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Apple veut remplacer ces employés par des robots
AirPods Pro 3 : un lancement sans cette fonctionnalité clé ?
DxO annonce PhotoLab 9, la nouvelle mouture de son logiciel de traitement photo
C'est traditionnellement en septembre que la société Française DxO Labs, révèle la nouvelle itération de PhotoLab, un logiciel qui permet de traiter efficacement les fichiers RAW, que cela passe par la correction optique au débruitage, mais également la retouche de la colorimétrie locale entre autre...
Test du TP-Link Deco BE65-5G - Quand la 5G débarque dans votre salon
On a tous au moins un pote qui change de box Internet tous les 6 mois en espérant que ça règle ses problèmes de lag sur Call of Duty, mais une fois n’est pas coutume, je vais vous spoiler… c’est rarement la box le problème !
Alors quand TP-Link m’a envoyé son nouveau Deco BE65-5G, j’avoue que j’étais curieux de voir si cette fois, on tenait vraiment quelque chose de différent. Parce que sur le papier, ce truc cumule tellement de buzzwords que j’ai cru lire un pitch de startup : Wi-Fi 7, modem 5G intégré, mesh, MLO, 9 Gbps de débit théorique… Mais non, tout ça existe vraiment dans une seule boîte qui ressemble à un pot de fleurs design.
Tout d’abord y’a un truc qu’on voit encore trop rarement, c’est cette histoire de MLO (Multi-Link Operation). En gros, selon TP-Link , votre appareil peut se connecter simultanément sur les bandes 2.4 GHz, 5 GHz et 6 GHz. C’est comme si vous preniez trois autoroutes en même temps au lieu d’une seule. Il promette ainsi une latence de 1ms maintenue même sur les applications les plus gourmandes.
Notez que je vis dans une grande baraque avec des murs très épais ce qui n’est pas génial pour le Wifi et mon setup actuel, c’est déjà tout un tas de routeurs Deco plus anciens dont je suis très content. Donc quand j’ai ajouté, celui-ci, ça s’est fait sans douleurs… On lance l’app Deco sur son smartphone, on ajoute le routeur et c’est fini !
Mais là où ça devient intéressant c’est qu’on peut y insérer une carte SIM. Car oui, bizarrement, ce dernier a un slot pour carte SIM 5G/4G, d’où le “5G” dans le nom de l’appareil mes petits sherlock. J’ai donc mis ma carte Bouygues dedans et hop, backup Internet instantané. Si vous le branchez sur un onduleur, vous devenez internetement invincible !!! En tout cas, pour moi qui me prendre régulièrement la foudre ou des coupures de courant, c’est quand même cool, d’avoir le temps de dire au revoir à ses viewers Twitch avant d’aller remettre les plombs.
Au niveau débits, ce routeur n’est pas en reste puisque TP-Link annonce des pointes à 9 214 Mbps en WiFi 7 tri-bande. Alors oui, c’est du théorique hein, personne n’atteindra jamais ça dans la vraie vie. Mais concrètement, on a 5 765 Mbps sur la bande 6 GHz (celle que personne n’utilise encore), 2 882 Mbps sur le 5 GHz et 574 Mbps sur le bon vieux 2.4 GHz. Dans mon cas, avec ma fibre 2 Gbps, j’ai enfin un routeur qui ne bride pas ma connexion. Et côté 5G, on peut monter jusqu’à 3,4 Gbit/s en théorie (j’ai tapé dans les 800 Mbps avec ma SIM Bouygues, ce qui reste honorable). La latence promise de 1ms, elle, je l’ai bien vue sur les jeux, et ça fait une vraie différence quand on stream en même temps.
Niveau performances pures, le Qualcomm Network Pro 620 qui est dedans fait très bien le job. C’est un quad-core ARM-A73 à 2.2 GHz, et c’est deux fois plus puissant que la génération précédente. En pratique, ça veut dire que même avec 50 appareils connectés (j’ai compté, entre les ampoules connectées, les caméras, les smartphones, les ordis, la console, on y est très vite…), le routeur ne bronche pas. D’ailleurs, TP-Link annonce qu’il peut gérer plus de 200 appareils simultanément, mais bon, je n’ai pas encore assez de gadgets pour tester ça !
