WhatsApp commence enfin à tester l’interopérabilité avec d’autres messageries, ce qui représente une étape majeure dans sa mise en conformité avec l'UE. Mais cette fonctionnalité reste pour l’instant limitée.
Vous en avez peut-être rêvé ? Adobe l'a fait ! Dans le tout nouvel Acrobat Studio, vous bénéficiez désormais d'un Assistant IA particulièrement pertinent. Et, bonne nouvelle, vous pouvez en faire votre véritable double !
Alors que Wall Street semble suspendue aux performances des titans de l'IA, des voix discordantes s'élèvent, pointant du doigt une valorisation déconnectée de la réalité économique et le spectre d'un effondrement financier.
À l’heure où nos smartphones concentrent toujours plus de fonctions, l’autonomie reste le nerf de la guerre. Une application mal optimisée peut suffire à plomber la batterie en quelques heures, au grand dam des utilisateurs. Face à ce constat, Google a décidé d'agir, en encourageant des applications plus sobres en énergie.
Google s'apprête à lancer Nano Banana 2 (GEMPIX 2). Propulsé par Gemini 3 Pro Image, il promet la génération d'images 2K/4K et de courtes vidéos 4K, directement depuis un smartphone. Une version "Preview" a fuité le 8-9 novembre 2025, révélant un réalisme inédit, une gestion parfaite du texte et une grande cohérence, plaçant Google face à Midjourney.
Boeing lance Virtual Airplane, une plateforme de formation pour pilotes basée sur Microsoft Flight Simulator, combinant cours en ligne et hors ligne, outils pédagogiques interactifs et simulations réalistes d’aéroports.
Sony dévoile ses résultats T2 2025. La PS5 atteint 84,2 millions d'unités (3,9M ce trimestre). L'exclusivité Ghost of Yotei réalise un bon démarrage à 3,3 millions de ventes en 32 jours. La division G&NS (Game & Network Services) voit son chiffre d'affaires augmenter, mais son bénéfice d'exploitation chute de 13,3%, plombé par une charge massive liée à Bungie.
Avec notamment les modèles Falcon A1 (10 W) et Falcon A1 Pro (20 W), les appareils de gravure laser de Creality Falcon profitent de prix réduits jusqu'au 25 décembre 2025.
Microsoft tente depuis des années d'accroître la popularité de son navigateur Edge, mais ses méthodes ont suscité la controverse. Par le passé, l'entreprise a été accusée d'avoir recours à des pratiques douteuses pour forcer les utilisateurs à adopter Edge. Ces actions incluent l'affichage de publicités plein écran sur la page de téléchargement de Chrome et la mise en avant de contenus « recommandés » dans la barre latérale. Le géant de Redmond encourage les utilisateurs à privilégier Edge lorsqu'ils tentent de télécharger Chrome, en comparant les deux navigateurs et en listant leurs avantages et inconvénients. Bien que l'entreprise ait légèrement modifié son approche, tout n'est pas encore parfait, du moins selon ses concurrents. En réaction à ces pratiques, la Browser Choice Alliance, une organisation représentant des entreprises comme Google Chrome, Opera et Vivaldi, a accusé Microsoft de corrompre les utilisateurs en leur offrant des points Microsoft Rewards en échange de l'utilisation du navigateur Edge. L'organisation soutient que Microsoft devrait laisser aux utilisateurs la liberté de choisir leur navigateur, plutôt que de tenter de limiter la concurrence par de telles méthodes déloyales. Microsoft Rewards est une plateforme permettant aux utilisateurs de cumuler des points en utilisant le moteur de recherche Bing et le navigateur Edge. Ces points peuvent ensuite être échangés contre des récompenses telles que des cartes-cadeaux Microsoft Store et Xbox, ainsi que pour participer à des tirages au sort afin de gagner du matériel, notamment une console Xbox Series X. Si le concept de récompenses peut paraître attrayant, la Browser Choice Alliance affirme qu'il s'agit d'un moyen de manipuler les utilisateurs pour les inciter à choisir le navigateur de Microsoft.
