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Reçu aujourd’hui — 17 juillet 20257.1 📜 Résumé - Tech.

Europol fait tomber le ransomware ciblant les NAS Synology

17 juillet 2025 à 17:15
Synology

La Police d'État italienne, main dans la main avec ses homologues français et roumains, vient de mettre un point final aux agissements du célèbre groupe de ransomware spécialisé dans les NAS de Synology. Une opération d'envergure, savamment orchestrée par EUROPOL et brillamment menée par le Centre des Opérations de Cybersécurité de Milan. Le résultat ? Un réseau criminel des plus sophistiqués, qui ciblait sans relâche les systèmes NAS Synology aux quatre coins du monde, est désormais hors d'état de nuire.

GeForce NOW rend la justice avec RoboCop: Rogue City — Unfinished Business

17 juillet 2025 à 15:31

Cette semaine, le GFN Thursday vous donne des directives directement depuis le cloud. Connectez-vous, verrouillez, chargez et prenez les commandes des nouveaux jeux de cette semaine. Première mission : RoboCop: Rogue City — Unfinished Business de Nacon est maintenant disponible en streaming sur GeForce NOW. La loi est de retour, patrouillant dans les rues de Old Detroit. Que vous soyez sur un PC haut de gamme ou un smartphone, votre directive principale est de servir, protéger et streamer. La justice est maintenant disponible sur tous les appareils. Et avec GeForce NOW, pas besoin de s'inquiéter de l'espace de stockage, juste du streaming instantané pour jouer directement. Mais ce n'est pas tout. Plongez dans le chaos néon de Night City avec la mise à jour 2.3 de Cyberpunk 2077 et soyez parmi les premiers à jouer au dernier contenu, sans téléchargement ni attente en jouant dans le cloud avec GeForce NOW. Et n'oubliez pas de profiter des vibes estivales avec la dernière vague de contenu dans Zenless Zone Zero. […]

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L’IA de Google peut passer des appels téléphoniques à votre place

GeminiSouvenez-vous, lors de la conférence Google I/O 2018, Google avait présenté à l’époque une technologie capable de passer des appels à votre place, jusqu’à réserver une table dans un restaurant dans une démonstration plus vraie que nature. Et si Google s’était montré très convaincant à l’époque, cette fonctionnalité de Google Assistant n’a en réalité jamais […]

Start-ups françaises : chute brutale des levées de fonds, la French Tech s’effondre de 35 %

Start-upAlors que l’économie autour du numérique n’a jamais été aussi incertaine face aux dernières évolutions technologiques, à commencer par l’intelligence artificielle, les entreprises françaises vont-elles pouvoir lutter face aux investissements massifs réalisés aux Etats-Unis, comme le projet Stargate, ou encore face à la Chine ? Si certaines initiatives ont récemment été dévoilées, comme le projet […]

Mistral AI bientôt rachetée par Apple ? La rumeur à 6 milliards d’euros

Mistral AIAlors qu’au mois de juin dernier, de nombreuses rumeurs mentionnaient un potentiel rachat de Perplexity par Apple ou par Meta, c’est désormais au tour de Mistral AI, l’entreprise française qui propose son propre LLM, d’être au coeur d’une nouvelle rumeur pour un éventuel rachat par Apple. Et si de nombreux utilisateurs d’Apple ont critiqué la […]

Sony et ses smartphones Xperia quittent le marché Européen

17 juillet 2025 à 16:15
sony xperia 1 vii 01

C'est une nouvelle qui inquiète les fans de la marque : Sony semble vouloir lever le pied, voire carrément s'éclipser du marché européen des smartphones. Le fer de lance, le tant attendu Xperia 1 VII, a tout bonnement disparu des étals de nombreux revendeurs, notamment en Finlande. L'entreprise nippone l'avoue à demi-mot : elle privilégie désormais la vente en ligne, via sa boutique officielle et Amazon, mais seulement dans une poignée de pays comme l'Allemagne et le Royaume-Uni. Un signe inquiétant pour les fidèles de la marque.

