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TEST de FINAL FANTASY TACTICS The Ivalice Chronicle…

Les remastered sont toujours tendance dans l’industrie du jeu vidéo et chaque année certains sortent du lot. Final Fantasy Tactics The Ivalice Chronicles en fait partie et nous avons eu l’opportunité de le tester sur PS5. Cette nouvelle version présente plusieurs avantages par rapport à celle d’origine sortie sur PSP. Ce remaster vous propose de jouer au jeu original ou à la version modernisée, un ajout très sympa pour tous les amateurs de rétro ou fans de FF.
Une histoire captivante !
Final Fantasy Tactics The Ivalice Chronicles vous permet de vivre une aventure incroyable dans un univers heroïc fantasy. Personnellement j’ai opté pour la version plus moderne et les ajouts sont impressionnants. La version PSP du jeu ne proposait pas de traduction en français, ce qui a pu en rebuter certains. Les dialogues n’étaient pas doublés et la difficulté était assez élevée.




La nouvelle version de FF Tactics propose le français pour les dialogues, un doublage en anglais ou en japonais et vous avez accès à la difficulté : mode histoire, ce qui rend le jeu plus accessible mais le challenge est toujours présent car le gameplay reste d’époque. Pour ce titre, on ne peut pas parler de remake car les graphismes n’ont pas énormément changé. Fort heureusement car le pixel art de cet épisode Final Fantasy est vraiment sublime.
Au sujet de l’histoire, Final Fantasy Tactics propose un univers plus sombre et l’ajout du doublage permet de s’attacher aux personnages et à prendre part à cette aventure. Tout comme Game of Thrones ou Triangle Strategy vous allez prendre part à une guerre politique. Vous allez devoir faire face à des complots, des drames,des trahisons pour comprendre la révolte du peuple face aux inégalités sociales. Vous incarnez un jeune homme né dans une grande maison au titre de noble. Votre personne au nom de Ramza va devoir se battre pour comprendre le monde qui l’entoure. Il va devoir se lier d’amitié avec certaines personnes et monter une armée pour vaincre ces adversaires. Il vous faudra environ 40 heures de jeu pour venir à bout de l’histoire principale. Si vous êtes en quête du platine sur PS5, il vous en faudra beaucoup plus pour venir à bout de toutes les quêtes annexes disponibles dans les différentes tavernes.




