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Avec seulement 36 g sur la balance, elle devance des références comme la Razer DeathAdder V4 Pro (56 g), Finalmouse Starlight-12 (47g) ou la nouvelle PRO X SUPERLIGHT 2c (51 g), s’imposant comme l’une des souris sans fil les plus légères jamais proposées. Son design symétrique minimaliste, dépourvu de rétroéclairage, met clairement l’accent sur la performance et l’autonomie plutôt que sur l’esthétique.
Le capteur Marksman S grimpe à 33 000 DPI, avec un suivi jusqu’à 750 IPS et une accélération de 50 G, épaulé par un hyper-polling de 8 000 Hz qui abaisse la latence à 0,125 ms, soit huit fois plus rapide que le standard 1 000 Hz. L’autonomie atteint jusqu’à 70 heures en 2,4 GHz, et la configuration passe par le Corsair Web Hub, une interface en ligne légère qui évite l’installation d’un logiciel supplémentaire.
On retrouve aussi des commutateurs mécaniques personnalisés annoncés pour 100 millions de clics, ainsi que des grips et patins de rechange pour ajuster la prise en main. Déclinée en noir et en blanc, la SABRE v2 PRO sera disponible à partir du 18 septembre 2025 au tarif de 109,99 € en Europe.
Avec cette approche, Corsair ambitionne de bousculer un segment premium dominé par des acteurs comme Finalmouse, Razer et Logitech. Mais cette évolution marque-t-elle un véritable cap technologique, et le prix est-il justifié face à une concurrence aussi établie ? Nous avons mis la SABRE v2 PRO à l’épreuve pour le découvrir.
Unboxing de la Corsair Sabre v2 Pro Ultralight Wireless
La Sabre v2 Pro Ultralight Wireless arrive dans un emballage compact aux couleurs emblématiques de Corsair, mêlant noir et jaune pour un contraste marqué. La face avant met en avant le produit avec un visuel en taille réelle, accompagné du poids impressionnant de seulement 36 g, véritable argument phare de cette souris.
Au dos, on retrouve un résumé des principales caractéristiques : capteur Marksman S à 33 000 DPI, taux de polling 8 000 Hz en filaire comme en sans fil, et conception ultralégère pensée pour la réactivité. Les côtés détaillent quant à eux le contenu et rappellent la compatibilité avec le Corsair Web Hub, la nouvelle interface de configuration en ligne.
À l’intérieur, le bundle reste classique mais bien fourni. On y trouve la souris, le récepteur sans fil USB 8 kHz, un câble USB-C vers USB-A pour la recharge et l’utilisation filaire, ainsi que des accessoires pratiques : un jeu de grips adhésifs pour améliorer la prise en main et des patins de rechange. La documentation se compose d’un guide de garantie et d’un livret de sécurité.
Corsair fournit donc tout le nécessaire pour une utilisation immédiate, que ce soit en compétition ou en configuration personnalisée.
Spécifications techniques de la Corsair Sabre v2 Pro
Spécifications techniques – Corsair SABRE v2 PRO Ultralight Wireless
Capteur
Corsair MARKSMAN S (optique)
Résolution
100 à 33 000 DPI (paliers de 50 DPI)
Vitesse de suivi
Jusqu’à 750 IPS
Accélération max
50 G
Polling rate
1 000 / 2 000 / 4 000 / 8 000 Hz
Latence minimale
0,125 ms (à 8 000 Hz)
Autonomie
Jusqu’à 70 h (2,4 GHz à 1 000 Hz) • ~16 h (8 000 Hz)
Batterie
Li-ion polymère rechargeable
Connectivité
2,4 GHz (Wireless v1.5) • USB-C filaire
Boutons
5 programmables
Switchs
Mécaniques Corsair personnalisés (100 M clics)
Mémoire interne
1 profil embarqué
Patins
UPE • jeu de rechange fourni
Dimensions
119,16 × 62,55 × 38,21 mm
Poids
36 g (sans câble ni accessoires)
Éclairage
Aucun
Coloris
Noir • Blanc
Garantie
2 ans
Prix annoncé
109,99 € (Europe)
* Autonomie donnée à titre indicatif : 70 h mesurée en 2,4 GHz à 1 000 Hz. À 8 000 Hz, l’autonomie chute sensiblement (~16 h).
La Corsair Sabre v2 Pro en détail
Une fois sortie de sa boîte, la Sabre v2 Pro Ultralight Wireless se distingue immédiatement par son design épuré. La coque, d’un noir mat uniforme (ou blanc selon la version), affiche une allure volontairement sobre : aucune LED, aucune fioriture, uniquement le logo Corsair en finition discrète. L’ensemble donne une impression de sérieux et de performance brute.
Le gabarit reste compact, avec des lignes fluides qui accentuent la sensation de légèreté. La symétrie de la forme est nette, ce qui lui donne une silhouette équilibrée, tandis que les flancs restent lisses afin de réduire toute contrainte de fabrication et de poids.
Sous la souris, on remarque la présence des larges patins incurvés en UPE qui suivent les contours de la coque, ainsi que le capteur Marksman S mis en valeur par une découpe centrale.
Malgré son poids plume de 36 g, la Sabre v2 Pro inspire une solidité remarquable. La coque ne présente pas de craquements gênants à la pression et reste bien rigide lors des manipulations rapides. L’absence de fioritures comme le rétroéclairage ou des parois ajourées contribue aussi à préserver cette robustesse. Bien qu’elle paraisse naturellement moins massive qu’une souris plus lourde, l’équilibre entre légèreté et solidité est maîtrisé.
