Ninja Gaiden 4 : Stratégies pour Bloquer Toutes les Attaques des Ennemis

À peine un mois après Voyagers, Hello Games enclenche déjà l’hyperespace : Breach, la mise à jour d’Halloween de No Man’s Sky, est disponible gratuitement pour tous les joueurs.
Ce nouvel épisode embrasse les nouveautés de Voyagers et pousse plus loin l’assemblage de vaisseaux, la sortie extravéhiculaire et l’esprit communautaire. Au programme, une expédition éphémère dans un univers abandonné où l’on piste des corvettes naufragées à démonter en apesanteur pour en récupérer des modules rares. Selon Hello Games, ces débris renferment des pièces verticales inédites qui ouvrent des configurations de construction jusque-là impossibles.
Parmi les récompenses exclusives, des modules à thème Atlas pour afficher son allégeance, et une quête centrale autour de la Fireship Arcadia, décrite comme le joyau de ces carcasses. Il faudra toutefois oser « un bond de foi dans le noir » pour percer son destin, affirme le studio. L’expédition Breach débute aujourd’hui et doit durer environ trois semaines.
Ambiance oblige, direction aussi les systèmes à étoiles violettes aperçus dans Worlds Part II début janvier : planètes hostiles aux océans abyssaux, entités étranges et géantes gazeuses volatiles au menu. Il faut dire que la période s’y prête.
Sur le fond, Breach ajoute une grosse fournée de modules de corvette à récupérer dans l’espace profond ou sur les dépotoirs planétaires : trains d’atterrissage, boucliers, armes, connecteurs et des éléments très demandés en forme de « wedge » pour des constructions plus complexes. Le chantier de corvette permet désormais d’appliquer une palette de couleurs à l’ensemble du vaisseau ; l’accroche des pièces progresse, tout comme les collisions.
Le patch 6.10 corrige par ailleurs une longue liste de soucis : éjection inopinée dans l’espace sur un escalier en impulsion, autopilote de trajectoire qui ne se coupait pas près des grosses structures, armes mal alignées en vue cockpit, téléporteur persistant au sol, portes intérieures parfois bloquées, soucis de monstres biologiques apathiques, faune dangereuse manquante, et quelques comportements réseau et UI agaçants. Côté visuel, éclairage et transitions sont polis, les aperçus holographiques des modules sont plus nets, et plusieurs collisions environnementales ont été rectifiées.
On note aussi l’activation de Steam Input sur Mac, des correctifs de bindings à la première exécution, le jetpack à nouveau opérationnel avec le manipulateur de terrain en mode création, et plusieurs optimisations moteur, éclairage et Switch pour de meilleures performances. D’après les notes, des crashs liés aux armements massifs sur corvettes et certains gels lors d’ouvertures d’écluses ont été éliminés.
Pour les détails complets, y compris l’intégralité des correctifs et la liste des récompenses d’expédition, la page officielle de l’Expédition 20 récapitule tout.
Ubisoft accélère le tempo : Assassin’s Creed Shadows débarque sur Switch 2 le 2 décembre 2025, avec un portage annoncé via une nouvelle bande-annonce et une feuille de route automnale bien remplie.
Le studio confirme que la version Switch 2 inclura d’emblée toutes les mises à jour et contenus gratuits déjà sortis, à l’exception de « Claws of Awaji », attendu en 2026. Le cross-save via Ubisoft Connect permettra de reprendre sa partie d’un système à l’autre, et l’éditeur a adapté l’interface pour l’écran tactile de la console, y compris pour la carte, la boutique et le repaire. Comme le résume Ubisoft, « vous pourrez reprendre où vous vous étiez arrêté », un point clé pour celles et ceux qui jonglent entre plateformes.
Deux mises à jour majeures arrivent d’ici la fin d’année. La Title Update 10 est prévue le 28 octobre et revoit en profondeur le parkour : suppression de barrières, mouvements ajustés pour fonctionner dans davantage de situations, plus de liberté donc. La Title Update 11, attendue le 25 novembre, signera le troisième chapitre gratuit de l’histoire, « A Puzzlement », avec un ton plus léger, d’après Ubisoft, rappelant Odyssey.
