La Chine a annoncé qu’une enquête préliminaire a révélé que Nvidia a enfreint la loi antimonopole lors de son acquisition de Mellanox en 2020. Cette décision intervient dans un contexte de tensions commerciales sino-américaines et soulève des questions sur l’avenir du géant des puces sur le marché chinois.
Surprise d'Orange avec l'application Orange Hello 5G et pour tester son réseau mobile gratuitement, sans changer d'opérateur. Une offre promotionnelle avec eSIM.
Dès le lancement du Ryzen 7 9800X3D en novembre 2024, nous avions eu droit à une démonstration d'un exemplaire poussé à 6,9 GHz sous azote liquide et capable d'afficher plus de 1000 images par seconde en jeu, sous certaines conditions évidemment. Il faut croire que cette idée du 1000 fps travaille A...
La start-up française Cailabs, référence mondiale de la photonique avancée, a levé 57 millions d'euros avec le soutien du ministère des Armées, pour ses technologies laser.
GGF Events, connu pour ses créations spectaculaires dans l’univers du modding, dévoile une nouvelle œuvre qui repousse une fois de plus les limites du design et de la performance. Le point de départ : le Lian Li O11 Dynamic Mini V2, un boîtier compact de 45,38 litres pensé pour accueillir des configurations ambitieuses sans compromis.
Lian Li O11 Dynamic Mini V2 : Un châssis taillé pour l’exceptionnel
Le O11 Dynamic Mini V2 se distingue par sa conception intelligente et son design audacieux. Ses panneaux en verre trempé sans pilier à l’avant et sur le côté offrent une vue panoramique dégagée sur l’intérieur, transformant la configuration en véritable vitrine technologique. L’inclinaison de 10° du panneau inférieur améliore le flux d’air de la carte graphique, tout en donnant une présentation élégante et unique à l’ensemble
Test vidéo du Lian Li O11 Dynamic Mini V2 par GGF Events
Compact mais généreux, il prend en charge des cartes mères ATX, M-ATX, Mini-ITX et ATX Back-Connect, des cartes graphiques de 400 mm de long, des ventirads de 160 mm et des alimentations ATX jusqu’à 200 mm. Côté refroidissement, il permet l’installation de 9 ventilateurs 120 mm, d’un radiateur 360 mm en haut et d’un 240 mm sur le côté. Pour les configurations extrêmes, il inclut des brackets anti-sag horizontaux et verticaux, assurant un maintien parfait des GPU massifs.
Build Lian Li O11 Dynamic Mini V2 : Un cœur technologique de premier plan
Pour ce build, GGF Events a choisi des composants d’exception :
La partie refroidissement repose sur un circuit sur mesure où chaque détail est pensé pour la performance comme pour l’esthétique :
Waterblock CPU : Optimus AMD Plexi
Radiateurs : 2x Bitspower Leviathan II 360 mm et 1x 240 mm (épaisseur 40 mm)
Réservoir : Bitspower CR120
Tuyauterie : tubes acryliques 12 mm reliés par des embouts Bitspower Shining Silver
Waterblock CPU : Optimus AMD Plexi
Le liquide turquoise serpente à travers l’ensemble, guidé par des lignes rigides et précises, soulignant le soin apporté à l’assemblage.
Une esthétique venue d’ailleurs
Ce build impose une identité visuelle saisissante. Les ventilateurs Lian Li UNI Fan TL LCD Wireless ne se contentent pas d’éclairer : leurs écrans intégrés affichent animations et relevés système en temps réel, ajoutant une dimension high-tech et futuriste. L’éclairage cyan, parfaitement homogène, enveloppe la mémoire, les waterblocks et les panneaux intérieurs d’une lueur électrique rappelant le style cyberpunk.
La ROG Matrix RTX 4090 et la Crosshair X870E Hero se fondent dans cette chorégraphie lumineuse, tandis que les panneaux en verre trempé sans pilier laissent apparaître une scène technologique où chaque composant semble flotter. L’ensemble respire la précision, le souci du détail et l’excellence artisanale.
Conclusion
Avec ce build venu d’ailleurs, GGF Events démontre une nouvelle fois que le Lian Li O11 Dynamic Mini V2, annoncé au computex 2025, n’est pas seulement un boîtier compact, mais un véritable écrin capable d’accueillir les configurations les plus extrêmes. Entre puissance brute, maîtrise du refroidissement et une mise en scène lumineuse futuriste, cette réalisation illustre à la perfection ce que peut offrir le mariage entre ingénierie et art du modding.
Régalez-vous les yeux avec la vidéo complète de ce build ultra propre.Crédit
À propos de GGF Events
GGF Events propose des PC builds d’exception, des reviews de boîtiers et de composants,
ainsi que des couvertures d’événements comme le CES et le Computex.
