Google Maps intègre Gemini pour une navigation plus intelligente
Google Maps ne se contente plus de vous guider. L'application s'apprête à discuter avec vous, grâce à l'intégration profonde de l'IA Gemini qui vient remplacer Google Assistant.
Google Maps ne se contente plus de vous guider. L'application s'apprête à discuter avec vous, grâce à l'intégration profonde de l'IA Gemini qui vient remplacer Google Assistant.
C'est une fuite qui a de quoi séduire des millions de joueurs: des dataminers ont trouvé des icônes "Cross-Buy" et "PS5/PC" dans les fichiers du PSN. Sony, jusqu'ici très protecteur, s'apprêterait à copier la fonction "Play Anywhere" de Xbox : acheter un jeu une seule fois le débloquerait sur console et PC. Un virage stratégique majeur.
L’un des développeurs de Debian a annoncé l’inclusion prochaine de code en Rust dans le gestionnaire APT. La décision reflète une volonté de renforcer la sécurité du composant, mais soulève de nombreuses questions et critiques.
Comme nous l’avons vu récemment à travers notre interview de Sylvestre Ledru, directeur de l’ingénierie chez Mozilla, le langage Rust s’insinue partout. Ses performances et ses mécanismes de sûreté de la mémoire en font la nouvelle coqueluche de bon nombre d’entreprises pour la programmation système.
Dans la sphère Linux, son arrivée provoque davantage de remous, avec des débats relatifs à son utilisation dans le noyau. Dans Debian, le développeur Julian Andres Klode a publié le soir d’Halloween un message important :
« Je prévois d’introduire des dépendances Rust et du code Rust dans APT, au plus tôt en mai 2026. Cela concernera dans un premier temps le compilateur Rust, la bibliothèque standard et l’écosystème Sequoia. Notre code d’analyse des fichiers .deb, .ar et .tar, ainsi que le code de vérification des signatures HTTP, bénéficieraient particulièrement de l’utilisation de langages sécurisés en mémoire et d’une approche plus rigoureuse des tests unitaires. Si vous maintenez un port sans chaîne d’outils Rust fonctionnelle, veuillez vous assurer qu’il en dispose dans les six prochains mois, ou supprimez le port. Il est important pour l’ensemble du projet de pouvoir aller de l’avant et de s’appuyer sur des outils et des technologies modernes, sans être freiné par la tentative d’adapter des logiciels modernes à des appareils informatiques rétro »
Dans le courant de l’année prochaine, le gestionnaire de paquet APT va donc commencer à intégrer du code en Rust. Autrement dit, Debian elle-même aura une exigence stricte sur la prise en charge du langage sur toutes les architectures.
Pour les utilisateurs de la distribution, cela ne devrait rien changer. Pour les développeurs en revanche, il y aura des travaux plus ou moins importants, car il faudra prévoir une chaine de compilation Rust fonctionnelle en plus des outils traditionnels comme GCC. En clair, la complexité va monter d’un cran, notamment sur les architectures moins courantes où le langage n’est pas bien supporté.
Pourquoi ce problème ? Parce que le compilateur Rust repose sur l’infrastructure LLVM, quand l’immense majorité des compilations dans les systèmes Linux sont effectuées avec GCC. Si LLVM présente certains avantages (comme la compilation Just-in-time), il est également supporté par un plus petit nombre d’architectures, contrairement à GCC qui est plus ancien, plus éprouvé et présent pratiquement partout.
Dans les commentaires de Phoronix, on peut lire différentes inquiétudes au sujet de cette annonce. La principale est qu’en l’absence de compilateur Rust sur une partie des architectures supportées par Debian, la distribution risque de perdre son côté « universel » à sa prochaine itération majeure. Certains commentaires mettent aussi en avant la fiabilité éprouvée de GCC, qui correspond à la philosophie de Debian de ne pas bondir sur les dernières technologies, privilégiant la plus grande stabilité possible.
Citons également le poids : le compilateur Rust et sa chaine d’outils sont plus volumineux que GCC et sa compilation est plus lente, ce qui pourrait poser problème pour les systèmes embarqués et des configurations plus anciennes. D’autres encore s’inquiètent d’une dépendance accrue envers l’écosystème Rust et ses binaires précompilés, créant des interrogations sur la sécurité et l’auditabilité du code.
Le 3 novembre dernier, au travers d'un communiqué officiel, la société ADEIA, spécialiste des licences de brevets, a annoncé l'ouverture d'une procédure pour violation de brevets visant AMD. L'entreprise affirme que certaines technologies de fabrication de semi-conducteurs utilisées par le fondeur enfreindraient plusieurs de ses brevets. Dans ce texte, Adeia explique avoir déposé une action en justice pour contrefaçon de brevets contre AMD. La société assure que, depuis des années, les produits du fondeur « intègrent et utilisent largement » ses innovations brevetées dans les semi-conducteurs, au point d'avoir « grandement contribué » au succès d'AMD en tant que leader du marché, et qu'elle n'aurait pas réussi à obtenir d'accord amiable malgré de longues discussions. Concrètement, Adeia dit viser dix brevets issus de son portefeuille dédié aux semi-conducteurs, dont sept portent sur la technologie de liaison hybride et trois sur des procédés de nuds avancés. Officiellement, l'entreprise présente cette procédure comme le « meilleur moyen de protéger les inventions d'Adeia ainsi les intérêts de ses actionnaires et de ses clients». M. Davis ajoute cependant que la société « reste ouverte à la recherche d'un accord juste et raisonnable qui reflète la valeur de notre propriété intellectuelle ». Adeia ne donne pas de liste de références détaillée, mais selon l'agence Reuters, la plainte vise plusieurs familles de processeurs AMD, dont certaines puces orientées IA. Les modèles les plus visés seraient ceux embarquant le 3D V Cache. Adeia estimant que la méthode d'empilement 3D et les procédés de gravure utilisés par AMD reposent sur ses brevets, sans accord de licence jugé satisfaisant de son côté. […]
Lire la suiteUne nouvelle étape vient d'être franchie dans la cyberguerre. Le Threat Intelligence Group de Google (GTIG) tire la sonnette d'alarme : des logiciels malveillants intègrent désormais activement des modèles d'IA, comme Gemini, pour muter en temps réel et échapper aux défenses.

