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Richard Stallman - La révolution du logiciel libre et GNU

Par :Korben
30 juillet 2025 à 13:37

Cet article fait partie de ma série de l’été spécial hackers. Bonne lecture !

Vous connaissez cette sensation quand votre imprimante vous lâche au pire moment ? Eh bien en 1980, Richard Stallman a eu exactement le même problème… sauf que lui, au lieu de râler dans son coin comme nous tous, il a décidé de déclarer la guerre à toute l’industrie du logiciel propriétaire. Résultat, ça a donné GNU, Linux, et la moitié d’Internet tourne aujourd’hui grâce à ce geek barbu qui danse le folk bulgare entre deux lignes de code.

J’vous jure, le personnage est savoureux. Il explique que dans l’Église d’Emacs, utiliser “vi” n’est pas un péché mais une pénitence et que l’exorcisme consiste à taper “M-x butterfly” !

Le XKCD à ce sujet

Après Emacs, il s’attaque à GCC (GNU Compiler Collection) en 1987 et là, coup de génie : GCC devient rapidement meilleur que tous les compilateurs propriétaires. Plus rapide, plus optimisé, supportant plus de langages et d’architectures. Les entreprises commencent à l’adopter massivement, prouvant ainsi que le logiciel libre peut être techniquement supérieur.

Bon maintenant, on va pas se mentir, Stallman c’est pas le mec le plus facile à vivre. Le personnage a ses… disons… excentricités.

Déjà, côté hygiène et convenances sociales, c’est… comment dire… spartiate. Le mec refuse catégoriquement d’avoir des cartes de fidélité (surveillance), un téléphone portable (traçage), et ne porte jamais de vêtements avec des logos ou des messages (pub). Et pour naviguer sur le web, il envoie l’URL par email à un daemon qui télécharge la page et la lui renvoie, comme ça il évite d’être tracé par du JavaScript !

Et puis il y a cette anecdote qui a fait le tour d’Internet… Pendant une conférence, Stallman s’est déchaussé en plein milieu de sa présentation, a commencé à gratter son pied, et… bon, disons qu’il a mangé ce qu’il a gratté. Devant tout le monde. Filmé. Pendant qu’il répondait aux questions sur le logiciel libre. Beuuuurk !

Quand on lui a demandé des explications plus tard, il a refusé de regarder la vidéo, disant qu’il y avait “plusieurs obstacles techniques et éthiques” qui l’empêche de visionner des vidéos sur Internet. Mais là où Stallman m’a vraiment surpris, c’est avec sa passion pour la danse folk internationale. Le mec est fan absolu de danses traditionnelles, en particulier bulgares et hongroises. Il y a même une photo mythique où on le voit jeune, en costume traditionnel bulgare, en train de danser… avec une Machine Lisp !

Sa célèbre “Free Software Song” (Chanson du Logiciel Libre) est d’ailleurs chantée sur l’air d’un folk bulgare, “Sadi moma bela loza” et les paroles sont “Join us now and share the software / You’ll be free, hackers, you’ll be free…” Même dans ses hymnes révolutionnaires, il glisse ses références à la danse folk !

Années 90, Internet explose, et les idées de Stallman trouvent un terreau fertile. En 1991, un étudiant finlandais du nom de Linus Torvalds développe un noyau de système d’exploitation qu’il appelle Linux. Ce noyau, combiné avec tous les outils GNU déjà développés, donne naissance à ce qu’on appelle communément “Linux”.

Sauf que Stallman, il est pas d’accord avec cette appellation. Pour lui, c’est “GNU/Linux”, parce que le système complet, c’est GNU avec le noyau Linux. Et techniquement, il n’a pas tort car sans bash, sans GCC, sans glibc, sans tous les outils GNU, Linux tout seul c’est juste un noyau qui sert à rien.

Cette querelle de nommage, ça fait 30 ans que ça dure. Stallman insiste pour qu’on dise “GNU/Linux” à chaque fois et il corrige même les journalistes en pleine interview. Certains trouvent ça pénible, d’autres respectent sa position. Perso, j’trouve qu’il a raison sur le fond, même si l’obsession peut sembler excessive. Et à cause de lui, il y a aujourd’hui des armées de super relous qui comme lui reprennent n’importe qui sur le net qui oserait écrire “Linux” dans placer “GNU” devant.

