Apple Vision Pro 2 : il aurait pu ressembler à ça
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Vous le savez chez Vonguru, on adore tout ce qui est domotique et chez eufy, on a toujours le choix de ce côté-là ! Aujourd’hui, c’est la sécurité qui est mise à nouveau en avant en ce mois de décembre avec la caméra eufyCam S4 ! Elle viendra compléter notre installation existante et rejoindra notre réseau HomeBase 3 !
Son prix oscille pas mal en ce moment, mais vous la retrouverez au prix de 299 € à l’heure où ses lignes sont écrites, alors soyez vigilants au promo ! Place au test !
Sur la face avant arborant le fond bleu bien caractéristique de la marque eufy, on retrouvera le nom de la marque, le modèle ainsi 6 principaux arguments marketing, un visuel de la caméra et on nous rappellera également ici qu’il n’y a pas d’abonnement à payer en supplément. À gauche, c’est cette même information qui nous sera détaillé en détails, et ce en anglais.
À droite, la marque a décidé de mettre en avant son application gratuite avec deux visuels, à nouveaux une liste non exhaustive des principales fonctionnalités de notre caméra du jour ainsi que les divers compatibilités et lien pour télécharger ladite app. À l’arrière bien sûr et comme toujours, c’est là que nous ferons le plein d’infos avec non seulement le contenu de la boîte mais également à nouveau les principaux arguments de notre S4, cette fois en 8 langues différentes.
| Marque | eufy Security |
|---|---|
| Couleur | Noir et blanc |
| Type d’installation | Murale |
| Modèle | T8172 |
| Résolution vidéo | 4k |
| Dimensions du colis (L x l x h) | 25.9 x 19.2 x 12.7 centimètres |
| Poids du colis | 2,05 Kilogrammes |
| Dimensions du colis (L x l x h) | 30 x 20 x 15 centimètres |
| Pièces incluses | Caméra, guide, visseries |
| Style | S4 |
| Disponibilité des pièces détachées | Information indisponible sur les pièces détachées |
| Mises à jour logicielles garanties jusqu’à | Information non disponible |
Caméra eufyCam S4
Une batterie rechargeable intégrée, remplaçable, qui alimente la caméra.
Un panneau solaire détachable
Le support de fixation
La visserie / chevilles / accessoires de montage pour fixer le support
Documentation : manuel d’installation / guide de démarrage rapide.
Nous ne referons pas de partie installation puisque nous avons déjà abordé ce point à diverses occasions lors de nos différents tests, mais si cela vous intéresse, n’hésitez pas à vous référez à notre dernière installation en date au moment du test de notre S3 Pro. L’installation, aussi bien hardware que software, est quasi la même avec notre modèle du jour.
Ce qui fait la particularité de la S4, c’est cette structure « hybride », presque inédite dans un produit grand public : une caméra fixe 4K grand-angle en haut, et une caméra PTZ orientable en bas, capable de pivoter à 360°, de s’incliner et de zoomer jusqu’à x8. Contrairement aux systèmes multi-caméras où chaque zone nécessite son propre appareil, ici, une seule unité couvre large tout en étant capable de s’approcher instantanément d’un détail. On passe d’une vue d’ensemble d’un jardin entier à une inspection précise d’un portail, d’une plaque d’immatriculation ou d’un colis en quelques secondes.
Au quotidien, cette dualité est bluffante. La caméra fixe capte tout ce qui entre dans son champ, tandis que la partie PTZ reste en attente… jusqu’au moment où un mouvement est détecté. Là, l’IA prend le relais : la caméra orientable se met en action, zoome automatiquement si elle détecte un visage, recule si un groupe de personnes est présent, et suit la scène sans saccades. On se retrouve avec un dispositif qui réagit instantanément, comme si quelqu’un prenait la télécommande au moment où il se passe quelque chose d’important.
La nuit, la S4 pousse encore un peu plus loin sa polyvalence. Selon la luminosité ambiante, elle bascule automatiquement entre vision infrarouge et vision nocturne en couleur. Lorsqu’un lampadaire, un éclairage de terrasse ou même une lune brillante est présent, la caméra est capable de produire des images nocturnes en couleur d’une excellente lisibilité. On voit clairement les silhouettes, les vêtements, les mouvements… là où d’autres caméras se contentent d’un noir et blanc approximatif.
La détection des mouvements repose sur deux technologies combinées : le radar, pour analyser la profondeur d’un déplacement, et le capteur PIR, qui perçoit la chaleur d’un corps. Ce duo réduit fortement les fausses alertes – un point essentiel quand on vit près d’un passage fréquenté ou dans un jardin où les chats ont tendance à élire domicile. Avec les bons réglages, on finit par ne recevoir que les notifications pertinentes.
Honnêtement, on ne peut que souligner sa pertinence dans des situations réelles. Là où des caméras traditionnelles restent figées sur un angle large qui manque de détails, la S4 s’adapte (d’où son prix, aussi). Elle suit un livreur qui traverse l’allée, zoom automatiquement sur un visage, peut enregistrer une voiture qui ralentit devant la maison, ou même pivoter sur le côté pour suivre un mouvement inattendu. Cette capacité à se déplacer activement donne l’impression de ne rien manquer, comme si la caméra devenait réellement proactive. C’est exactement ce que la plupart des utilisateurs recherchent aujourd’hui. Une caméra qui n’attend pas passivement qu’un mouvement entre dans son petit cône de vision, mais une caméra qui agit, qui s’ajuste, qui complète son propre travail.
Évidemment, notre S4 a quelques défauts, et encore, quoi que. Comme souvent chez eufy, certaines fonctionnalités avancées poussent à utiliser une HomeBase, ce qui peut frustrer ceux qui ne veulent qu’un produit unique et autonome. Par exemple, la reconnaissance faciale la plus poussée, l’enregistrement continu ou certaines options avancées d’IA nécessitent une base dédiée avec plus de stockage. Autre point, nous le répétons à chaque fois : le panneau solaire est excellent, mais dépendant de son exposition. Une façade trop ombragée pourrait vous obliger à revenir à une recharge classique. Ce n’est pas un défaut de la S4 en soi, mais un point à anticiper au moment de choisir l’emplacement.
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Enfin, la caméra est très sensible par défaut, ce qui implique de régler correctement les zones d’activité pour éviter une avalanche de notifications au début. Après l’ajustement, tout rentre dans l’ordre, mais il faut passer par cette phase de calibration.
Ce qui ressort au fil des jours, c’est cette sensation de tranquillité. La caméra surveille, détecte, suit, zoome, enregistre… et vous, vous n’avez quasiment rien à faire. Vous n’avez pas besoin de jongler entre plusieurs caméras, de vérifier plusieurs angles ou de vous demander si quelque chose a échappé à l’œil du capteur. La S4 couvre large ET précis en même temps, ce qui est probablement sa plus grande force.
La consultation dans l’app eufy est claire, intuitive, et les vidéos, notamment en 4K grand-angle, sont suffisamment détaillées pour analyser précisément une scène. Les vidéos issues du PTZ, elles, sont utiles pour zoomer sur un détail précis, comme un visage ou une plaque.
La eufyCam S4 n’essaie pas d’être une caméra de sécurité classique. Elle cherche à offrir une surveillance intelligente, capable de remplacer deux appareils, tout en restant simple à installer et à utiliser. Elle s’adresse à ceux qui veulent une surveillance extérieure ultra complète, polyvalente et fiable, sans se lancer dans une installation compliquée
Elle n’est pas faite pour ceux qui recherchent du 24/7 en haute qualité sans hub, ou pour les environnements très ombragés où le panneau solaire perd de son efficacité. Mais pour la grande majorité des installations résidentielles, surtout celles avec un jardin, une allée, une entrée ou une façade large, la S4 devient rapidement un choix évident, surtout si vous êtes déjà équipé.
Elle incarne parfaitement l’idée d’une caméra « premium accessible » : performante, intelligente, autonome, mais sans enfermer l’utilisateur derrière des abonnements obligatoires. Une réussite solide, et clairement l’une des propositions les plus complètes du moment pour sécuriser un espace extérieur.
Son prix oscille pas mal en ce moment, et il est vrai que la facture est tout de même élevée mais vous la retrouverez au prix de 299 € à l’heure où ses lignes sont écrites, alors soyez vigilants au promo !
Test – Caméra de surveillance S4 eufyCam de eufy a lire sur Vonguru.
AMD muscle son offre pour l’automatisation industrielle et le réseau câblé avec deux nouveaux FPGAs Spartan UltraScale+, les SU45P et SU60P, les plus compacts de la gamme à embarquer des transceivers rapides et une connectivité PCIe Gen 4.
Construits en 16 nm FinFET, ces modèles visent les cartes de contrôle et line cards où l’espace et la dissipation sont contraints. AMD promet une architecture basse consommation, un flux unifié via Vivado pour une fermeture timing et routage plus efficace, ainsi qu’un approvisionnement stable avec compatibilité d’empreinte depuis les SU10P, SU25P et SU35P.