Spotify est visé par une plainte collective aux États-Unis. La plateforme est accusée de fermer les yeux sur une fraude massive aux écoutes (bots, VPN) qui gonfle artificiellement les chiffres de mégastars comme Drake. Ce système léserait financièrement tous les autres artistes, dont les revenus sont dilués par ces fausses écoutes.

Match Group, géant des applications de rencontres, a expliqué aux investisseurs qu’il allait utiliser l’IA pour traiter les données de ses utilisateurs et leur proposer une nouvelle fonctionnalité. Celle-ci, nommée Chemistry, explique TechCrunch, s’appuiera sur des questions posées aux utilisateurs et sur leurs photos (avec leur permission) pour proposer des « matchs » qui se voudront plus affinés.
Chemistry est déjà testée en Nouvelle-Zélande et en Australie et doit, selon le CEO de Match Group, Spencer Rascoff, devenir le « pilier majeur de l’expérience produit de Tinder en 2026 ».

Tinder utilise déjà l’IA générative pour la modération des discussions privées : l’application demande à l’utilisateur s’il est sûr de vouloir envoyer un message étiqueté comme potentiellement offensant par le système. L’application propose aussi d’aider l’utilisateur à choisir les photos à mettre en avant.
Match Group semble vouloir relancer son application phare avec l’IA alors que le groupe a indiqué que les revenus de Tinder avaient baissé de 3 % au troisième trimestre comparé à celui de l’année dernière et qu’elle voit son nombre d’utilisateurs payants baisser de 7 %.