Ses trois ports 2.5 Gbps, sont également un vrai plus. J’ai branché mon NAS Synology sur l’un d’eux, et les transferts de fichiers sont un plaisir. Avant, je plafonnais à 110 Mo/s avec mon ancien setup. Là, je tape dans les 280 Mo/s en lecture. Pour ceux qui bossent avec des gros fichiers, c’est le jour et la nuit. Même chose pour les caméras. J’y ai connecté un récepteur Arlo pour mes cameras et c’est fluide de fou.
Le port USB 3.0, par contre, je suis mitigé. C’est sympa pour brancher un disque dur et faire du partage réseau simple, mais les performances sont moyennes et les fonctionnalités limitées. Pas de serveur Plex ou de trucs avancés vous vous en doutez, donc c’est vraiment du dépannage pour mettre un disque vite fait sur le réseau par exemple. Y’a même des prises pour y connecter une antenne supplémentaire.
Après même si je ne joue pas, mes enfants oui, et donc pour les gamers, le MLO change vraiment la donne. Cette techno utilise la 4K-QAM qui booste les débits théoriques de 20% par rapport au WiFi 6. Le QoS (Quality of Service) dans l’app permet aussi de prioriser la console ou le PC gaming, et ça marche vraiment bien comme ça, plus de lag quand quelqu’un lance Netflix en 4K sur le projo du salon. Les canaux de 320 MHz sur la bande 6 GHz, c’est aussi un game changer pour ceux qui ont des appareils compatibles.
Les fonctions de sécurité avec TP-Link HomeShield, aussi c’est du classique mais c’est bien foutu. L’antivirus intégré, le contrôle parental, la détection d’intrusion…etc. La version de base est gratuite et largement suffisante mais la version Pro à 5€ / mois ajoute des trucs cools comme le blocage de sites malveillants et des rapports détaillés. On peut s’en passer, sauf si vous avez des enfants un peu trop malins. Bonus appréciable, il y a même un support VPN client intégré (OpenVPN, PPTP, L2TP/IPSec) et la possibilité de créer un réseau IoT séparé avec du WPA3, pratique pour isoler vos caméras et ampoules connectées du reste.
Parlons également un peu du prix maintenant. Le BE65-5G démarre à 550 € , ce qui n’est pas donné. Mais quand on compare au combo box fibre + routeur Wi-Fi 6 correct + modem 4G/5G de backup, on arrive vite au même tarif. Et là, vous avez tout dans un seul appareil qui ne prend pas toute la place sur votre meuble TV.
Maintenant, si je devais trouver des défauts (parce qu’il en faut bien), je dirais que l’absence de Wi-Fi 6E est un peu dommage pour un produit à ce prix. Certes, le Wi-Fi 7 est rétrocompatible, mais certains appareils Wi-Fi 6E auraient pu profiter de la bande 6 GHz sans avoir besoin du Wi-Fi 7 complet. Aussi, avec une seule unité, la couverture reste limitée, donc faudra en acheter plusieurs si vous avez de la surface.
L’autre point qui pourrait déranger certains, c’est la gestion 100% via app mobile. Pas moyen d’accéder aux réglages depuis un navigateur web donc pour les bidouilleurs que nous sommes, qui aimons les interfaces complexes avec 50 onglets de configuration, c’est un frustrant. Mais bon, pour la plupart des utilisateurs, l’app fait très bien le job et elle est plutôt bien fichue. D’autant qu’elle est compatible avec Alexa et Google Assistant pour le contrôle vocal, si c’est votre truc.
Bref, au final, après trois semaines d’utilisation intensive, je suis comme d’hab hyper friant de ce nouveau Deco BE65-5G. Ce n’est clairement pas pour tout le monde à ce prix, mais pour ceux qui veulent du réseau solide avec un backup 5G intégré et les dernières technos Wi-Fi, c’est du costaud sans parler des performances et de la stabilité au top. Puis le combo Wi-Fi 7 + 5G, même si c’est pas tout le temps utile, ça offre une flexibilité pour ceux qui sont qui n’ont pas de fibre ou qui subissent des coupures (ou partent souvent en vacances).
Du coup, si vous êtes en télétravail, que vous streamez, que vous jouez en ligne et que vous voulez une solution tout-en-un sans vous prendre la tête, c’est un grand oui. Mais si vous cherchez juste à améliorer le Wi-Fi pour surfer sur Facebook, passez votre chemin et prenez un Deco X50 à 80 €, ça fera largement l’affaire.
Moi, en tout cas, je le garde parce que maintenant, j’ai enfin du Wi-Fi dans les toilettes (priorité absolue, on est d’accord) !