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Elle proposera aussi un échange de techniques entre Naoe et Yasuke : Naoe héritera d’une variante du coup de pied de guerre de Yasuke tandis que ce dernier apprendra à neutraliser des ennemis de façon non létale. L’éditeur tease enfin une collaboration spéciale en novembre, sans détail pour l’instant.
Shadows, sorti en mars, continue de s’étoffer à bon rythme. Reste à voir si l’adaptation Switch 2 conservera la fluidité et les ajustements de gameplay promis, surtout avec ces changements de parkour qui touchent le cœur de l’expérience.
Source : TechPowerUp
Le nouveau Gaming Copilot de Windows 11 fait polémique. Captures d’écran envoyées à Microsoft pour entraîner l’IA (activé par défaut), baisse de FPS constatée allant de 84-89 FPS à 70 FPS sur certaines configurations, et option de collecte active à l’insu des utilisateurs. Une désactivation en quelques minutes permet de reprendre le contrôle.
Microsoft voulait révolutionner l’expérience gaming avec son nouveau Gaming Copilot intégré à Windows 11. Le résultat ? Une levée de boucliers des joueurs PC. Captures d’écran automatiques, chute de performances, collecte de données par défaut… Ce qui devait être un assistant intelligent se transforme en véritable polémique, comme s’il manquait encore un souci à Windows 11.
Voici ce que vous devez absolument savoir.
Microsoft a intégré Gaming Copilot directement dans la Game Bar de Windows 11, accessible via Win + G. L’assistant est capable de capturer votre écran, lire le texte affiché grâce à l’OCR (reconnaissance optique de caractères), vous guider dans vos quêtes et même suggérer des builds de personnage. Le tout est relié à votre compte Xbox pour une expérience unifiée.
Pour Microsoft, c’est un pilier de sa stratégie visant à transformer chaque PC Windows 11 en PC IA. L’entreprise positionne Gaming Copilot comme l’avenir du gaming assisté par intelligence artificielle.
La fonction est actuellement en phase de bêta publique. Certains utilisateurs Windows 11 y ont accès via la Game Bar, d’autres pas encore. Microsoft déploie progressivement la fonctionnalité sur l’ensemble du parc installé.
Le cœur du problème réside dans l’activation par défaut de l’option « Model training on text« . Concrètement, Gaming Copilot capture vos écrans de jeu et extrait le texte visible pour l’envoyer à Microsoft. L’objectif officiel est d’améliorer l’intelligence artificielle. Dans les faits, vos sessions de jeu servent à nourrir les algorithmes de l’entreprise.
Microsoft affirme que les captures ne sont pas exploitées sans consentement, mais le fait que l’option soit active dès l’installation pose de sérieuses questions sur la notion de consentement éclairé.
Au-delà des préoccupations liées à la vie privée, Gaming Copilot impacte directement les performances de jeu. Des tests indépendants révèlent une chute significative des images par seconde sur les configurations moyennes. Un jeu tournant habituellement entre 84 et 89 FPS peut tomber à 70 FPS avec Gaming Copilot actif. Sur un PC gaming où chaque frame compte, cette dégradation est difficilement acceptable.
L’utilité même de l’assistant est remise en cause par de nombreux testeurs. Gaming Copilot est décrit comme un simple moteur de recherche superposé à l’écran plutôt qu’un véritable guide contextuel. Plus problématique encore, l’assistant brise l’immersion en jeu, là où découvrir par soi-même fait partie intégrante du plaisir vidéoludique.
Procédure complète :
Vérification recommandée : Relancez un jeu et ouvrez à nouveau la Game Bar pour confirmer que les options sont bien désactivées.
Pour les utilisateurs souhaitant supprimer totalement cette fonctionnalité :
L’assistant disparaîtra définitivement de votre interface.
Action recommandée : Vérifiez dès maintenant vos paramètres Gaming Copilot via Win + G et désactivez les options de collecte de données.
Les joueurs PC ont historiquement défendu leur indépendance et leur contrôle total sur leur machine. Gaming Copilot va à l’encontre de cette philosophie. La fronde observée sur les forums spécialisés et les réseaux sociaux n’est pas une surréaction : c’est un signal fort envoyé à Microsoft concernant les limites à ne pas franchir.