Ergonomie et prise en main
Avec ses 119,16 mm de longueur, 62,55 mm de largeur et 38,21 mm de hauteur, la Sabre v2 Pro Ultralight Wireless se place dans la catégorie des souris compactes à moyennes. Ces dimensions la destinent surtout aux mains comprises entre 17 et 19 cm de longueur, avec une largeur de paume standard. La largeur contenue permet une prise ferme sans étirement excessif des doigts, un atout pour maintenir le contrôle dans les mouvements rapides.
Le design se veut symétrique dans sa forme, mais il n’est pas totalement ambidextre : les deux boutons latéraux sont uniquement disposés sur le flanc gauche, ce qui réserve son usage aux droitiers malgré une silhouette extérieure équilibrée. Corsair a fait le choix d’une configuration minimaliste avec cinq boutons (clics principaux, molette cliquable et deux latéraux), concentrant l’essentiel pour réduire le poids à seulement 36 g.
En main, le profil légèrement bombé assure un appui naturel pour la paume, mais sa faible hauteur limite le soutien pour les adeptes du palm grip. La Sabre v2 Pro s’exprime pleinement en claw grip et en fingertip, où sa masse réduite se traduit par une agilité immédiate et une grande liberté de mouvement. Le palm grip reste possible, mais offrira un confort moindre à ceux qui recherchent une base de paume plus prononcée.
La finition mate de la coque offre une adhérence uniforme et agréable, tout en évitant les effets glissants des surfaces brillantes lors de sessions intenses.
Corsair ajoute en plus des grips adhésifs fournis dans la boîte, permettant à chacun d’adapter la tenue selon sa morphologie ou ses préférences de jeu : surface lisse pour maximiser la fluidité, ou grip renforcé pour plus de contrôle sur les zones de pression.
Enfin, la Sabre v2 Pro assume une approche sans concession sur le RGB : aucune diode, aucun éclairage décoratif. Ce choix radical s’inscrit dans une logique compétitive, limitant la consommation énergétique et favorisant l’autonomie (jusqu’à 70 heures annoncées), tout en renforçant le caractère minimaliste du design. Couplée à son poids plume, cette philosophie fait de la Sabre v2 Pro une souris qui se fait oublier sous la main, au service exclusif du mouvement et de la performance.
Connectivité et autonomie
La Sabre v2 Pro Ultralight Wireless repose sur la technologie Wireless v1.5 2,4 GHz de Corsair, associée à un dongle USB. L’appairage est simple et la connexion stable tout au long des sessions, sans déconnexion intempestive ni latence perceptible.
Un point pratique mérite toutefois d’être relevé : le récepteur ne se branche pas directement sur un port USB de la carte mère, mais doit passer par le câble fourni. Cela fonctionne correctement, mais ajoute une contrainte pour l’installation et l’organisation du bureau. Un câble court pour le dongle aurait été pratique pour limiter l’encombrement sur un bureau compact.
À l’arrière, un interrupteur discret permet d’éteindre la souris, tandis que le port USB-C placé à l’avant assure la recharge et l’utilisation filaire.
En filaire, la souris peut être utilisée tout en conservant un polling à 8 000 Hz, ce qui garantit une réactivité maximale. Néanmoins, le câble fourni est relativement épais et rigide. Lors de l’utilisation, il a même tendance à soulever légèrement la souris, ce qui rend le mode filaire peu agréable par défaut. Pour ceux qui souhaitent vraiment alterner sans fil et filaire, mieux vaut envisager un câble plus souple et léger.
Côté autonomie, Corsair annonce jusqu’à 70 heures en 1 000 Hz et environ 16 heures en 8K Hz. Dans nos essais, la souris a tenu près de 14 heures en 8K, un chiffre cohérent avec les estimations. Pour une utilisation quotidienne en 1 000 Hz, les 70 heures semblent réalistes, même si nous n’avons pas pu les vérifier sur un cycle complet. La recharge en USB-C s’effectue rapidement et permet de reprendre l’usage sans délai.
Patins et glisse
Sous la Sabre v2 Pro Ultralight Wireless, on retrouve des patins en UPE de qualité vierge (Virgin-Grade), une matière reconnue pour sa faible friction et sa longévité. Contrairement à de simples segments plats, Corsair a opté pour de larges patins incurvés qui épousent la forme arrondie de la coque à l’avant et à l’arrière. À cela s’ajoute un patin central entourant le capteur, complétant une configuration pensée pour offrir une glisse homogène.
Corsair fournit par ailleurs un jeu de patins de rechange dans le bundle, un ajout bienvenu pour maintenir cette qualité de glisse dans le temps. C’est un choix cohérent avec l’orientation compétitive de la Sabre v2 Pro, où la précision et la constance des déplacements font toute la différence.
Boutons et switchs : précision et durabilité
La Sabre v2 Pro Ultralight Wireless embarque une configuration minimaliste avec cinq boutons au total : clic gauche, clic droit, molette cliquable et deux latéraux placés sur le flanc gauche. Ce choix volontairement réduit privilégie l’essentiel, en phase avec l’orientation compétitive du modèle.