Lian Li n'a pas de temps à perdre et sort un riser déjà compatible PCIe 6.0 !

La plupart d'entre vous savent sans doute déjà ce qu'est un riser PCIe, mais pensons à tout le monde en faisant une petite piqure de rappel tout de même. Il s'agit d'une rallonge du port PCIe x16 de la carte mère, afin de pouvoir installer la carte graphique de manière déportée dans le PC. Cela peut...

Scale AI licencie 14 % de ses équipes juste après l’investissement de Meta

17 juillet 2025 à 16:09
Passage à l'échelle
Scale AI licencie 14 % de ses équipes juste après l’investissement de Meta

Alors que Meta vient de racheter 49 % des parts de Scale AI et de débaucher son fondateur, cet acteur phare du marché de l’annotation de données licencie 14 % de ses effectifs.

Mark Zuckerberg a jeté toutes ses forces dans la bataille de l’IA. Après avoir passé plusieurs semaines à débaucher des scientifiques et ingénieurs en vue dans le secteur, le patron de Meta vient d’annoncer des investissements de l’ordre de « centaines de milliards de dollars » dans des centres de données et des supercalculateurs dédiés à l’IA.

Ces déploiements de capitaux sont loin de profiter aux travailleurs du clic qui œuvrent à l’entraînement des systèmes d’IA, en revanche. Pour preuve, Meta a beau avoir dépensé plus de 14 milliards de dollars pour racheter 49 % des parts de Scale AI et débauché son fondateur Alexandr Wang, cet acteur phare de l’annotation de données annonce licencier 200 personnes et cesser de travailler avec 500 sous-traitants.

« Rationaliser » un « excès de bureaucratie »

Son porte-parole explique que la décision doit permettre de « rationaliser [leurs] activités liées aux données pour [les] aider à évoluer plus rapidement ». La société prévoit par ailleurs d’embaucher dans d’autres domaines, dont la vente aux entreprises et aux gouvernements.

D’après un mémo obtenu par Bloomberg, le PDG par interim de l’entreprise, Jason Droege, aurait expliqué aux équipes de Scale AI que son activité d’annotation de données auraient embauché trop de gens trop rapidement au fil des années passées, ce qui aurait créé une « bureaucratie excessive et une confusion inutile sur les missions des équipes ».

Le quasi-rachat de Meta a aussi participé à la décision, dans la mesure où il a été suivi par la suspension de certains de ses contrats les plus importants, avec des acteurs comme OpenAI et Google (Alphabet).

La décision ne se fera pas sans toucher des personnes aux conditions de travail déjà complexes. La chaîne de production de l’IA est en effet constituée de trois couches principales, pour reprendre les explications du sociologue Antonio Casilli : les géants détenteurs de données, les acteurs intermédiaires comme Scale AI, qui répartissent les travaux, et la « grande masse des travailleurs », quelquefois seuls chez eux, quelquefois réunis en petits groupes ou entreprises de taille plus modeste. Or, avant les licenciements, Scale AI comptait 1 400 employés et des milliers de ces sous-traitants, partout sur la planète, d’après CNBC.

Un leader de l’annotation à bas coût

Fondée en 2016 par un Alexandr Wang âgé seulement, à l’époque, de 19 ans, Scale AI s’est, en l’occurrence, spécialisée dès le départ dans l’offre de services d’annotations de données et d’entraînement de système d’IA de qualité, à bas coût.

Comme le raconte la journaliste Karen Hao dans son ouvrage Empire of AI, l’entreprise est parvenue à déployer ce modèle en allant cherchant ses travailleurs du clic dans d’anciennes colonies britanniques – le Kenya, les Philippines –, mais aussi en découvrant, à la faveur de la crise économique vénézuelienne, comment convaincre quantité de personnes éduquées à travailler pour sa plateforme.

« Cette expérience est devenue leur méthode classique d’intervention, qu’ils ont réutilisée ailleurs, explique-t-elle à Next. Quand la pandémie a frappé, Scale AI s’est tourné vers tous les pays où les économies se sont retrouvées en souffrance, et où de nombreux travailleurs très qualifiés devenaient disponibles pour des salaires bas, faute de trouver d’autres emplois ».

