d'offrir un maximum de polyvalence. L'installation des disques se fera sans outil pour les premiers, tandis que les secondes demanderont quelques vis. […]
Lire la suiteEizo nous présente le ColorEdge CG2400SV, un écran taillé pour les plus créatifs d'entre nous. C'est le deuxième écran, après le CG1, à mettre en avant une connectique SDI permettant de transmettre des signaux vidéo sans aucune compression, préservant ainsi toute la fidélité du contenu HDR et garantissant l'absence d'artefacts. En prime, elle permet une intégration avec les caméras professionnelles et les flux vidéo directs, le rendant précis que ce soit en studio ou en live. Outre la connectivité professionnelle, ce Eizo propose aussi une sonde de calibrage automatique et programmable afin de remettre l'écran dans de bonnes couleurs de manière régulière. À cela s'ajoutent plusieurs prises en charge, notamment le 10 bits (1,07 milliard de couleurs) à partir d'une table LUT 16 bits, ainsi que la prise en charge du LUT 3D. […]
Lire la suiteGoogle, Microsoft et OpenAI, Meta, X… Certaines des plus grandes sociétés numériques de la planète ont commis le « plus grand vol de propriété intellectuelle de l’histoire », évalue le directeur général de la Confédération internationale des éditeurs de musique (ICMP).
Pendant deux ans, cet organisme représentant l’ensemble des majors, 76 associations commerciales et des milliers de labels indépendants s’est attelé à l’analyse de bases d’entraînement de systèmes d’IA en open source, de registres commerciaux, de travaux de recherches et d’experts et de documents ayant fuité. Elle a partagé les résultats de ces travaux auprès de Billboard, démontrant le recours de morceaux des Beatles, de Mariah Carey, de The Weeknd, Beyoncé, Ed Sheeran ou encore Bob Dylan.
Outre fournir des preuves « exhaustives et claires » de l’utilisation non autorisée de musique et d’images pour entraîner les systèmes génératifs, cette enquête démontre également que l’ampleur de l’entraînement réalisé sur ces contenus est plus large qu’envisagé précédemment.
Parmi ses résultats, l’ICMP constate que les applications de création de musique Udio et Suno ont récupéré illégalement des morceaux sous propriété intellectuelle disponibles sur YouTube, ou encore que les modèle Llama de Meta, Claude d’Anthropic, Copilot (Microsoft) et Gemini (Google), DeepSeek de la société du même nom et l’application Jukebox d’Open AI avaient tous été entraînés sur des morceaux signés Childish Gambinon pour le premier, Lynyrd Skynyrd pour le deuxième, Jay Z pour le troisième, Michael Jackson, Elton John, et ainsi de suite pour les suivants.
Par ailleurs, des modèles de génération d’image comme Midjourney copient et génèrent des répliques directes de couvertures d’albums de Gorillaz, Dr. Dre et d’autres artistes.
Installée à Bruxelles, l’ICMP a partagé des éléments de ses recherches avec divers gouvernements au fil des 18 derniers mois.
« Ce n’est pas un crime sans victime », déclare un porte-parole de Concord à Billboard. Décrivant le détournement de flux de redevances créé par ce système, la personne ajoute : « Même si les paroles générées par les grands modèles de langage n’auront peut-être jamais la créativité d’un être humain (…) leur ampleur et leur économie vont nuire à la motivation de créer de nouvelles œuvres artistiques, qui est la mission fondamentale du droit d’auteur. »
Un an seulement après sa refonte totale, le service Vélô Toulouse connaît un succès spectaculaire. Avec un nombre d'abonnés qui a doublé pour atteindre plus de 65 000 usagers et une fréquentation en hausse de 150%, le pari de l'électrique et de l'extension du réseau est plus que réussi. Tisséo s'apprête d'ailleurs à étendre le service au-delà des frontières de la Ville rose.
Après 15 ans d'attente, Instagram lance son application dédiée pour iPad. Une expérience optimisée pour grand écran qui met les Reels au premier plan et réintroduit une fonctionnalité.
À mi-chemin entre machine d’entraînement et partenaire de jeu, Acemate promet de transformer la pratique du tennis. Ce robot autonome renvoie vos frappes comme un véritable adversaire. Déjà financé à plus de 2,4 millions de dollars sur Kickstarter, il pourrait devenir l’un des projets les plus ambitieux du sport connecté.
L’article Le robot Acemate de SwitchBot révolutionne l’entraînement au tennis grâce à l’IA est apparu en premier sur Toms Guide.