Une autre des innovations les plus géniales de Stallman, c’est le concept de copyleft. C’est un jeu de mots sur “copyright” sauf qu’au lieu d’interdire la copie (all rights reserved), le copyleft garantit que le logiciel reste libre (all rights reversed).

Concrètement, avec la GPL (General Public License) créée par Stallman et l’avocat Eben Moglen, vous pouvez maintenant copier, modifier, redistribuer un logiciel… mais toute version dérivée doit rester sous la même licence libre. C’est ce qu’on appelle l’effet “viral” de la GPL, et l’idée est brillante : utiliser le système juridique du copyright pour garantir la liberté plutôt que pour la restreindre.

Bon, évidemment, je ne vais pas faire l’impasse sur l’un des aspects les plus controversés de Richard Stallman… En septembre 2019, Stallman a été obligé de démissionner de la présidence de la FSF et de quitter le MIT après des commentaires maladroits sur l’affaire Jeffrey Epstein et Marvin Minsky. Le mec a toujours eu des positions tranchées et une façon très littérale d’analyser les choses, ce qui l’a mis dans la sauce plus d’une fois. Ses écrits passés sur des questions de société ont également refait surface et ont provoqué un tollé.

Mais en mars 2021, surprise, il est revenu au conseil d’administration de la FSF. Ça a provoqué une nouvelle controverse, avec plus de 2400 signatures demandant son départ et des organisations comme GNOME, Mozilla et Red Hat qui ont pris leurs distances. Mais la FSF a maintenu sa décision.

Et en septembre 2023, nouveau coup dur… Stallman révèle qu’il a un lymphome folliculaire, c’est à dire un cancer du système lymphatique. Mais fidèle à lui-même, il reste optimiste : “C’est un cancer à croissance lente. Le traitement l’a mis en rémission, et je peux espérer vivre encore de nombreuses années.

Et aujourd’hui, en 2025, qu’est-ce qui reste de la révolution de Stallman ? Et bien… quasiment tout ce qu’on utilise au quotidien !

Linux (pardon, GNU/Linux ^^) fait tourner 96 % des 500 plus gros supercalculateurs, tous les smartphones Android (3 milliards d’appareils), la majorité des serveurs web et les outils GNU sont partout. Git, créé par Torvalds, s’inspire directement de la philosophie du libre. Des langages comme Python, Ruby, Rust, des frameworks comme React, Vue.js, des systèmes comme Kubernetes, Docker… tout ça existe grâce à l’écosystème que Stallman a initié.

Même Microsoft, l’ennemi juré historique, a fini par embrasser l’open source. Ils ont racheté GitHub, contribuent au noyau Linux, et ont sorti WSL (Windows Subsystem for Linux). Si on m’avait dit ça en 1990, j’aurais cru à une blague !

À 72 ans, malgré son cancer, Stallman continue son combat. Il reste le “Chief GNUisance” du projet GNU, donne encore des conférences, écrit des articles et sa nouvelle bataille, c’est contre l’Intelligence Artificielle, car pour lui, les IA propriétaires comme ChatGPT ou Midjourney représentent un danger énorme pour nos libertés. Il prône donc le développement d’IA libres, transparentes, dont on peut examiner et modifier le code et les données d’entraînement.

Maintenant, quand je regarde l’évolution du numérique aujourd’hui, surveillance de masse, algorithmes opaques, dépendance aux GAFAM, IA boîtes noires…etc, j’me dis que Stallman avait vu juste il y a 40 ans et ses 4 libertés fondamentales sont plus que jamais d’actualité.

Alors la prochaine fois que vous utilisez Firefox, VLC, LibreOffice, WordPress ou même Android, ayez une petite pensée pour ce geek barbu excentrique et agaçant qui a préféré la liberté de tous à son confort personnel.

