iOS 26 passe la première.

La plateforme sociale X révolutionne l’acquisition d’identifiants utilisateurs en lançant une marketplace dédiée permettant aux abonnés Premium d’acheter des noms d’utilisateur inactifs. L’initiative propose deux catégories distinctes : les handles « Priority » accessibles gratuitement aux abonnés Premium+ et Business, et les handles « Rare » disponibles via des enchères publiques ou des achats directs ... Lire plus

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Trente ans après sa première diffusion, Magic Knight Rayearth s’apprête à reconquérir les écrans avec une toute nouvelle adaptation animée prévue pour 2026. L’annonce de ce retour marque un événement majeur pour les amateurs d’anime isekai, particulièrement ceux qui ont grandi avec cette œuvre pionnière du genre. Créée par le célèbre groupe CLAMP, la série ... Lire plus

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Malgré son triomphe commercial indéniable, Battlefield 6 suscite des débats passionnés au sein de sa communauté. Le titre a écoulé sept millions d’exemplaires durant son premier week-end, un chiffre probablement dépassé depuis grâce au bouche-à-oreille positif. La première saison démarre ce mois-ci avec son lot de cartes, modes et armements inédits qui consolideront certainement la ... Lire plus

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Le manga de Gege Akutami a conclu son histoire récemment, mais l’adaptation animée poursuit sa route triomphale. La troisième saison débarquera en janvier 2026 pour continuer après le traumatisant Shibuya Incident. Cet arc dévastateur a fracturé l’univers des exorcistes et propulsé la narration vers des sommets de noirceur rarement atteints dans le shônen moderne. Avec ... Lire plus

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Les séries de zombies pullulent sur les plateformes de streaming : personnages stéréotypés, rebondissements prévisibles, romances forcées au milieu du chaos apocalyptique. Pourtant, une production Netflix se démarque radicalement en ignorant délibérément tous ces clichés. Son approche privilégie la survie brute face à un effondrement permanent de la civilisation. Personne ne possède de super-pouvoirs, impossible ... Lire plus

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Presque un an après son lancement, Marvel Rivals s’apprête à révolutionner son expérience de jeu avec l’introduction de son tout premier mode PvE (joueur contre environnement). Baptisé « Marvel Zombies », ce nouveau contenu marque une collaboration stratégique avec Marvel Animation, s’inspirant directement de la récente série animée Disney+ du même nom. L’initiative témoigne de ... Lire plus

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Les neurones communiquent entre eux d’une manière insoupçonnée jusqu’alors. Grâce à la microscopie à super-résolution, des chercheurs ont identifié un type entièrement nouveau de connexion cérébrale chez la souris comme chez l’humain. Minhyeok Chang et son équipe de l’université Johns Hopkins ont repéré de minuscules ponts tubulaires reliant directement les extrémités ramifiées des cellules nerveuses ... Lire plus

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La vitesse à laquelle les personnes âgées perdent leurs dents pourrait révéler bien davantage qu’un simple problème bucco-dentaire. Une vaste étude établit désormais un lien entre la rapidité de cette perte et les risques de décès prématuré, soulignant ainsi l’importance cruciale d’une hygiène buccale rigoureuse. Au-delà de l’aspect esthétique ou fonctionnel, perdre ses dents constituerait ... Lire plus

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Maux de tête, oublis passagers ou égarement de téléphone : autant de désagréments banals du quotidien. Pourtant, dans de rares situations, ces manifestations peuvent révéler une pathologie bien plus grave qu’il n’y paraît. Des travaux menés auprès de patients diagnostiqués montrent comment certains signaux d’alerte passent facilement inaperçus, tant pour les malades que pour les ... Lire plus

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Le milliardaire Elon Musk a encore frappé. Avec humour et ambition, il a dévoilé “Macrohard”, un nouveau projet de plateforme logicielle développé au sein de son entreprise xAI. En combinant les stratégies d’Apple et de Microsoft, cette initiative vise à redéfinir les frontières entre intelligence artificielle, design et production numérique. Un projet ambitieux au croisement ... Lire plus

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OpenAI change de braquet avec ChatGPT en 2025 : apps tierces intégrées dans le chat, paiements en un clic, plans à bas coût en Asie et cap des 800 millions d’utilisateurs hebdomadaires. Une montée en puissance qui redessine aussi l’architecture matérielle derrière l’IA.