Côté interfaces, on retrouve des transceivers à 16,3 Gb/s et du PCIe Gen 4, taillés pour la vision industrielle et les systèmes réseau à faible latence. La prise en charge d’E/S mixtes, 3,3 V et basses tensions, facilite l’intégration de capteurs, modules optiques et interfaces de contrôle hétérogènes au sein d’un seul composant.
La sécurité n’est pas en reste avec un secure boot conforme CNSA 2.0, des algorithmes LMS prêts pour l’ère post-quantique, du chiffrement AES‑GCM‑256 avec gestion de clés protégée contre les attaques DPA, et un contrôle par clés de famille pour des mises à jour terrain simplifiées. AMD résume l’enjeu ainsi : « la sécurité et l’intégrité du firmware sont plus importantes que jamais ».
Selon AMD, les SU45P/SU60P délivrent 65,2 Gb/s de bande passante cumulée sur transceivers, 63,0 Gb/s sur PCIe Gen 4, et jusqu’à 3,2× plus de bande passante transceiver et 2× à 8× plus de bande passante PCIe que certaines alternatives. Les comparaisons citées opposent notamment Lattice MachXO5‑NX LFMXO5‑65T (10,3 Gb/s, PCIe Gen 2) et Altera Agilex 3 A3C100 (12,5 Gb/s, PCIe Gen 3). AMD avance aussi jusqu’à 40 % de meilleure utilisation des LUT grâce aux LUT6 et jusqu’à 1,8× d’augmentation de FMAX, permettant de viser un grade de vitesse plus bas.
Calendrier et outils : un accès anticipé au support Vivado est prévu au premier semestre 2026, avec une disponibilité silicium au second semestre 2026.
Source : TechPowerUp
Choc au sommet pour la nouvelle vitrine d’ASUS : la ROG Matrix RTX 5090 32 Go édition 30e anniversaire voit ses expéditions mises à l’arrêt, un détaillant suédois évoquant un « problème de qualité ».
D’après le revendeur suédois Inet, qui a informé au moins trois clients, ASUS aurait identifié un souci sur la GeForce RTX 5090 ROG Matrix Platinum 30th Anniversary Edition. Dans un courriel relayé sur SweClockers et le forum ROG, le commerçant cite ASUS et parle d’une révision « sans ces problèmes ». Aucun calendrier n’a toutefois été communiqué pour l’arrivée d’un nouveau lot.
Le timing est pour le moins maladroit. Le modèle Matrix Platinum RTX 5090 vient tout juste d’être lancé comme carte Blackwell phare d’ASUS, limitée à environ 1000 unités (mon oeil) dans le monde et affichée autour de 4400 euros. Il faut dire que c’est l’une des cartes graphiques les plus onéreuses de la marque, hors éditions spéciales Dhahab.