Sources : The GNU Project, FSF History, GNU Initial Announcement (1983), Stallman.org, Wikipedia - Richard Stallman, Washington Post - Stallman’s MIT Resignation, FSF Statement on Stallman’s Return (2021), The Register - Stallman’s Cancer Diagnosis

Les constructeurs européens sont en train de rater le train de la conduite autonome et ça fait chier

Par :Korben
30 juillet 2025 à 11:10

Saviez-vous qu’il existe un système de conduite autonome open source qui fonctionne sur des centaines de modèles de voitures, qui a parcouru 100 millions de miles avec ses utilisateurs et dont personne ne parle ?

OpenPilot, développé par Comma.ai, c’est le secret le mieux gardé de l’industrie automobile. C’est un logiciel libre créé par George Hotz, le génie qui avait jailbreaké l’iPhone à 17 ans, qui est capable de transformer votre voiture pourrie en K2000 à moindre coût.

Leur boitier, le Comma 3X, c’est trois caméras HDR, 128 GB de stockage, un GPS haute précision, et hop, votre caisse devient semi-autonome. Installation en quelques minutes, compatible avec plus de 300 modèles.

En avril 2024, un mec a même traversé les États-Unis avec une Prius 2017 équipée de ce truc : 43 heures, dont 98,4% passées en conduite autonome. Consumer Reports l’a même classé au-dessus de l’Autopilot Tesla en 2020. Et c’est open source, gratuit, modifiable, améliorable.

La question que je me pose maintenant, c’est pourquoi Stellantis, Renault, Volkswagen, et tous ces constructeurs européens qui galèrent comme des manches avec leurs systèmes d’aide à la conduite pourris, n’intègrent-ils pas directement OpenPilot dans leurs bagnoles ?

D’un côté on a une solution qui marche très bien, testée sur des millions de kilomètres, avec une communauté de dizaines de dev qui l’améliorent en permanence. Et de l’autre, on a quand même Carlos Tavares (le PDG de Stellantis) qui chiale que c’est trop cher de développer des voitures électriques et autonomes. Bah prends OpenPilot, champion ! C’est gratuit !

Car pendant que nos constructeurs européens se touchent la nouille, les autres foncent. Waymo, la filiale d’Alphabet, c’est 200 000 courses par semaine sans conducteur à San Francisco, Phoenix, Los Angeles. Leurs Jaguar I-PACE modifiées ont déjà parcouru 32 millions de kilomètres. Une étude a même montré qu’il y avait 82% d’accidents en moins avec les vélos et 92% en moins avec les piétons pour Waymo comparé aux conducteurs humains.

Tesla avec son FSD v13 ? Bon, ils stagnent à 800 km parcouru entre chaque interventions critiques du conducteur. Cela signifie qu’un conducteur doit reprendre le contrôle tous les 800 kilomètres pour éviter un problème. C’est très loin des 1,1 millions de km nécessaires pour égaler la sécurité d’un conducteur humain selon la NHTSA. Mais au moins ils essaient. Elon fait du marketing, promet la lune, mais derrière y’a encore du boulot. Le Robotaxi à Austin à 4,20$ la course, c’est pas révolutionnaire (y’a toujours un employé Tesla dans la caisse “pour la sécurité”), mais c’est un début.

Et les Chinois ? Ils défoncent tout. Xiaomi débarque avec 691 millions d’euros d’investissement, 1800 ingénieurs, 10 millions de clips vidéo pour entraîner leur IA. Et leur SU7 Ultra c’est 1548 chevaux, du 0 à 100 km/h en 1,98 secondes, et surtout un système Xiaomi Pilot avec deux puces Nvidia Orin-X. Too much ??? Peut-être. Mais au moins ils bougent.

BYD a aussi compris un truc fondamental, leur système “God’s Eye” est maintenant gratuit sur 20 modèles, même sur la Seagull à 10 000 balles. 1000 km sans intervention, 99% de réussite au parking, leur CEO Wang Chuanfu l’a dit : “C’est comme la ceinture de sécurité, pas un luxe.” Et instantanément, les actions des concurrents ont plongé.

Puis y’a Xpeng avec Huawei qui sort le “parking to parking” complet et Nio qui déploie NOP+ sur 229 000 véhicules. De son côté, la Deutsche Bank prévoit un doublement des ventes des véhicules chinois pour 2025.