Python - Comment un petit projet de Noël est devenu le langage de l'IA et de la science
Y’a pas une semaine qui passe sans que je code un petit peu de Python, alors quand je suis tombé sur ce documentaire que Cult.Repo vient de sortir , je me suis dit que c’était l’occasion d’en apprendre un peu plus sur ce langage qui fait tourner l’IA chez Google, Meta et OpenAI, et qui (je viens de l’apprendre) a commencé comme un projet de vacances. Guido van Rossum son créateur cherchait juste un truc pour s’occuper pendant les vacances de Noël en 1989. Son bureau était fermé, il s’ennuyait, alors il a pondu les bases d’un nouveau langage en deux semaines. Pour le fun.
Le documentaire montre vraiment bien comment ce petit projet perso est devenu un monstre. Au départ, van Rossum bossait au CWI à Amsterdam sur un langage appelé ABC, sauf qu’ABC avait plein de défauts et surtout, impossible de l’étendre. Python, c’était donc sa revanche… prendre le meilleur d’ABC (comme l’indentation pour structurer le code) et virer tout ce qui l’énervait.
Le nom Python, d’ailleurs, ça n’a rien à voir avec le serpent. Van Rossum était fan des Monty Python. Il cherchait un nom court, mystérieux, et il lisait les scripts de la série à ce moment-là. Voilà donc comment le langage le plus utilisé au monde a hérité du nom d’une troupe de comiques britanniques.
Un fait marquant dans cette histoire, c’est la crise de 2018. Le 12 juillet 2018, Guido van Rossum a tout plaqué . Il était le “Benevolent Dictator For Life” (BDFL) de Python depuis le début, et là, pouf, terminé.
La raison ? Une discussion autour de la PEP 572, qui proposait d’ajouter l’opérateur walrus (:=) à Python. Les échanges sont devenus tellement toxiques sur les mailing-lists que van Rossum a craqué. Il a dit en gros : “J’en ai marre de me battre pour mes décisions et de voir que tout le monde les déteste. Je me casse.” On dirait moi quand je me suis cassé des réseaux sociaux ^^.
Cette histoire de PEP 572, c’était pas juste une dispute technique. C’était l’une des pires discussions de l’histoire de Python , avec des threads énormes sur plusieurs mailing-lists et des sondages. Les développeurs trouvaient que ça allait contre la philosophie de Python, c’est à dire la simplicité avant la complexité et Van Rossum a fini par avoir gain de cause, mais le prix à payer était trop élevé.
Ce qui est fascinant, c’est que Python a survécu à cette crise. Van Rossum n’a pas nommé de successeur et a laissé la communauté se débrouiller. Les 100-200 développeurs avec droits de commit ont alors dû créer un nouveau modèle de gouvernance avec comme deadlines le 1er octobre 2018 pour les propositions, et le 1er novembre pour voter. Et ça a marché.
Notez que Van Rossum est resté dans le Steering Council de Python jusqu’en 2019, puis s’est retiré des nominations pour 2020. Mais il reste confiant sur l’avenir et dit que la communauté Python est solide, avec un noyau dur dynamique, et qu’il ne serait jamais parti s’il pensait qu’ils ne pourraient pas guider le langage pendant encore des décennies.
Cult.Repo prépare déjà des documentaires sur Vite (qui sort le 9 octobre à Amsterdam) et C++ . Si c’est du même niveau que celui sur Python, ça vaut le coup d’œil. Bref, si vous codez en Python ou si vous vous intéressez à l’histoire de la tech, regardez ce documentaire car c’est rare de voir les coulisses d’un langage de programmation racontées comme ça, avec les conflits, les personnalités et les décisions qui ont façonné cet outil qu’on utilise tous les jours.
VimMaster - Un jeu gratuit pour apprendre enfin à utiliser Vim !
Combien d’entre vous ont déjà ouvert Vim par accident en suivant un tuto et se sont retrouvés coincés dedans ? Moi, j’ai dû passer une bonne dizaine de minutes à tâtonner pour trouver une porte de sortie la première fois et après je suis passé sous “nano”. Heureusement, un génie du nom de renzorlive a conçu VimMaster , un jeu gratuit qui transforme cet apprentissage en une aventure ludique des plus passionnantes.