À ce stade, les tests publics et contenus pratiques ne signalent pas de défaut matériel évident pouvant justifier ce gel des expéditions. De même, la page produit d’ASUS ne mentionne ni avis, ni rappel. Beaucoup de revendeurs auraient déjà écoulé leur stock, mais aucune donnée chiffrée n’indique combien d’exemplaires ont réellement été livrés ni s’il existe des retours utilisateurs documentés.
Le message d’Inet évoque un générique « problème de qualité ». Cela peut couvrir un simple défaut d’étiquetage ou de finition, mais aussi des points plus sensibles comme l’alimentation, le refroidissement ou l’assemblage. ASUS a déjà dû corriger des erreurs d’impression sur des éditions ROG spéciales, par exemple la coquille sur la carte mère EVA-02, avec programme d’échange et extension de garantie à la clé. Rien d’étonnant si, au final, il s’agit d’un incident limité à un lot.
En attendant une communication officielle, la prudence reste de mise. Comme le résume le courrier relayé par les forums, « ASUS travaille sur une version révisée » et les clients concernés devront patienter. Reste à voir si l’arrêt des expéditions est circonscrit à certains marchés ou s’il s’étendra plus largement.
Source : VideoCardz
Cap sur l’Ohio pour Vultr : le cloud provider annonce un supercluster IA à Springfield, propulsé par 24 000 GPU AMD Instinct MI355X et une extension de 50 MW, avec la promesse d’un excellent rapport performance/prix pour l’entraînement et l’inférence.
Vultr, présenté comme le plus grand acteur privé de l’infrastructure cloud, renforce sa collaboration avec AMD en étendant massivement son parc de GPU Instinct. Déjà parmi les premiers à avoir adopté les MI325X et MI355X, l’entreprise ajoute 24 000 MI355X dans son nouveau site de Springfield, Ohio. Objectif : fournir une infrastructure IA haute performance et économe en énergie à l’échelle mondiale.

Selon J. J. Kardwell, PDG de Vultr, « nous investissons dans une capacité de GPU en rack à grande échelle pour permettre aux entreprises de repousser les limites de l’IA ». AMD salue de son côté une collaboration capable de livrer une puissance de calcul à l’échelle globale, citée par Andrew Dieckmann, vice‑président et directeur général de l’activité GPU datacenter.