Et maintenant, regardons nos champions européens. Accrochez-vous, ça pique. Stellantis et son “Highway Assist” ? Une blague. Ça tient à peine la voiture dans sa voie sur autoroute. Renault et son “Multi-Sense” ? Pareil, du bricolage qui date d’il y a 10 ans. Volkswagen avec Travel Assist ? Un peu mieux mais toujours à des années-lumière de la concurrence.

Mercedes a quand même réussi à sortir le premier vrai Level 3 commercial. Cela s’appelle le Drive Pilot et ça permet légalement de regarder Netflix en conduisant à max 95 km/h en Allemagne, 60 aux USA, et ça coute 2500 dollars l’option. C’est bien, mais c’est réservé aux richous qui prennent des Classe S.

Ce qui est dommage c’est que toutes ces solutions sont propriétaires, fermées et chacun développe son truc dans son coin.

Peugeot ? Citroën ? Fiat ? Même pas la peine d’en parler. Leur “conduite autonome”, c’est un régulateur de vitesse adaptatif qui freine quand la voiture devant freine. C’était révolutionnaire en 2005.

Le plus triste c’est surtout Cariad, la filiale software de Volkswagen avec ses milliards investis, des retards permanents, un bordel sans nom. Ils ont viré le patron, restructuré trois fois, et toujours rien qui sort.

Et pendant ce temps, des hackers en tongs développent OpenPilot depuis leur canapé… Bref, voici ce que je pense : Si un constructeur adoptait OpenPilot demain, voilà ce qu’il gagnerait :

  • Économies massives : Fini les centaines de millions en R&D. Le code est là, il marche, il est testé.
  • Rapidité : Au lieu de 5 ans de développement, 6 mois d’intégration.
  • Communauté : Des milliers de développeurs qui bossent gratos pour améliorer le système.
  • Compatibilité : Déjà testé sur des centaines de modèles. L’adaptation est triviale.
  • Innovation continue : Les mises à jour arrivent en permanence de la communauté.
  • Transparence : Tout est auditable. Pas de boîte noire.

Mais Korben, c’est pas si simple, la vie c’est beaucoup plus compliqué, tu es tellement idiot et naïf !

Ah ouais ? Voyons voir :

  • “On perd le contrôle” : Android c’est open source et ça empêche pas Samsung de faire des milliards. Vous prenez le code, vous l’adaptez, vous gardez vos modifs si vous voulez, et vous pouvez même contribuer.
  • “C’est pas sûr” : 160 millions de km parcourus et surtout Consumer Reports qui le classe au-dessus de Tesla. Question suivante ?
  • “L’image de marque” : Quelle image ? Celle du constructeur à la traîne qui propose rien face aux Chinois ?
  • “Les assurances” : OpenPilot est Level 2, comme 99% des systèmes actuels. C’est la même responsabilité légale.
  • “C’est compliqué à intégrer” : Plus compliqué que de développer from scratch ? Sérieusement ? Je pense pas…

Et le pompon pour moi, c’est la réglementation sur la conduite autonome. C’est l’ONU qui gère via l’UNECE et ils ont même autorisé le Level 3 jusqu’à 130 km/h sur autoroute avec leur Regulation R157. Super.

Sauf que chaque pays doit transposer ça dans sa réglementation et la France, bah sans surprise, toujours rien. On attend, on “étudie” et pendant ce temps, l’Allemagne autorise Mercedes, les USA testent la conduite autonome partout, et la Chine j’en parle même pas.

Le plus con c’est qu’OpenPilot c’est du Level 2, donc aucun problème réglementaire mais nos génies préfèrent attendre une hypothétique régulation Level 3 plutôt que de déployer ce qui marche déjà. N’oubliez pas que l’industrie chinoise prévoit 15 millions de voitures autonomes en 2025… et nous ? Bah on débat de la couleur des clignotants.

Bref, le paysage actuel de la voiture autonome, c’est Tesla qui a le lead commercial avec son marketing de ouf, Xiaomi qui devrait bientôt les dépasser et Waymo domine les robotaxis, sans oublier BYD qui démocratise à tour de bras.

Et au milieu de tout ça, OpenPilot est là. Disponible, gratuit, fonctionnel. C’est une solution miracle servie sur un plateau d’argent qui pourrait vraiment permettre aux constructeurs européens de rattraper leur retard. Mais bon, avec Stellantis qui préfère pleurer sur les coûts, Renault qui promet des trucs pour quand on sera déjà tous morts et Volkswagen qui préfère restructurer Cariad pour la énième fois plutôt que de délivrer du concret, on n’est pas sorti de l’auberge.