Les clics principaux s’appuient sur des switchs mécaniques Corsair personnalisés, annoncés pour 100 millions d’activations. En main, ils offrent un retour net et très réactif, avec une course courte et une résistance parfaitement calibrée pour éviter les déclenchements accidentels. Leur sonorité se situe dans une zone médiane : ni trop sèche, ni trop feutrée, ce qui donne une bonne lisibilité sonore lors de l’action sans être envahissant.
Les boutons latéraux, positionnés assez haut, demandent un léger mouvement du pouce pour être atteints. Ce placement limite les clics involontaires, mais peut nécessiter une courte période d’adaptation, notamment pour accéder au bouton arrière. Leur activation est franche, avec un clic tactile net qui s’intègre bien dans un usage FPS ou MOBA.
La molette, quant à elle, adopte un profil simple et efficace : crantage régulier et clic central précis. Là encore, Corsair mise sur la fiabilité et la légèreté plutôt que sur la polyvalence.
Polling et performances du capteur Marksman S
La Sabre v2 Pro Ultralight Wireless s’appuie sur le capteur Marksman S, annoncé à 33 000 DPI, capable de suivre jusqu’à 750 IPS et de gérer une accélération de 50 G. Ces chiffres restent largement au-delà de l’usage réel – rares sont les joueurs qui dépassent 3 200 DPI – mais ils garantissent une marge de fiabilité sans décrochage, même lors de mouvements rapides ou angulaires.
La nouveauté la plus marquante se situe du côté du polling rate, désormais réglable jusqu’à 8 000 Hz. Concrètement, la souris transmet sa position au PC toutes les 0,125 ms contre 1 ms en standard, avec des paliers intermédiaires à 2 000 et 4 000 Hz.
Si la différence reste imperceptible pour un usage quotidien, les joueurs compétitifs pourront apprécier une sensation de fluidité accrue, notamment lors des flicks ou micro-ajustements rapides. Il faut cependant rappeler que ce mode est plus exigeant pour le CPU, et que toutes les configurations ne tirent pas pleinement parti de cette fréquence.
En conditions de test, le capteur a montré une excellente constance : aucun smoothing ni décrochage, que ce soit à 800, 1 600 ou 3 200 DPI, et ce, sur tapis tissu comme sur surface rigide. Même en lift-off répété, le tracking reste propre et prévisible, confirmant la solidité du Marksman S.
Corsair Web Hub : personnalisation sans logiciel
La Sabre v2 Pro inaugure une nouveauté intéressante chez Corsair : la configuration ne passe plus par iCUE, mais par un outil en ligne appelé Corsair Web Hub.
L’idée est simple : connecter la souris, accéder à l’interface via un navigateur, et ajuster directement ses paramètres. Pas d’installation logicielle, pas de processus en arrière-plan, juste une interface légère et accessible.
On y retrouve l’essentiel : réglage des paliers DPI, réassignation des boutons, création de macros, ajustement du polling rate jusqu’à 8 000 Hz, ou encore suivi de l’autonomie.
Les profils peuvent être sauvegardés dans la mémoire interne, ce qui permet d’utiliser la souris sur n’importe quel PC sans avoir à tout reconfigurer.
Corsair n’est pas le seul à prendre cette direction. Fractal Design propose déjà son Adjust Pro Web Application pour ses périphériques comme le casque Scape. La Sabre v2 Pro s’inscrit donc dans une tendance claire : remplacer les logiciels lourds par des interfaces web légères, pensées pour séduire les joueurs compétitifs qui veulent de l’efficacité avant tout.
En pratique, l’expérience est fluide : l’interface s’ouvre rapidement, les changements s’appliquent instantanément et l’ensemble colle parfaitement à la philosophie minimaliste de la souris. On perd certaines fonctions avancées d’iCUE (comme la gestion multi-périphériques ou le RGB), mais ce n’est pas un manque ici. Corsair a préféré la simplicité, et c’est un choix qui fait sens pour un produit orienté performance pure.
En pratique
Dès les premiers instants, la Sabre v2 Pro Ultralight Wireless surprend par sa légèreté extrême. Avec seulement 36 g, elle donne presque l’impression de ne rien avoir en main. Cette caractéristique change la dynamique du jeu : les flicks s’exécutent sans effort, les ajustements de visée se font plus rapidement, et la fatigue se réduit sur les longues sessions. Les joueurs habitués aux mouvements amples apprécieront la réduction de fatigue sur les sessions longues. En contrepartie, ce format demande un temps d’adaptation aux joueurs habitués à des modèles plus lourds ou à des formes plus enveloppantes.
La glisse est un autre point fort. Les patins incurvés en UPE assurent un mouvement fluide et stable, sans accrochage perceptible, aussi bien sur tapis tissu que sur surface rigide. En claw ou fingertip grip, la souris révèle tout son potentiel. En palm grip, le soutien plus limité de la paume pourra en revanche manquer à certains.
Lors de sessions de 3-4 heures consécutives, le poids réduit montre ses bénéfices en limitant la fatigue du poignet. Le format relativement bombé convient bien aux prises en claw et fingertip, moins aux utilisateurs de palm grip qui pourraient ressentir un manque de support. Les grip tapes fournis permettent d’ajuster l’adhérence selon ses préférences. Appliqués sur les flancs, ils améliorent la prise sans compromettre la glisse générale de la souris.