MI355XVultr prévoit déjà la suite : l’adoption des GPU AMD Instinct MI450 et de l’infrastructure rack‑scale Helios figure sur sa feuille de route, confirmant un ancrage durable sur la plateforme IA d’AMD.
Au‑delà des GPU, la coopération s’étend au « full stack » : processeurs AMD EPYC 4005 et plus récemment Vultr VX1 Cloud Compute. Le nouveau datacenter, premier de Vultr dans l’Ohio, bénéficie de l’appui du gouverneur, du Department of Development, de JobsOhio, de la Dayton Development Coalition, du Greater Springfield Partnership et de la ville de Springfield, consolidant le Midwest comme pôle émergent pour l’IA et les infrastructures numériques.
Source : TechPowerUp
Virage crucial chez Micron : le groupe retire Crucial du grand public et mettra fin aux ventes retail de SSD et de modules mémoire, un changement dicté par l’essor de l’IA et les besoins du data center.
Micron arrêtera progressivement l’activité grand public de sa marque Crucial. La société continuera d’expédier des produits jusqu’à la fin du deuxième trimestre fiscal 2026, soit fin février 2026. Au-delà, la marque ne sera plus présente sur les canaux retail. Le support et la garantie demeurent assurés pour les clients existants, précise le constructeur.

Crucial est connue pour ses SSD MX et P-series ainsi que pour ses kits DRAM pour PC fixes et portables, dont une récente DDR5 Pro OC 6400 CL32. Cette page se tourne après près de trois décennies de présence dans le segment grand public.

Ce repositionnement s’explique par la montée en flèche de la demande liée à l’IA dans les data centers. Micron réalloue ses capacités industrielles vers des produits à plus forte marge pour l’entreprise et l’hyperscale. Le groupe évoque un recentrage sur « des segments à plus forte croissance à long terme » et continue d’investir dans la HBM, avec des contrats HBM3E décrochés auprès de NVIDIA et AMD, et des échantillons HBM4 attendus l’an prochain.
Micron maintiendra ses SSD et mémoires pour serveurs sous sa propre marque via ses circuits commerciaux. Côté social, l’entreprise indique vouloir limiter l’impact en replaçant autant que possible les salariés concernés sur des postes ouverts en interne.
Source : TechPowerUp
Nouvelle alerte côté BIOS AMD : l’AGESA 1.2.8.0, censé améliorer la mémoire, ferait au contraire planter certains PC et empêcherait l’accès au BIOS. La prudence s’impose.
AMD diffuse progressivement le microcode AGESA PI 1.2.8.0 avec pour objectif principal d’étendre la compatibilité mémoire. Cependant, des retours d’utilisateurs indiquent des soucis sérieux. Sur le forum Chiphell, un membre rapporte qu’après installation, il est impossible d’accéder à l’écran CMOS : chaque tentative provoquerait un crash immédiat. Le système ne parviendrait plus à démarrer l’OS, et l’outil de réparation de démarrage échouerait systématiquement.