L'organisation a également mis en lumière d'autres pratiques de promotion d'Edge susceptibles d'être considérées comme anticoncurrentielles. Il s'agit notamment de la redirection des interactions de Microsoft 365 vers Edge, de l'affichage de publicités pour Edge à divers endroits du système et de la réinitialisation d'Edge à ses paramètres par défaut même après que l'utilisateur ait tenté de passer à un autre navigateur. Bien que la Browser Choice Alliance n'ait pas encore intenté d'action en justice spécifique contre Microsoft, l'organisation exhorte les autorités de réglementation à se pencher sur la question et à enquêter sur les pratiques de l'entreprise. Microsoft n'est pas la première entreprise à recourir à de telles méthodes controversées. Google, par exemple, a également été accusé de manipuler les résultats de recherche et de promouvoir ses produits de manière à limiter l'accès à d'autres solutions. Cependant, c’est maintenant, alors que Microsoft entre en concurrence de plus en plus directe avec ses concurrents, que de telles pratiques deviennent plus visibles et peuvent faire l’objet d’un examen plus approfondi. Microsoft Edge tire-t-il profit de telles pratiques ? D'après les données du marché des navigateurs web, notamment celles de StatCounter, Microsoft Edge détenait une part de marché modeste de 4,61 % en octobre, le plaçant en quatrième position. (Lire la suite)
Google a annoncé de nouvelles règles concernant les applications disponibles sur le Play Store, qui entreront en vigueur en mars 2026. Ces règles visent à avertir les utilisateurs des programmes qui consomment beaucoup de batterie. Conformément à ces règles, les applications entraînant une consommation excessive de batterie pourront être signalées sur le Play Store, ce qui pourrait dissuader les utilisateurs de les télécharger. Ces applications pourront également être exclues des principales sections de découverte d'applications, telles que les recommandations. Google souhaite améliorer l'expérience utilisateur Android en pénalisant les applications qui consomment beaucoup de batterie et abusent du mécanisme de maintien de l'activité. Cette fonctionnalité empêche la mise en veille de l'appareil lorsqu'un processus ou une application doit rester actif. Elle maintient le processeur et l'écran actifs, les empêchant de s'éteindre lorsque l'utilisateur n'interagit pas avec l'appareil. Google reconnaît que les applications qui fonctionnent en arrière-plan plus de deux heures par jour et abusent du verrouillage de l'écran ont un impact négatif sur l'autonomie de la batterie. Il existe des exceptions, notamment pour les fonctions système telles que la lecture de musique ou le transfert de données initié par l'utilisateur. Les utilisateurs de smartphones et de tablettes Android bénéficieront évidemment de ce changement, tandis que les développeurs qui publient leurs applications sur le Play Store seront perdants.
Lorsqu'une application dépasse une certaine limite, ses développeurs reçoivent une notification. Ils peuvent alors analyser le problème et le corriger avant que Google ne limite la diffusion de l'application sur sa plateforme. Pour les applications non conformes aux nouvelles normes, Google affiche un avertissement sur leur page Google Play : « Cette application peut consommer plus de batterie que prévu en raison d'une activité en arrière-plan importante. » Google comprend que les développeurs ont besoin de temps pour implémenter les changements. C'est pourquoi l'entreprise leur offre un accès anticipé aux indicateurs de consommation énergétique excessive. Les développeurs pourront ainsi observer dès maintenant les performances de leurs applications à cet égard et corriger les éventuels problèmes avant l'entrée en vigueur de la nouvelle politique. Google, en collaboration avec Samsung, a intégré un indicateur de consommation excessive de batterie au panneau « Android Vitals » de la Play Console. Ces modifications permettront aux utilisateurs Android d'avoir davantage confiance dans l'impact des applications téléchargées sur l'autonomie de leur appareil. (Lire la suite)
Selon une nouvelle étude de Red Hat, les entreprises françaises affichent une ambition claire : investir massivement dans l’intelligence artificielle. Mais entre la pénurie de compétences, les coûts de mise en œuvre et la prolifération de la « shadow AI […]
Afficher le pourcentage de batterie directement dans la barre des tâches : la demande revient depuis des mois, Microsoft l’active enfin dans la mise à jour de novembre de Windows 11. Le déploiement corrige aussi un bug agaçant du Gestionnaire des tâches et rafraîchit le menu Démarrer.