En FPS compétitifs, le capteur Marksman S s’est montré constant aux sensibilités usuelles (800 à 3 200 DPI). Les micro-ajustements de visée sont précis, les flicks rapides à 180° passent sans décrochage, et le tracking reste fluide même lors de strafes rapides. Le polling à 8 000 Hz, activable via le Web Hub, ajoute une réactivité perceptible dans ces phases, sans bouleverser radicalement l’expérience.
Côté autonomie, nous avons relevé environ 14 heures en 8K Hz, un chiffre proche des 16 heures annoncées par Corsair, et cohérent avec une utilisation intensive sur une journée complète. En mode 1 000 Hz, la promesse de 70 heures semble réaliste, même si nous n’avons pas encore pu la vérifier sur un cycle complet. La recharge en USB-C est rapide et permet de retrouver l’usage filaire sans contrainte, avec la possibilité de maintenir le polling à 8 000 Hz.
Au quotidien, la simplicité du Corsair Web Hub se révèle pratique : réglages rapides, profils intégrés dans la mémoire de la souris et suivi de la batterie directement depuis l’interface. L’absence de RGB confirme la philosophie de ce modèle, où tout est pensé pour la performance et la constance, au détriment des artifices esthétiques.
Conclusion
[Test] Corsair Sabre v2 Pro Ultralight Wireless : la souris gaming la plus légère, 36 g seulement
Conclusion
Avec la Sabre v2 Pro Ultralight Wireless, Corsair franchit un cap audacieux dans le segment compétitif. À seulement 36 g, elle figure parmi les souris les plus légères jamais lancées, une prouesse qui change immédiatement la sensation de jeu. Cette légèreté réduit la fatigue et favorise une gestuelle basée sur le poignet, idéale pour les setups low-sens présents dans l’esport.
Le capteur Marksman S se montre précis et constant, restituant les mouvements avec fidélité. Aux sensibilités usuelles, il reste fiable sur les ajustements comme sur les flicks rapides. Le polling 8 000 Hz n’est pas une révolution mais un raffinement, surtout perceptible dans des FPS compétitifs comme Counter-Strike 2 ou Valorant. Le fait que Corsair l’intègre d’emblée, quand Razer facture environ 50 € avec la Basilisk V3 Pro 35K, illustre une philosophie différente.
L’autonomie constitue un autre atout : jusqu’à 70 heures en 1K Hz, un chiffre supérieur à de nombreuses concurrentes. En 8K Hz, elle tombe à une quinzaine d’heures, un compromis logique pour un usage ponctuel en compétition. La recharge via USB-C est rapide, mais le câble fourni reste un point faible. Trop épais et rigide, il rend le mode filaire peu agréable. On regrette aussi l’absence d’un câble court pour brancher le dongle plus discrètement.
Ces compromis dessinent un positionnement clair : la Sabre v2 Pro vise avant tout les joueurs compétitifs, prêts à délaisser un confort universel pour privilégier vitesse et réactivité. Dans ce rôle, elle constitue une alternative crédible aux modèles Finalmouse difficiles à trouver et aux Logitech G Pro X Superlight parfois jugées trop sages.
À 109,99 €, Corsair bouscule le rapport performance/prix d’un segment où la concurrence grimpe à 179 € et plus. La Sabre v2 Pro n’invente pas une nouvelle catégorie, mais l’enrichit intelligemment : autonomie solide, capteur constant, polling 8K intégré et légèreté record. Pour ceux qui acceptent ses exigences ergonomiques, elle s’impose comme une arme redoutable taillée pour l’esport moderne.
Qualité / Finition
9
Réactivité
9.5
Ergonomie
8
Prix
8
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Poids record de 36 g, idéal pour les longues sessions compétitives
Capteur Marksman S précis et constant, sans artifice logiciel
Polling 8 000 Hz intégré, sans accessoire supplémentaire
Autonomie solide : jusqu’à 70 h en 1K Hz, environ 14 h en 8K
Glisse fluide grâce aux patins incurvés en UPE
Prix compétitif (109,99 €) face à des concurrentes plus onéreuses
Points faibles
Dongle à brancher via câble et non directement sur un port USB.
Meta dévoile aujourd’hui la deuxième génération de ses lunettes connectées Ray-Ban, marquant une évolution technique. Disponibles dès maintenant à partir de 419 € (contre 329 € pour la première génération), ces Ray-Ban Meta Gen 2 promettent de corriger les principales lacunes de leurs prédécesseurs grâce à des améliorations …
La demande croissante de puissance de calcul pour l'intelligence artificielle engendre des défis énergétiques dans de nombreux pays. Le Mexique est l'un des exemples les plus visibles de cette pression, certaines installations technologiques étant contraintes de fonctionner sans accès au réseau électrique national. L'un des centres de données Microsoft de Colón, inauguré l'année dernière, n'est pas raccordé au réseau électrique national en raison de retards de construction et d'exigences contractuelles avec la Commission fédérale de l'électricité. L'entreprise a reçu l'autorisation d'utiliser sept générateurs à essence, qui alimenteront le site jusqu'à mi-2027. Microsoft n'a pas précisé si ses autres centres de données du pays fonctionnent également de cette manière. Le Mexique compte environ 150 centres de données, dont des installations appartenant à Microsoft, Amazon Web Services et Google. Depuis 2020, ces trois entreprises ont investi plus de 7 milliards de dollars dans le développement de la région. Si ces investissements contribuent au développement économique et à la création d'emplois, leur impact sur l'environnement et la durabilité des ressources locales soulève des questions.