La distribution semble limitée et plutôt discrète, d’après le suivi communautaire. Chez MSI, plusieurs modèles X870E et B850 ont reçu des BIOS mentionnant AGESA PI v1.2.8.0. Un firmware AMI référencé 7E59v1A65, daté du 3 décembre 2025 et pesant environ 15,9 Mo, annonce une « amélioration de la compatibilité mémoire ». À ce stade, la mise à jour n’apparaît que pour quelques références : MPG X870E Edge Ti WiFi, MPG X870E Carbon WiFi et MAG B850M Mortar.
Le cycle 1.2.7.x avait déjà connu des allers-retours chez certains fabricants : ASUS avait retiré la version 1804 au profit de la 1805, tandis qu’ASRock serait passé directement de 1.2.03 à 1.2.8.0 en bêta. Par ailleurs, l’AGESA 1.2.7.0 faisait mention de Strix Point dans son code, ce qui laisse penser que 1.2.8.0 peaufine le support mémoire pour Krackan Point et possiblement les APU desktop Strix Point.
En l’état, mieux vaut éviter la mise à jour si votre BIOS est stable, selon les retours compilés. Il semblerait que les problèmes ne concernent qu’un nombre limité de modèles et de configurations, mais l’accès au BIOS et la stabilité système étant en jeu, patienter jusqu’à une diffusion plus large et des correctifs confirmés paraît raisonnable.
Source : TechPowerUp
Premier teaser public et message clair : Samsung prépare son retour musclé sur le haut de gamme mobile avec l’Exynos 2600. La vidéo YouTube de 30 secondes aligne les promesses et glisse notamment « raffiné au cœur » et « optimisé à tous les niveaux », avant d’annoncer que « le prochain Exynos arrive… très bientôt ».
Déjà confirmé par Samsung, l’Exynos 2600 sera le premier SoC smartphone gravé en 2 nm sur le nœud GAA « SF2 ». D’après la presse coréenne, les essais puis la production de masse sur SF2 auraient débuté à la mi-2025, avec des rendements estimés autour de 50–60 %. Suffisant, a priori, pour viser la fenêtre de lancement des Galaxy S26 début 2026.
Tout indique que l’Exynos 2600 motorisera le cœur de la gamme Galaxy S26. Il semblerait que les Galaxy S26 et S26 Edge en profiteront dans la plupart des régions, tandis que le Snapdragon 8 Elite Gen 5 resterait réservé à des marchés comme les États-Unis, la Corée du Sud et la Chine. Des rumeurs récentes vont même jusqu’à évoquer certains modèles de Galaxy S26 Ultra en Exynos.
Côté architecture, les fuites décrivent un CPU 10 cœurs en 1+3+6 couplé à un nouveau GPU Xclipse 960. Les prémices côté graphique parlent d’un design 8 CU, donné à environ 3 135 points (23,23 FPS) dans 3DMark Steel Nomad Light, devant l’Adreno 830 du Snapdragon 8 Elite dans ce test. Attention toutefois : ces chiffres proviennent d’un échantillon d’ingénierie avec des limites de puissance « généreuses ».
Reste une zone d’ombre : le GPU s’appuie-t-il sur RDNA3 d’AMD ou sur un bloc maison ? Rien n’est confirmé, malgré des bruits de couloir contradictoires. Côté IA, Samsung promet officiellement une forte hausse des performances de la NPU par rapport à son fleuron actuel. Il faut dire que la marque répète que le prochain Exynos sera « optimisé à tous les niveaux ».
En filigrane, l’objectif est clair : être prêt pour 2026 avec un SoC 2 nm SF2, un CPU 10 cœurs et un Xclipse 960 qui, sur le papier, tient la dragée haute à la concurrence. Reste à voir ce que donneront les versions commerciales en termes de fréquences, de limites thermiques et d’autonomie.
Source : VideoCardz
Samsung met le monde de Fallout au centre de ses téléviseurs : streaming gratuit de la saison 1, mise en avant de la saison 2 sur Prime Video et jeu via l’app Xbox sur le Gaming Hub. Une offre tout-en-un qui fédère série et jeu sur un même écran.
La saison 1 de Fallout est proposée gratuitement et sans abonnement sur Samsung TV Plus du 3 au 25 décembre. Le service FAST maison est disponible sur TV Samsung, Galaxy, Smart Monitor et Family Hub, y compris les écrans Neo QLED 8K, Neo QLED 4K, OLED, The Frame et The Frame Pro, dans plus de 30 pays. La saison 2, attendue le 17 décembre sur Prime Video, prolongera l’intrigue vers le Mojave et la New Vegas post‑apo.

Samsung et Prime Video multiplient les contenus co‑brandés pour le lancement, avec des créations diffusées sur les canaux de Samsung, dont des panneaux numériques à Times Square. « Prime Video est déterminé à trouver des approches créatives pour amener nos contenus au public », indique Emily Aldis, en soulignant l’intégration fluide de l’app Prime Video sur les Smart TV de la marque.
Disponible via Xbox Game Pass dans l’app Xbox du Samsung Gaming Hub, Fallout 76: Burning Springs serait, selon Bethesda, la plus grosse extension du titre, ouvrant de nouveaux horizons en Ohio, juste avant les événements de la série. Les joueurs peuvent pour la première fois interagir avec The Ghoul, doublé par Walton Goggins, renforçant le pont entre la série et le jeu. Todd Howard rappelle que l’adaptation vise à « faire honneur au monde du jeu » tout en proposant des histoires inédites.
Samsung résume la démarche comme une continuité du salon au gameplay, sans changer d’appareil. Kevin Beatty y voit un exemple de convergence entre streaming, qualité d’image et exploration in‑game sur un seul écran. Par ailleurs, un badge de chat personnalisé est proposé sur Twitch pour les abonnés ou donateurs dans la catégorie Fallout 76 entre le 2 et le 31 décembre.
Source : TechPowerUp
ViewSonic muscle son offre pro avec la série ColorPro VP88, des écrans taillés pour l’écosystème Apple et les studios qui exigent une colorimétrie au cordeau, une connectique moderne et une gestion simplifiée depuis macOS.
La gamme vise clairement les créatifs et les entreprises sous Mac : jusqu’au 5K à 218 ppp pour une interface macOS nette et des polices ciselées, couverture étendue du DCI-P3 (jusqu’à 99 %) et validation Pantone dès l’usine. D’après ViewSonic, l’objectif est de « réunir clarté, connectivité et contrôle » dans une expérience pensée d’abord pour Mac.