Gaming Copilot de Windows 11 cristallise les inquiétudes légitimes liées à l’ère de l’intelligence artificielle : collecte de données par défaut, perte de contrôle utilisateur, sacrifice de la performance au profit de fonctionnalités contestables.
La bonne nouvelle est que vous pouvez reprendre le contrôle de votre système en quelques manipulations. La question fondamentale demeure : acceptez-vous qu’un assistant IA observe, analyse et collecte vos sessions de jeu ?
Objectif ambitieux ou pari risqué ? D’après Bloomberg, Microsoft pousserait Xbox à atteindre 30 % de marge, un seuil rarement vu dans le jeu vidéo, quitte à multiplier les mesures impopulaires.
Selon Bloomberg, la directrice financière Amy Hood aurait fixé à l’automne 2023 un objectif de 30 % de marge pour toute l’unité Xbox. Depuis, la division serait entrée en restructuration : licenciements, annulations de projets et budgets resserrés, avec à la clé des hausses tarifaires. Il faut dire que la récente refonte du Game Pass a durci la note : nouveaux paliers Essential, Premium et Ultimate, une offre PC dédiée, et une augmentation d’environ 50 % qui a fait grincer des dents.
D’après S&P Global Market Intelligence, l’industrie tourne plutôt autour de 17 à 22 % de profits, reflet d’une décennie où les coûts de production ont explosé. Les blockbusters modernes sont plus chers que jamais à développer ; l’exemple le plus parlant reste GTA 6, dont le budget évoqué atteindrait 2 milliards de dollars (environ 1,85 milliard d’euros), même si cela n’est pas confirmé. Dans ce contexte, viser 30 % relève de l’exception, généralement réservée à quelques éditeurs majeurs.
À l’approche de l’appel aux résultats de Microsoft prévu le 29 octobre, un point sur Xbox est attendu. Pour approcher ce seuil de rentabilité, il semblerait que la stratégie passe par du matériel plus premium, des logiciels davantage monétisés et des coupes dans les projets jugés non essentiels. Comme le résume la tendance, « atteindre cette marge rare exigera des choix difficiles », selon les éléments rapportés par Bloomberg.
Reste à voir si cette trajectoire tiendra sans éroder la satisfaction des joueurs, déjà échaudés par la hausse du Game Pass, et si Microsoft parviendra à équilibrer ambitions financières et cadence créative.
Source : TechPowerUp
Un dock eGPU qui réunit Thunderbolt 5 et OCuLink, c’est assez rare pour être souligné. Minisforum officialise le DEG2, successeur du DEG1, et mise sur une double connectique pour couvrir à la fois les laptops TB5 et les PC compacts équipés d’OCuLink.
Le constructeur, déjà précurseur sur l’USB4 v2 à 80 Gb/s, franchit un cap avec un boîtier externe qui supporte Thunderbolt 5 tout en conservant une liaison directe PCIe Gen 4 ×4 via OCuLink. D’après Minisforum, le DEG2 s’appuie sur le contrôleur Intel JHL9480 et embarque un slot PCIe pleine longueur (format physique) pour cartes graphiques de bureau. Rien d’étonnant à ce que la marque promette une compatibilité plus large que son DEG1, limité à l’OCuLink.
Le châssis accepte des alimentations ATX ou SFX via connecteurs 24 broches + 8 broches, et propose un emplacement M.2 2280 pour ajouter du stockage local. De quoi faciliter des configurations eGPU plus polyvalentes, y compris sur des machines sans port OCuLink. Minisforum rappelle par ailleurs une rétrocompatibilité avec Thunderbolt 3/4 et USB4, un point qui devrait rassurer les possesseurs de machines plus anciennes.
Le DEG2 élargit la compatibilité par rapport au DEG1 en ouvrant la porte aux « nombreux laptops et mini-PC dépourvus d’OCuLink », selon l’annonce. Il faut dire que l’écosystème Thunderbolt reste plus largement diffusé, tout en laissant l’option OCuLink pour les configurations qui privilégient une liaison PCIe directe à bande passante élevée.
Le produit n’apparaît pas encore sur le site global de la marque. Il a toutefois été présenté parmi les nouveautés de l’IT Week au Japon, signe qu’un lancement approche, mais sans calendrier public ni tarif pour le moment.