L'exploitation de centres de données nécessite non seulement de l'énergie, mais aussi de grandes quantités d'eau. Microsoft a indiqué que ses trois installations de Querétaro consomment 40 millions de litres par an. Google, pour sa part, a admis que sa consommation mondiale avait augmenté de 28 % sur un an, atteignant 25 milliards de litres. Le problème est particulièrement aigu dans les régions sujettes à la sécheresse et aux pannes de courant. Selon l'Association mexicaine des centres de données, Querétaro dispose actuellement de 160 mégawatts d'infrastructures en exploitation, et des projets totalisant 600 MW sont en construction. L'Institut mexicain de la compétitivité, un centre de recherche, prévient que le réseau électrique national sera confronté à un déficit de 48 000 mégawattheures d'ici 2030, soit plus de la moitié de la production d'électricité du Mexique en 2023.
Les défis énergétiques des centres de données ne se limitent pas à l'Amérique latine. Aux États-Unis, les entreprises s'alarment de la hausse des factures d'énergie, et au Royaume-Uni, le gouvernement a exhorté les citoyens à supprimer les anciens fichiers du cloud afin de réduire la consommation d'eau des salles de serveurs. Parallèlement, Nvidia a annoncé un investissement de 30 milliards de dollars dans le pays, ce qui augmentera encore la demande en énergie et en ressources hydriques. (Lire la suite)
NVIDIA a décidé de soutenir Intel en investissant 5 milliards de dollars dans l'entreprise. Il s'agit d'un nouvel investissement important dans cette entreprise en crise, après des initiatives similaires du gouvernement américain et de SoftBank. La collaboration entre les deux géants devrait donner des résultats révolutionnaires. Intel aidera Nvidia à concevoir des puces x86 intégrant des puces GPU RTX. Ces processeurs SoC (système sur puce) innovants sont destinés à équiper une large gamme d'ordinateurs personnels, combinant des processeurs Intel et des cartes graphiques Nvidia au sein d'une seule puce. Si les deux entreprises collaborent déjà sur des ordinateurs portables de jeu, combiner leurs technologies au sein d'une seule puce représente une avancée bien plus importante. Cette solution vise à aider les deux entreprises à concurrencer AMD, qui a récemment gagné des parts de marché croissantes sur le marché des processeurs de jeu et des puces d'IA pour ordinateurs portables. Ce partenariat soulève des questions quant à l'avenir des cartes graphiques Intel Arc. Si Intel s'appuie sur l'expertise GPU de Nvidia, cela pourrait impacter le développement de ses propres solutions graphiques.
Les entreprises prévoient également d'intégrer leurs architectures via le système de communication NVLink de Nvidia, utilisé dans les centres de données pour connecter les cartes graphiques. Intel produira des processeurs x86 spécifiques pour Nvidia, qui seront intégrés aux plateformes d'IA. Intel traverse une période difficile , l'entreprise réduisant ses dépenses et licenciant des milliers d'employés. Cependant, l'annonce du partenariat avec NVIDIA a immédiatement suscité l'enthousiasme des investisseurs, l'action Intel bondissant de 28 % en pré-bourse, et la hausse n'est certainement pas terminée. (Lire la suite)
Microsoft et Cloudflare ont perturbé RaccoonO365, un redoutable service de phishing par abonnement. Avec des centaines de sites saisis, cette opération met fin à une menace qui a volé des milliers d'identifiants Microsoft 365.
The Rogue Prince of Persia est un roguelike basé sur la franchise du même nom, développé par Evil Empire et édité par Ubisoft. Dans ce jeu, notre prince préféré doit combattre l'armée des Huns qui tente de s'emparer de la Perse avec seulement son esprit, son habileté, sa sagesse et le petit avantage de remonter le temps s'il meurt grâce au collier qu'il porte. Rien de bien compliqué, n'est-ce pas ? Et pourtant, notre cher prince s'aventure dans un genre qui devient de plus en plus célèbre et courant dans cette nouvelle ère, le parkour. Il y avait de quoi être intrigué et inquiet, car le potentiel que cela représentait était presque égal au risque de finir en larmes. Avant de poursuivre, il faut rappeler que le jeu est resté pratiquement un an et demi en Accès Anticipé sur PC et qu'il a de facto beaucoup évolué. L'interface du roguelite est très lisible , surtout si vous êtes déjà familier avec le genre : la barre de vie se trouve en haut à gauche, juste en dessous de la barre d'action pour l'utilisation de l'arme à distance. En haut à droite, on trouve les orbes violets et la monnaie du jeu . Heureusement, ces deux derniers sont très petits à l'écran, ce qui est très pratique, compte tenu du gameplay frénétique de ce jeu . Ainsi, moins l'écran est encombré, mieux on comprend ce qui se passe. Le Prince possède deux types d' armes : de corps à corps et à distance . La première s'utilise en appuyant sur un bouton pour lancer des combos, tandis que l'arme à distance a un nombre d'utilisations limité. De plus, il est possible d'utiliser le coup de pied pour frapper les ennemis ou déplacer certains éléments sur la carte. Par exemple, il est possible d'utiliser le coup de pied pour déplacer un rocher et infliger des dégâts à un ennemi, ou pour étourdir les boss. Quant aux armes à distance, leurs utilisations se consomment et se rechargent simplement en frappant les ennemis. C'est donc une méthode très simple pour gagner. (Lire la suite)
Treyarch a dévoilé la cinématique d'introduction du mode Zombies de Call of Duty: Black Ops 7, confirmant le crossover tant attendu entre l'équipe de Black Ops 6 et les personnages originaux de la saga. Prévu pour le lancement le 14 novembre, ce nouveau chapitre s'annonce sombre, ambitieux et plein de surprises, avec le retour du mode Dead Ops Arcade.