Une fois qu’une masse critique de travailleurs est atteinte, Scale AI tend à réduire les salaires proposés pour chaque tâche, ou à placer les personnes en compétition les unes contre les autres.

Si d’autres entreprises ont tenté de proposer de meilleures conditions de travail, des périodes de tensions budgétaires comme celle provoquée par la pandémie ont poussé leur clientèle vers des sociétés proposant des tarifs plus faibles, comme Scale AI.

Un secteur en pleine reconfiguration

Au Kenya comme au Népal ou ailleurs, de nombreux employés ont mécaniquement dû se tourner vers la société cofondée par Alexandr Wang, ce qui a permis à cette dernière d’engranger 870 millions de dollars de chiffre d’affaires en 2024, d’après Bloomberg.

Si la société s’est placée en leader de cette étape de la chaine de production des systèmes d’IA, elle doit néanmoins composer avec une concurrence active d’entreprises variées, parmi lesquelles Turing, Invisible Technologies, Labelbox, ou même Uber.

Surtout, son PDG par intérim indique qu’un axe de travail consistera à tenter de reconquérir « les clients qui ont ralenti leur travail avec nous ». Jason Droege indique par ailleurs que des personnes seront embauchées pour créer des applications d’IA personnalisées pour les besoins de la nouvelle clientèle privée et publique que Scale AI prévoit d’approcher.

☕️ 23andMe : l’ancienne CEO Anne Wojcicki récupère la main sur l’entreprise

17 juillet 2025 à 15:43

Dans un message publié sur X, Anne Wojcicki explique que son organisation à but non lucratif TTAM a finalisé l’acquisition de 23andMe.

Comme nous l’expliquions il y a un mois, cette organisation, dont l’acronyme reprend les premières lettres de « Twenty three and me », a été créé spécifiquement pour cette reprise. Elle a fait une offre de 305 millions de dollars, dépassant celle effectuée par l’entreprise de biotech Regeneron. Celle-ci avait annoncé, un peu trop rapidement, avoir racheté 23andMe avec une offre de 256 millions de dollars.

Brin. ADN

« Une structure à but non lucratif est le meilleur moyen de consolider nos valeurs et nos engagements vis-à-vis de nos clients, de la communauté scientifique et du monde en général », affirme Anne Wojcicki dans son message.

Rappelons que l’entreprise était entrée en bourse en 2021. Mais elle a depuis rencontré énormément de difficultés, dont une cyberattaque en 2023 lors de laquelle les données génétiques de ses 7 millions d’usagers se sont retrouvées dans la nature.

Google introduit des résumés générés par IA dans la version étasunienne de Discover

17 juillet 2025 à 15:11
Qui va factchecker les résumeurs automatiques ?
Google introduit des résumés générés par IA dans la version étasunienne de Discover

Google introduit les résumés d’articles générés par IA dans Discover, pour l’instant seulement dans sa version étasunienne. L’entreprise met en place cette fonctionnalité alors que les éditeurs de sites web accusent les outils d’IA générative de tarir leur trafic et que les spécialistes SEO jouent avec les contenus générés par IA pour augmenter le leur.

Google est en train de modifier son application Discover. Aux États-Unis, celle-ci propose des résumés d’actualité créés par IA générative. Jusque-là, Discover – désormais le principal flux d’actualités de Google – avait pris une place centrale dans la manière de suivre l’actu pour une bonne partie de la population.

Ainsi, en juin, l’Alliance de la presse d’information générale (APIG) expliquait que Discover était devenu la principale source de trafic pour la presse française. Sur un an et demi, les chiffres de l’APIG montrent que ce service de Google était celui qui amenait le plus de clics aux sites d’information :

Comme nous l’expliquions, cette application est devenue la vraie source de clic du côté de Google puisque Discover représente, à lui seul, 68 % du trafic en provenance de Google.

