A Gaza, le patriarche latin de Jérusalem célèbre les chrétiens, « solides » dans une « mer de destruction »

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Si les disputes entre Nellie Oleson et Laura Ingalls faisaient partie du scénario de La Petite maison dans la prairie, la rivalité entre les actrices Alison Arngrim (Nellie) et Melissa Sue Anderson (Mary), elle, n’était pas inventée.
Dans son autobiographie Confessions of a prairie bitch : ho…
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Tandis qu'Hélène prend des risques pour sauver sa vie dans la suite de la série Un si grand soleil, Alix piège Yvon Chaligny dans les épisodes du lundi 22 au vendredi 26 décembre 2025 sur France 3.

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La fin des Mystères de l'amour approche sur TMC. Découvrez ce qui vous attend dans le dernier épisode de la série, diffusé le dimanche 28 décembre 2025.


Saviez-vous que le légendaire Jack Dawson de Titanic aurait pu être incarné par Matthew McConaughey ? L’acteur texan était bien présent à l’audition, mais un détail a tout fait échouer : son accent du sud des États-Unis. James Cameron et le producteur Jon Landau, décédé en 2024, lui avaie…
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À la fin des années 80, Karate Kid dépoussière le cinéma d'action grand public, introduisant une nouvelle forme de héros, plus sensible, avec un physique normal, et non un corps bodybuildé à la Sylvester Stallone.
Produit par Columbia Pictures, le long-métrage avec Ralph Macchio est un succès…
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Samuel Etienne est aux commandes de l'émission Questions pour un champion sur France 3 ce dimanche 21 décembre 2025. La semaine passée, le jeu a montré toute sa puissance en audience.

À Moscou, Steve Witkoff n’est pas un diplomate comme les autres. En facilitant la libération d’un prisonnier américain et en court-circuitant les circuits diplomatiques traditionnels, le Kremlin a contribué à imposer l’ami personnel de Donald Trump comme interlocuteur privilégié. Pendant que les diplomates de carrière sont relégués à l’arrière-plan, les discussions se sont déplacées à Miami, où l’émissaire russe Kirill Dmitriev a rejoint ce week-end Steve Witkoff et Jared Kushner pour une nouvelle séquence de pourparlers.
Selon Kirill Dmitriev, les échanges avec les deux proches de Donald Trump avancent "de manière constructive" et doivent se poursuivre, rapportent les agences de presse russes. Une avancée que Donald Trump lui-même résume avec fierté : mardi 16 décembre, le président a reconnu que Steve Witkoff "ne connaissait rien" à la Russie à son arrivée, mais qu’il obtenait des résultats parce que "tout le monde aime Steve". Une ascension qui doit autant à la méfiance du président américain envers les institutions classiques qu’à une stratégie assumée de Vladimir Poutine, décidé à faire de Steve Witkoff son interlocuteur privilégié.
Si Steve Witkoff s’impose aujourd’hui comme un médiateur de choix, c’est simplement parce que le Kremlin l’a voulu ainsi. Vladimir Poutine a rapidement manifesté le souhait de le rencontrer, allant jusqu’à envisager un geste inattendu : la libération d’un prisonnier américain en contrepartie. Le message était clair : le président russe voulait parler directement au nouvel envoyé spécial de Donald Trump. Steve Witkoff devait venir seul, sans diplomates, sans agents de renseignement, et même sans interprète. Une exigence qui rompait avec des décennies de précautions codifiées dans les fameuses "Moscow Rules", ce manuel rappelant aux visiteurs américains qu’en Russie, "il n’y a pas de coïncidences". La CIA avait alors proposé un briefing à Steve Witkoff. Une sollicitation que celui-ci avait déclinée, se rendant à Moscou sans filet.
En amont, les services russes avaient analysé les profils de l’entourage du président américain afin de faire leur choix. Le général Keith Kellogg que Donald Trump avait nommé envoyé pour la Russie et l’Ukraine, était jugé peu fiable : sa fille dirige une organisation caritative en Ukraine, un détail perçu comme un signal d’hostilité potentielle aux exigences russes, selon le Wall Street Journal. Dix mois plus tard, Steve Witkoff le remplaçait.
Ce dernier a effectué, rien que ce mois-ci, son sixième voyage en Russie, passant plus de cinq heures en tête-à-tête avec Vladimir Poutine, jusque tard dans la nuit. Une proximité inédite : depuis l’alliance américano-soviétique de la Seconde Guerre mondiale, aucun représentant de la Maison-Blanche n’avait bénéficié d’un accès personnel aussi fréquent à un dirigeant russe. Pour le Wall Street Journal, il est même difficile de trouver dans l’histoire récente un précédent où des hommes d’affaires ont pesé aussi directement sur des décisions de guerre et de paix, dans une relation autrefois réglée au millimètre par des diplomates et des services de renseignement aguerris.
Steve Witkoff n’était pas destiné aux arcanes de la diplomatie. Promoteur immobilier milliardaire, l’envoyé spécial a rencontré Donald Trump en 1986 dans une épicerie new-yorkaise. Depuis, les deux hommes ont chacun bâti des empires immobiliers, transmis leurs affaires à leurs enfants et fini par s’installer sous le soleil de Floride.
Leur lien s’est resserré après la mort par overdose du fils aîné de Steve Witkoff en 2011. Donald Trump est alors resté présent pour son ami, un soutien que l’actuel président évoquera publiquement lors d’une conférence sur la crise des opioïdes pendant son premier mandat. Après la défaite de Donald Trump lors de l'élection présidentielle de 2020, Steve Witkoff lui a rendu la pareille en témoignant en sa faveur dans un procès pour fraude à Manhattan.
À peine réélu, Donald Trump l’a propulsé envoyé spécial pour le Moyen-Orient. Steve Witkoff, 68 ans, assume son profil atypique. Dans le Wall Street Journal, il se décrit comme un négociateur plus que comme un diplomate, convaincu que comprendre les contraintes politiques de l’adversaire est la clé d’un accord, même s’il admet son inexpérience dans les codes traditionnels de la diplomatie.

