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Reçu aujourd’hui — 21 décembre 2025 7.4 📜 Résumé - Infos

A Gaza, le patriarche latin de Jérusalem célèbre les chrétiens, « solides » dans une « mer de destruction »

21 décembre 2025 à 19:04
Le cardinal Pierbattista Pizzaballa, chef de l’Eglise catholique en terre sainte, s’est rendu une nouvelle fois dans la bande de Gaza pour y célébrer la messe de Noël. La plus grande de partie de la communauté chrétienne, réduite à 600 personnes, vit toujours réfugiée au sein de la paroisse.

© OMAR AL-QATTAA / AFP

La Petite maison dans la prairie : "Un regard glacial"... Ces 2 actrices phares ne s'entendaient pas sur le tournage

21 décembre 2025 à 19:00

Si les disputes entre Nellie Oleson et Laura Ingalls faisaient partie du scénario de La Petite maison dans la prairie, la rivalité entre les actrices Alison Arngrim (Nellie) et Melissa Sue Anderson (Mary), elle, n’était pas inventée.

Dans son autobiographie Confessions of a prairie bitch : ho…

Article original publié sur AlloCiné

Froid polaire en Algérie : retour sur un record météo qui a marqué l’histoire

L’Algérie est connue pour son désert et sa chaleur suffocante l’été, jusqu’à 50 °C. Pour autant une partie du pays peut aussi être concernée par du froid : il n’est pas rare qu’il gèle en Algérie l’hiver, mais le grand froid est plutôt rare. Cependant, ce n’est pas impossible !

"Je ne l'ai pas eu" : comment Matthew McConaughey est passé à côté d'un des plus gros succès de tous les temps couronné de 11 Oscars

21 décembre 2025 à 18:00

Saviez-vous que le légendaire Jack Dawson de Titanic aurait pu être incarné par Matthew McConaughey ? L’acteur texan était bien présent à l’audition, mais un détail a tout fait échouer : son accent du sud des États-Unis. James Cameron et le producteur Jon Landau, décédé en 2024, lui avaie…

Article original publié sur AlloCiné

Il y a 32 ans, ce film d’action voulait rivaliser avec Karate Kid, mais il frisait surtout le ridicule

21 décembre 2025 à 18:00

À la fin des années 80, Karate Kid dépoussière le cinéma d'action grand public, introduisant une nouvelle forme de héros, plus sensible, avec un physique normal, et non un corps bodybuildé à la Sylvester Stallone.

Produit par Columbia Pictures, le long-métrage avec Ralph Macchio est un succès…

Article original publié sur AlloCiné

Guerre en Ukraine : comment le Kremlin a réussi à imposer Steve Witkoff, son interlocuteur privilégié

21 décembre 2025 à 17:20

À Moscou, Steve Witkoff n’est pas un diplomate comme les autres. En facilitant la libération d’un prisonnier américain et en court-circuitant les circuits diplomatiques traditionnels, le Kremlin a contribué à imposer l’ami personnel de Donald Trump comme interlocuteur privilégié. Pendant que les diplomates de carrière sont relégués à l’arrière-plan, les discussions se sont déplacées à Miami, où l’émissaire russe Kirill Dmitriev a rejoint ce week-end Steve Witkoff et Jared Kushner pour une nouvelle séquence de pourparlers.

Selon Kirill Dmitriev, les échanges avec les deux proches de Donald Trump avancent "de manière constructive" et doivent se poursuivre, rapportent les agences de presse russes. Une avancée que Donald Trump lui-même résume avec fierté : mardi 16 décembre, le président a reconnu que Steve Witkoff "ne connaissait rien" à la Russie à son arrivée, mais qu’il obtenait des résultats parce que "tout le monde aime Steve". Une ascension qui doit autant à la méfiance du président américain envers les institutions classiques qu’à une stratégie assumée de Vladimir Poutine, décidé à faire de Steve Witkoff son interlocuteur privilégié.

Un prisonnier libéré contre une discussion avec Vladimir Poutine

Si Steve Witkoff s’impose aujourd’hui comme un médiateur de choix, c’est simplement parce que le Kremlin l’a voulu ainsi. Vladimir Poutine a rapidement manifesté le souhait de le rencontrer, allant jusqu’à envisager un geste inattendu : la libération d’un prisonnier américain en contrepartie. Le message était clair : le président russe voulait parler directement au nouvel envoyé spécial de Donald Trump. Steve Witkoff devait venir seul, sans diplomates, sans agents de renseignement, et même sans interprète. Une exigence qui rompait avec des décennies de précautions codifiées dans les fameuses "Moscow Rules", ce manuel rappelant aux visiteurs américains qu’en Russie, "il n’y a pas de coïncidences". La CIA avait alors proposé un briefing à Steve Witkoff. Une sollicitation que celui-ci avait déclinée, se rendant à Moscou sans filet.

En amont, les services russes avaient analysé les profils de l’entourage du président américain afin de faire leur choix. Le général Keith Kellogg que Donald Trump avait nommé envoyé pour la Russie et l’Ukraine, était jugé peu fiable : sa fille dirige une organisation caritative en Ukraine, un détail perçu comme un signal d’hostilité potentielle aux exigences russes, selon le Wall Street Journal. Dix mois plus tard, Steve Witkoff le remplaçait.

