Dring dring ! Ça sonne à la porte des bons plans : la sonnette vidéo Ring est à -60 %
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Vous croulez sous les documents PDF, les images scannées et les paperasses diverses et variées qui traînent un peu partout sur votre serveur et sur votre disque dur ? Et bien y’a un projet open source qui pourrait bien vous simplifier la vie…
Ça s’appelle Readur , et c’est une plateforme de gestion documentaire plutôt moderne codé en Rust pour le backend et en TypeScript/React pour l’interface. Il combine une interface facile à prendre en main, je trouve, avec de l’OCR plutôt balèze qui va scanner tous vos documents pour en extraire le texte et le rendre cherchable.
Comme ça, vous balancez vos fichiers (PDF, images, fichiers texte, documents Office…) via un petit drag-and-drop des familles et Readur fait le reste !
Sous le capot, ça utilise Tesseract pour la reconnaissance de caractères, et gère même plusieurs langues simultanément avec détection automatique, donc pour ceux qui bossent avec des docs multilingues, c’est plutôt chouette…
Pour la recherche, ça repose sur une base PostgreSQL full-text avec plusieurs modes de recherche : simple, par phrase, fuzzy (recherche approximative), ou booléen, ce qui va vous permettre de retrouver n’importe quel bout de texte dans n’importe lequel de vos documents en quelques secondes.
Et si vous avez déjà vos fichiers stockés ailleurs, pas de stress puisque Readur peut se synchroniser avec WebDAV, des dossiers locaux ou du stockage S3. Il y a même un système de surveillance de dossiers qui détecte automatiquement les nouveaux fichiers et les intègre sans que vous ayez à lever le petit doigt. Pratique pour les feignasse comme moi.
Côté authentification, c’est du costaud avec JWT, bcrypt, et support OIDC/SSO pour ceux qui veulent l’intégrer dans leur infra existante et y’a aussi un système de rôles (Admin/User) et tout un tas d’étiquettes avec codes couleur pour organiser vos documents comme bon vous semble.
Pour l’installer, du Docker classique :
git clone https://github.com/readur/readur
cd readur
docker compose up --build -d
Et hop, l’interface est accessible sur localhost:8000. Pour le mot de passe, dans la doc, il est écrit que c’est admin / readur2024 mais c’est faux. Le mot de passe est généré en random au lancement du conteneur Docker. Faut juste regarder dans les logs de Docker et vous pourrez le changer après coup.
Niveau config minimale, comptez 2 cœurs CPU, 2 Go de RAM et 10 Go de stockage donc ça peut le faire sur un NAS ou un petit PC. Et pour de la prod sérieuse avec plein de documents, visez plutôt 4 cœurs ou plus , +4 Go de RAM et un bon SSD de minimum 50 Go.
Voilà, si vous cherchez une alternative auto-hébergeable à Paperless-ngx ou Papermerge avec une stack moderne en Rust, Readur mérite clairement le coup d’œil.
Merci à Letsar pour le partage !

On ne va pas se mentir, le marché des batteries externes MagSafe est devenu une véritable jungle où chaque fabricant y va de sa petite brique en plastique qui chauffe autant qu’elle charge. C’est souvent la même rengaine : c’est pratique, mais c’est épais, ça vieillit mal et, soyons honnêtes, ce n’est pas toujours très rassurant d’avoir une chaufferette chimique plaquée contre son téléphone à 1200 balles.
C’est là que la KUXIU S2 entre en scène avec une promesse assez audacieuse : intégrer la technologie “Solid-State” ou état solide dans un format grand public. Sur le papier, c’est plus de sécurité, une meilleure densité énergétique et une durée de vie prolongée. J’en teste une depuis quelques semaines, et ma foi, c’est validé.