Découvrez leurs créations et suivez leur actualité :
Notations de femmes en fonction de leur physique, vocabulaire propre à la manosphère (mâles alpha, mâles sigma, incels, pour « célibataires involontaires », c’est-à-dire qui se considèrent seuls par la faute des femmes)…
Sur TikTok, les contenus à tendance misogyne, voire ouvertement masculinistes – c’est-à-dire considérant non seulement que le féminisme a pris trop de place, mais encore que la masculinité doit reprendre de l’ampleur, généralement en s’attaquant aux droits des femmes – sont facilement propulsés dans le fil d’actualité des adolescents.
Pour tenter d’établir la rapidité à laquelle un mineur peut se retrouver exposé à ce type de contenus, la RTBF a construit cinq profils fictifs d’adolescents de 15 ans, tous intéressés par la musculation. Le chercheur en criminologie Melvin Hasescic explique en effet au média belge qu’il existe un lien entre « l’hypermasculinité et l’antiféminisme » et « l’intensité de la pratique sportive ».
But de l’expérimentation : comprendre dans quelle mesure à quelle vitesse TikTok proposait des contenus masculinistes à des internautes qui, a priori, ne cherchaient qu’à trouver des conseils en matière de musculation. Pour la mener à bien, le média a constitué cinq faux profils likant et scrollant automatiquement du contenu en fonction de sujets pré-imposés.
En moins de 10 minutes d’activité du faux profil nommé « Matteo », la machine opère un premier glissement de vidéo spécifiquement centrée sur la musculation vers des propos de l’ordre de la motivation. Des hommes seuls, dans un univers relativement inquiétant, appellent l’internaute à se dépasser, ce qui interroge déjà sur les effets de ces vidéos sur la santé mentale du public visé.
Au bout de 10 minutes supplémentaires, de premiers contenus masculinistes apparaissent, incitant l’usager à douter de l’existence d’amitiés hommes-femmes, de celle de choisir son orientation sexuelle, ou renforçant divers discours sexistes ou homophobes. En moins d’une heure, l’internaute s’est retrouvé projeté dans cet univers fait de références aux pilules bleues et rouges de Matrix, au cynisme du Joker dans Batman, ou encore à la série Peaky Blinders, dont certains courants masculinistes empruntent les codes vestimentaires.
L’expérience rappelle celles menées par la journaliste Pauline Ferrari, qui étudie dans son ouvrage Formés à la haine des femmes comment les idéologies masculinistes se sont répandues dans les mondes numériques.
Elle permet de constater à nouveau que les propos portés par les discours les plus extrêmes sont foncièrement violents, appelant au contrôle coercitif des « gonzesses » (qu’il faudrait « surveiller », en contrôlant leur tenue ou leurs mouvements), voire promeuvent agressions et crimes sexuels, comme le viol.
La tendance est d’autant plus inquiétante qu’elle peut constituer une forme de terrorisme, comme l’analyse la chercheuse Stéphanie Lamy. En France, au moins trois projets d’attentats masculinistes ont ainsi été déjoués en moins d’un an.
Si TikTok est loin d’être le seul espace où fleurissent ces idées, la plateforme a néanmoins pris un rôle particulier dans les travaux de l’Assemblée nationale. Les résultats de la Commission d’enquête lancés en mars sur ce sujet sont sans appel : il s’agit, selon ses rapporteurs, de l’un « des pires réseaux sociaux à l’assaut de notre jeunesse ».
Généralement, la fastidieuse tâche de tester les performances d’un jeu avec de nombreux GPU incombe à des sites spécialisés. Une fois n’est pas coutume, Gearbox a suivi cette philosophie en publiant un guide d’optimisations assez foisonnant... [Tout lire]
Orange propose une nouvelle offre intéressante qui permet d’avoir un forfait mobile 5G gratuit. L’opérateur permet ainsi de tester son réseau sans débourser le moindre centime. Un forfait 5G réellement gratuit chez Orange Comment ça fonctionne ? Il suffit de télécharger l’application Orange Hello 5G, que ce soit sur l’App …
Saisi d’une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) par la société Digital Classifieds France (éditrice du site SeLoger et filiale du groupe allemand Axel Springer), le Conseil constitutionnel a estimé que la « taxe sur les services numériques » instaurée par la France en 2019 et surnommée, à l’époque, taxe GAFA, ne contrevenait pas aux principes d’égalité devant la loi et les charges publiques.