Côté modèles, deux références sont au programme : le VP2788-5K, un 27 pouces 5K primé iF Design Award et annoncé à 99 % DCI-P3, pour les flux créatifs à forte exigence de détail ; et le VP2488-4K, un 24 pouces 4K à 98 % DCI-P3, plus adapté aux configurations multi-écrans et aux postes compacts.
Le cœur de la proposition tient dans le Thunderbolt 4 : un seul câble pour la data à 40 Gbit/s, la charge jusqu’à 100 W et le chaînage de deux écrans (jusqu’au 5K), avec en renfort du HDMI 2.1, du DisplayPort 1.4 et de l’USB-C pour couvrir Mac et PC. La série intègre aussi un ensemble d’outils logiciels, sans surcoût, pour piloter l’affichage et garder des couleurs stables dans le temps.

Le ColorPro Display Manager permet de gérer depuis macOS les réglages, les entrées et les modes couleur. Une fonction « Mac-to-Monitor Control » doit arriver fin décembre : elle synchroniserait, d’un clic, Mac et affichage, avec réglage direct de la luminosité et du volume. On trouve aussi vSplit pour organiser les fenêtres selon des grilles personnalisées, Colorbration+ pour la calibration matérielle et logicielle, et ColorPro Sense pour faire correspondre les teintes à des milliers de références Pantone.
Enfin, le design vise une intégration discrète dans les espaces orientés Apple, avec un effort affiché sur la consommation et l’emballage écoresponsable. De quoi équiper studios, bureaux design et parcs en entreprise avec des écrans « Mac‑ready » cohérents.
Source : TechPowerUp
Réutiliser un radiateur de 360 mm d’une génération de GPU à l’autre : c’est la promesse de LYNK+, qui commercialise enfin son kit de watercooling modulaire pré-rempli pour GeForce RTX 5090 en Europe et au Japon.
Le système LYNK+ arrive en production avec un duo « Radiator Module » de 360 mm et « Cooler Module » dédié RTX 5090, tous deux pré-remplis. La pompe est intégrée au radiateur, lequel se relie au waterblock full cover via un raccord rapide à vis unique, conçu pour éviter toute fuite lors des échanges de modules. Un prototype avec écran au-dessus du bloc avait été montré par der8auer et PALIT, mais ce modèle à affichage n’est pas au lancement.

Selon LYNK+, l’ensemble peut réduire la température GPU jusqu’à 25 °C et le bruit d’environ 6 dBA en charge face aux refroidissements à air classiques. L’idée est simple : conserver le radiateur dans la machine sur plusieurs générations et ne remplacer que le module de refroidissement propre à la carte. TechPowerUp et HardwareLuxx ont publié des tests complets, apportant un contrepoint indépendant aux chiffres de la marque.

La compatibilité se limite aux RTX 5090 reposant sur le PCB de référence NVIDIA chez certains partenaires. La liste actuelle couvre Inno3D, MSI, Palit, Gainward, PNY et ZOTAC, avec par exemple les Inno3D GeForce RTX 5090 iChill Frostbite et X3, MSI GeForce RTX 5090 Ventus 3X OC, Palit GeForce RTX 5090 GameRock / GameRock OC, Gainward GeForce RTX 5090 Phantom / Phantom GS, les PNY triple-ventilateur et EPIC-X RGB, ainsi que les ZOTAC RTX 5090 Solid, Solid OC et AMP Extreme Infinity. Chaque famille requiert un kit de plaques (backplate et cache latéral) adapté, d’où la nécessité de vérifier précisément les références avant l’achat.
Les tarifs varient selon la région et le niveau de modularité. Au Royaume-Uni, Overclockers UK liste séparément le refroidisseur LYNK+ 5090, les kits de plaques et le radiateur 360 Slim LED, avec des bundles complets pour RTX 5090 en précommande. Sur le continent, Caseking affiche le module Cooler à 161,90 €, les kits de plaques à 19,90 €, le radiateur 360 mm à 199,90 €, ou un kit « Reference Design » complet avec ventilateurs et pâte thermique à 379,90 €. Caseking propose aussi un configurateur permettant de commander une RTX 5090 compatible pré-équipée du bloc LYNK+ et du kit de plaques, avec retour du refroidisseur d’origine et une garantie de 3 ans sur la carte modifiée.