La CNIL vient de prononcer deux amendes pour non-respect des règles sur les cookies : 325 millions d’euros pour Google (faux emails publicitaires dans Gmail et dépôt de cookies sans consentement valide) et 150 millions d’euros pour Shein (cookies déposés sans consentement).
Après une amende de 100 millions d’euros en 2020 (validée par le Conseil d’État), puis une seconde de 150 millions d’euros en 2021, Google écope d‘une troisième amende de la CNIL de 325 millions d’euros pour « avoir affiché des publicités entre les courriels des utilisateurs de Gmail sans leur accord, et pour avoir déposé des traceurs (cookies) lors de la création de comptes Google, sans consentement valide des utilisateurs français ».
Cette sanction fait suite à une plainte de None Of Your Business (noyb) déposée le 24 août 2022. Les équipes de la CNIL ont ensuite constaté que la messagerie de Google affichait, « entre les courriels présents au sein des onglets « Promotions » et « Réseaux sociaux » […] des annonces publicitaires prenant la forme de courriels ».
Dans le détail de la décision, un des axes de défense de Google est d’expliquer que « l’affichage des annonces non sollicitées dans Gmail a été restreint aux seuls onglets « Promotions » et « Réseaux sociaux » afin de préserver une expérience utilisateur qualitative ». Réponse expéditive de la CNIL sur ce point : c’est « sans incidence sur la portée de l’obligation ».
Le délibéré permet aussi de suivre le déroulement des contrôles. Une délégation de la CNIL « a procédé le 20 octobre 2022 à une mission de contrôle en ligne qui s’est terminée le 4 novembre 2022 », puis « les 29 novembre et 6 décembre 2022, deux contrôles sur place ont été réalisés dans les locaux de la société Google France », et enfin « un nouveau contrôle sur place le 5 septembre 2023 ».
Les points 52 à 58 de la décision permettent de suivre « les modalités dans lesquelles les informations ont été recueillies », qui sont contestées pour certaines par Google. Là encore, la CNIL balaye les arguments : « la formation restreinte considère que la collecte d’informations a été réalisée dans le respect des dispositions légales et règlementaires ».
Pour rappel, Orange a écopé fin 2024 de 50 millions d’euros d’amende pour ne pas avoir recueilli le consentement de ses utilisateurs avant de leur afficher, « entre les courriels présents au sein des boîtes de réception des utilisateurs, des annonces publicitaires prenant la forme de courriels ».
Google est aussi condamné pour un manquement à la loi Informatique et Libertés : « lorsqu’ils créent un compte Google, les utilisateurs sont incités à choisir les traceurs liés à l’affichage de publicités personnalisées, au détriment de ceux liés à l’affichage de publicités génériques, et […] ils ne sont pas clairement informés que l’accès aux services de Google est conditionné au dépôt de traceurs à finalité publicitaire. Leur consentement recueilli dans ce cadre n’est donc pas valable ».
En plus des 325 millions d’euros, Google est sous le coup d’une astreinte de 100 000 euros par jour de retard si l’entreprise ne corrige pas le tir dans un délai de six mois. Le géant du Net doit donc arrêter d’afficher des publicités entre les courriels sans consentement préalable. Il doit aussi recueillir un consentement valable pour le dépôt de traceurs publicitaires lors de la création d’un compte Google.
Pour justifier ce montant, la CNIL met en avant le nombre important d’utilisateurs en France : le manquement sur les traceurs concerne 74 millions de comptes, dont 53 millions avaient vu s’afficher des publicités de « manière illicite ». Pour la Commission, Google a « fait preuve de négligence » puisque la société avait déjà été sanctionnée en 2020 et 2021, c’est en quelque sorte une circonstance aggravante.
De son côté, Shein écope de 150 millions d’euros pour « non-respect des règles applicables en matière de traceurs (cookies), déposés sur le terminal des utilisateurs se rendant sur le site shein.com ». Les manquements sont nombreux : absence de recueil du consentement avant dépôt des traceurs, bandeaux d’information incomplets, second niveau d’information insuffisant, mécanismes de refus et de retrait du consentement défaillants.
Cela se traduit par des cookies déposés sur le terminal des utilisateurs dès leur arrivée, avant même une interaction avec le bandeau RGPD. Mais aussi par des cookies déposés et lus même si l’utilisateur cliquait sur « Tout refuser » ou s’il retirait son consentement.