Dans cette décision datée du 12 septembre, l’institution de la rue Montpensier valide ainsi le principe de cette taxe qui concerne, pour mémoire, les sociétés réalisant au moins 750 millions d’euros de chiffre d’affaires au niveau mondial et 25 millions d’euros à l’échelle nationale.
Dans sa requête, Digital Classifieds France a tenté de faire valoir que « les critères définissant les activités imposables ne [sont] ni objectifs ni cohérents au regard du but poursuivi par le législateur ». La société estime également que la loi de 2019 commet une erreur en calculant les seuils d’assujettissement à l’échelle du groupe (la maison mère) et non des différentes sociétés individuelles.
Extrait de la décision n° 2025 - 1157 QPC du 12 septembre 2025
Elle attaque par ailleurs le texte sur le critère de la « territorialité de l’impôt, du lieu effectif de l’activité ou de l’origine géographique des recettes réalisées par les entreprises redevables pour déterminer l’assiette de la taxe ». Elle dénonce enfin le caractère confiscatoire de ce qu’elle considère comme une double imposition, la taxe venant s’ajouter à l’impôt sur les sociétés, et donc comme une « rupture d’égalité injustifiée ».
Le Conseil constitutionnel n’a pas encore mis en ligne le commentaire qui constitue l’explication de texte de sa décision, mais cette dernière se veut sans ambages. Les Sages estiment qu’il « était loisible au législateur de soumettre à la taxe des services numériques dont la création de valeur repose de façon déterminante sur l’activité des utilisateurs, telles les prestations de ciblage publicitaires », mais aussi de choisir de ne pas inclure d’autres typologies de services « eu égard à leur nature ».
Sur les seuils d’assujettissement, il remarque que « si ces seuils sont appréciés au niveau d’un groupe d’entreprises, l’assiette de la taxe est déterminée en fonction des seuls revenus générés par les services fournis en France par l’entreprise redevable, et non par l’ensemble du groupe ». Les arguments liés à la territorialité et aux modalités de taxation sont, eux aussi, rejetés pour aboutir à la décision selon laquelle les articles concernés de la loi de 2019 sont « conformes à la Constitution ».
Si l’on en croit des sources que l’on espère bien informées, xAI, la startup fondée par Elon Musk, a procédé au licenciement d’au moins 500 employés de son équipe d’annotation de données. Ce département, considéré comme le plus important de l’entreprise, était chargé de classer et contextualiser les …
YouTube Music évolue (ou plutôt, expérimente) en limitant l’accès aux paroles des chansons pour ses utilisateurs gratuits. Cette stratégie vise à pousser vers l’abonnement Premium payant, mais elle rappelle un fiasco chez Spotify. Les premiers retours montrent déjà des signes de mécontentement, alors que la plateforme teste cette …
ASRock continue de peaufiner son kit d’installation intelligent avec la version 2.1.4 de AI QuickSet WSL, fraîchement disponible depuis le 12 septembre 2025. L’outil vise un objectif clair : déployer un environnement IA prêt à l’emploi sur Windows via WSL, le tout optimisé pour l’accélération GPU avec les Radeon RX 7900 et RX 9000.
Exit les longues heures de galère à installer ROCm à la main : ce petit utilitaire automatise les tâches ingrates et lance en quelques clics des applis IA prêtes à tourner.
Quoi de neuf dans la 2.1.4 ?
Une config WSL sur-mesure pour l’IA et le GPU
AI QuickSet WSL supprime les frictions : il installe les dépendances, configure WSL pour l’accélération matérielle via ROCm, et pose les bases pour faire tourner des frameworks IA sous Linux… tout en restant dans Windows. L’idée ? Offrir une rampe d’accès rapide et fonctionnelle, même pour les profils qui n’ont jamais mis les mains dans le terminal.
Des applis embarquées pour tester tout de suite
Histoire de ne pas se contenter de promesses, le pack inclut quelques applications prêtes à l’emploi, parfaites pour valider la chaîne WSL + ROCm :
Audiocraft : génération audio
Image Manga Translator : traduction automatique de mangas
PixtoonLab : création d’images génératives
Video Background Remover : extraction et remplacement de fond vidéo
Configuration requise
Matériel conseillé
Processeur : Intel Core Ultra série 2, Core 12/13/14e gen, ou AMD Ryzen 5000 à 9000
Carte mère : séries Intel 600 à 800 ou AMD 500 à 800
RAM : 64 Go recommandés
GPU : ASRock Radeon RX 7900 ou plus récent (MBA non pris en charge)
Alimentation : 750 W mini pour AMD, 850 W sur plateforme Intel
Stockage : au moins 150 Go libres sur C:, de préférence SSD ou M.2
Réseau : connexion requise pour l’installation et l’usage
Logiciels et pilotes
OS : Windows 11 24H2 64 bits ou ultérieur
Pilotes : dernière version AMD
Préinstallé : WSL activé et configuré
Pour les détails sur l’installation manuelle de WSL ou de ROCm, direction la doc officielle de AMD ROCm.