A croire que leur plan secret c’est d’attendre que les Chinois rachètent tout ou simplement de disparaître.

Voilà, la révolution de la conduite autonome, c’est MAINTENANT. Pas dans 5 ans, les gars ! Encore une fois, l’Europe va rater le coche, comme pour les smartphones. Comme pour les réseaux sociaux. Comme pour l’IA et j’en passe.

Bref, si vous conduisez toujours manuellement en 2025, c’est normal car les constructeurs aussi, visiblement.

Test – Robot aspirateur laveur Omni E25 de eufy

30 juillet 2025 à 00:25

Que vaut le robot aspirateur laveur Omni E25 de eufy ?

Chez Vonguru, on a clairement la passion du ménage, mais surtout du ménage où on ne fait rien ou presque, et où ce sont les robots qui le font pour nous. On continue de découvrir les nouveautés qui s’offrent à nous avec ce jour, avec la marque eufy que nous testons maintenant depuis plusieurs années.

Aujourd’hui, c’est le robot aspirateur laveur intelligent Omni E25 qui nous parvient avec au programme, station de vidange tout-en-un, lavage des sols HydroJet, brosses démêlantes DuoSpiral, le tout au prix de 899 € hors promotion.

Place au test !

 

Unboxing

Le packaging du Eufy Omni E25 affiche sur sa face avant une grande photo du robot avec sa station multifonction, mettant en avant ses atouts principaux comme les 20 000 Pa d’aspiration, le système HydroJet et l’autonomie prolongée de la base. À l’arrière, on trouve un descriptif des fonctionnalités principales : navigation LiDAR, vidage et lavage automatiques, ainsi que la personnalisation via l’application Eufy Clean, illustrés par des visuels simples.

Robot aspirateur laveur eufy Omni E25

Les côtés présentent les spécifications techniques et le contenu du colis avec des icônes faciles à comprendre, listant notamment les serpillières, brosse latérale et filtres fournis. Le dessus porte le logo eufy avec une poignée pour transporter le carton, tandis que le dessous regroupe les mentions légales et les labels environnementaux.

Caractéristiques techniques

Marque eufy
Nom de modèle E25
Caractéristique spéciale Système HydroJet, brosses démêlantes DuoSpiral™
Couleur Noir
Dimensions du produit 5,05L x 4,11l x 5,55H mètres
Composants inclus Brosse latérale, Filtre
Type de filtre HEPA
Capacité 2,5 Litres
Source d’alimentation Fonctionne avec piles
Méthode de contrôle Application eufyClean

 

Fonctionnalités

  • Système HydroJet :équipé d’un double réservoir d’eau et d’une structure à double raclette, le E25 nettoie le patin en temps réel pour le maintenir propre tout au long du cycle.
  • Aspiration turbo de 20 000 Pa :le E25 assure un nettoyage en profondeur de qualité professionnelle des tapis et des sols. Il élimine efficacement la poussière, les poils et les cheveux incrustés, laissant votre maison impeccable.
  • Brosses démêlantes DuoSpiral :les brosses DuoSpiral empêchent les poils et cheveux de s’emmêler et réduisent la fréquence d’entretien, vous offrant ainsi une expérience simplifiée.
  • Bras CornerRover :le bras CornerRover permet au robot de couvrir toute la surface de votre maison, du centre jusqu’aux bords, pour un nettoyage complet.
  • Station tout-en-un :profitez d’une expérience entièrement automatisée grâce aux fonctions d’auto-vidage, d’auto-nettoyage, de séchage à l’air chaud, de distribution automatique de détergent, de récupération de l’eau usée et d’auto-remplissage.