Des applications interactives directement dans ChatGPT

D’après les dernières annonces, les développeurs peuvent désormais créer des applications interactives directement dans ChatGPT, avec un SDK dédié. Côté e‑commerce, un parcours d’achat intégré arrive (Etsy et bientôt plus d’un million de boutiques Shopify), et un partenariat avec Walmart doit permettre de rechercher, planifier des repas et acheter sans quitter la conversation. OpenAI pousse aussi Pulse, un briefing matinal personnalisé, et un mode Étude pour inciter à raisonner plutôt qu’à copier/coller des réponses.

ChatGPT Go s’étend à l’Asie

Pour les budgets serrés, le plan ChatGPT Go s’étend à l’Asie (moins de 5 dollars selon les pays). En France/Europe, prix et disponibilité ne sont pas précisés à ce stade. En parallèle, OpenAI renforce les contrôles pour les moins de 18 ans (contenus sensibles, heures calmes, restrictions de fonctionnalités) après des cas qui ont fait polémique.

Côté génération d’images et de voix, l’assistant vocal devient plus naturel et ChatGPT centralise les créations via une nouvelle « bibliothèque ». On note aussi l’arrivée de connecteurs (Google Drive, Box…) et d’un enregistrement de réunions pour mieux exploiter ses propres données.

Comme le résume Sam Altman, « ChatGPT now has 800 million weekly active users », un jalon qui s’accompagne d’une course à la capacité et aux puces, selon le patron d’OpenAI.

OpenAI vs les autres

Face à Google et Amazon, OpenAI tente une approche « agentique » du shopping (recherche, recommandation et paiement unifiés). Côté code, le nouveau GPT‑5‑Codex vise les tâches longues et complexes, en concurrence de Claude Code, Cursor ou GitHub Copilot.

Enjeux pour l’écosystème et le hardware

Il faut dire que la croissance de ChatGPT repose sur une infrastructure toujours plus musclée. OpenAI, gros client de GPU Nvidia, commence aussi à s’appuyer sur les puces IA de Google pour soulager la demande. Dans le même temps, un projet de méga‑datacenter avec Oracle et SoftBank est évoqué, tandis que la société chercherait à lever des fonds massifs.

Implication pratique pour l’utlisateur

Plus d’IA « temps réel » implique des besoins en accélération toujours plus élevés côté cloud, mais aussi des intégrations logicielles plus poussées sur PC (outils de dev, connecteurs, agents). À court terme, c’est surtout la productivité qui grimpe (génération de slides, navigation calendrier, refactorisation) ; à moyen terme, l’agent généraliste pourrait automatiser des pans entiers de workflow, y compris pour les monteurs et créateurs de contenu.

Enfin, l’ouverture d’un store d’apps in‑chat pourrait rebattre les cartes face aux extensions navigateur et aux assistants concurrents.

Factuelle : selon Apptopia, ChatGPT mobile lève le pied. Les téléchargements progressent moins vite et l’usage quotidien semble se tasser, malgré des millions d’installations chaque jour.

Ce que disent les chiffres sur ChatGPT mobile App

D’après les estimations d’Apptopia, la croissance des nouveaux téléchargements ralentit depuis avril. En octobre (mois en cours), le rythme serait en baisse de 8,1% en variation mensuelle. Côté usage, la courbe des DAU mondiaux s’aplatit, et aux États-Unis le temps moyen passé par utilisateur recule de 22,5% depuis juillet tandis que les sessions moyennes chutent de 20,7%.

Autrement dit, les Américains ouvrent l’app moins souvent et y passent moins de temps. Le churn, lui, se stabilise, ce qui laisse penser que le cœur d’utilisateurs reste en place, avec moins de curieux de passage. Comme le résume Apptopia, « the numbers have begun to even out over the past month or so » (Apptopia).

Il faut dire que la concurrence s’intensifie. Google Gemini a grimpé dans les classements en septembre avec son modèle image Nano Banana. Apptopia souligne toutefois que la baisse d’engagement de ChatGPT avait commencé avant cette poussée de Gemini. Par ailleurs, les ajustements de modèle côté OpenAI pourraient jouer : l’app a été modifiée au printemps pour rendre l’IA moins “servile”, et GPT-5 serait aussi « moins personable » selon les premières analyses publiques.