KB5067035 (build 26200.7121) sur la branche 25H2
L’update du mardi, estampillée KB5067035 avec la build 26200.7121, reste ancrée sur la branche 25H2. Elle introduit un indicateur de batterie plus utile : le pourcentage s’affiche désormais sur la barre des tâches, sans clic supplémentaire.
L’icône gagne en lisibilité, avec une taille accrue et un code couleur intelligent selon l’état d’alimentation et la charge, pour une visualisation immédiate du niveau restant.
Le menu Démarrer évolue lui aussi. Microsoft ajoute un redimensionnement adaptatif qui s’ajuste à la diagonale de l’écran pour un rendu plus équilibré. De nouvelles options de personnalisation arrivent : la vue bibliothèque d’applications est déplacée pour un accès plus direct, il devient possible d’épingler davantage de raccourcis et la section des contenus recommandés peut être désactivée complètement, ce qui devrait en satisfaire plus d’un.
Un correctif attendu pour le Gestionnaire des tâches
Cette version règle un problème introduit par KB5067036 : un doublon du Gestionnaire des tâches persistait en arrière-plan à chaque ouverture et fermeture. Chaque instance consommait environ 20 à 95 Mo de RAM et près de 0,9 % de CPU, ce qui pouvait mener, après 100 ouvertures/fermetures, à environ 2 Go de mémoire et près de 10 % de capacité CPU gaspillés. Le comportement est désormais corrigé.
Reste à voir la vitesse du déploiement pour tous les utilisateurs, mais le cap est clair : plus de contrôle sur l’interface et une télémétrie d’énergie enfin lisible au premier coup d’œil.
La start-up Causely a annoncé le lancement de son serveur Model Context Protocol (MCP), une technologie qui permet aux développeurs de diagnostiquer et de corriger les erreurs Kubernetes directement depuis leurs éditeurs de code, à l’aide de commandes en langage […]
Le constructeur allemand TUXEDO Computers continue de brouiller les frontières entre ultrabook professionnel et machine de jeu avec son tout nouveau InfinityBook Max 15. Ce modèle sous Linux mise sur la puissance des processeurs AMD Ryzen AI 9 et des […]
Le noyau Linux semble prêt à « prendre le taureau par les cornes » en activant par défaut les extensions C de Microsoft même si certains développeurs peuvent trouver cela problématique
Le noyau Linux envisage d'activer par défaut les « extensions C de Microsoft » (option de compilation -fms-extensions) dans sa version 6.19. Cette option, utilisée avec les compilateurs GCC et Clang, permet de reconnaître certaines constructions non standard du langage C inspirées de Microsoft Visual C++, comme les...
Sur un marché SFF déjà bouillonnant, Thunderobot tente le coup de force : un mini-PC de 3,2 litres capable d’embarquer un Core Ultra HX et une GeForce RTX 50 Laptop, le tout à partir de 3 700 dollars (env. 3 450 à 3 550 euros TTC estimés).
Thunderobot MIX G2 : puissance HX et RTX 50 dans 3,2 litres
Le MIX G2 associe jusqu’au Core Ultra 9 275HX à une GeForce RTX 5090 Laptop, avec un budget énergétique total de 230 W. D’après Thunderobot, le CPU peut monter jusqu’à 120 W et le GPU jusqu’à 175 W en charge unitaire.
Le châssis de 3,2 L mesure 332 × 212 × 45 mm et s’appuie sur un design de refroidissement « Night Owl » : un dissipateur unifié, une pile d’ailettes et deux ventilateurs couvrent CPU et GPU. Côté esthétique, on trouve un bouton d’alimentation façon triangle de Penrose, un liseré lumineux bleu sur la tranche et un logo rétroéclairé en façade.