Côté gameplay, Final Fantasy Tactics est un pur tactical RPG et il vous faudra une bonne maîtrise des menus pour obtenir les meilleurs équipements pour vos hommes, gérer leurs classes et recruter les bonnes personnes. Le jeu est assez dur et propose quelques tutoriels pour vous aider mais personnellement je vous recommande de regarder quelques tutoriels en vidéo pour optimiser votre partie. Vous allez pouvoir vous déplacer sur une mappemonde et réaliser les différentes quêtes disponibles. Les zones de combat sont assez réduites mais proposent des moments intenses. Il faudra faire les bons choix pendant les combats pour éviter de mourir car les ennemis font très mal. Autre point positif, la bande-son est incroyable et je comprends aujourd’hui pourquoi ce jeu est un classique pour les fans du genre.
Final Fantasy Tactics The Ivalice Chronicles est un excellent tactical RPG et c’est un régal de pouvoir le découvrir aujourd’hui dans de bonnes conditions. L’ajout du français et le doublage pour le scénario permet à ce titre d’être découvert par plus de joueurs. La difficulté a été corrigée mais son gameplay demande de l’investissement pour comprendre toutes les mécaniques de jeu. Son scénario plus mature et son univers plus sombre lui permettent de se distinguer des autres titres de la licence. Personnellement j’ai été happé par l’histoire et je vous recommande chaudement d’y jouer.
Test réalisé par Pierre
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L’annonce de Starfield sur PS5, c’est (encore) pas pour tout de suite
Le portage de Starfield sur PlayStation 5 continue de faire couler beaucoup d’encre, mais les fans devront manifestement s’armer de patience. D’après un insider reconnu, l’annonce officielle ne devrait pas intervenir avant 2026.
Les rumeurs autour de l’arrivée du RPG spatial de Bethesda sur les consoles de Sony circulent depuis plusieurs mois maintenant. Initialement exclusif à Xbox et PC, le titre avait déjà été évoqué comme un futur candidat au portage multiplateforme, dans la lignée de la nouvelle stratégie de Microsoft. Des sources avaient affirmé dès 2024 que le jeu arriverait sur PS5, mais NateTheHate précise désormais que son annonce, d’abord prévue pour 2025, a été décalée d’un an.
Believe the announcement will be in 2026 unless plans change.
— NateTheHate2 (@NateTheHate2) October 20, 2025
Ce calendrier correspond à un rapport publié plus tôt dans l’année, évoquant une sortie sur PS5 au printemps 2026, accompagnée d’une grande extension. Ces mêmes sources évoquent même un portage sur la future Nintendo Switch 2, signe que Microsoft et Bethesda pourraient vouloir étendre leur univers bien au-delà de l’écosystème Xbox.
Si rien n’est encore officiel, tout indique que Starfield finira par atteindre la PS5. Reste à savoir si l’alunissage se fera en 2026 ou plus tardivement.
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Final Fantasy IX : le remake tant attendu serait en suspens
Le rêve d’un remake de Final Fantasy IX semble s’éloigner de plus en plus. D’après de nouvelles informations rapportées par Insider Gaming, le projet serait désormais en pause, voire abandonné, après plusieurs mois d’incertitude autour de son développement.
C’est l’insider NateTheHate, reconnu pour la fiabilité de ses fuites dans l’industrie, qui a relancé les inquiétudes après avoir été interrogé par InsiderGaming. Il suppose que le projet est à l’arrêt et ignore si Square Enix compte le relancer. Ces propos confirment des rumeurs persistantes selon lesquelles le remake aurait rencontré de obstacles techniques et un manque de direction claire, au point de compromettre sa poursuite ce qui contraste fortement avec le développement puis le succès critique et commercial du Final Fantasy VII Remake.
Pourtant, tout laissait croire que le projet avançait. Au début de l’année, Square Enix avait célébré le 25ᵉ anniversaire du jeu original, avec un site commémoratif, de nouveaux visuels et même un vinyle collector. Ces initiatives avaient nourri l’espoir d’une annonce officielle, mais depuis, le silence radio règne.
Le projet figurait pourtant dans le célèbre leak Nvidia de 2021, dont la plupart des jeux listés se sont avérés réels, renforçant la crédibilité d’un remake de FFIX. Aujourd’hui, cependant, son avenir paraît plus incertain que jamais.
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Test de NINJA GAIDEN 4 – Pour 4 fois plus de plaisir !
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TEST Ninja Gaiden 4 : un retour à double tranchant
Une décennie après Ninja Gaiden 3, la célèbre saga d’action signe enfin son grand retour. Avec son gameplay toujours aussi exigeant et brutal, Ninja Gaiden 4 remet les pendules à l’heure du ninja moderne. Mais derrière ses combats nerveux et sa mise en scène stylisée, ce come-back tant attendu parvient-il vraiment à renouer avec la légende ?
Testé sur PC grâce à une version numérique envoyée par l’éditeur
Ninja Guedin, le quatrième
Après plus de dix ans d’absence depuis Ninja Gaiden 3, la légendaire série d’action signe son grand retour avec Ninja Gaiden 4. Le jeu se déroule dans un Tokyo dystopique en proie au chaos, envahi par des forces démoniaques liées au Dark Dragon. Le joueur y incarne Yakumo, un jeune ninja du clan Raven, dont le destin croise celui de Ryu Hayabusa, héros emblématique de la saga, qu’il tient pour responsable de la chute de son clan. Développé conjointement par Team Ninja et PlatinumGames, le titre symbolise à la fois un hommage au passé et une relance ambitieuse pour une franchise mythique du jeu d’action. Sa sortie marque un tournant pour les fans et pour tous ceux qui attendent le retour d’un véritable défi à l’ancienne.