La beauté de VimMaster c’est qu’au lieu de vous assommer avec un pavé de 500 pages de documentation à la con ou de vous forcer à mémoriser des commandes abstraites, il vous fait tout simplement… jouer. Ce jeu comprend donc 16 niveaux progressifs et chaque défi vous permet de maîtriser une nouvelle compétence. Le petit plus c’est que vous pouvez y jouer directement dans votre navigateur, sans avoir à installer quoi que ce soit.
C’est du pur HTML/CSS/JavaScript, pas de framework à la mode, pas de dépendances npm lourdes comme un éléphant. Juste du code propre qui fait le job et au niveau du gameplay, c’est bien pensé. Car contrairement à d’autres outils qui se contentent de vérifier si vous appuyez sur les bonnes touches, VimMaster valide le résultat de chacune de vos actions.
Vous pouvez même arriver à un résultat identique et valide de différentes manières, comme dans le vrai Vim. Il y a même un mode Challenge chronométré pour ceux qui veulent se la jouer speedrun, et un Cheat Mode accessible avec Ctrl+/ pour les moments de désespoir.
Parmi les alternatives disponibles, on a Vim Adventures qui devient payant après quelques niveaux, VimGenius qui propose des flashcards chronométrées, ou VimHero avec ses tutoriels interactifs. Mais VimMaster se démarque surtout par sa simplicité et sa gratuité totale.
En plus, le système de progression est bien ficelé. Vous avez un profil avec des achievements, des badges à débloquer, et même la possibilité d’exporter/importer votre progression. Les cartes d’achievements sont générées dynamiquement en Canvas API et vous pouvez les partager sur les réseaux sociaux pour vous la raconter un petit peu.
Bref, si vous avez toujours voulu apprendre Vim sans vous arracher les cheveux, c’est le bon moment !
Vulners Lookup transforme votre navigateur en catalogue de vulnérabilités
Hier, j’étais en train de lire un bulletin de sécurité Microsoft (oui, je sais, passion de ouf) quand j’ai réalisé que je passais pas mal de temps à chercher des infos sur les CVE surtout que les mecs ne mettent pas forcement de liens pour en savoir plus. Bah ouais, la CVE-2024-21762, ça vous parle ? Non ? Normal, personne ne retient ces codes à la con. Mais avec l’extension Vulners Lookup que je viens de découvrir, c’est devenu carrément plus simple.
Le principe est tout bête… L’extension scanne automatiquement toutes les pages web que vous visitez et surligne en orange chaque identifiant CVE qu’elle trouve. Un simple survol avec la souris et boom, vous avez toutes les infos importantes dans une petite carte qui s’affiche : le score CVSS pour la sévérité, l’EPSS pour la probabilité d’exploitation, et même un Score IA qui estime l’impact réel. Comme ça, plus besoin d’ouvrir 15 onglets pour comprendre si une vulnérabilité est vraiment dangereuse ou si c’est juste du bruit.

Pour fonctionner, cette extension utilise la base de données Vulners.com qui agrège plus de 200 sources différentes. Vulners, c’est 250 Go de données sur les vulnérabilités, constamment mise à jour. Et pas besoin de vous créer un compte, pas d’abonnement, c’est gratuit et ça marche direct après l’install.
Pour les techos qui veulent aller plus loin, Vulners propose aussi une API REST pour intégrer ces données dans vos propres outils. Il y a même un plugin Nmap et une extension Burp Suite pour ceux qui font du pentest. Sans oublier la bibliothèque Python mise à jour en août dernier pour automatiser vos recherches de vulnérabilités.

Un truc cool aussi, c’est l’indicateur KEV (Known Exploited Vulnerabilities) qui vous dit si la vulnérabilité fait partie du catalogue CISA des vulnérabilités exploitées . C’est super utile pour prioriser entre une faille avec un CVSS élevé mais pas encore exploitée et une faille avec un score moyen mais activement utilisée…
Pour l’installer, c’est du classique, vous allez sur le Chrome Web Store , vous cliquez sur le bouton d’installation et c’est parti. L’extension demandera juste la permission de lire le contenu des pages pour détecter les CVE, rien de plus. Pas de tracking, pas de collecte de données perso, juste de la détection de patterns CVE-XXXX-XXXXX à l’ancienne.
Bref, pour ceux qui bossent dans la sécu (SOC, équipes IR, pentesters, DevSecOps), c’est clairement un truc à avoir pour éviter de jongler entre les onglets ou de maintenir des bookmarks de bases de vulnérabilités. Tout est accessible en un survol de souris, directement là où vous travaillez.