Pour LinkedIn, utiliser vos données personnelles pour entrainer des IA génératives de contenus relève de l’intérêt légitime. Le réseau social laisse jusqu’au 3 novembre à ses utilisateurs européens pour désactiver cette fonctionnalité.
Il y a un an, jour pour jour, LinkedIn s’accordait le droit d’utiliser vos informations et publications « pour développer les produits et services de LinkedIn et de ses affiliés », y compris pour entrainer des IA génératives. Les utilisateurs avaient alors deux mois pour faire part de leur désaccord et couper cette fonctionnalité, activée par défaut.
LinkedIn utilisera vos données dès le 3 novembre
Les utilisateurs dans l’Espace économique européen, la Suisse et le Royaume-Uni étaient épargnés, mais le réseau social avait prévenu que cela arriverait prochainement. C’est désormais le cas. L’option est là encore activée par défaut et vous avez jusqu’au 3 novembre pour refuser que vos données soient utilisées.
LinkedIn affiche depuis aujourd’hui un message à ses utilisateurs européens, comme nous avons pu le voir à la rédaction : « À compter du 3 novembre 2025, certaines de vos données LinkedIn seront utilisées par l’intelligence artificielle générative pour améliorer votre expérience, sauf si vous le refusez dans vos préférences. Nos conditions générales évoluent aussi : consultez les changements et gérez vos données ». Un lien vers ce billet permet d’en savoir plus.
Pour désactiver cette option, c’est par là que ça se passe. Il suffit de cliquer sur le bouton pour activer/désactiver l’autorisation d’utiliser ses données pour entrainer des IA de génération de contenus.
« Nous nous fondons sur l’intérêt légitime pour traiter vos données à cette fin », explique LinkedIn pour justifier le « passage en force » avec un opt-out. Cet intérêt légitime est une des bases légales prévues par le RGPD pour des traitements de données personnelles.
« Le recours à cette base légale suppose que les intérêts (commerciaux, de sécurité des biens, etc.) poursuivis par l’organisme traitant les données ne créent pas de déséquilibre au détriment des droits et intérêts des personnes dont les données sont traitées », rappelle la CNIL. Tout est donc une question d’équilibre.
Si on voit bien l’intérêt pour LinkedIn et donc Microsoft de disposer de toujours plus de données, reste la question des « droits et intérêts » des personnes. Le réseau social en tout cas a pris sa décision et de plus amples précisions sur l’intérêt légitime vu du côté de LinkedIn se trouvent sur cette page.
On peut y lire que « les Membres ou les clients peuvent communiquer des données personnelles en tant qu’entrée dans une fonctionnalité d’IA ou d’IA générative, ce qui peut avoir pour effet que des données personnelles figurent dans la sortie ».
LinkedIn ratisse large : « les données que vous fournissez ou que d’autres fournissent dans le cadre de posts, commentaires, articles ou de tout autre contenu sur nos Services, y compris l’historique de recherches, le fil d’actualité, le contenu que vous consultez, le contenu que vous partagez, qui vous suivez ou qui vous suit, vos relations et votre participation, les pages que vous visitez ou les vidéos que vous visualisez, les actions que vous effectuez sur les publicités (vues et clics) et vos recherches d’emploi ».
Refuser l’entrainement n’empêche pas d’utiliser l’IA générative
LinkedIn précise que cette option ne s’applique qu’à « l’entraînement et à l’amélioration des modèles d’IA générative utilisés pour générer du contenu (par exemple, des posts ou messages suggérés). Elle ne s’applique pas à notre entraînement de modèles d’IA utilisés à d’autres fins, comme les modèles que nous utilisons pour personnaliser votre expérience sur LinkedIn ou à des fins de sécurité, de protection ou de lutte contre les abus ».
Si vous désactivez cette fonction, « vous pourrez continuer à utiliser nos fonctionnalités d’IA générative qui créent du contenu […] Cette préférence ne régit pas l’utilisation de vos données lorsque vous ou d’autres personnes utilisez des fonctionnalités d’IA générative sur LinkedIn. Elle régit uniquement l’utilisation de vos données pour l’entraînement des modèles susceptibles d’alimenter ces fonctionnalités ».
Et si vous vous demandez ce que peut proposer LinkedIn avec ses IA génératives : « Nos fonctionnalités d’IA générative peuvent aider les recruteurs à vous trouver et à vous contacter plus facilement, et assister les membres dans la création de contenu tel que des mises à jour de profil, des messages et des publications ».
Sony a discrètement lancé le nouveau modèle PS5 Slim Digital sur le marché européen. Cette version, baptisée CFI-2116 (ou CFI-2216 dans certaines régions), ne présente aucun changement esthétique ou fonctionnel notable par rapport au modèle précédent, mais apporte une modification significative : l' espace de stockage SSD a été réduit à 825 Go , revenant au format utilisé sur les premières versions de la PS5 au lancement. Cette réduction semble motivée par la volonté de maîtriser les coûts de production sans augmenter davantage le prix de la console, qui reste inchangé. Cependant, sachant que jusqu'à récemment, il était possible d'acheter la même PS5 Slim Digital avec un SSD de 1 To pour le même prix, ce choix pourrait s'avérer controversé pour ceux qui recherchent un espace de stockage important pour leurs jeux et applications.