Le programme est léger : 9,67 Mo, compatible Windows 10 et 11 64 bits. La version 2.1.4 est disponible depuis le 12 septembre 2025, accompagnée d’un manuel utilisateur et d’un accès au forum ASRock pour échanger retours et solutions.
Pourquoi c’est intéressant
Linux reste la terre promise des outils IA modernes, mais tout le monde ne veut (ou ne peut) pas migrer. ASRock propose une alternative hybride efficace, permettant de profiter des Radeon RX 9000 avec ROCm sans quitter Windows. L’outil joue le rôle de passerelle rapide et fiable pour tester localement des charges IA, faire des démos, ou valider un prototype avant de basculer, si besoin, sur une distribution Linux pure.
Conclusion
AI QuickSet WSL 2.1.4 fait exactement ce qu’on attend de lui : il réduit les frictions, automatise les étapes critiques, et offre un terrain de jeu IA fonctionnel sous Windows, sans bidouille. Il reste bien sûr quelques points de vigilance (support ROCm, pilotes, prérequis système), mais l’ensemble est clair, propre, et efficace. Pour tester ou prototyper sans perdre une journée à configurer, c’est une porte d’entrée idéale.
C’est officiel les amis !! Nintendo vient de lâcher une bombe lors du Nintendo Direct de vendredi dernier. La suite du carton planétaire “Super Mario Bros. le film” s’appellera “The Super Mario Galaxy Movie” et débarquera dans les salles le 3 avril 2026. Et franchement, rien qu’avec le petit teaser qu’ils nous ont balancé, on sent que ça va envoyer du lourd.
Cette annonce tombe pile poil pour célébrer les 40 ans de Super Mario Bros, sorti le 13 septembre 1985. Shigeru Miyamoto lui-même a déclaré que ce film sera “l’événement principal” de cette célébration anniversaire. Et quand on sait que le premier film a rapporté plus de 1,3 milliard de dollars au box-office mondial, je comprends pourquoi Nintendo et Illumination remettent le couvert.
Le teaser nous montre donc Mario qui fait une petite sieste sous un arbre dans le Royaume Champignon. La caméra s’éloigne doucement, nous fait traverser tout le royaume avec ses créatures emblématiques, puis s’envole vers le château de Peach avant de filer dans l’espace étoilé où le titre apparaît. Simple mais efficace, ça me donne déjà envie de replonger dans cet univers coloré et déjanté.
Côté casting, on retrouve toute la bande qui a fait le succès du premier opus. Chris Pratt reprend son rôle de Mario (oui, je sais, certains auraient préféré
Charles Martinet
), Anya Taylor-Joy revient en Princesse Peach, Charlie Day en Luigi et bien sûr l’excellent Jack Black en Bowser. Keegan-Michael Key sera également de retour en Toad et Kevin Michael Richardson reprendra le rôle de Kamek.
Le film s’inspire directement du jeu culte Super Mario Galaxy sorti en 2007 sur Wii. Pour ceux qui n’y ont pas joué (mais qu’est-ce que vous foutez ???), c’était une aventure spatiale où Mario sautait de planète en planète avec une gravité complètement folle. Un gameplay révolutionnaire à l’époque qui a marqué toute une génération de joueurs. Le producteur Chris Meledandri a même teasé que “ce prochain film réserve des surprises pour les fans de toutes les époques de Mario”. On peut donc s’attendre à des références qui parleront autant aux nostalgiques qu’aux nouveaux venus.
Aaron Horvath et Michael Jelenic reprennent également les commandes de la réalisation après avoir brillamment mené le premier film. Matthew Fogel reste au scénario et Brian Tyler revient pour la bande-son. Autant dire que l’équipe gagnante est au complet pour nous offrir une suite à la hauteur de nos espérances.
Universal Pictures distribuera le film dans le monde entier, avec une sortie prévue pour le 1er avril 2026 en France. Les fans japonais quand à eux devront patienter un peu plus longtemps puisque le film sortira là-bas le 24 avril 2026. Snif…
Bref, cette suite spatiale s’annonce comme l’un des événements ciné de 2026 et puis entre nous, qui n’a pas envie de voir Mario naviguer de planètes omme dans le jeu Mario Galaxy ?
En attendant, je vous conseille de vous refaire le jeu original sur Switch (disponible dans Super Mario 3D All-Stars) ou de revoir le premier film pour vous mettre dans l’ambiance. Et si Jack Black nous fait un autre tube comme le “Peaches” du premier film, je signe direct !