A lire : GPT-5 : Percées Mathématiques Contestées Par Les Pros

Pourquoi ça cale et ce que ça change

Apptopia avance un scénario simple : la phase d’expérimentation serait passée, l’app s’installe dans la routine. Si seul le temps par session baissait, on pourrait parler d’efficacité accrue. Or, avec le recul simultané des sessions, on observe surtout un usage plus sporadique. Pour OpenAI, la suite passerait par du marketing ou des nouveautés marquantes pour relancer la dynamique.

Face à Gemini, ChatGPT voit son engagement reculer alors que l’app de Google a connu un pic récent. il faut s’attendre à des changements de « personnalité » des modèles et, potentiellement, à de nouvelles fonctions pour regagner en attractivité.

Source : Techcrunch

La course à la mémoire pour l’IA s’accélère : JEDEC s’apprête à boucler JESD328, un standard de modules LPDDR5/5X au format SOCAMM2 pensé pour les serveurs. Objectif affiché : un format compact, modulaire et économe en énergie pour soutenir des charges d’entraînement et d’inférence toujours plus lourdes.

SOCAMM2 avec LPDDR5X en module

D’après les premières informations, le futur JESD328 SOCAMM2 définira un module LPDDR5/5X à faible profil (Small Outline CAMM2) adapté aux châssis denses des data centers. Le format vise la pleine vitesse LPDDR5X, avec des configurations jusqu’à 9,6 Gb/s par pin quand l’intégrité du signal le permet. Il faut dire que la LPDDR reste une arme de choix pour réduire consommation et besoins en refroidissement, un point critique quand les clusters IA grimpent en puissance.

JEDEC insiste aussi sur la maintenabilité : SOCAMM2 intègrerait un dispositif SPD pour l’identification du module et de la télémétrie, assorti de filières de qualification visant des cibles de fiabilité « enterprise ». On remarque une convergence avec les attentes des exploitants, à savoir plus de contrôle sur l’inventaire et l’état des barrettes, sans sacrifier la compacité.

En filigrane, le calendrier reste à confirmer, mais l’écosystème serveur pousse fort. Par rapport aux DIMM DDR5 traditionnels, l’approche LPDDR5X/SOCAMM2 promet des gains nets en efficacité énergétique, tout en acceptant un compromis sur la latence brute. Face aux alternatives haut de gamme comme la HBM, SOCAMM2 pourrait jouer la carte du rapport performance/watt et de la capacité par nœud, un cran en dessous en bande passante mais bien plus accessible et modulaire.

Les membres du JEDEC participent activement à l’élaboration des normes qui définiront les modules de nouvelle génération.

Mian Quddus, président du board JEDEC et du comité JC-45.

On n’est pas étonné : la standardisation devient un passage obligé pour industrialiser l’IA en data center et contenir les coûts d’exploitation.

Ce que cela change sur le terrain

Concrètement, pour les intégrateurs et opérateurs de serveurs IA, SOCAMM2 pourrait offrir une voie standard à des configurations à grande capacité, avec un design mécanique optimisé pour les cartes mères denses. Côté disponibilité, il faudra surveiller les premiers OEM une fois la norme publiée.

Pour la majorité des lecteurs de Pause Hardware, joueurs et monteurs PC inclus, l’impact sera indirect à court terme car ce format vise les racks, pas le desktop. Mais la maturité de la LPDDR5X en module pourrait inspirer des plateformes compactes et créatives (workstations basse conso, edge AI), à suivre.

Selon JEDEC, SOCAMM2 doit « fournir une plateforme mémoire modulaire, basse consommation et à haut débit » pour CPU serveurs IA et compute accéléré. Reste à voir la cadence d’adoption chez les fabricants de cartes et d’OS pour tirer parti de la télémétrie SPD et des profils de fiabilité annoncés.

Source : TechPowerUp

Aujourd’hui, une panne d’AWS a touché près de la moitié d’internet, rendant de nombreuses applications et services indisponibles. Heureusement, nous constatons un retour progressif à la normale, permettant à de grands services de jeux comme Fortnite, Roblox et PSN de redémarrer. État des services Actuellement, Epic Games indique sur son site de statut que « Tous […]

Un nouveau candidat pour les amateurs de frags nerveux et de butin à gogo se précise : Second Sun vise clairement les fans d’old-school shooters et d’ARPG, tout en promettant une boucle simple et efficace. Selon l’éditeur, le FPS sortira sur PC (Steam) le 5 novembre 2025 avec un lancement à -15 % (comptez une réduction équivalente en euros, à confirmer suivant la région).