Le lancement de ce modèle était anticipé par le leaker fiable billbil-kun et confirmé par sa disponibilité immédiate chez plusieurs revendeurs européens, dont Amazon. Malgré son espace de stockage réduit, la console conserve toutes les fonctionnalités du modèle précédent, notamment la compatibilité avec les jeux numériques PS4 et PS5, et reste l'une des principales options pour ceux qui recherchent une PS5 plus compacte et sans lecteur de disque. Ce nouveau modèle illustre une refonte matérielle discrète mais stratégique, typique de Sony et d'autres fabricants, qui mettent régulièrement à jour leurs composants internes afin d'optimiser les coûts et la production. Il convient également de noter qu'une prochaine mise à jour système introduira de nouvelles fonctionnalités utiles pour la manette DualSense, améliorant ainsi l'expérience utilisateur sans nécessiter de modifications de la console elle-même. (Lire la suite)
La nouvelle version 11.2508.361.0 de Paint propose deux outils conçus pour optimiser votre travail. La première nouveauté est la prise en charge des fichiers de projet , qui vous permettent d'enregistrer un dessin au format .paint . Vous pouvez ainsi interrompre votre travail et le reprendre ultérieurement sans perdre les calques ni les modifications en cours. Cette option est disponible dans le menu Fichier, en choisissant « Enregistrer comme projet », une fonctionnalité typique de tous les éditeurs d'images qui manquait auparavant, signe que Microsoft Paint gagne en maturité. Le deuxième ajout est un curseur d'opacité pour les pinceaux et les crayons. Outre la taille des traits, nous pouvons désormais contrôler leur transparence, créant ainsi des dégradés et des superpositions plus naturels. Le curseur d'opacité, situé à gauche de la zone de travail, permet de combiner les deux paramètres pour des effets plus riches et plus complexes. Les nouvelles fonctionnalités sont déjà disponibles pour les membres des canaux Canary et Dev du programme Windows Insider, et seront bientôt disponibles en versions stables pour tous. (Lire la suite)
Avec la version 11.2508.28.0 , le Bloc-notes introduit pour la première fois des fonctionnalités basées sur l'IA pour les utilisateurs de Copilot+ PC . Les outils disponibles sont « Résumer », « Écrire » et « Réécrire » , conçus respectivement pour résumer du texte, générer du nouveau texte ou réécrire du contenu existant. Ces options ne nécessitent pas d'abonnement : nous pouvons utiliser le modèle local directement sur nos ordinateurs, tandis que les utilisateurs abonnés peuvent migrer vers le modèle cloud si nécessaire. Actuellement, ces fonctionnalités ne sont disponibles qu'en anglais , mais elles représentent néanmoins une avancée importante pour rendre Notepad plus polyvalent et plus proche des outils d'écriture avancés. (Lire la suite)
Selon les dernières données de Canalys, les expéditions de PC aux États-Unis ont chuté de 1,4 % au deuxième trimestre 2025, atteignant 18,6 millions d'unités. Ce recul est principalement dû à l'écoulement des stocks accumulés par les fabricants. Malgré le déclin général, le secteur commercial a enregistré une hausse de 4 %, compensant la faible performance du segment grand public. Les entreprises se préparent à la fin du support de Windows 10 en octobre 2025, ce qui entraîne une transition vers des modèles plus récents, compatibles avec Windows 11. Malgré la nécessité de ce changement, les performances financières du secteur n'ont pas été particulièrement solides. L'adoption de l'IA dans les entreprises américaines a doublé au cours des deux dernières années et a progressé de 50 % cette année. Cependant, les analystes constatent un ralentissement de la croissance chez les grandes entreprises, qui peinent à intégrer l'IA à leurs processus de travail quotidiens.
Le marché de la consommation reste sous pression en raison de l'inflation persistante et de l'incertitude économique. Les citoyens ordinaires ne sont pas aussi disposés à investir dans de nouveaux appareils que les fabricants voudraient le leur faire croire. Les analystes prédisent que les utilisateurs individuels retarderont le remplacement de leur ordinateur jusqu'à ce que leur matériel cesse de fonctionner ou perde considérablement ses performances – cela s'applique principalement au groupe qui est toujours fidèle à Windows 10. (Lire la suite)
Microsoft n'a pas encore dit son dernier mot concernant la promotion de son navigateur Edge. L'entreprise souhaite attirer de nouveaux utilisateurs et adopte une approche plutôt inhabituelle. Lors du téléchargement de Chrome, Bing peut afficher une comparaison avec Chrome, plaçant Edge en tête. Cette publicité apparaît lorsque les utilisateurs recherchent Chrome sur Bing et ailleurs. Un éditeur de Windows Latest a vérifié si Microsoft Edge était réellement présenté de cette manière. Connecté à son compte Microsoft 365 sous Windows 11 (version 24H2), après avoir tapé « Chrome » dans le moteur de recherche Bing, il a constaté qu'Edge répondait à tous ses besoins. Bing a ajouté une brève note précisant que le navigateur de l'entreprise de Redmond utilise la même technologie que le programme concurrent de Google. Bien que cela ne soit pas une nouveauté, puisque Bing a toujours promu Edge sous forme de petites bannières, cette fois, Microsoft est allé plus loin en créant un tableau entier qui compare Edge à Chrome, déclarant son navigateur vainqueur. Cette publicité inclut également des liens vers des applications populaires comme YouTube, Facebook, Gmail, WhatsApp, Instagram et Netflix. C'est une idée astucieuse, car de nombreux utilisateurs pensent immédiatement à Chrome lorsqu'ils cherchent un navigateur pour accéder à ces applications. Microsoft tente de montrer que tous ces services fonctionnent déjà dans Edge, il n’est donc pas nécessaire d’installer Chrome.
