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Fuite du gel thermique sur la GeForce RTX 5080 AORUS Master après un mois d’utilisation

AMD annonce sa conférence Computex 2025 le 21 mai pour dévoiler des technologies IA gaming

Ghost of Yotei noté à Taïwan : une sortie imminente en vue ?

Les GPU NVIDIA GeForce RTX 5000 pourraient éprouver des problèmes de points chauds matériels

Les attaques sur les LLM et l'IA en forte progression selon JFrog
JFrog a publié rson rapport Software Supply Chain State of the Union 2025. Il dresse un panorama de la sécurité sur les plateformes de supply chain logiciels. Cette dernière étude confirme les problèmes de sécurité autour de l'IA et des modèles LLM qui ne cessent de progresser.
"De nombreuses organisations adoptent avec enthousiasme les modèles ML publics pour stimuler l'innovation rapide, démontrant un engagement fort à exploiter l'IA pour la croissance. Cependant, plus d'un tiers d'entre elles comptent encore sur des efforts manuels pour gérer l'accès aux modèles sécurisés et approuvés, ce qui peut conduire à des négligences potentielles," a déclaré Yoav Landman, CTO et co-fondateur de JFrog. "L'adoption de l'IA va croître encore plus rapidement. Par conséquent, pour que les organisations prospèrent à l'ère de l'IA, elles doivent automatiser leurs chaînes d'outils et leurs processus de gouvernance avec des solutions prêtes pour l'IA, garantissant qu'elles restent à la fois sécurisées et agiles tout en maximisant leur potentiel d'innovation."
Principaux éléments du rapport :
- une combinaison de vulnérabilités de sécurité menace la chaîne d'approvisionnement logicielle : on peut citer les multiples CVE, les packages malveillants (qui se multiplient partout), les expositions de secrets, et les mauvaises configurations/erreurs humaines. Par exemple, l’équipe de recherche en sécurité de JFrog a détecté 25 229 secrets/tokens exposés dans des registres publics (augmentation de 64 % par rapport à l'année précédente). La complexité croissante des menaces de sécurité logicielle rend plus difficile le maintien d’une sécurité cohérente dans la chaîne d'approvisionnement logicielle.
- La prolifération et les attaques des modèles AI/ML augmentent : En 2024, plus de 1 million de nouveaux modèles ML ont été ajoutés sur Hugging Face, accompagnés d'une augmentation de 6,5x des modèles malveillants, ce qui indique que les modèles AI et ML deviennent de plus en plus une cible privilégiée pour les acteurs malveillants.
- La gouvernance manuelle des modèles ML augmente les risques : la majorité des entreprises (94 %) utilisent des listes certifiées pour gouverner l'utilisation des artefacts ML, mais plus d'un tiers (37 %) de ces entreprises s'appuient sur des efforts manuels pour créer et maintenir leurs listes de modèles ML approuvés. Cette dépendance excessive à la validation manuelle crée de l'incertitude sur l'exactitude et la cohérence de la sécurité des modèles ML.
Le manque de scans de sécurité est un véritable angle mort : la situation est à la fois alarmante et incomphérensible ! Seulement 43 % des professions de l'IT disent que leur entreprises réalisent des scans de sécurité à la fois sur le code et les binaires. Il y a un mieux par rapport à 2024 mais ce n'est pas glorieux pour les entreprises
Les vulnérabilités critiques continuent d'augmenter : En 2024, les chercheurs en sécurité ont divulgué plus de 33 000 nouveaux CVE, soit une augmentation de 27 % par rapport à 2023, dépassant le taux de croissance de 24,5 % des nouveaux packages logiciels. Cette tendance soulève des inquiétudes car le nombre croissant de CVE augmente la complexité et la pression sur les développeurs et les équipes de sécurité, pouvant freiner l'innovation. Par ailleurs, l’équipe de sécurité de JFrog a constaté que seulement 12 % des CVE de haut niveau notées "critiques" (CVSS 9.0-10.0) par les organisations gouvernementales justifient le niveau de sévérité critique qui leur a été attribué, car elles sont susceptibles d'être exploitées par des attaquants₁. Ce modèle est préoccupant en raison d'une méthodologie de notation centralisée et inchangée au fil du temps, ce qui augmente le risque de faux positifs dans les évaluations et contribue à la "fatigue de vulnérabilité" chez les développeurs.
Le manque de visibilité sur l'origine des codes utilisés est toujours d'actualité (le vibe coding va contribuer à faire exploser ce problème) et constitue une réelle menace pour l'intégrité des apps. Tout comme, il est totalement anormal de télécharger des extensions et des templates pour son IDE sans un minimum de vérification.
Les hacks et vulnérabilités concernent les OS, les langages, les frameworks, les codes !