Profil du mini‑PC Thunderobot MIX G2
À l’intérieur, deux emplacements DDR5 SO-DIMM, un slot M.2 PCIe 5.0 et un autre M.2 PCIe 4.0. La partie sans fil repose sur un module Wi-Fi 6E et Bluetooth 5.3. En façade, deux ports USB 5 Gbit/s (Type A et Type C) et une prise audio 3,5 mm. À l’arrière : un RJ45, un USB-A 10 Gbit/s, une sortie HDMI 2.1 et un port Thunderbolt 5 pour écrans et docks.
Thunderobot lancera les ventes en Chine le 20 novembre à 10 h, avec trois configurations prévues.
Thunderobot MIX G2, vue avant (5/6)
Pourtant, l’auteur de la source estime que « même avec subventions, ce produit est trop cher pour ce qu’il offre » : par rapport à des PC portables gaming aux spécifications proches, l’écart atteindrait au moins 790 dollars, sans compter frais de port et taxes d’importation. En revanche, face à l’ASUS ROG NUC 2025, le positionnement paraît plus cohérent : la version RTX 5080 y est actuellement à 3 199 dollars.
Connectique et stockage à jour, refroidissement sur mesure
Il faut dire que la fiche technique coche les cases attendues en 2025 : TB5 pour l’extensibilité, HDMI 2.1 pour le jeu sur TV 4K, PCIe 5.0 pour le SSD système et DDR5 SO-DIMM pour l’évolutivité.
Reste à voir si le système « Night Owl » maintiendra CPU et GPU au plus près de leurs enveloppes respectives en charge mixte, un point crucial dans un volume de 3,2 L.
Feuille de route clarifiée chez AMD : Zen 6 arrive en 2 nm, Zen 7 s’affiche déjà à l’horizon. Le fondeur a déroulé ses plans CPU lors du Financial Analyst Day 2025, avec un cap clairement donné sur l’IA et l’efficacité.
Zen 6 en 2 nm, variantes Zen 6 et Zen 6C, et un volet IA plus ambitieux
AMD confirme un lancement de Zen 6 l’an prochain sur le nœud 2 nm de TSMC. La famille se déclinera en deux profils : Zen 6 pour la performance et Zen 6C pour l’efficacité énergétique. D’après Mark Papermaster, CTO d’AMD, Zen 6 apportera « des gains d’IPC, une meilleure efficacité et un support IA élargi » grâce à des pipelines IA additionnels. L’ISA évolue aussi, avec de nouvelles instructions et des capacités de calcul étendues, comme le détaillait récemment la documentation technique.
Côté plateformes, Zen 6 sera déployé sur plusieurs segments : serveurs EPYC « Venice », Ryzen Desktop « Olympic Ridge » et Ryzen Mobile « Medusa Point ». Rien d’étonnant, AMD capitalise sur une architecture commune pour accélérer l’adoption des nouvelles fonctionnalités, notamment en IA où le support des types de données s’élargit.
Plateforme AMD Helios et Zen 7
Zen 7 confirmé : moteur matriciel et intégration IA approfondie
Pour la première fois, AMD évoque Zen 7 sur sa roadmap. Indiqué comme « Future Node » et « Next-Generation », ce design introduira un nouveau moteur matriciel et un support plus large des formats de données IA.
Cela marque un pas supplémentaire vers une intégration IA plus profonde au sein des cœurs CPU standards. Le nœud de gravure et la fenêtre de lancement ne sont pas divulgués ; selon les indications partagées, Zen 7 suivrait Zen 6 autour de 2027 dans les EPYC « Verano ». Reste à voir la configuration du cache, les dénombrements de cœurs et les objectifs de puissance, absents pour l’instant.
MAJ du 11/11/2025 : les prix de la Razer Raiju V3 Pro PS5 débarquent sur les marchés asiatiques avec un tarif annoncé à 32 980 yens (environ 185 euros en conversion pure). Dispo le 25 novembre.
Razer muscle son offre sur PS5 avec une manette pensée pour la compétition : la RazerRaiju V3 Pro mise sur la précision des sticks TMR, des gâchettes HyperTriggers réglables et des boutons arrière façon « clic de souris ». Le constructeur vise clairement l’e-sport, sans compromis.