Vous vous souvenez d’Anchor, cette plateforme qui avait permis de simplifier la création de podcasts avant de se faire
racheter par Spotify
pour 150 millions de dollars ? Eh bien ses créateurs, Nir Zicherman et Michael Mignano, sont de retour avec un nouveau projet qui pourrait bien changer l’apprentissage en ligne. Leur nouvelle création s’appelle Oboe et permet de créer des cours éducatifs personnalisés en quelques secondes grâce à l’IA.
Une fois sur Oboe, vous tapez un prompt du genre “Histoire de l’IA”, “Comment réaliser des pâtisseries” ou même “Préparer mon déménagement au Japon” et hop,
Oboe
vous génère instantanément un cours complet adapté à vos besoins. C’est le premier outil d’apprentissage généralisé par IA qui permet vraiment de créer des formations sur n’importe quel sujet, d’une manière plus personnalisée et efficace que tout ce qui existe aujourd’hui.
Ce qui rend Oboe vraiment intéressant, c’est son architecture multi-agents développée from scratch.
Sur TechCrunch
, Zicherman explique que leur système fait tourner plusieurs agents IA en parallèle qui s’occupent de tout : développer l’architecture du cours, vérifier les informations de base, écrire le script pour les podcasts, récupérer des images pertinentes sur Internet et même auditer le contenu pour garantir sa qualité et son exactitude. Tout ça en quelques secondes chrono.
Au lancement, Oboe propose déjà 9 formats de cours différents ( Cours classique, épisode de podcast, points clés à retenir, livre audio, FAQ, flashcards, quiz, etc…) capables de couvrir des domaines aussi variés que les sciences, l’histoire, les langues étrangères, l’actualité, la pop culture ou même la préparation aux changements de vie selon ce que vous lui demandez. Chaque cours combine du texte, des visuels, des conférences audio, des quiz interactifs et même des jeux. Vous avez deux modes audio disponibles : un format de conférence traditionnelle ou une expérience plus conversationnelle façon podcast, un peu comme NotebookLM de Google.
Le nom “Oboe” n’a pas été choisi au hasard. Il s’inspire de la racine du mot japonais qui signifie “apprendre”. Une jolie référence qui colle parfaitement à leur mission de rendre l’humanité plus intelligente. Encore faudrait-il qu’elle souhaite “apprendre”, cette humanité…
Niveau business model, Oboe adopte une approche freemium assez classique. Vous pouvez créer jusqu’à 2 cours par mois et si vous voulez aller plus loin, deux forfaits payants sont disponibles : Oboe Plus à 12$/mois pour 30 cours supplémentaires et Oboe Pro à 32$/mois pour 100 cours.
Au lieu d’avoir des cours statiques créés par des experts et consommés passivement, Oboe permet à chacun de générer instantanément du contenu éducatif ultra-personnalisé, comme un prof particulier capable de créer un programme sur mesure en temps réel, quel que soit le sujet qui vous intéresse.
Perso, j’ai testé et j’ai trouvé les 2 formations que ça m’a généré de très bonne qualité. Et si vous creusez un peu sur Google, vous pouvez aussi trouver certains cours générés par d’autres utilisateurs : inurl:https://oboe.fyi/courses/
Quand on voit la qualité de ce que peuvent générer les IA aujourd’hui, l’idée d’avoir une plateforme capable de créer des cours complets et structurés en quelques secondes, c’est assez cool, surtout avec leur système multi-agents qui vérifie la qualité et l’exactitude des informations. Ça pourrait vraiment changer les choses dont on apprend de nouvelles compétences ou dont on explore de nouveaux sujets.
Reste maintenant à voir si
Oboe
réussira à s’imposer face aux géants de l’éducation en ligne mais avec l’expérience des fondateurs, ils ont clairement quelques atouts dans leur manche.
Nintendo a annoncé de manière totalement inattendue le retour du Virtual Boy au catalogue classique du Nintendo Switch Online + Pack d'extension . Malgré un échec commercial à sa sortie en 1995, la console reste l'une des plus audacieuses et innovantes de Nintendo grâce à sa tentative pionnière d'offrir une expérience 3D stéréoscopique. Aujourd'hui, plus de trente ans plus tard, ses titres les plus emblématiques sont prêts à être réédités sur les plateformes modernes. À partir du 17 février 2026, les abonnés auront accès à une première sélection de 14 jeux Virtual Boy, dont des classiques comme Mario's Tennis, Galactic Pinball et Teleroboxer. Ces titres seront jouables sur Nintendo Switch et la prochaine Nintendo Switch 2, élargissant ainsi l'offre de contenu rétro du service.