Pour l’instant, LYNK+ se concentre sur la RTX 5090. La marque confirme toutefois des modules CPU et la prise en charge des RTX 5080 et RTX 5070 Ti en 2026, ce qui devrait permettre de réutiliser le même radiateur et la majorité du matériel lors d’une mise à niveau. « Le radiateur est pensé pour traverser plusieurs générations », résume en substance la communication de l’entreprise.
Source : VideoCardz
Cap sur la coopération et la rejouabilité : Bandai Namco publie aujourd’hui The Forsaken Hollows, un DLC pour Elden Ring Nightreign qui muscle le casting, bouscule la carte et ajoute de nouveaux défis chronométrés.
Le contenu additionnel arrive simultanément sur PlayStation 4, PlayStation 5, Xbox One, Xbox Series X|S et PC via Steam. Les éditions Deluxe, Seekers et Collector sur Steam l’intègrent automatiquement, tandis que les joueurs consoles doivent le récupérer manuellement depuis la boutique. L’édition Standard peut acheter le DLC séparément.

Au cœur de ce module, deux archétypes rejoignent la table ronde des Nightfarers. Scholar, érudit rompu à l’art des sorts, capitalise sur son savoir et l’observation pour prendre l’avantage en combat. Undertaker, portée par la foi et la force, est mandatée par son monastère pour abattre le Nightlord et s’impose comme une passeuse implacable, capable de faucher ses adversaires avec une efficacité redoutable. Bandai Namco met en avant dans ses bandes-annonces leurs aptitudes respectives.

Direction Limveld, où de nouvelles zones et menaces attendent les équipes, avec deux boss à affronter à l’aube du troisième jour. Surtout, la mystérieuse Shifting Earth modifie la topographie sous certaines conditions, renouvelant les routes, les rencontres et les opportunités tactiques d’une partie à l’autre.

Rappelons qu’Elden Ring Nightreign mise sur une boucle coopérative resserrée : chaque expédition impose des choix rapides d’exploration et de combat sur une carte qui alterne biomes, armes et ennemis, sous la pression de la Night’s Tide qui pousse vers les affrontements nocturnes. Objectif inchangé : survivre jour après jour et, au troisième, terrasser un boss final. D’après l’éditeur, il s’agit d’« une expérience sans équivalent dans l’univers Elden Ring » conçue pour ne jamais proposer deux runs identiques.
Source : TechPowerUp
Un document logistique met fin au doute : l’AMD Ryzen 7 9850X3D apparaît avec un TDP de 120 W, de quoi éclairer la feuille de route d’AMD côté gaming.
Partagé par @Olrak29_, un manifeste NBD liste « AMD Desktop Ryzen 7 9850X3D 120W AM5 » avec le numéro de pièce 100-000001973-00 et une date interne de mi-octobre 2025. Cette mention intervient après la brève apparition du processeur sur les pages de support pilotes d’AMD, un signal supplémentaire que la déclinaison X3D de Zen 5 se précise. D’après les rumeurs, la gamme s’articulerait autour de deux modèles : un AMD Ryzen 7 9850X3D pour les configurations de jeu grand public et un Ryzen 9 9950X3D2 au sommet, ce dernier étant évoqué avec un TDP de 200 W et deux piles de 3D V-Cache.

Du côté des spécifications non officielles, il semblerait que l’AMD Ryzen 7 9850X3D aligne 8 cœurs et 16 threads sur architecture Zen 5, un base clock de 4,7 GHz, un boost jusqu’à 5,6 GHz et 96 Mo de cache L3. On retrouverait donc la même configuration de cache que le 9800X3D, mais avec un plafond de fréquence relevé d’environ 400 MHz. Le maintien du TDP à 120 W, tel qu’indiqué dans le manifeste, laisse penser qu’AMD s’appuierait sur un tri de puces et des ajustements firmware pour atteindre ces fréquences plus hautes sans élargir l’enveloppe thermique.
Dans les faits, l’AMD Ryzen 7 9850X3D s’inscrirait comme une option légèrement plus rapide, et toujours « drop-in », pour les systèmes AM5 déjà calibrés autour du 9800X3D à 120 W. « Le principal enjeu désormais, ce sont les prix et la disponibilité », résume la question qui fâche. Aucun lancement n’est acté à ce stade. Certaines sources évoquent un possible dévoilement début 2026, avec le CES comme scène probable. Reste à voir si AMD confirmera cette fenêtre et comment le 9850X3D se positionnera face à un 9800X3D déjà bien installé en jeu.
Source : VideoCardz
Ubisoft accélère dans le cloud gaming : les premiers jeux Activision débarquent sur Ubisoft+ Premium en streaming, avec une intégration initiale via NVIDIA GeForce NOW et d’autres partenaires à venir.