Amusez-vous bien !
Un logiciel de numérisation gratuit et open source (v 8.2.1)
Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
NAPS2 est un logiciel qui va vous permettre d'utiliser votre scanner sans avoir besoin de recourir au logiciel dédié du fabricant pas toujours évident à prendre en main, quand ce ne sont pas des problèmes de plantages ou de réinstallation.
NAPS2 (Not Another PDF Scanner 2) permet de scanner des documents certes, mais aussi de les éditer et de les convertir vers les formats PDF ou Images.
Vous pouvez créer des profils de numérisation facilitant l'usage au quotidien, comme par exemple un profil pour les photos, un profil pour les justificatifs, un profil standard, etc.
Il est compatible de Windows XP à Windows 11 et existe en version portable.
Je vous ai parlé de cette nouvelle version 8 pour la dernière fois au mois d'avril avec l'opus 8.2.0.
Une toute nouvelle mise à jour la 8.2.1 a été publiée le 30 août 2025.
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Un astéroïde gros comme un Boeing va nous frôler demain - Suivez le show en direct
Ce soir, pendant que vous serez tranquillement devant Netflix, un rocher de la taille d’un avion de ligne va nous frôler à une vitesse de 45 000 km/h. Mais pas de panique, car on parle quand même de 218 000 kilomètres de distance, soit environ la moitié de la distance Terre-Lune. L’astéroïde 2025 QD8 fait juste son petit passage touristique près de chez nous, et grâce au Virtual Telescope Project, vous allez pouvoir suivre ça en direct depuis votre canapé.
Le Virtual Telescope Project a déjà réussi à capturer une image de ce visiteur cosmique le 30 août dernier, alors qu’il était encore à 3,9 millions de kilomètres. Sur la photo prise avec leur télescope de 17 pouces surnommé “Elena” (J’ai eu une poule qui s’appelait comme ça…RIP), l’astéroïde n’est qu’un minuscule point perdu parmi les étoiles. Mais bon, c’est déjà pas mal d’avoir réussi à choper un caillou de 38 mètres de diamètre à cette distance !
Le moment crucial, c’est demain 3 septembre à 16h56 heure française (10h57 ET). C’est là que 2025 QD8 sera au plus proche de nous. Mais le stream YouTube démarre ce soir à 1h du matin (19h ET le 3 septembre) avec les télescopes robotisés installés à Manciano en Italie. Donc si vous êtes du genre couche-tard ou que vous avez une insomnie, c’est l’occasion parfaite de regarder un astéroïde en temps réel plutôt que de scroller bêtement sur TikTok à la recherche de Live avec des cassos encore plus cassos que vous.
Il parait qu’il y aura aussi des aurores boréales en France, donc vous pouvez faire d’une pierre, 2 coups, en passant le nez par la fenêtre (ne sautez pas !!).
Ce qui est rigolo (ou pas) avec ces passages d’astéroïdes, c’est qu’on en découvre de plus en plus. Selon la NASA , des dizaines de milliers d’astéroïdes ont des trajectoires qui les amènent près de l’orbite terrestre. Le système ATLAS, qui a découvert 2025 QD8, est maintenant capable de scanner l’intégralité du ciel toutes les 24 heures. Ce réseau de quatre télescopes a déjà découvert plus de 700 astéroïdes proches de la Terre et 66 comètes.
D’ailleurs, on vit une époque intéressante pour la détection d’astéroïdes puisque le télescope spatial NEO Surveyor, prévu pour 2027, sera le premier spécifiquement conçu pour traquer ces objets. Il utilisera l’imagerie infrarouge pour détecter même les astéroïdes sombres qui ne reflètent pas beaucoup de lumière visible (comme votre âme ^^). En gros, on aura bientôt un radar spatial qui pourra repérer les cailloux qui arrivent même depuis la direction du Soleil, là où on est actuellement aveugles.