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Pour garantir une expérience fidèle à l'original, Nintendo a conçu un accessoire dédié permettant de recréer l'expérience de jeu typique du Virtual Boy. Deux modèles seront disponibles : l'un en plastique, plus robuste et durable, et l'autre en carton, conçu comme une alternative plus économique et probablement plus proche de l'approche Nintendo Labo. Les deux versions s'adapteront à la console, reproduisant ainsi la configuration unique du casque des années 90. Les précommandes de l'accessoire ouvriront le jour même de l'annonce, tandis que les jeux seront disponibles le 17 février. Avec cette initiative, Nintendo non seulement améliore la valeur de son abonnement en ligne, mais met également en lumière une partie fascinante et controversée de son histoire, offrant aux nouvelles générations la chance de découvrir une console aussi décriée qu'innovante. (Lire la suite)
Développé sur Unreal Engine 5 par Konami Digital Entertainment en collaboration avec les studios Virtuos, Metal Gear Solid Delta : Snake n'est pas seulement une remasterisation visuelle, mais une reconstruction complète qui s'efforce de préserver l'esprit original du jeu Metal Gear Solid 3 : Snake Eater tout en le modernisant. L'histoire commence en 1964, dans le contexte des tensions persistantes de la Guerre froide entre les États-Unis et l'Union soviétique. Vous incarnez Naked Snake, un agent de la FOX chargé de sauver le scientifique soviétique Sokolov. Au début de l'histoire, alors que Snake est en mission, il découvre que son mentor, le Boss, l'a trahi et s'est rangé du côté de l'ennemi. Snake est vaincu par le Boss et ne parvient pas à sauver Sokolov, ce qui entraîne sa capture par le colonel Volgin, l'excentrique et impitoyable chef du GRU. Une semaine plus tard, Snake retourne en territoire soviétique pour une nouvelle mission : l'opération « Snake Eater ». Son objectif n'est pas seulement de sauver Sokolov, mais aussi de tuer le Boss, une figure qu'il considère à la fois comme une mère spirituelle et un symbole d'idéalisme militaire. À partir de là, vous commencerez à vivre une histoire pleine d'intrigues dramatiques. Votre récit abordera des thèmes importants : la loyauté, la trahison et l'identité. Snake devra affronter l'unité d'élite Cobra, chacun doté de pouvoirs et de philosophies uniques, et forger une relation complexe avec EVA, un mystérieux agent double. Vers le milieu du jeu, Snake commencera à douter de ses principes et de ses choix de vie. Tuer The Boss était-il un acte patriotique ou une trahison des valeurs qu'il lui avait apprises ? (Lire la suite)
Google prépare un changement majeur dans sa gestion des mises à jour de sécurité Android . Au lieu des traditionnels bulletins mensuels avec correctifs cumulatifs, le système adoptera une approche « basée sur les risques » , calibrée en fonction du niveau de risque de chaque vulnérabilité. L'objectif est de minimiser l'exposition aux attaques les plus dangereuses en corrigeant immédiatement les vulnérabilités critiques et en reportant les vulnérabilités moins urgentes à des cycles ultérieurs. Cette innovation vise à améliorer la protection des utilisateurs et à simplifier la gestion des mises à jour pour les fabricants de smartphones. Google publie actuellement un bulletin de sécurité mensuel (un rapport, en quelque sorte) qui recense des dizaines de correctifs pour les vulnérabilités découvertes dans le système Android. Ces correctifs sont divisés en deux niveaux – un niveau basique et un niveau plus complet – et distribués aux fabricants de smartphones, qui les intègrent ensuite à leurs propres mises à jour système. Le modèle mensuel présente cependant deux limites évidentes : d'une part, il crée une fenêtre d'exposition qui peut durer des semaines entre la découverte d'une faille et sa correction, et d'autre part, il se heurte à la fragmentation de l'écosystème Android , ce qui ralentit la diffusion des correctifs sur les appareils existants.
Avec cette nouvelle approche, Google passera d'un système de correctifs cumulatifs et rythmés à un système dynamique , où la gravité de la vulnérabilité est le facteur déterminant . Les vulnérabilités les plus critiques bénéficieront d'un correctif immédiat, sans attendre le cycle mensuel, tandis que celles à faible risque pourront être incluses dans les mises à jour ultérieures. Cela réduira considérablement les temps d'exposition aux attaques les plus dangereuses. Parallèlement, les fournisseurs bénéficieront d'une charge de travail plus équilibrée, car ils ne seront pas contraints de déployer de gros packages de correctifs dans une solution unique, mais pourront gérer la distribution des correctifs de manière plus modulaire. La décision de Google répond à la nécessité d' accroître la réactivité face aux menaces les plus dangereuses et de simplifier la distribution des mises à jour dans un écosystème complexe comme Android. Les bulletins mensuels se sont avérés trop lents à traiter les failles critiques, qui peuvent être exploitées immédiatement après leur découverte.