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Call of Duty: Black Ops 7, le nouvel opus de la licence arrive bientôt, le 13 novembre plus précisément. Pour l’occasion, les configurations matérielles nécessaires pour le faire tourner ont été publiées. Dès lors, avez-vous la configuration nécessaire pour le faire tourner ? Idem, s’agira-t-il d’un jeu gourmand ? On regarde tout ça. Call of […]
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Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
Je ne le répète souvent, il ne faut pas utiliser le désinstallateur natif de l'éditeur d'un logiciel.
Oui, la très grande majorité des désinstallateurs automatiques sont feignants, ils laissent de nombreux résidus.
S'il n'y avait qu'un problèmes de place - je veux dire par là que tous ces oublis finissent au fil des ans par occuper de la place - ce ne serait pas un gros problème.
Là où cela se corse, c'est que ces restes peuvent dans certains cas parasiter la réinstallation du logiciel éponyme voire même d'autres logiciels !
Vous l'avez compris, il vaut mieux faire le ménage à fond de son Système.
Je vais ai présenté par le passé Revo Uninstaller et IOBIT Uninstaller, je vous propose de découvrir une alternative avec une licence à vie offerte.
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Qui n’a jamais ressenti un petit frisson en se connectant à un Wi-Fi public ? Entre la parano légitime et le ras-le-bol du pistage permanent, la frontière est mince. Pourtant, la plupart d’entre vous s’en remettent encore souvent au hasard, à défaut de solutions simples… ou abordables. En creusant un peu, Surfshark VPN s’impose aujourd’hui comme LA réponse à cette anxiété numérique, avec une conception faite pour disparaître complètement derrière votre usage quotidien, que vous soyez néophyte ou vieux barbu du net.
C’est terminé l’époque où activer un VPN c’était un peu comme brancher la PlayStation sur une ligne RTC : Surfshark a choisi de miser sur le muscle technique, pas la poudre aux yeux. Non content d’être passé d’un parc de 3200 machines à plus de 4500, les serveurs 100 Gb/s déployés depuis quelques semaines sur leurs hubs principaux ne sont pas qu’un chiffre choc pour faire joli dans les benchmarks. Résultat ? Que vous streamiez en 4K, télétravailliez avec dix onglets ouverts, ou téléchargiez à la volée depuis un aéroport à l’autre bout du monde, le débit tient la route. On oublie presque qu’il y a un VPN en route.
Mieux : la connexion simultanée illimitée et multiplateforme (macOS, iOS, Windows, Android …) met fin aux petites querelles de famille pour savoir qui a droit à sa session sécurisée. Tablette, box TV, ordi pro, téléphone, console… tout le monde roule en Surfshark, dans la foulée, sans coût caché ni micro-gestion.
La vraie force réside dans cette sensation de légèreté. On décolle pour l’étranger ? Netflix, Prime, chaînes nationales, tout redevient disponible comme si vous n’aviez pas quitté le salon. Surfshark gère les géorestrictions comme VPN Messi Lionel Messi évite les défenseurs adverses. Gauche-droite, tir au but (enfin un truc comme ça, vous savez que moi et le foot …). Plus besoin de jongler avec des extensions louches ou de jouer au chat et à la souris avec les catalogues internationaux.
L’appli, agréable à utiliser, ne pollue pas l’écran de pop-ups ou de réglages abracadabrants : trois clics, et la sécurité devient presque invisible. Besoin d’une couche supplémentaire ? Mode camouflage, MultiHop : activable en deux secondes pour ajouter de l’opacité selon le contexte, ou contourner les réseaux d’entreprise/fac/campus un peu trop curieux.
Ce qui marque surtout, c’est l’effort pour ne jamais exploiter vos données : politique no-log auditée régulièrement par des organismes indépendants (encore récemment, le dernier audit date de juin), serveurs en RAM pure, fonctionnalité CleanWeb intégré pour bloquer pubs et malwares, etc. Et une volonté affichée de ne rien laisser trainer, surtout pas sous la pression d’on ne sait quelle demande tierce. Même si le serveur plante ou redémarre, aucune donnée ne reste stockée. Lorsque le VPN décroche (coupure Wi-Fi, extinction PC…) le Kill Switch fait le ménage en fermant tous les robinets, impossible de lâcher accidentellement votre IP ou vos habitudes de surf dans la jungle d’internet.
Marre de voir votre boîte mail infectée après chaque inscription banale ? Surfshark propose l’ Alternative ID , un générateur d’identités temporaires pour s’inscrire aux sites en limitant le spam et le pistage. Couplé à CleanWeb, c’est la fin des bannières intrusives, redirections foireuses et tentatives d’hameçonnage. Naviguer sur le web redevient aussi paisible que de lire un bouquin chez soi.
Black Friday ou non, l’offre du moment ne souffre aucune concurrence : moins de 2 € HT par mois sur 2 ans, et trois mois gratuits pour compléter la panoplie (soit 64.48€ TTC pour 27 mois). Pas d’options indispensables planquées dans des add-ons premium, pas de pièges à la reconduction tacite. Au contraire puisque l’abonnement ne fait qu’ajouter des options : ad-blocker, IP rotative, bypasser …
Un VPN ne doit plus être vécu comme une rustine de geek, mais comme le socle totalement transparent de votre vie connectée. Surfshark n’essaie pas de réinventer la roue : il la fait simplement tourner à pleine vitesse, sans bruit, partout, tout le temps et pour une fois, c’est le prix qui s’adapte à la vraie vie, pas l’inverse. Pour ceux qui veulent tenter sans risque, c’est la promesse d’une sécurité totale, même en mobilité ou sur les réseaux publics, et sans jamais rogner sur le débit ni votre compte bancaire.
Et ce qui fait vraiment la différence à mes yeux, c’est la boulimie d’activité du VPN. Rien qu’en 2025, on lui doit les nouvelles technologies Everlink et FastTrack, un bloqueur de contenu web, le lancement de la VPN Trust Initiative, la mise en place de serveurs DNS publics (utilisables par tout le monde, pas seulement les abonnés), des tonnes d’améliorations de fonctionnalités existantes, etc. Plus, comme je le disais plus haut, le passage de ses serveurs du standard 10Gb/s à 100Gb/s. Bref ils bougent tout le temps et ça, c’est plutôt un gage de confiance.