Pour mettre les choses en perspective, 2025 QD8 avec ses 17 à 38 mètres de diamètre, c’est peanuts comparé aux gros machins qui pourraient vraiment nous causer des problèmes (Coucou les dinosaures ! On pense à vous). Un astéroïde de 45 mètres peut être détecté une semaine avant l’impact par ATLAS, et un de 120 mètres trois semaines avant, mais rassurez-vous, le Centre d’Études des Objets Géocroiseurs de la NASA confirme qu’il n’y a aucune menace d’impact significative connue pour les 100 prochaines années . Ça tombe bien, Bruce Willis n’est pas dispo en ce moment…
Le Virtual Telescope Project, c’est donc un peu le Netflix de l’astronomie car depuis 2006, ils permettent à n’importe qui de surfer sur les étoiles depuis son salon. Leur philosophie c’est de rendre l’astronomie accessible à tous, peu importe votre niveau d’expérience. Ils ont plusieurs télescopes, dont des monstres de 14 et 17 pouces, et ils organisent régulièrement des événements en direct comme des éclipses lunaires ou des passages d’astéroïdes comme c’est le cas ce soir.
Alors voilà, si vous voulez voir un astéroïde en direct sans risquer votre vie façon Armageddon, rendez-vous ce soir sur le stream du Virtual Telescope Project. C’est gratuit, c’est sans danger, et franchement, c’est quand même plus classe de dire que vous avez regardé un astéroïde passer près de la Terre plutôt que d’avoir bingé une série. Et qui sait, peut-être que ça vous donnera envie de lever les yeux vers le ciel plus souvent parce qu’il s’y passe des trucs incroyables !
YouTube vous balance une dose de vidéos marrantes parce que vous êtes trop sérieux
Comme tous les jours, vous êtes sur YouTube, très concentré en plein marathon de vidéos sur les élections ou les conflits géopolitiques, et SOUDAIN, l’algorithme décide de vous offrir une pause. Mais pas une simple pause publicitaire, non. Une pause thérapeutique ! Vous vous retrouvez alors devant une compilation de chiens qui sautent et se gamellent ou un best-of de foirages en skateboard.
C’est une étude menée par l’Université de l’Arkansas qui a analysé pas moins de 685 842 vidéos courtes. Les chercheurs se sont ainsi concentrés sur trois thèmes politiques : les élections de 2024 à Taiwan, le conflit en mer de Chine méridionale et une catégorie générale de contenus politiques. Et vous savez quoi ? Il semblerait que YouTube Shorts guide activement les utilisateurs du contenu politique vers des vidéos de divertissement.
En gros, l’algorithme joue le rôle de baby-sitter numérique et décide que vous avez eu votre dose de sérieux pour la journée.
Pour réalisé cette étude, les chercheurs ont collecté 2 800 vidéos et testé trois scénarios de visionnage : 3 secondes (le scroll rapide), 15 secondes (l’intérêt modéré), et le visionnage complet (vous êtes vraiment accro). Ensuite, ils ont utilisé GPT-4o d’OpenAI pour classer les titres et les transcriptions par sujet, pertinence et ton émotionnel. L’IA qui analyse l’IA qui nous manipule… On vit vraiment dans le futur, les amis.
Mais pourquoi YouTube fait ça ? Les chercheurs pensent que ce n’est pas de la censure intentionnelle. Non, c’est plus basique que ça… En fait, ça augmente l’engagement et ça rapporte plus d’argent car une personne qui regarde des vidéos de chatons reste plus longtemps sur la plateforme qu’une personne déprimée par les actualités politiques. Et donc plus vous restez, plus YouTube gagne de pognon.
Récemment, YouTube a assoupli ses politiques de modération, doublant carrément le seuil de contenu problématique autorisé avant suppression. Auparavant, un quart de contenu douteux suffisait pour dégager une vidéo mais maintenant, il en faut la moitié. YouTube cherche donc un équilibre où il y aurait plus de tolérance pour le contenu politique controversé, mais avec un système de “décompression” par le divertissement.
D’un autre côté, les recherches de UC Davis montrent un aspect plus sombre de la plateforme. Leurs “sock puppets” (100 000 comptes automatisés créés pour l’étude) ont regardé près de 10 millions de vidéos. Et ce qu’il en ressort c’est que l’algorithme peut créer un “effet de boucle” où les utilisateurs se retrouvent piégés dans du contenu de plus en plus extrême. Mais du coup, il semblerait que YouTube ait trouvé la solution en cassant la boucle avec des vidéos de pandas qui éternuent.
Voilà, alors pendant que certains s’inquiètent de la radicalisation politique sur les réseaux sociaux, YouTube a apparemment décidé de jouer les psychologues amateurs, proposant automatiquement du contenu humoristique aux utilisateurs qui consomment beaucoup de vidéos politiques. C’est mignon, non ?