Pour les utilisateurs, ce modèle devrait se traduire par des mises à jour de sécurité plus rapides et plus fréquentes , avec un risque réduit d'exposition à des vulnérabilités graves. Pour les fabricants, cela signifie pouvoir intégrer des correctifs ciblés au lieu de gérer des packages volumineux à chaque fois, avec des avantages potentiels en termes de rapidité de déploiement sur les smartphones. (Lire la suite)
Ces derniers jours, Spotify a franchi une étape décisive contre le monde du « modding », si tant est qu'il s'agisse de cela. Le service de streaming musical a envoyé une notification DMCA à l' équipe de ReVanced , connue pour ses correctifs permettant de débloquer des fonctionnalités normalement réservées aux utilisateurs premium. Au cœur du litige se trouve le patch dit Unlock Premium (qui sait ce qu'il fera ! - NDLR), qui permet aux utilisateurs d'utiliser certaines fonctionnalités payantes sans débourser un centime . Selon l'avis DMCA , Spotify accuse ReVanced d'avoir créé un correctif constituant une œuvre dérivée et contournant les systèmes de protection de la plateforme . L'entreprise cite notamment les technologies de chiffrement et les protocoles de transfert de clés , ainsi que les limitations visant à distinguer les utilisateurs gratuits des utilisateurs payants. Dans la refonte de Spotify, le patch Unlock Premium permet aux utilisateurs d'accéder à des fonctionnalités exclusives , telles que le saut de chansons illimité, sans abonnement. Il ne s’agirait donc pas d’une simple modification esthétique, mais d’un véritable contournement des barrières technologiques , interdit par l’article 1201 du DMCA américain.
D'autre part, l'équipe de ReVanced affirme que le correctif ne copie pas de code propriétaire et ne permet pas de télécharger ou d'écouter du contenu non disponible dans la version gratuite. Les fonctionnalités déverrouillées visent principalement à simplifier l'utilisation , sans ouvrir la voie à des formes directes de piratage musical. Cependant, certains précédents juridiques aux États-Unis (tels que 321 Studios c. MGM et MDY c. Blizzard ) démontrent que même les modifications de « fonctionnalité » peuvent être considérées comme un contournement illégal. La réponse de ReVanced a été rapide, avec un appel public à des experts juridiques pour évaluer l'ampleur du problème. La situation actuelle rappelle immédiatement d'autres cas qui ont marqué l'histoire du modding Android. ReVanced est né des cendres de Vanced , l'application alternative à YouTube, fermée en 2022 suite à des pressions juridiques de Google. On savait déjà à l'époque combien l'équilibre entre la communauté des développeurs indépendants et les géants du web était fragile. Mais apparemment, cela n'a servi à rien.
D'ailleurs, ce n'est pas le premier conflit pour ReVanced. Ces dernières années, le projet a déjà fait l'objet de retraits DMCA , entraînant la suppression de correctifs et de dépôts spécifiques. Spotify avait déjà commencé à renforcer les contrôles contre les versions modifiées de son application, en introduisant des systèmes de détection et de blocage des APK altérés. Désormais, suite à une contestation formelle, ReVanced risque de devoir supprimer toute prise en charge de Spotify dans ses correctifs, impactant directement l'une des fonctionnalités les plus demandées par les utilisateurs (qui sait pourquoi, encore une fois ! – NDLR). La communauté suit de près l'évolution de l'affaire, car son issue pourrait créer un précédent significatif non seulement pour ReVanced, mais aussi pour l'ensemble de l'écosystème de projets qui évoluent à la frontière ténue entre personnalisation et violation du droit d'auteur. (Lire la suite)
Samsung met en garde les utilisateurs de Galaxy contre une attaque grave exploitant une vulnérabilité dans sa bibliothèque d'analyse d'images. L'entreprise a publié un correctif en septembre, qui corrige la vulnérabilité, désignée CVE-2025-21043. Ce problème affecte les appareils fonctionnant sous Android 13 et versions ultérieures, et le fabricant affirme que la vulnérabilité a déjà été exploitée lors d'attaques réelles. Une vulnérabilité précédemment découverte réside dans une bibliothèque propriétaire de Quramsoft utilisée par des applications de traitement d'images. L'attaque consiste à envoyer un fichier image spécialement conçu sur le téléphone de la victime. Lorsque le système tente de traiter le fichier, il écrit au-delà de la mémoire allouée. Les données écrasées peuvent contenir des fragments de code que le système exécute sous certaines conditions, donnant ainsi à l'attaquant un contrôle total sur l'appareil. Les experts décrivent le mécanisme de cette faille comme une écriture mémoire hors limites. Ce type de bug est considéré comme grave car il permet l'exécution de code à distance sans interaction de l'utilisateur. Les attaques « zéro clic » de ce type sont particulièrement dangereuses : elles ne nécessitent aucune action de la victime et ne génèrent donc aucun signal d'avertissement.