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AMD travaillerait sur un autre processeur exploitant de la mémoire 3D V-Cache comme semble en témoigner cette nouvelle entrée dans PassMark. En effet, le Ryzen 7 9700X3D fait une apparition dans la base de données du logiciel avec de grosses fréquences et un gros score, plus gros que celui du Ryzen 7 9800X3D. Un test […]
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Depuis son lancement en 2021, la série AK de DeepCool s’est imposée comme une référence du refroidissement par air grâce à son design distinctif et à ses performances exceptionnelles. En 2026, la marque franchit une nouvelle étape avec la gamme AK G2, une seconde génération repensée autour de la technologie Core Touch 2.0 (CTT 2.0) et d’une architecture thermique optimisée.
Cette nouvelle série introduit des modèles à 4, 5 et 6 caloducs, adaptés à différents niveaux de performance, tout en conservant une taille plus compacte que les versions précédentes.

Les bases en cuivre de précision et la pile d’ailettes matricielles emblématiques de DeepCool garantissent un transfert thermique efficace, même sur les processeurs haut de gamme.
L’AK G2 exploite la CTT 2.0, une évolution de la technologie de contact thermique direct, pour une diffusion homogène de la chaleur sur toute la surface du dissipateur. Les configurations à 4, 5 ou 6 caloducs assurent un équilibre parfait entre dissipation thermique, silence et compatibilité.
Chaque modèle de la série est équipé d’un ventilateur nouvelle génération combinant roulement hydraulique haute durabilité et moteur triphasé à six fentes et quatre pôles. Cette conception offre un fonctionnement stable, fluide et silencieux, même à pleine charge. Le contrôle PWM permet un réglage dynamique jusqu’à 2 000 tr/min, tandis que la fonction de démarrage à 0 tr/min assure un silence total au repos. DeepCool intègre également la technologie ACT (Auto Cleaning Technology), qui élimine automatiquement la poussière des pales et du dissipateur dans les 8 secondes suivant la mise sous tension, garantissant une efficacité durable.

L’AK G2 se distingue par son couvercle supérieur à texture bois, fusionnant esthétique naturelle et précision moderne. Chaque refroidisseur est livré avec un autocollant décoratif à motif matriciel, pour une touche personnalisée. Disponible en noir ou blanc, il s’intègre parfaitement dans des configurations minimalistes ou orientées design.
DeepCool mise sur une structure de montage entièrement métallique, garantissant une installation robuste et rapide sur les plateformes Intel et AMD. Le modèle AK620 G2 bénéficie d’un système de montage décalé exclusif, améliorant le dégagement mémoire et la compatibilité avec les cartes mères haut de gamme. Des outils dédiés sont fournis pour faciliter l’assemblage et sécuriser la fixation.
La série AK G2 sera proposée en versions noires et blanches, disponibles dès le 6 janvier 2026 dans l’Union européenne. Elle sera distribuée via le réseau mondial de partenaires DeepCool, avec une garantie de trois ans et un support technique international.

Prix publics conseillés (PDSF) :
Avec la série AK G2, DeepCool redéfinit le refroidissement par air. En associant technologie thermique avancée, design raffiné et fonctionnalités intelligentes comme le nettoyage automatique ACT, cette nouvelle génération s’adresse autant aux constructeurs exigeants qu’aux passionnés de design PC.
La rhétorique nucléaire monte d'un cran entre Moscou et Washington. En réponse directe aux récentes déclarations de Donald Trump, Vladimir Poutine met la Russie en ordre de marche pour une éventuelle reprise des essais atomiques.