Un FPS qui mélange les genres sans complexe

D’après Iceberg Interactive et le studio Grey Wolf Entertainment, Second Sun mise sur un cocktail loot-and-shoot, progression RPG et touches d’open world.

Les repères de la carte seraient fixes, mais les donjons sont générés de façon procédurale à chaque nouvelle partie, de quoi renouveler les runs. Le cœur du gameplay repose sur le mouvement et l’action rapide, un choix qui n’étonnera pas ceux qui suivent le retour en grâce des shooters à l’ancienne.

La promesse est claire : « Kill. Loot. Upgrade. » résume la présentation officielle. Le jeu revendique un univers où magie et armes cohabitent, avec une progression orientée équipement et montée en puissance. On remarque aussi une communication volontairement elliptique sur l’ampleur de l’open world et la profondeur scénaristique, des points qu’il faudra surveiller de près au lancement.

Ce que cela change pour les joueurs PC

Pour le public PC, l’intérêt est double : un FPS au rythme soutenu et des donjons procéduraux pour varier les runs. Si le mix ARPG tient ses promesses, on pourrait tenir un titre idéal pour des sessions courtes comme pour du theorycrafting d’équipement.

À noter, la fenêtre de sortie fixée au 5 novembre 2025 sur Steam, avec une ristourne de lancement de 15 % (prix non précisé encore).

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Un lancement à surveiller

Iceberg Interactive et Grey Wolf appellent à « rester à l’écoute » avant la bataille, avec un ton quasi prophétique autour de l’univers du jeu. « As the second sun dims and the shadows rise », écrivent-ils, histoire de planter l’ambiance. Reste à voir si la mobilité et le loot s’imbriquent réellement comme annoncé, sans sacrifier la lisibilité ni l’équilibrage.

Source : TechPowerUp

Meta AI enregistre un bond spectaculaire : l’arrivée du flux vidéo « Vibes » semble propulser l’app à 2,7 millions d’utilisateurs actifs quotidiens et environ 300 000 installations par jour, d’après Similarweb.

Usage en forte hausse après l’arrivée de Vibes

Le timing intrigue. Lancé fin septembre, Vibes injecte des vidéos courtes générées par IA dans l’app mobile de Meta. Dans les quatre semaines suivantes, les actifs quotidiens iOS/Android seraient passés d’environ 775 000 à 2,7 millions. Les téléchargements quotidiens, eux, grimperaient de moins de 200 000 à 300 000. Un an plus tôt jour pour jour, on parlait d’à peine 4 000 téléchargements journaliers.

Similarweb ne détecte pas de corrélation nette côté recherche ou publicité payante. Il est possible que des campagnes internes Facebook/Instagram aient joué, mais ce levier n’apparaît pas dans leur modèle. S’ajoute un facteur d’environnement : l’exposition médiatique de Sora, l’outil vidéo d’OpenAI, aurait pu inciter des curieux à tester l’alternative de Meta ou à comparer les expériences, d’autant que Sora reste en accès restreint.

La dynamique ne se voit pas partout. Au 17 octobre, Similarweb observe une hausse globale de 15,58 % des actifs quotidiens pour l’app Meta AI, tandis que ChatGPT, Grok et Perplexity reculeraient respectivement de 3,51 %, 7,35 % et 2,29 % sur la même période. « daily active users jumped to 2.7 million as of October 17 », résume Similarweb.

On remarque enfin que Vibes capitalise sur des formats familiers façon short video, mais appliqués au contenu généré par IA. Rien d’étonnant à ce que la courbe d’adoption s’en ressentisse : l’expérience est immédiatement consommable sur mobile, sans barrière matérielle, là où la génération vidéo locale reste coûteuse en GPU côté PC.

Lire aussi : Deepfake de Chuck Schumer : les Républicains du Sénat défient la modération de X

Ce que ça change pour les utilisateurs

Face à Sora, l’app de Meta profite d’un accès libre là où l’outil d’OpenAI demeure réservé sur invitation. Pour les utilisateurs, cette traction pourrait accélérer l’arrivée d’outils IA vidéo sur desktop, mais la création locale exigera toujours des GPU costauds et une optimisation logicielle. À court terme, l’intérêt est surtout côté consultation et expérimentation rapide, pas encore sur la production avancée sur PC.

Source : Techcrunch

CVE-2025-11001 et CVE-2025-11002 : deux failles de sécurité de type path traversal ont été patchées dans 7-Zip pour Windows. Comment se protéger ?