Contenu

  • Robot aspirateur Eufy Omni E25

  • Station d’accueil multifonction (vidage, lavage, séchage, remplissage)

  • Réservoir d’eau propre (déjà inséré)

  • Réservoir d’eau sale

  • Bac à détergent

  • 2 brosses latérales préinstallées

  • 1 rouleau préinstallé
  • 1 filtre

  • Outil de nettoyage (pour les cheveux et débris)

  • Câble d’alimentation

  • Guide de démarrage rapide

  • Manuel d’utilisation complet

Robot aspirateur laveur eufy Omni E25

 

Test & Application

Avec le Eufy E25, la marque du groupe Anker propose un robot aspirateur haut de gamme qui vient directement concurrencer les ténors du marché comme Dreame. Affiché à environ 899 €, (contre 699 € en promotion) ce modèle cherche à offrir un nettoyage complet et autonome, aussi bien en aspiration qu’en lavage, dans un format compact et design. L’objectif est de fournir une expérience mains libres grâce à une station multifonction et à une navigation intelligente, le tout porté par une application fluide et une puissance d’aspiration impressionnante et très performante.

Au déballage, on notera beaucoup trop de plastiques partout ! C’est dommage quand on sait que beaucoup de marques cherchent à faire un effort sur l’aspect écologique. Aussi, autre point, un manque cruel de consommables en plus, ce qui peut être un frein pour certains car il faudra débourser assez rapidement 70 € supplémentaires. Tout est déjà équipé sur la station ainsi que sur le robot, vous n’aurez que le détergent, lui prévu dans le bundle, à ajouter.

La première mise en route du Eufy E25 est fluide et bien guidée. Une fois la station installée sur une surface plane avec de l’espace autour, il suffit de brancher le robot, de télécharger l’application Eufy Clean si vous ne l’avez pas déjà, puis de le connecter au Wi-Fi via un QR code affiché à l’écran. L’appareil commence alors une cartographie complète de votre logement grâce à son système LiDAR, ce qui ne prend que quelques minutes. L’application propose immédiatement de nommer les pièces, de créer des zones interdites, et d’ajuster les réglages de nettoyage pièce par pièce. Dès le premier lancement, tout est clair, rapide et prêt à l’emploi, ce qui renforce l’impression d’un produit bien pensé pour être utilisé, même pas les néophytes.

Robot aspirateur laveur eufy Omni E25

Une fois en route, on entend bien les 20 000 Pa, avec une aspiration impeccable, notamment sur mon gros tapis Ikea. La brosse principale spiralée capte efficacement les poussières, miettes et poils d’animaux, et le robot adapte automatiquement la puissance selon la surface détectée. Le système de lavage est lui aussi particulièrement soigné, avec deux raclettes latérales combinées à un jet d’eau haute pression (HydroJet), ce qui permet un nettoyage bien plus appuyé que les robots qui se contentent de traîner une serpillière humide. Autre point fort : la station de vidage, de lavage et de séchage automatique, qui prend en charge aussi bien la poussière que le rinçage des serpillères, avec en plus un réservoir de détergent. Eufy promet jusqu’à 75 jours sans avoir à toucher au robot, et cela semble crédible au vu de la capacité et de la qualité du système. Nous n’avons pas pu tester cela, en revanche, si on utilise la serpillère tous les jours, il faudra bien sûr vider le réservoir d’eau sale et remplir celui d’eau propre régulièrement. L’application vous préviendra en temps voulu.

Robot aspirateur laveur eufy Omni E25

Côté navigation, le E25 s’appuie sur un système LiDAR couplé à la technologie maison « AI See », capable d’identifier et d’éviter les obstacles du quotidien. Si la reconnaissance des objets n’est pas aussi poussée que chez Dreame (qui affichent les objets sur la carte, par exemple), la précision est au rendez-vous, et le robot se faufile sans heurter les meubles. L’application Eufy Clean complète bien l’ensemble avec une interface simple à prendre en main, une cartographie rapide et des options personnalisables par pièce : puissance, débit d’eau, horaires, zones interdites etc.

Robot aspirateur laveur eufy Omni E25

Notons maintenant quelques légers points négatifs. Notre robot du jour, bien que performant, est plus bruyant que la moyenne, notamment lors de l’essorage et du lavage des serpillères dans la station. Il est aussi relativement lourd et encombrant : la station demande un espace dédié, ce qui peut gêner dans les petits appartements. Et comme tout modèle du genre, ne pensez pas le glisser sous un meuble.