Dans le délibéré de la décision, on apprend que Shein a tenté de s’opposer à la procédure sur des points de droit, toutefois elle « ne conteste pas le fait que les trois cookies publicitaires mentionnés par le
rapporteur dans le rapport étaient déposés sur le terminal de l’utilisateur avant toute expression de son consentement ». Shein affirme que c’est une « erreur à laquelle elle a remédié en cours de procédure ».
Si la société n’est pas toujours d’accord avec les arguments de la CNIL, elle a modifié ses pratiques afin de se conformer aux demandes. Par exemple : « Elle considère que ces cookies, qui ne sont déposés que lorsque l’utilisateur a refusé le reste des cookies, facilitent la navigation de l’utilisateur en empêchant que soient présentées trop souvent les mêmes publicités à l’utilisateur. Dès lors, elle considère qu’ils ne sont pas soumis au consentement ». Sur d’autres points, Shein plaide l’« erreur technique ».
Pour justifier le montant de l’amende, la CNIL tient compte « de la place centrale occupée par » Shein, avec « en moyenne 12 millions de personnes résidant en France qui se rendent sur le site » chaque mois. De plus, la Commission rappelle que, depuis 2020, elle a rendu publiques de nombreuses sanctions pour des manquements similaires. En filigrane, on comprend que Shein ne pouvait pas ne pas savoir et que c’est une sorte de circonstance aggravante. C’est peut être aussi un message aux autres sites qui ne respectent pas les règles… Faire semblant de ne pas savoir n’est pas un argument recevable, au contraire, c’est même aggravant.
Les 150 millions d’euros ne sont pas assortis d’une injonction de mise en conformité car Shein a « apporté des modifications à son site internet au cours de la procédure ».
La CNIL explique que ces amendes « s’inscrivent dans la continuité des nombreuses actions menées par la CNIL pour réguler les pratiques non-conformes en matière de suivi et de ciblage des internautes ». Une manière de répondre à certains qui accusent l’autorité d’inaction ou de ne pas remplir sa mission « de veiller au respect du RGPD ».
La CNIL affirme enfin qu’elle va continuer d’être vigilante, « en particulier concernant les pratiques non-conformes comme le dépôt de traceurs sans le consentement de l’internaute, mais aussi s’agissant de pratiques qui se développent, comme l’utilisation de « murs de traceurs » » (cookie walls), qui consistent à conditionner l’accès de l’internaute à un service à son acceptation du dépôt de traceurs sur son terminal ».
Cette pratique n’est pas illégale, mais à condition que le consentement soit libre et éclairé, c’est-à-dire sans inciter à prendre une option plutôt qu’une autre (par exemple, avec un choix plus complexe que l’autre).
Pour rappel, et dans un registre un peu différent, Next vous propose une extension pour suivre la multitude de requêtes externes faites par les sites que vous visitez… et il y a parfois de quoi prendre peur.
Après 01net Magazine en juin dernier, c’est un autre vétéran de la presse informatique papier qui tire sa révérence : iCreate, « le magazine des utilisateurs Mac, iPhone et iPad », annonce que son numéro 226 ne sortira pas en kiosque, et ne sera pas envoyé aux abonnés.
« La société Presse Factory, qui a édité votre magazine pendant toutes ces années, a été placée en liquidation judiciaire à la fin du mois d’août », indique l’équipe dans un communiqué qui accompagne la publication de ce nouveau numéro, exclusivement au format PDF (5 euros).
L’annonce signe-t-elle pour autant la disparition de la marque iCreate et des publications associées ? « Pour l’heure, il est encore trop tôt pour savoir ce qu’il adviendra du magazine. Il est possible qu’un autre éditeur décide de le relancer à l’avenir », explique la rédaction.
« Nous vous remercions du fond du cœur de nous avoir suivis si fidèlement pendant toutes ces années. Vous avez fait d’iCreate une revue de référence, et c’est grâce à vous que nous avons pu partager notre passion commune pendant plus de 20 ans ».
Les modalités de la liquidation judiciaire ne sont à ce stade pas connues, l’annonce officielle n’ayant pas encore été publiée. Presse Factory avait déjà traversé, avec succès, un plan de redressement judiciaire entre 2018 et 2021.
En attendant de connaître le destin des actifs associés à iCreate, les abonnés sont invités à télécharger les exemplaires auxquels leur donne droit leur abonnement avant que le site du magazine soit placé hors ligne, « d’ici quelques semaines ».