La comparaison dans la publicité est claire : le logo Edge est surligné en bleu, tandis que celui de Chrome est gris. Microsoft souligne qu'Edge offre des récompenses, un VPN intégré et une personnalisation optimisée par l'IA, et qu'il est également recommandé par Microsoft, ce qui signifie une sécurité accrue et une meilleure compatibilité avec Windows 11. L'annonce apparaît tout en haut des résultats de recherche, et bien que le lien pour télécharger Chrome soit toujours visible, la première chose que vous voyez est une invitation à essayer Edge. Microsoft ajoute également un bouton « Découvrir plus de fonctionnalités » qui vous permet d'accéder à encore plus d'avantages de son navigateur. De plus, si vous décidez de vous rendre sur le site web de Google, une autre bannière apparaîtra pour vous rappeler d'utiliser Edge. Cette initiative vise à vous convaincre de choisir le navigateur de Microsoft. Ce n'est pas la première fois que Microsoft tente de convaincre les utilisateurs d'acheter ses produits, mais il est clair que l'entreprise poursuit ses efforts pour promouvoir Edge. Nous avons déjà vu des publicités Copilot apparaître lors de la recherche de ChatGPT ou Gemini sur Bing. (Lire la suite)
Apple a publié lundi la mise à jour majeure d'iOS 26. Malgré l'apport de nombreuses nouvelles fonctionnalités, dont le filtrage des appels et un Liquid Glass repensé, les utilisateurs ont commencé à se plaindre massivement d'une décharge accélérée de la batterie. Les forums et les réseaux sociaux ont signalé que la batterie de certains iPhone se déchargeait en quelques heures seulement, avec des plantages d'applications, des ralentissements et la nouvelle interface. L'entreprise a déjà réagi à cette vague de critiques et expliqué les raisons de ce phénomène. Apple a déclaré que ces problèmes étaient tout à fait normaux après une mise à jour majeure et qu'il n'y avait pas lieu de s'inquiéter.
Selon l'entreprise, dans les premiers jours suivant une mise à jour, le système effectue plusieurs tâches d'arrière-plan gourmandes en ressources, telles que l'indexation des fichiers, la redistribution des données et l'optimisation des performances. Cela sollicite davantage le processeur et la batterie, et le téléphone peut être plus lent et surchauffer. Outre les processus d'arrière-plan, les nouvelles fonctionnalités, plus gourmandes en ressources, impactent également la consommation d'énergie. Le design repensé et les éléments visuels plus complexes sollicitent également le système, impactant encore davantage l'autonomie de la batterie. Ces problèmes disparaissent généralement en quelques jours. Cependant, malgré les clarifications d'Apple, nombreux sont ceux qui estiment qu'il est préférable de les corriger avant la sortie de la mise à jour, car après l'installation de la mise à jour, la stabilité et l'autonomie de la batterie devraient être maintenues au minimum, plutôt qu'une dégradation de l'expérience utilisateur. (Lire la suite)
Selon Nikkei Asia, Apple prévoit d'augmenter ses livraisons d'iPhone d'environ 10 % en 2026, en misant sur la sortie du premier smartphone pliable. L'entreprise est déjà en discussion avec ses fournisseurs pour le lancement d'une ligne de production test pour le prochain iPhone pliable, et la production de masse pourrait débuter en Inde en 2026, avec une capacité d'environ 95 millions d'unités. Apple espère que ce nouveau modèle contribuera à générer une demande supplémentaire pour ses produits. En 2024, l'entreprise a expédié 232 millions d'iPhone, et les prévisions d'IDC pour 2025 tablent sur une augmentation de 4 % pour atteindre environ 241 millions d'unités. Par conséquent, une augmentation de 10 % en 2026 se traduirait par un objectif d'environ 265 millions d'iPhone, un nouveau record, sachant que les livraisons annuelles fluctuent entre 200 millions et un peu moins de 250 millions depuis 2015.
Dans ce contexte, l'analyste de Bank of America, Vamsi Mohan, a constaté une forte demande pour les modèles actuels d'iPhone 17. Le délai moyen de livraison pour l'iPhone 17 Pro est désormais de 18 jours, contre 14 pour l'iPhone 16 Pro, et l'iPhone 17 Pro Max devrait attendre 25 jours, contre 23 jours pour l'iPhone 16 Pro Max un an plus tôt. Même l'iPhone 17 de base est retardé de 19 jours, contre 10 pour l'iPhone 16. De plus, des délais d'attente aussi longs pour le modèle de base n'avaient pas été observés depuis le lancement de l'iPhone 11 en 2019. Si ces prévisions se confirment, Apple non seulement entrera dans la nouvelle catégorie des appareils pliables, mais atteindra également un record historique de ventes d'iPhone, ce qui réjouira grandement les actionnaires. (Lire la suite)