Le cœur du sujet ici, c’est évidemment cette fameuse technologie de batterie à état solide. Contrairement aux batteries Lithium-Ion classiques qui baignent dans un électrolyte liquide inflammable, la S2 utilise un électrolyte semi-solide sous forme de gel. Concrètement, cela change la donne en matière de sécurité car même percée par un clou, la batterie ne prend pas feu et ne dégage pas de fumée, là où une batterie classique nous gratifierait d’un dangereux feu d’artifice. Mais l’argument qui fera mouche chez ceux qui gardent leur matériel longtemps, c’est la durabilité. KUXIU annonce que cette batterie peut encaisser plus de 1000 cycles de charge tout en conservant 80 % de sa capacité initiale, ce qui représente une durée de vie environ deux à trois fois supérieure à celle des batteries externes traditionnelles qui fatiguent souvent après 300 ou 500 cycles.
Dès la prise en main, on sent qu’on n’est pas sur du gadget d’entrée de gamme. La marque a fait l’effort d’un châssis en alliage d’aluminium, le tout dans un format ultra-fin d’à peine 10 millimètres d’épaisseur pour un poids contenu de 145 grammes. C’est dense, c’est froid au toucher et ça respire vraiment la solidité. Côté intégration, elle s’aligne parfaitement au dos des modèles d’iPhone équipés de MagSafe, et elle fonctionnera aussi avec la plupart des Android équipés d’une coque aimantée, puisqu’elle est compatible Qi2.
Elle délivre donc une puissance de 15W pour les iPhone compatibles, permettant de passer de 0 à 42 % en une trentaine de minutes, ce qui est nettement plus rapide que les 7,5W des batteries magnétiques non certifiées. J’ai également noté une gestion thermique bien supérieure à la moyenne ; la technologie à état solide chauffe bien moins que ses concurrentes liquides, ce qui est rassurant pour la santé de la batterie de votre iPhone sur le long terme. Pour les plus pressés, le port USB-C est bidirectionnel et permet une charge filaire classique jusqu’à 20W, tout en autorisant le “pass-through” pour charger la batterie et le téléphone simultanément.
Au rayon des fonctionnalités bien pensées, j’apprécie particulièrement le mode “faible courant” activable par une double pression sur le bouton, idéal pour recharger des AirPods ou une montre connectée sans que la batterie ne se coupe inopinément.
Bref, la KUXIU S2 est une excellente surprise qui justifie son tarif un peu plus élevé par une technologie réellement innovante. Si vous cherchez un accessoire jetable, passez votre chemin, mais si vous voulez une batterie durable, sécurisée et qui ne transforme pas votre poche en fournaise, c’est sans doute l’une des meilleures options actuelles. L’investissement initial est amorti par cette durée de vie doublée voire triplée, ce qui en fait paradoxalement un choix économique et écologique sur le long terme ! Elle est disponible ici, sur Amazon !
Pour info j’ai aussi testé la batterie 3-en-1 K1 Ultra de chez Kuxiu aussi, sur Mac4Ever.com !
Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ma page de recommandations Amazon , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
Ce n'est pas un secret le désinstallateur de Windows est feignant !
Oui, lorsqu'il désinstalle un programme il laisse des résidus.
En vérité il ne laisse pas grand-chose, mais au bout de plusieurs centaines de désinstallation cela finit par engorger le disque dur !
Mais surtout, il faut savoir aussi que certaines traces laissées peuvent entrer en conflit avec un autre logiciel et même bloquer toute réinstallation du logiciel précédemment installé ! :wacko:
Quoiqu'il en soit, il faut le dire, pour une fois la faute n'incombe pas qu'à Microsoft.
Oui, le problème vient aussi des programmeurs qui ne se contentent que du minimum lors de la création de leurs désinstalleurs. Windows se contente de ne lancer que ce dernier sans chercher à savoir s'il y aurait des fichiers ou dossiers oubliés...
Revo Uninstaller dans sa version gratuite est déjà excellent, il va s'acharner à vérifier qu'il ne reste aucune trace du soft dont vous voulez vous débarrasser.
La dernière version dont je vous ai parlée est la 2.6.2 publiée en octobre 2025.
Une nouvelle version estampillée 2.6.5 a été publiée hier 09/12/2025, je vous la propose donc.
Cet article Désinstallez les programmes ainsi que tous leurs résidus oubliés (v 2.6.5) est apparu en premier sur votre site préféré www.sospc.name