Razer Raiju V3 Pro : précision magnétique, gâchettes réglables et commandes sur mesure
Au cœur du dispositif, les sticks symétriques TMR (Tension Magnetic Resistance) promettent une tension constante et une meilleure résistance au drift, avec des capuchons interchangeables. Idéal pour les FPS, la baston ou l’action soutenue, le tout avec une consommation contenue pour préserver l’autonomie.
Les Razer Pro HyperTriggers permettent de basculer entre un clic ultra court façon souris et une course analogique complète. Via Synapse 4, il est possible d’affiner précisément le point d’activation des gâchettes, de la réactivité « hair-trigger » pour les shooters à la course pleine pour la conduite. « Chaque fonction est pensée pour la précision, la vitesse et le contrôle », affirme Jeffrey Chau, directeur e-sport mondial chez Razer.
Razer ajoute 4 boutons arrière amovibles au clic net, épaulés par 2 bumpers pensés pour la prise en main en claw. Tous sont remappables, avec les mêmes switchs réactifs que les souris gaming haut de gamme de la marque, pour un retour tactile franc en pleine action.
En façade de la Razer Raiju V3 Pro, on retrouve des boutons d’action méca-tactiles et une croix directionnelle flottante 8 voies, le tout en PBT double injection pour une meilleure durabilité et une texture qui ne lustre pas avec le temps.
Connexion Hyperspeed, profils embarqués et transport soigné
La connectivité sans fil Razer HyperSpeed vise des latences très basses sur PS5. La personnalisation passe par l’application mobile et Razer Synapse 4 : réglage fin de la sensibilité des sticks, remapping complet et jusqu’à 4 profils enregistrés en mémoire pour voyager avec ses préférences.
Razer inclut un étui rigide et un câble USB‑C détachable de 2 mètres, pratique pour les LAN et les déplacements. De quoi rassurer les joueurs qui alternent sans fil et filaire selon les tournois.
Côté retours, le champion du monde 2023 de Call of Duty, HyDra salue « des sticks TMR ultras précis » et une personnalisation qui colle au style de jeu. Il faut dire que Razer a travaillé étroitement avec ses pros sur ce modèle. Reste à voir si cette Razer Raiju V3 Pro saura convertir les puristes de la manette DualSense sur la durée.
Près de vingt ans après la sortie de La Coupe de Feu, un détail continue de passer sous les radars de nombreux fans : au Bal de Noël, l’une des scènes les plus emblématiques du film, une figure culte de la britpop apparaît brièvement, maquillée et méconnaissable. Un secret de tournage que même certains Potterheads n’ont appris que bien plus tard.
Cap franchi pour la PlayStation 5 : Sony totalise désormais 84,2 millions d’unités vendues dans le monde, avec un trimestre en légère progression qui confirme une trajectoire solide, mais sans emballement.
PS5 : 84,2 millions au compteur, un T2 2025 en petite hausse
D’après les résultats du deuxième trimestre 2025, Sony a expédié 3,9 millions de PlayStation 5. C’est un frémissement positif par rapport aux 3,8 millions sur la même période l’an dernier, prolongeant une série de gains modestes depuis le début de l’exercice. À l’approche de sa quatrième année de commercialisation, la console conserve une dynamique régulière qui, selon Sony, encourage déjà les investissements vers la prochaine génération.
La firme souligne que l’intérêt des joueurs pour la PlayStation 5 reste élevé malgré la maturité de la plateforme. Elle vise même une hausse plus marquée l’an prochain, liée au décalage de Grand Theft Auto VI, désormais attendu en novembre 2026. Reste à voir si cet horizon suffisamment lointain se traduira par un réel effet d’entraînement sur le hardware, mais la perspective compte.
Engagement en retrait mais jeux en forme
Tout n’est pas au vert. Les utilisateurs actifs mensuels du PlayStation Network reculent à 119 millions, contre 123 millions au trimestre précédent, signe d’un engagement en baisse. Ce repli est néanmoins compensé par de bonnes performances de l’activité jeux : les ventes de titres first‑party progressent d’environ un million d’exemplaires sur un an, selon Sony.