Ce dernier a effectué, rien que ce mois-ci, son sixième voyage en Russie, passant plus de cinq heures en tête-à-tête avec Vladimir Poutine, jusque tard dans la nuit. Une proximité inédite : depuis l’alliance américano-soviétique de la Seconde Guerre mondiale, aucun représentant de la Maison-Blanche n’avait bénéficié d’un accès personnel aussi fréquent à un dirigeant russe. Pour le Wall Street Journal, il est même difficile de trouver dans l’histoire récente un précédent où des hommes d’affaires ont pesé aussi directement sur des décisions de guerre et de paix, dans une relation autrefois réglée au millimètre par des diplomates et des services de renseignement aguerris.

40 ans d’amitié avec Donald Trump

Steve Witkoff n’était pas destiné aux arcanes de la diplomatie. Promoteur immobilier milliardaire, l’envoyé spécial a rencontré Donald Trump en 1986 dans une épicerie new-yorkaise. Depuis, les deux hommes ont chacun bâti des empires immobiliers, transmis leurs affaires à leurs enfants et fini par s’installer sous le soleil de Floride.

Leur lien s’est resserré après la mort par overdose du fils aîné de Steve Witkoff en 2011. Donald Trump est alors resté présent pour son ami, un soutien que l’actuel président évoquera publiquement lors d’une conférence sur la crise des opioïdes pendant son premier mandat. Après la défaite de Donald Trump lors de l'élection présidentielle de 2020, Steve Witkoff lui a rendu la pareille en témoignant en sa faveur dans un procès pour fraude à Manhattan.

À peine réélu, Donald Trump l’a propulsé envoyé spécial pour le Moyen-Orient. Steve Witkoff, 68 ans, assume son profil atypique. Dans le Wall Street Journal, il se décrit comme un négociateur plus que comme un diplomate, convaincu que comprendre les contraintes politiques de l’adversaire est la clé d’un accord, même s’il admet son inexpérience dans les codes traditionnels de la diplomatie.

© afp.com/Gavriil Grigorov

Ce soir en famille : injustement oublié, ce film de science-fiction spectaculaire a pourtant fait rêver de nombreux enfants dans les années 2000

21 décembre 2025 à 17:00

Nous sommes en 3028... et la Terre n'existe plus. Les derniers humains survivants sont pourchassés à travers l'univers ou réduits en esclavage par les extraterrestres qui ont réduit leur planète en cendres.

15 ans après la catastrophe, un jeune homme du nom de Cale Tucker, séparé de son père du…

Article original publié sur AlloCiné

"Une œuvre magistrale appelée à devenir un classique" : noté 4,5 sur 5, c'est le film à voir absolument cette semaine !

21 décembre 2025 à 17:00

Lauréat des Prix de la Mise en Scène et d'Interprétation Masculine au dernier Festival de Cannes, L'Agent secret de Kleber Mendonça Filho (Les Bruits de Recife) est sorti cette semaine dans nos salles obscures.

Emmené par un Wagner Moura au sommet de son art, ce thriller se déroulant dans…

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Le Venezuela dénonce le "vol et l'enlèvement" d'un nouveau pétrolier par les Etats-Unis, Téhéran propose son aide à Caracas

21 décembre 2025 à 15:15

Caracas a condamné samedi le "vol et l’enlèvement" par les Etats-Unis d’un nouveau navire chargé de pétrole vénézuélien, après l'annonce de la saisie d'un deuxième pétrolier en dix jours par Washington. "Le Venezuela dénonce et rejette catégoriquement le vol et l'enlèvement d’un nouveau navire privé transportant du pétrole vénézuélien, ainsi que la disparition forcée de son équipage, actes commis par des militaires des Etats-Unis", indique le gouvernement.

Cette saisie survient dix jours après la saisie d'un premier pétrolier le 10 décembre et alors que le président américain Donald Trump a annoncé la mise en place d'un "blocus total" contre des pétroliers sous sanctions se rendant ou partant du Venezuela, évoque la possibilité d'une guerre avec le Venezuela.

"Pleine démonstration de solidarité" venue d'Iran

Caracas assure que "ces actes ne resteront pas impunis", et promet d'"exercer toutes les actions correspondantes, y compris la dénonciation devant le Conseil de sécurité des Nations Unies, d’autres organismes multilatéraux et les gouvernements du monde". "Les responsables de ces faits graves devront répondre devant la justice et devant l’histoire de leur conduite criminelle", conclut le texte.

Un peu plus tôt, le ministre des Affaires étrangères vénézuélien Yvan Gil avait assuré avoir eu une conversation téléphonique avec son homologue iranien, Abbas Araghchi sur le sujet. Les deux hommes ont "analysé les récents événements dans les Caraïbes, en particulier les menaces, les actes de piraterie des Etats-Unis et le vol de navires chargés de pétrole vénézuélien", selon le communiqué d’Yvan Gil sur Telegram.

"Le Venezuela a reçu une pleine démonstration de solidarité de la part du gouvernement de la République islamique d’Iran, ainsi que son offre de coopération dans tous les domaines pour faire face à la piraterie et au terrorisme international que les États-Unis cherchent à imposer par la force militaire", poursuit le communiqué. L’Iran est l’un des principaux alliés internationaux du président Nicolas Maduro, qui assure que le déploiement américain dans les Caraïbes vise à le renverser et à s'emparer des réserves de pétrole du pays.

© AFP

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