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Ce lundi 20 octobre 2025, une panne majeure dans la région US-EAST-1 d'AWS a eu un impact sur des services populaires : Canva, Fortnite, Slack, Zoom, etc.

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Microsoft a corrigé une faille de sécurité critique dans le framework ASP.NET Core : CVE-2025-55315. Quels sont les risques ? Comment se protéger ?

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Dans le cadre de la campagne Zero Disco, les pirates ciblent les équipements Cisco via une faille de sécurité (CVE-2025-20352) pour déployer des rootkits.

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Le problème d'accès localhost présent sur Windows 11 suite à l'installation de la mise à jour d'octobre 2025 a été résolu. Il affecte aussi Windows Server 2025.

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La gamme de processeurs Raptor Lake d’Intel a suscité de nombreux retours mitigés. Mais ces modèles restent-ils des choix pertinents aujourd’hui ? Un YouTuber a récemment exploré cette question. Processeurs Intel 14e et 13e Génération : Prix en Chute Libre sur le Marché de l’Occasion Les consommateurs sont bien conscients des problèmes d’*instabilité* rencontrés avec […]

Google pousse l’accélération GPU dans le cloud un cran plus loin : les nouvelles VMs Google Cloud G4, équipées de la RTX PRO 6000 Blackwell (édition serveur), sont désormais disponibles. De quoi viser autant l’IA générative que le rendu 3D et la simulation industrielle.

Google Cloud G4 : Un socle unique pour IA, rendu et simulation

Au cœur de ces instances, on retrouve l’architecture Blackwell et un combo taillé pour les charges mixtes : Tensors de 5e génération (prise en charge du FP4 pour maximiser les perfs d’inférence avec une empreinte mémoire réduite) et RT Cores de 4e génération (ray tracing temps réel annoncé plus de deux fois plus rapide que la gen précédente). Les Google Cloud G4 peuvent monter jusqu’à huit RTX PRO 6000 avec 768 Go de GDDR7 au total, appuyées par du stockage local et réseau à haut débit.

Google met en avant l’intégration native aux briques maison du « AI Hypercomputer » : GKE pour orchestrer le conteneur, Vertex AI pour MLOps, et Dataproc pour accélérer Spark/Hadoop. Côté applicatifs, on retrouve les classiques du design/ingénierie (Autodesk AutoCAD, Blender, Dassault SolidWorks) en plus des stacks NVIDIA.

Exemple d’usage cité par NVIDIA : WPP exploiterait Omniverse sur G4 pour générer des environnements 3D publicitaires photo-réalistes à l’échelle, tandis qu’Altair accélérerait ses workflows de simulation et CFD via Altair One. « Ce puissant ensemble crée une plateforme multi‑workloads », affirme NVIDIA/Google Cloud.

Omniverse et Isaac Sim: cap sur la “physical AI”

Autre brique clé : Omniverse et Isaac Sim arrivent en images VM prêtes à l’emploi sur la Marketplace Google Cloud.

D’après les informations partagées, les entreprises pourraient bâtir des jumeaux numériques (OpenUSD, Cosmos, Blueprints) pour optimiser usines et produits, et accélérer le développement robotique en simulant, entraînant et validant des agents dans des environnements physiques virtuels avant déploiement. On remarque que cette offre vise directement l’industrie, l’auto et la logistique.

Ce que ça change pour les équipes IA/3D

Pour les data/ML engineers, ces G4 semblent adaptées à l’inférence multimodale et aux agents IA (Nemotron, Blueprints, NIM pour l’inférence sécurisée). Pour les chercheurs HPC, NVIDIA évoque jusqu’à 6,8× de débit en génomique par rapport à la génération précédente, à prendre comme ordre d’idée.

Et pour les studios/designers, RTX Virtual Workstation transforme les G4 en stations distantes haute performance accessibles depuis n’importe quel device. Il faut dire que l’unification Blackwell du cloud Google (des A4/A4X pour l’entrainement massif jusqu’aux G4 pour l’inférence et le visuel) simplifie les pipelines bout‑à‑bout.

Et le tarif ?

Pas d’indication de tarif public à ce stade (non précisé). Attendez-vous tout de même à une facturation premium sur des profils 8×GPU, avec des coûts variables selon région et stockage. Pour les PME comme pour les grands comptes, l’intérêt réside surtout dans la flexibilité: scaler vite, standardiser les stacks, et éviter l’investissement upfront en stations locales très haut de gamme.

Source : TechPowerUp