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En ce mois de décembre 2025, Alexandre Raveleau a publié « La grande histoire des jeux télévisés ». Dans cet livre préfacé par Olivier Minne, le journaliste revient sur les jeux télévisés de l'ORTF à nos jours.

Nous sommes en 3028... et la Terre n'existe plus. Les derniers humains survivants sont pourchassés à travers l'univers ou réduits en esclavage par les extraterrestres qui ont réduit leur planète en cendres.
15 ans après la catastrophe, un jeune homme du nom de Cale Tucker, séparé de son père du…
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Lauréat des Prix de la Mise en Scène et d'Interprétation Masculine au dernier Festival de Cannes, L'Agent secret de Kleber Mendonça Filho (Les Bruits de Recife) est sorti cette semaine dans nos salles obscures.
Emmené par un Wagner Moura au sommet de son art, ce thriller se déroulant dans…
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Elles nous font rougir, trembler, sourire ou pleurer… Autant de signes que la science ne considère plus comme de simples débordements : les émotions jouent un rôle clé pour nous protéger, décider, mémoriser et créer du lien.
Caracas a condamné samedi le "vol et l’enlèvement" par les Etats-Unis d’un nouveau navire chargé de pétrole vénézuélien, après l'annonce de la saisie d'un deuxième pétrolier en dix jours par Washington. "Le Venezuela dénonce et rejette catégoriquement le vol et l'enlèvement d’un nouveau navire privé transportant du pétrole vénézuélien, ainsi que la disparition forcée de son équipage, actes commis par des militaires des Etats-Unis", indique le gouvernement.
Cette saisie survient dix jours après la saisie d'un premier pétrolier le 10 décembre et alors que le président américain Donald Trump a annoncé la mise en place d'un "blocus total" contre des pétroliers sous sanctions se rendant ou partant du Venezuela, évoque la possibilité d'une guerre avec le Venezuela.
Caracas assure que "ces actes ne resteront pas impunis", et promet d'"exercer toutes les actions correspondantes, y compris la dénonciation devant le Conseil de sécurité des Nations Unies, d’autres organismes multilatéraux et les gouvernements du monde". "Les responsables de ces faits graves devront répondre devant la justice et devant l’histoire de leur conduite criminelle", conclut le texte.
Un peu plus tôt, le ministre des Affaires étrangères vénézuélien Yvan Gil avait assuré avoir eu une conversation téléphonique avec son homologue iranien, Abbas Araghchi sur le sujet. Les deux hommes ont "analysé les récents événements dans les Caraïbes, en particulier les menaces, les actes de piraterie des Etats-Unis et le vol de navires chargés de pétrole vénézuélien", selon le communiqué d’Yvan Gil sur Telegram.
"Le Venezuela a reçu une pleine démonstration de solidarité de la part du gouvernement de la République islamique d’Iran, ainsi que son offre de coopération dans tous les domaines pour faire face à la piraterie et au terrorisme international que les États-Unis cherchent à imposer par la force militaire", poursuit le communiqué. L’Iran est l’un des principaux alliés internationaux du président Nicolas Maduro, qui assure que le déploiement américain dans les Caraïbes vise à le renverser et à s'emparer des réserves de pétrole du pays.

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