L’application Eufy Clean propose une interface fluide, sans surcharge d’options, ce qui la rend accessible même pour les moins technophiles. On peut facilement programmer des nettoyages pièce par pièce, définir la puissance d’aspiration et le débit d’eau de manière indépendante, et surtout établir des zones interdites, que ce soit pour l’aspiration ou le lavage. Ces réglages sont persistants, ce qui permet de créer une véritable routine hebdomadaire sans avoir à réintervenir. L’application permet aussi d’enregistrer plusieurs étages et d’utiliser le robot dans des environnements différents sans perdre les plans précédents.

Je soulignerai cependant que pour moi, ce type d’appareil n’est pas adapté pour du multi-étages puisqu’il faudra monter et descendre le tout sans cesse car oui, lorsqu’il en a besoin, vidage de la poussière, de l’eau sale, ou remplissage d’eau propre, le robot a besoin de sa station. Compréhensible, mais donc perte totale d’autonomie si vous devez gérer cela au quotidien…

Robot aspirateur laveur eufy Omni E25

L’autre atout de l’appli, c’est la gestion de la maintenance. Elle vous indique clairement quand il faut changer les filtres, vider le réservoir, ou remplacer les serpillières. On y trouve également une commande manuelle (télécommande virtuelle), un historique complet des nettoyages, ainsi que des notifications intelligentes qui alertent en cas de blocage ou d’anomalie. Seul regret : même si le robot évite très bien les obstacles, l’application ne les identifie pas visuellement comme le font certains concurrents dotés de caméras IA plus poussées. Cela reste néanmoins largement suffisant pour un usage quotidien, avec une très bonne fiabilité générale et peu d’interventions nécessaires.

Comparons-le maintenant à notre test de début juillet, à savoir au Dreame L40 Ultra AE. Nos deux modèles partagent le même segment premium, mais adoptent des approches opposées. Le modèle Dreame marque par sa technologie avancée : serpillières rotatives qui se relevant sur les tapis, lavage à l’eau chaude, séchage automatique, et une application très complète là aussi, avec reconnaissance des objets et cartographie ultra précise. Il est vraiment pensé pour les foyers complexes et/ou bien connectés.

Le Eufy E25 mise sur la puissance brute (20 000 Pa contre 19 000 Pa chez Dreame), un lavage sous pression HydroJet très efficace, et une application plus simpliste mais très fluide à utiliser. Et d’un point de vu totalement subjectif, je serai incapable de vous dire lequel je préfère entre les deux car ils se valent vraiment !

 

Conclusion

Pour conclure, le Eufy Omni E25 est un robot franchement puissant, génial pour les foyers avec de grandes surfaces à nettoyer, des animaux, ou tout simplement ceux qui veulent une solution vraiment autonome. Il mise sur l’efficacité brute, une bonne dose d’intelligence, et une simplicité d’usage sans compromis, avec une application très intuitive. À ce prix, c’est-à-dire, actuellement à 899 € à l’heure où ses lignes sont écrites, il se pose comme une alternative sérieuse aux Dreame.

Test – Robot aspirateur laveur Omni E25 de eufy a lire sur Vonguru.

Coup de foudre dans l’avion de Kévin Tran

26 juillet 2025 à 00:39

Coup de foudre dans l’avion de Kévin Tran

Découvrons ensemble aujourd’hui une petite nouveauté fraîchement arrivée chez les éditions Michel Lafon : Coup de foudre dans l’avion de Kévin Tran.

 

Trouvez l’amour dans l’avion !

Le nouveau projet inédit de Kevin Tran, après l’immense succès de la série best-seller Ki & Hi, vendue à plus de 1,5 million d’exemplaires.

Accrochez vos ceintures ! Vous embarquez pour le vol Séoul-Paris !

Quand une sublime jeune femme s’installe à côté de lui dans l’avion, Kevin comprend que cette heureuse coïncidence pourrait être la chance de sa vie.

Mais comment aborder cette inconnue sans passer pour un type louche ? Entre conversations maladroites et turbulences émotionnelles, ce voyage dans les nuages serait-il le début de la plus belle des romances ?

Certaines rencontres changent une vie !

Coup de foudre dans l'avion - Kévin Tran Coup de foudre dans l'avion - Kévin Tran

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