Dans la même thématique : Découvrez le Dock eGPU Thunderbolt 5 Humbird 3 avec écran intégré, charge sans fil et GPU jusqu’à RTX 5080
Source : VideoCardz
Cap franchi pour l’overclocking mémoire DDR5 : le célèbre overclocker Sergmann a atteint 13010 MT/s, un nouveau record mondial signé sur la carte mère Gigabyte Z890 AORUS Tachyon Ice avec de la mémoire Corsair et des processeurs Intel Core Ultra.
D’après Gigabyte, les trois meilleures fréquences DDR5 au monde ont été obtenues sur la Z890 AORUS Tachyon Ice. Une domination qui doit beaucoup au travail conjoint du vétéran HiCookie et d’élites de la scène, dont Sergmann. Le constructeur parle d’un jalon « inédit à 13010 MT/s », un chiffre qui valide la maturité de sa plateforme dédiée à l’extrême.
La carte mise sur une alimentation entièrement numérique pour une délivrance de puissance propre et stable, cruciale à ces paliers. Son kit d’outils d’overclocking embarqué regroupe raccourcis, interrupteurs et mesures de tension pour affiner les réglages en direct. Rien d’étonnant à ce que la Tachyon Ice occupe les places 1, 2 et 3 du classement mémoire de HWBOT, confirmant une constance rare à ce niveau.
Pour consulter les soumissions officielles : Top 1 : HWBOT 5909834 ; Top 2 : HWBOT 5912524 ; Top 3 : HWBOT 5899249. Il faut dire que chaque aspect de la Tachyon Ice a été pensé pour les scénarios extrêmes, ce qui facilite ces envolées de fréquence.
Reste à voir si la concurrence parviendra à reprendre la main sur ce segment très pointu. Pour l’heure, la Z890 AORUS Tachyon Ice installe un nouveau standard en DDR5 et signe un triplé mondial qui marque les esprits.
Source : TechPowerUp
Un clavier 75 % qui parle aux compétiteurs : le YUNZII RT75 PRO arrive avec un double polling 8K en filaire et en 2,4 GHz, des switches magnétiques et un vrai mode rapid trigger. Il faut dire que la fiche technique coche beaucoup de cases pour l’e-sport comme pour le setup du quotidien.
Selon YUNZII, le RT75 PRO atteint un polling 8000 Hz en USB-C comme en 2,4G, avec une latence annoncée de 0,1 ms en filaire et 1 ms en sans-fil. Le clavier s’appuie sur des switches à effet Hall, compatibles hot-swap avec d’autres modèles magnétiques, dont Gateron.
Triple mode au programme : USB-C, 2,4G et Bluetooth, avec N-key rollover et un scan rate de 128K. La marque résume la promesse en une phrase : « Dual 8K polling rate pour une précision fulgurante ».
La personnalisation passe par un Web Driver maison : remappage, macros, effets RGB, mais aussi des fonctions avancées comme TGL, SOCD, DKS et MT. Reste à voir si l’interface suivra en stabilité, mais sur le papier, l’arsenal est complet.
Le châssis 75 % (81 touches) vise l’efficacité sans sacrifier les indispensables. Les LED orientées au sud profitent d’un rafraîchissement de 500 Hz pour des effets RGB fluides, synchronisables avec la musique en mode filaire. Chaque touche peut recevoir un motif lumineux dédié via le Web Driver.
Côté son, cinq couches d’amortissement sont intégrées : silicone, IXPE, PET et mousses absorbantes. Objectif : un timbre « crémeux » et moins de bruits parasites, afin d’alterner jeu intensif et bureautique sans gêner l’entourage. Les keycaps en PBT promettent par ailleurs une bonne tenue dans le temps. L’autonomie est confiée à une batterie de 8000 mAh, de quoi envisager de longues sessions en sans-fil.
Côté compatibilité, le RT75 PRO bascule entre Windows, macOS et Android. En filaire, le 8000 Hz cible l’ultra-faible latence ; en 2,4G, la marque vise la stabilité en déplacement. Le tout est proposé en finitions noir et rose, avec une lanière amovible en prime. D’après la fiche du site officiel, le tarif est de 79,99 $, soit environ 75 € hors taxes….bien en-deçà des 260 € du ASUS ROG Azoth 75.