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L’Australie peut pousser un soupir de soulagement. Le Pentagone a réaffirmé jeudi 4 décembre l’engagement de Washington dans le pacte militaire Aukus conclu avec Londres et Canberra au détriment de la France, qui prévoit notamment la vente à l’Australie de trois sous-marins d’attaque à propulsion nucléaire.
Ce pacte avait été signé par Washington en 2021, sous l’administration de Joe Biden, avec le Royaume-Uni et l’Australie afin de chercher à juguler l’influence de la Chine dans le Pacifique. L’administration du président Donald Trump a toutefois demandé en juin un réexamen de l’accord, déclenchant des inquiétudes côté australien.
Au terme de cinq mois d’examen, le Pentagone a conclu que le pacte était "en accord avec la politique 'Amérique d’abord' du président Trump", a déclaré jeudi le porte-parole du Pentagone Sean Parnell dans un communiqué. "Conformément aux directives du président Trump selon lesquelles Aukus doit progresser 'à plein régime', le passage en revue a identifié des opportunités pour placer Aukus sur les bases les plus solides possibles", a-t-il ajouté, sans donner plus de précisions.
Défis techniques
Selon Joe Courtney, élu du Connecticut particulièrement impliqué dans ce dossier, l’examen a permis de vérifier que "ce plan s’accorde avec la défense des intérêts de notre pays en termes de sécurité nationale". "Il est important de noter que l’accord Aukus de 2021 a survécu à trois changements de gouvernement dans les trois pays et reste toujours solide", a-t-il souligné dans un communiqué.
Le projet présente toutefois de grands défis techniques. Le ministre américain de la Défense Pete Hegseth a reconnu un "fossé" entre les capacités de production actuelles et celles requises pour mener à bien et à temps la construction, aux Etats-Unis, des sous-marins. "La vente de trois sous-marins de classe Virginia à partir de 2032" n’est toutefois pas remise en question, estime Joe Courtney, pour qui le Congrès va soutenir les chantiers navals américains chargés de la construction.
Coup de poignard dans le dos français
A Canberra, le ministre de l’Industrie de la défense, Pat Conroy, s’est déclaré vendredi satisfait des conclusions américaines. L’Australie suivra "ses conclusions et ses recommandations pour améliorer encore davantage Aukus", a-t-il assuré, relevant qu’il appartenait à Washington de décider de publier ou pas le document.
L’annonce de ce pacte en 2021 avait été vécue à Paris comme un coup de poignard dans le dos car il avait vu Canberra annuler brutalement un mégacontrat avec la France pour des sous-marins conventionnels. Celui-ci portait sur la construction de 12 sous-marins conventionnels français qui auraient été construits en Australie.
Aukus prévoit, en plus de la livraison des sous-marins nucléaires d’attaque de classe Virginia, la fourniture à partir de 2040 d’une flotte de sous-marins furtifs également à propulsion nucléaire, pour un coût total d’environ 235 milliards de dollars sur 30 ans. Le contrat annulé aux dépens du français Naval Group aurait coûté quatre fois moins cher.

© afp.com/COLIN MURTY
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Ces pourparlers vont-ils vraiment aboutir ? Les États-Unis se montrent proactifs ces dernières semaines pour tenter de mettre un terme à la guerre en Ukraine, menée par le Kremlin depuis désormais près de quatre ans. Après le déplacement en Russie de Steve Witkoff et Jared Kushner, les émissaires de Donald Trump, plus tôt dans la semaine, de nouvelles discussions doivent avoir lieu entre les parties américaine et ukrainienne ce vendredi 5 décembre, en Floride (États-Unis), précise le Wall Street Journal. Mi-novembre, l’administration du président républicain avait également présenté un plan de paix en 28 points, sur le modèle de celui signé au Proche-Orient, comme cadre de ces négociations. Cette proposition reprenait un certain nombre de revendications de Moscou, ce qui avait suscité l’inquiétude des Européens.
Préoccupations européennes
Laissés à l’écart des échanges, les dirigeants des États du Vieux Continent n’ont pas vu leurs doutes se tarir à la lumière des derniers développements. Au contraire : leur méfiance à l’égard du pouvoir américain sur le dossier ukrainien a rarement paru aussi grande. Ce jeudi, le quotidien allemand Der Spiegel a révélé une série de notes secrètes, issues d’une réunion par téléphone de plusieurs chefs d’État et de gouvernement européens. Les principales puissances des 27 étaient représentées lors de cet appel, tenu lundi. Ces échanges traduisent de vives préoccupations vis-à-vis du cadre diplomatique imposé par Washington pour mener les tractations avec Kiev et Moscou.
Le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz, la Première ministre italienne Giorgia Meloni, le Premier ministre polonais Donald Tusk, le président finlandais Alexander Stubb, le secrétaire général de l’Otan Mark Rutte ou encore la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen participaient à l’appel. C’est aussi le cas de la Première ministre danoise Mette Frederiksen, du Premier ministre norvégien Jonas Gahr Støre et du président du Conseil européen, Antonio Costa. Tous faisaient face au président ukrainien, Volodymyr Zelensky. Les propos exprimés lors de cette réunion avaient vocation à rester confidentiels.
"Nous ne pouvons pas laisser l’Ukraine seule avec ces types"
D’après Der Spiegel, Friedrich Merz se serait montré particulièrement suspicieux à l’égard de Washington. Les Américains "se jouent de vous et de nous", a-t-il lancé au dirigeant ukrainien, l’appelant à "faire très attention dans les prochains jours". Le profil des négociateurs américains, Steve Witkoff en tête, a de quoi susciter des craintes dans le camp européen. "Nous ne pouvons pas laisser l’Ukraine et Volodymyr seuls avec ces types", a abondé Alexander Stubb, toujours selon le journal allemand. Le Finlandais constitue pourtant l’un des rares dirigeants d’un pays de l’UE qui trouve grâce aux yeux de Donald Trump, avec qui il a déjà partagé une partie de golf. Mark Rutte a pour sa part exhorté les Européens à "protéger" le président ukrainien.
Emmanuel Macron, lui, aurait évoqué lors de cet appel "le risque" selon lequel les États-Unis pourraient "trahir" l’Ukraine "sur la question des territoires sans qu’il y ait de garantie claire en matière de sécurité". "Nous avons notre propre compte-rendu de cet échange, dans lequel ce mot ne figure pas", a néanmoins démenti l’Élysée, interrogé par l’AFP. "Le président de la République a fait connaître publiquement sa position sur les négociations en cours entre Russie et les États-Unis, qui n’est pas différente en privé." Hormis cette mise au point, le reste des capitales européennes n’a pas souhaité réagir aux fuites publiées par le prestigieux média allemand. Silence radio, également, du côté américain.

© afp.com/Ludovic MARIN
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Figure de style : qu’est-ce que le zeugma ?
Vous avez tous déjà entendu parler des figures de style durant vos cours de français dès le collège. Elles vous ont marqué, car elles sont nombreuses et pas toujours faciles à retenir, on vous l’accorde. Que pensez-vous d’en (re)découvrir une aujourd’hui ? Place au zeugma !