Ce nouvel opus introduit des mécaniques inédites, notamment la forme du Corbeau Sanglant, qui permet à Yakumo de manipuler le sang pour renforcer ses attaques, tout en conservant le gameplay nerveux et punitif propre à la série. Avec des affrontements toujours aussi intenses, une mise en scène modernisée et un monde plus sombre et dystopique, Ninja Gaiden 4 cherche à renouveler la formule sans trahir son héritage. Avec cet épisode, Platinum Games semble avoir voulu démontrer son expertise en la matière en faisant de Ninja Gaiden 4 une sorte de Best Of de ses différentes productions, en s’inspirant aussi bien de Bayonetta, Metal Gear Rising: Revengeance que d’Astral Chain.
Maître corbeau, sur un arbre perché, tenait en son bec un katana
Le cœur du gameplay de Ninja Gaiden 4 reste fidèle à l’ADN de la série : un système de combat exigeant, nerveux, où chaque erreur peut potentiellement se payer cher. On y retrouve la fluidité et la brutalité caractéristiques de la licence, mais avec une profondeur modernisée. Le nouveau protagoniste, Yakumo, incarne cette évolution : rapide, acrobatique, et doté d’un arsenal sanglant centré sur le mode forme du Corbeau Sanglant, une transformation qui lui permet de canaliser le sang des ennemis pour déchaîner des attaques dévastatrices et briser les défenses adverses.

Cette nouvelle mécanique s’intègre à un système déjà dense, où combos, parades et contres s’enchaînent avec une précision millimétrée. Les vétérans retrouveront les mouvements emblématiques comme l’Izuna Drop ou le démembrement, mais pourront désormais alterner les armes en plein combo et profiter d’une mobilité accrue grâce au grappin et aux courses murales. La structure des affrontements repose sur le timing, la lecture des patterns ennemis et la gestion du risque. Comme d’habitude dans Ninja Gaiden : chaque victoire se mérite.
Le système de marchand de Ninja Gaiden 4 prend une forme originale et parfaitement intégrée à l’univers du jeu. À intervalles réguliers, Yakumo croisera un écran interactif contrôlé à distance par sa coéquipière Umi, toujours accompagnée d’un corbeau aux yeux rouges annonçant l’arrivée de Tyran, un maître du clan du Corbeau. Par l’intermédiaire d’Umi, le joueur peut acheter des consommables, ou accepter des quêtes secondaires offrant des points, des objets ou des bonus à équiper une fois accomplies. Tyran, lui, remplit un rôle plus martial : il propose à Yakumo d’acquérir de nouvelles techniques et enchaînements, approfondissant ainsi la maîtrise du combat et la progression du personnage. Yakumo pourra aussi améliorer ses armes via un menu accessible par pression du bouton start à n’importe quel moment.

Malgré une offre alléchante sur le papier, le gameplay de Ninja Gaiden 4 n’est pas exempt de défauts. S’il faut reconnaître au titre une nervosité exemplaire et un véritable plaisir à découper ses adversaires dans des combats aussi sanglants que techniques, la formule finit par tourner en rond. Malgré la richesse apparente de ses mécaniques et la variété de ses combos, Yakumo ne manie en réalité que quatre armes principales tout au long de l’aventure, ce qui limite la diversité des approches. Le bestiaire, bien que visuellement réussi, manque également de renouvellement et les séquences d’action et de plateforme finissent par se répéter selon un schéma trop prévisible. Passées les cinq premières heures de jeu, intenses et grisantes, Ninja Gaiden 4 peine à surprendre, offrant une seconde moitié d’expérience plus routinière que transcendantale.
Ninja Gaiden (PS)4
Sur le plan technique, Ninja Gaiden 4 peine à impressionner. S’il se montre fluide et réactif en toutes circonstances, son moteur graphique trahit des origines un peu datées. Certains décors rappellent davantage un titre PS4, voire un remaster de jeu PS3, que la génération actuelle de consoles. Les textures manquent parfois de finesse, les environnements sont assez vides, et le character design, bien que cohérent avec l’univers de la série, manque de relief et de personnalité. Fort heureusement, la direction artistique parvient à sauver l’ensemble, grâce à des éclairages stylisés et une atmosphère urbaine et montagneuse poisseuse qui collent parfaitement à la tonalité sombre du récit.