Cette arrivée découle de l’accord annoncé en août 2023, qui confie à Ubisoft les droits de diffusion en streaming des jeux Activision et Blizzard. Selon l’éditeur, ces titres sont pour l’instant accessibles dans leur édition standard via Ubisoft+ Premium, et l’offre doit s’étendre à d’autres fournisseurs de cloud dans les prochains mois. Chris Early, vice‑président senior des partenariats chez Ubisoft, résume l’ambition : « notre acquisition des droits de cloud streaming pour les titres Activision et Blizzard renforce l’offre Ubisoft+ et nous permet de concéder des licences à d’autres acteurs du cloud ».

Les abonnés peuvent dès maintenant streamer :
Call of Duty Modern Warfare II et Call of Duty Modern Warfare III : campagnes solo, multijoueur et coop présentes, avec pour MWIII un mode Zombies.
Crash Bandicoot N. Sane Trilogy : trilogie remasterisée des épisodes fondateurs.
Spyro Reignited Trilogy : les trois jeux originaux revisités.
Ubisoft précise que davantage de titres Activision et Blizzard suivront au fil de l’intégration cloud, au‑delà de GeForce NOW.
Source : TechPowerUp
NVIDIA pousse une mise à jour dense avec le GeForce 591.44 WHQL : DLSS 4 pour les prochains gros jeux, une salve de correctifs sur PC et la confirmation d’un changement majeur côté support.

Le pilote Game Ready GeForce 591.44 WHQL apporte la prise en charge de DLSS 4 pour Battlefield 6: Winter Offensive et Call of Duty: Black Ops 7. D’après NVIDIA, il fournit « la meilleure expérience de jeu » sur ces titres compatibles. Côté stabilité, plusieurs problèmes épineux sont résolus : plantages dans Battlefield 6, texte déformé dans Counter-Strike 2 sous définition inférieure au natif, scintillements et corruptions graphiques dans Like a Dragon: Infinite Wealth et Like a Dragon Gaiden après des mises à jour précédentes.
Le GeForce 591.44 WHQL corrige aussi les baisses de performances observées dans Black Myth: Wukong sur les branches post-R570 et rétablit des effets de particules manquants dans Monster Hunter World: Iceborne sur les GPU GeForce RTX 50. La liste se poursuit avec l’assombrissement progressif de Call of Duty: Black Ops 3, des problèmes de stabilité dans Madden 26, des pertes de performances après la mise à jour Windows 11 d’octobre 2025 KB5066835, ainsi que des artefacts intermittents dans The Witcher 3: Wild Hunt.
Au-delà du jeu, Premiere Pro ne gèle plus à l’export en encodage matériel, les soucis de stabilité liés à Sophos Home Antivirus sont corrigés, et une ligne verte en lecture vidéo sous navigateurs Chromium sur RTX 50 est éliminée. Le pilote réintroduit en outre la compatibilité des effets PhysX 32 bits sur les RTX 50 pour plusieurs classiques PC : Alice: Madness Returns, Assassin’s Creed IV: Black Flag, Batman: Arkham City, Batman: Arkham Origins, Borderlands 2, Mafia II, Metro 2033, Metro: Last Light et Mirror’s Edge conservent leurs effets d’origine.
Dernier point important : NVIDIA met fin au support des pilotes Windows pour les séries GeForce GTX 900 et GTX 10 à partir de cette version 591.44 WHQL, confirmant un mouvement déjà engagé côté Linux.
Source : TechPowerUp
Vous connaissez le Spotify Wrapped qui vous rappelle chaque décembre que vous avez écouté “Africa” de Toto 847 fois ? Hé bien GitWrap fait pareil mais pour votre code sur GitHub. Et tout ça avec une interface qui sent bon le DOS et les moniteurs à phosphore vert.
Vous entrez votre nom d’utilisateur GitHub, et l’outil génère alors un récapitulatif de votre année de commits, de pull requests et de contributions diverses et variées. Le tout emballé dans une esthétique rétro qui ferait pleurer de nostalgie n’importe quel dev qui a connu l’époque où “git” n’existait pas encore et où on faisait des sauvegardes sur disquettes.
L’interface vous accueille avec un prompt style années 80… genre > Enter GitHub username to begin. On se croirait dans WarGames avant de lancer une partie de morpion thermonucléaire et il ne manque plus que la voix synthétique qui demande “Shall we play a game?” et c’est parfait.
Y’a aussi un leaderboard pour les compétitifs qui veulent comparer leur nombre de commits avec les autres. Parce que oui, apparemment certaines personnes ont besoin de savoir qu’elles ont codé plus que leur voisin de bureau. Chacun ses kinks.
A vous de tester maintenant pour savoir si vous avez bien bossé sur votre code cette année ou si vous n’avez rien branlé comme l’année dernière.
Et accessoirement vous pouvez même vous faire une jolie image pour frimer sur LinkedIn ! Ça prend 30 secondes et ça vous donnera une excuse pour procrastiner avant de retourner à ce bug que vous évitez depuis trois jours.

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