Des résumés accompagnés de logs de média

Au lieu de montrer une actu venant d’un site en particulier accompagnée du lien pour avoir plus d’infos sur le sujet, Discover affiche désormais aux États-Unis un texte généré par IA utilisant le contenu de plusieurs sites d’actualité, explique TechCrunch. Ces médias sont visibles via un rassemblement d’icônes au-dessus du texte généré :

Crédit image : Google

Selon TechCrunch, le résumé généré dans Discover cite les différentes sources dans lesquelles Google a été piocher pour le générer. L’application affiche un avertissement aux utilisateurs : « Généré par IA, qui peut faire des erreurs ».

Interrogé par nos confrères, Google confirme que la fonctionnalité est mise en place sur Discover aux États-Unis sur Android et iOS et que ce n’est pas un simple test. TechCrunch a constaté que ces résumés ne s’affichent pas pour tous les sujets d’actualité pour l’instant.

Pour Google, « cette fonctionnalité permettra aux internautes de choisir plus facilement les pages qu’ils souhaitent visiter ».

L’entreprise a essayé aussi d’autres façons de présenter l’actu dans son application. En juin, le NiemanLab expliquait que Discover propose parfois des présentations en puces. Curieuse de savoir si celles-ci étaient générées par IA, Laura Hazard Owen a découvert qu’ils étaient rédigés par les éditeurs eux-mêmes et intégrés dans l’outil Google News Showcase. Celui-ci est une plateforme d’actualités en ligne lancée fin 2020, dans laquelle les éditeurs peuvent intervenir pour mettre en avant certains articles et modifier leurs présentations.

Rappelons que Discover est aussi devenu le terrain de jeu favori des pros du SEO. Le plus prolifique des éditeurs de sites francophones générés par IA a réussi à faire promouvoir plusieurs milliers d’articles via l’application, au point que ses concurrents s’en plaignent publiquement, alors que le milieu est habituellement très discret.

Si l’entreprise assure à nos confrères que cette nouvelle présentation n’est disponible que dans la version étasunienne, Google semble tester aussi d’autres manières de présenter l’actu dans Discover dans sa version française. Ainsi, le consultant médias Aurélien Viers a repéré des titres raccourcis et l’apparition des résumés ou chapôs des articles, précisant que ce n’est « pas une synthèse faite par l’IA, apparemment ».

« Les plus rigoureux rédigeront un chapô qui explicite le titre. Pour les plus extrêmes, dont les fermes IA / Discover, on peut s’attendre à une avalanche de chapos vides de sens, de titres courts, provoc’, clickbait, et sur des visuels très forts (cascade à ne pas reproduire selon le positionnement de votre site) », commente-t-il.

Quand les cybercriminels cachent leurs malwares dans les DNS

Par :Korben
17 juillet 2025 à 14:17

Vous connaissez la blague “C’est encore un problème de DNS” ? Bah cette fois, c’est VRAIMENT ça le problème puisque des hackers ont trouvé comment planquer un malware directement dans les enregistrements DNS. C’est de la sorcellerie, vous allez voir !

Les chercheurs de DomainTools viennent en effet de mettre au jour la nouvelle version d’une technique qui consiste à “stocker” des malwares dans les enregistrements TXT du DNS. Vous savez, ce sont ces petits champs texte qu’on utilise normalement pour prouver qu’on est bien propriétaire d’un domaine quand on configure Google Workspace ou autre.

John McAfee - Le génie de l'antivirus devenu le bad boy le plus dingue de la tech

Par :Korben
17 juillet 2025 à 13:37

Cet article fait partie de ma série de l’été spécial hackers. Bonne lecture !

Bon, j’ai une question pour vous : C’est quoi le point commun entre un créateur d’antivirus multimillionnaire, un fugitif international recherché pour meurtre, un candidat à la présidentielle américaine et un prophète auto-proclamé du Bitcoin ? Réponse : c’est le même mec ! John McAfee, et croyez-moi, même si j’avais voulu inventer un personnage aussi barré, j’aurais pas réussi.

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