Côté exclusivités, la stratégie maison paraît payer. Ghost of Yotei, sorti après la clôture du trimestre, a déjà atteint environ 3,3 millions d’exemplaires. Sony parle d’un « élan constant » pour son hardware et d’une base installée propice à nourrir ses contenus, tandis que « l’appétit pour la PS5 se maintient ».
Au final, la PlayStation 5 poursuit son expansion, doucement, mais sûrement. Les petits gains s’additionnent, et Sony y voit un signal pour accélérer la préparation de sa future console.
Étrangement, Disney+ ne semble pas miser beaucoup sur The Manipulated, un K-drama tout frais tout neuf qui a pourtant de quoi faire passer un bon moment.
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• Introduction (00:00:00) : Pannes cloud majeures, levée de fonds dans l’IoT, secrets de Doctolib, réseaux sociaux toxiques et histoire d’Infomaniak : l’équipe fait le tour des grandes news tech du mois, débats et bonne humeur inclus.
• Quand le cloud nous tombe sur la tête (00:02:24) : Deux pannes cloud majeures en une semaine: quelles leçons en tirer?
(Sources : amazon.com (https://aws.amazon.com/message/101925/) , (https://azure.status.microsoft/en-us/...) et degruyterbrill.com (https://www.degruyterbrill.com/docume...) )
• Environnement: Quand Dehli fait tomber la Pluie (00:21:25) : Quand une ville décide de faire tomber la pluie pour lutter contre la pollution.
(Source : sciencepost.fr (https://sciencepost.fr/new-delhi-prov...) )
• Après 12 ans, Doctolib devient rentable ! (00:27:47) : La saga Doctolib et son créateur Stanislas Niox Chateau.
(Sources : wikipedia.org (https://fr.wikipedia.org/wiki/Doctolib) et wikipedia.org (https://fr.wikipedia.org/wiki/Stanisl...) )
Le lendemain de notre séance d’enregistrement, on apprenait que l’Autorité de la concurrence avait infligé une amende de 4,7 millions d’euros à Doctolib pour une double infraction mêlant pratiques d’exclusivité, ventes liées et acquisition considérée comme prédatrice.
La plateforme n’a pas tardé à réagir, annonçant son intention de faire appel et contestant point par point la décision.
Une affaire à suivre de près.
• Quand c'est l'armée suisse qui parle de souveraineté numérique (00:43:15) : Le chef de l’armée suisse veut une alternative à Microsoft 365.
(Sources : ictjournal.ch (https://www.ictjournal.ch/news/2025-1...) et msn.com (https://www.msn.com/fr-ch/actualite/o...) )
• Toxicité des réseaux sociaux: qui est le coupable? (00:50:31) : Les algorithmes sont ils vraiment à l'origine des environnements toxiques que sont les réseaux sociaux? Une expérience à l'aide d'IA révèle une vérité dérangeante.
(Sources : futura-sciences.com (https://www.futura-sciences.com/tech/...) , arxiv.org (https://arxiv.org/html/2508.03385v1) et businessinsider.com (https://www.businessinsider.com/resea...) )
• Quand GitHub partage ses stats (01:03:58) : Un développeur rejoint GitHub chaque seconde.
(Source : github.blog (https://github.blog/news-insights/oct...) )
• Quand il est temps de souhaiter bon anniversaire à Infomaniak (01:14:08) : Pour ses 30 ans, Infomaniak annonce une première mondiale.
(Sources : immobilier.ch (https://www.immobilier.ch/fr/actualit...) et cominmag.ch (https://cominmag.ch/infomaniak-la-sou...) )
• Pour Halloween, Dracula Technology lève 30 M€. (01:30:57) : Des panneaux OPV pour limiter les batteries dans l'IoT.
(Sources : plein-soleil.info (http://www.plein-soleil.info/actualit...) et dracula-technologies.com (https://dracula-technologies.com/) )
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