Ce sacrifice visuel a au moins le mérite d’assurer une expérience d’une fluidité exemplaire. Le jeu tourne sans accroc, sans crash ni chute de framerate, et peut même atteindre les 200Hz sur les écrans compatibles, offrant une réactivité redoutable en combat. En revanche, certaines cinématiques sont étrangement limitées à 30 fps, un choix qui crée une cassure perceptible avec la nervosité du gameplay et nuit légèrement à l’immersion. Malgré ces limites techniques, Ninja Gaiden 4 reste stable et plaisant à l’œil dans l’action, privilégiant la performance pure à la démonstration visuelle.
Le level design de Ninja Gaiden 4 marque une vraie évolution par rapport aux précédents volets. Moins linéaire, il offre des environnements plus ouverts et denses en contenu secondaire. Chaque niveau regorge d’activités annexes : purification de Purgatoires (des arènes de combat à vagues avec conditions particulières), affrontements optionnels contre des boss cachés et quêtes secondaires liées à Umi. Ces détours ne sont pas de simples à-côtés : ils enrichissent la progression, offrent des récompenses tangibles et encouragent l’exploration méthodique de chaque zone.
De nombreux secrets se dissimulent dans les recoins des cartes, certains accessibles uniquement après avoir débloqué des techniques spécifiques, ce qui pousse naturellement à la rejouabilité. Cette structure donne au jeu une dimension presque metroidvania, invitant le joueur à revenir dans les anciens niveaux pour en percer tous les mystères. Comptez environ dix heures pour boucler une première partie en difficulté normale, mais jusqu’à quinze (voire plus) pour ceux qui chercheront à tout découvrir, un bon équilibre entre densité de contenu et rythme d’action.

La bande-son de Ninja Gaiden 4 s’impose comme l’un des points forts du jeu. Mêlant sonorités électroniques, accents métal et nappes plus éthérées, elle accompagne parfaitement la nervosité des combats tout en soulignant la dimension mystique de l’univers. Certaines pistes chantées, notamment lors des secondes phases de boss, rappellent ouvertement l’approche de Metal Gear Rising: Revengeance et insufflent une énergie galvanisante aux affrontements. On y retrouve d’ailleurs le chanteur Victor Borba, déjà remarqué pour ses performances dans Devil May Cry 5 et Clair Obscur: Expedition 33, dont la voix puissante donne un vrai relief aux séquences d’action les plus intenses.
Le jeu propose un doublage intégral en anglais ou en japonais. Si les deux versions sont de bonne qualité, la version japonaise se distingue par un ton plus dramatique et une justesse d’interprétation qui colle bien à l’esprit de la série, malgré des timbres de voix parfois très stéréotypés. L’ensemble contribue à une expérience sonore immersive, rythmée et parfaitement en phase avec l’identité de Ninja Gaiden 4, entre modernité et héritage.
Verdict
Bien que Ninja Gaiden 4 ait été un réel plaisir à parcourir, on en ressort avec un sentiment mitigé. Passée une première moitié grisante, le jeu peine à se renouveler et sombre dans une répétitivité marquée, recyclant certains environnements, même quelques boss, là où l’on aurait espéré davantage d’ambition après plus de dix ans d’absence. Ce qui sauve véritablement l’expérience, c’est son gameplay nerveux, précis et jouissif, capable d’offrir un vrai défi tout en restant accessible grâce à plusieurs niveaux de difficulté bien pensés. Yakumo, nouveau visage de la série, s’avère intéressant mais ne parvient pas encore à éclipser l’aura et le charisme indélébile de Ryu Hayabusa. Ninja Gaiden 4 réussit son retour sur la scène de l’action pure, mais il lui manque ce supplément d’âme et de renouvellement qui aurait pu en faire un grand come-back. Reste à savoir si Yakumo deviendra réellement le nouveau héros de la franchise… ou simplement l’ombre de son illustre prédécesseur.
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