La vulnérabilité a été jugée « critique ». Le rapport provient de l'équipe de sécurité de WhatsApp. On ignore si le problème se limite à cette application ou s'il affecte également d'autres applications utilisant la même bibliothèque. Avec environ trois milliards d'utilisateurs actifs de WhatsApp, l'impact potentiel de l'attaque pourrait être considérable. En pratique, les attaques « zéro clic » sont rarement utilisées et de manière sélective. Elles sont souvent menées par des groupes bien financés au sein des services de renseignement d'État, qui mènent des campagnes ciblant des personnalités publiques, des journalistes d'investigation, des diplomates et des fonctionnaires des ministères de la Défense. En raison du coût élevé de développement d'un tel outil et de son utilité à court terme, les attaquants choisissent des cibles présentant une valeur stratégique en matière de renseignement.
Samsung a identifié la vulnérabilité et mis en œuvre un correctif, mais l'incident met également en évidence les interdépendances au sein de la chaîne d'approvisionnement des logiciels mobiles. Le problème résidait dans une bibliothèque tierce utilisée par des applications populaires. Cela rappelle que même la politique de sécurité rigoureuse d'un fabricant d'appareils n'élimine pas le risque associé aux composants tiers. Les développeurs d'applications et les fournisseurs de bibliothèques doivent effectuer des tests réguliers et réagir rapidement aux bugs découverts. (Lire la suite)
Le Premier ministre albanais Edi Rama a annoncé la nomination d'un nouveau membre de son cabinet, une intelligence artificielle nommée Diella (qui signifie « soleil » en albanais). Le 11 septembre, Rama a présenté Diella au Parlement, chargé de la mission extrêmement sensible de gestion et d'attribution des marchés publics. Selon le Premier ministre, cette mesure vise à éliminer définitivement la corruption dans le processus de passation des marchés publics, l'un des principaux problèmes de l'Albanie. « Diella est le premier membre du gouvernement à ne pas être physiquement présent, mais à avoir été virtuellement créé par l'IA. Personne ne peut l'appeler, l'inviter à dîner ou exercer de pression. Elle est guidée uniquement par des critères programmés », a déclaré Rama.
Depuis des années, le système de marchés publics albanais est critiqué comme un outil de blanchiment d'argent issu du trafic de drogue et d'armes, ainsi qu'un terreau fertile pour le népotisme et les abus. Selon les analystes politiques, la corruption atteint les plus hautes sphères du gouvernement, ce qui a longtemps miné la crédibilité du pays à l'international. L'introduction de Diella vise à démontrer que le gouvernement prend au sérieux les réformes et souhaite rétablir la confiance des citoyens et des institutions européennes. Il est important de noter que l'Albanie cherche à adhérer à l'Union européenne depuis des années et s'est fixé l'objectif ambitieux d'y adhérer d'ici 2030. Cependant, de nombreux responsables européens jugent cette date irréaliste. L'un d'eux, sous couvert d'anonymat, a déclaré que si l'idée de l'IA est « novatrice », elle n'a pas encore été testée.
Des préoccupations techniques et juridiques se posent également. Le gouvernement n'a fourni aucune précision sur les modalités de supervision de Diella, de vérification de ses décisions ni sur la protection de l'algorithme contre toute manipulation potentielle. L'opposition prévient même qu'une « nouvelle couche d'opacité » sera créée, empêchant quiconque de savoir comment l'intelligence artificielle prend ses décisions. Il est indéniable que le projet Diella constitue une avancée décisive vers la numérisation des institutions publiques. Cependant, si l'Albanie parvient à prouver l'efficacité d'une telle solution, elle pourrait servir d'exemple à d'autres pays en quête d'outils pour lutter contre les dysfonctionnements de la vie publique. (Lire la suite)
La Chine vient de porter un coup d'arrêt à la conduite à une pédale, ce mode de conduite emblématique des voitures électriques. Dès 2027, il sera interdit qu'elle soit activée par défaut, forçant les constructeurs comme Tesla à revoir leur copie. Une décision motivée par la sécurité qui pourrait bien faire des vagues jusqu'en Europe.