Alors est-ce que YouTube a vraiment le droit de décider de quand nous avons eu assez de politique ? Est-ce que c’est de la manipulation bienveillante, du bon vieux paternalisme algorithmique ? Et surtout, est-ce que ça marche vraiment ?
Je passe très peu de temps à regarder des vidéos sur Youtube, donc je peux pas trop vous dire… Surtout que les news déprimantes ET les best-of de chutes spectaculaires ou de chaton mignon, c’est pas des trucs que je regarde…
Maintenant, peut-être que YouTube a raison… Peut-être qu’on a tous besoin qu’un algo nous rappelle de faire une pause dans tout ce contenu stressant de merde et de regarder quelque chose de plus léger… un peu d’humour forcé, ça ne peut pas faire de mal. Faudrait que Twitter et BlueSky fasse la même, parce que quand je vois la quantité de grincheux là bas, je me dis qu’ils ont aussi besoin de se marrer un peu de temps en temps, les pauvres… ^^
Bref, la prochaine fois que YouTube vous propose une vidéo compilation de conneries après votre marathon d’analyses politiques, vous saurez que ce n’est pas un hasard. C’est l’algorithme qui prend soin de votre santé mentale pour que vous restiez encore plus longtemps pour voir encore plus de pubs !!
TypingSVG - Un générateur d'animations qui rend vos textes vivants
Vous avez déjà vu ces README GitHub avec du texte qui s’écrit tout seul comme si quelqu’un tapait en temps réel ? Hé bien voilà ce qu’il vous faut pour faire pareil sur votre propre site. Ça s’appelle TypingSVG , ça a été créé par un certain whiteSHADOW1234 et c’est donc un générateur d’animations SVG qui transforme n’importe quel texte en animation de frappe dynamique. Et surtout c’est complètement gratuit et ça tourne directement dans votre navigateur.
Le truc sympa avec TypingSVG, c’est qu’il ne se contente pas de faire défiler bêtement du texte. Non non, c’est un vrai système complet avec support multi-lignes, gestion des emojis 😎🚀, et même la possibilité de personnaliser la vitesse de suppression du texte. Parce que oui, l’outil simule aussi l’effacement, comme si quelqu’un revenait en arrière pour corriger une faute de frappe…
L’interface web est dispo sur typingsvg.vercel.app . Vous tapez votre texte, vous réglez quelques paramètres (police, taille, couleur, vitesse d’animation), et hop, vous avez un aperçu en temps réel de votre animation. Pas besoin d’installer quoi que ce soit, pas de compte à créer, juste vous et votre créativité.
Pour les dev, c’est du pain béni car vous pouvez intégrer ces animations directement dans vos README GitHub, vos portfolios, ou même vos sites web. Le générateur vous donne ainsi plusieurs formats d’export : une URL directe, du Markdown pour GitHub, ou du HTML pur pour vos pages web. Et comme c’est du SVG, ça reste léger et ça scale parfaitement sur tous les écrans.
Au niveau de la personnalisation, vous avez le choix entre plusieurs styles de curseur (droit, souligné, bloc, ou même invisible si vous préférez). La police Monaco par défaut donne un côté terminal très classe, mais vous pouvez changer pour n’importe quelle police web. L’espacement des lettres est ajustable, vous pouvez centrer le texte horizontalement et verticalement, et même ajouter une bordure autour de votre SVG si l’envie vous prend.
Le code derrière tout ça, c’est du Next.js avec TypeScript et Tailwind CSS ce qui fait que c’est moderne et maintenable et whiteSHADOW1234 a fait un sacré boulot pour que l’API soit simple à utiliser. Un simple appel à /api/svg
avec les bons paramètres et vous récupérez votre animation. Par exemple, pour un “Hello, World!” qui clignote, il suffit d’ajouter ?text=Hello,+World!
à l’URL.

Et pour ceux qui veulent aller plus loin, vous pouvez même déployer votre propre instance sur Vercel. Un bouton “Deploy to Vercel” est disponible sur le repo GitHub, et en quelques clics vous avez votre propre générateur personnel. Pratique si vous voulez des fonctionnalités custom ou si vous préférez garder le contrôle total sur vos animations.
Bref, pas de fioritures inutiles mais juste ce qu’il faut pour créer des animations de texte qui claquent, que ce soit pour pimper votre profil GitHub, ajouter un peu de dynamisme à votre site, ou juste pour le fun !