Bien choisir sa coque pour iPhone 16 Pro
Vous avez craqué pour l’iPhone 16 Pro, mais vous hésitez à lui choisir une coque ? C’est pourtant indispensable. Mais quelle coque choisir ? Pas de stress, nous allons vous aider à naviguer dans cette jungle où l’esthétique ne doit surtout pas l’emporter sur l’exigence de protection.
En ce printemps 2025, les coques pullulent, et il est souvent difficile, dans un premier temps, de trouver le bon endroit pour faire ses emplettes… et enfin de faire un choix. Pour vous aider, nous allons faire simple et rapide. Souvent, le premier tri à faire quand on cherche une coque, c’est de s’intéresser à sa conception et donc aux matériaux utilisés. Vous allez découvrir que ces derniers peuvent vieillir différemment (et alors enlaidir votre téléphone) ou absorber plus ou moins les chocs et les chutes.
La meilleur coque pour iPhone 16 : petit tour d’horizon
D’abord, toutes les coques ne se valent pas, certaines sont aussi solides qu’elles sont laides. D’autres sont magnifiques mais aussi fragiles qu’un verre en cristal. Pour l’iPhone 16 Pro, avec son design en titane et son écran qui claque, il faut une protection qui assure, sans ruiner l’esthétique de ce magnifique téléphone. Souvent, après avoir installé une coque iphone 16 pro, on arrive plus difficilement à reconnaître le téléphone d’origine. Dans le cas d’un iPhone récent, c’est un peu dommage mais tout de même très important…
- les coques en silicone : douces, agréables au toucher, comme une peau de chamois, elles sont discrètes et souvent pas très coûteuses.
- Les coques en cuir : classe et élégantes, mais parfois excessives. Elles subliment votre iPhone, mais veillez à bien choisir, car certaines peuvent coûter très cher. De plus, elles s’usent avec le temps, alors attention si vous l’emportez partout.
- les coques transparentes : idéales pour exhiber le design. Le hic, elles peuvent jaunir avec le temps. À changer donc régulièrement.
- les coques ultra-robustes : des tanks, parfaites pour les maladroits. Elles protègent contre tout, mais votre iPhone finit aussi gros qu’un laptop gamer. Si vous voulez un smartphone blindé, foncez, sinon, bon courage pour le glisser dans votre poche.
Les petits plus qui changent tout
Certaines coques offrent des bonus, comme la compatibilité MagSafe, un truc qui reste quand même très pratique pour recharger son iPhone. Ça facilite la charge sans fil, les accessoires magnétiques, tout ça sans prise de tête.
Conclusion : soyez pragmatiques
Tout dépend de vous, en réalité. Vous êtes un grand maladroit ? Prenez du solide. Fan de design ? Une transparente ou en cuir. Cependant n’oubliez pas, la coque c’est votre aspect visuel au quotidien mais c’est c’est surtout l’accessoire qui prolonge la vie de votre matos, et ça évite les crises de nerfs.Certains diront qu’elle n’est pas indispensable mais dans le cas d’un téléphone comme l’iPhone 16 Pro c’est aussi une assurance au regard de votre investissement. Alors, prenez quelques minutes, choisissez le design qui vous fait plaisir tout en gardant en tête cette notion “d’assurance vie” pour cet objet aussi indispensable que coûteux qu’est votre iPhone.
Bien choisir sa coque pour iPhone 16 Pro a lire sur Vonguru.
Être poli avec ChatGPT est une très mauvaise idée
Apple Intelligence : beaucoup sont prêts à payer 9,11 dollars par mois
Quand sortira iOS 18.5 sur iPhone ?
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- Ventes Fnac spéciales Apple : profitez de remises inédites sur les MacBook Pro M4 et M4 Pro (14/16″)
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Netflix : comment un Apple Store a été créé de zéro pour le film iHostage ?
Amazon explose le prix de l’iPhone 14 : il n’a jamais été aussi abordable (-52 %)
Pourquoi Apple est accusé de « publicité mensongère » sur l’IA ?
Le nouveau trailer de Ghost of Yotei annonce une date de sortie en octobre

Les cartes NVIDIA RTX 5000 affichent des points chauds menaçant leur longévité

Augmentation des prix des cartes mères : ASUS, MSI et Gigabyte bientôt plus chères

AMD : Date de sortie de la Radeon RX 9060 XT avancée selon de nouvelles fuites

Gaming sur Mobile : Pourquoi un Téléphone Reconditionné est une bonne option ?

La RX 9060 XT économique d’AMD pourrait être juste au coin de la rue

Bing Wallpaper 1.1.400.0
BreeZip 1.4.42.0
Internet Download Manager 6.42 Build 33
RemoteScreen 3.3.1
Intel dévoile la fonction “200S Boost” pour les processeurs Core Ultra 200S en jeux

Oblivion Remastered : un mod ajoute la Ray Reconstruction pour une expérience renouvelée!

Cobol / mainframe : les projets de modernisation peuvent-ils réussir ?
La mort du mainframe, et du Cobol, est annoncée chaque année depuis 25 ans. En automne 2024, Rocket Software, avec le cabinet Forrester, avait mené une étude auprès de 300 responsables IA, surtout aux Etats-Unis autour du mainframe et de la modernisation des applications. Résultat : le refactoring d'apps mainframe échouent souvent dès les premières tentatives. Le constat est sévère : 90 % des tentatives de réécriture échouent et 50 % des répondants affirment que les échecs successifs freinent ou ont freiné toute tentative de transformation de l'IT et des assets techniques.
Plusieurs causes sont cités par l'étude :
- un manque de compétences mainframe, Cobol et sur toutes les couches liées
- complexité de l'environnement legacy et une stratégie trop complexe
Moderniser un environnement mainframe / cobol / système z est tout sauf facile. Dire le contraire c'est méconnaître la réalité ou alors il s'agit de petits projets non critiques. Et encore, ces projets peuvent être lancés si les équipes savent ce qu'il y a réellement dans la boîte car parfois la documentation technique n'existe pas, aucune cartographie des couches et des applications existe, etc.
Au lieu de tenter une modernisation profonde, elle consiste à faire cohabiter le mainframe / cobol avec des environnements modernes. Une approche hybride est le plus souvent déployée, une minorité d'entreprises décide de déprovisionner le mainframe et une partie des applications liées.
Réécrire les applications ? C'est souvent un saut vers l'inconnu et le chantier peut se révéler particulièrement complexe. Et les échecs sont nombreux. Redévelopper de zéro ? Toujours possible mais c'est long, difficile et hasardeux, surtout si le fonctionnement du legacy est mal compris et que la cartographie de l'application n'est pas fiable, ni complète. Une application Cobol (ou autre) peut avoir des dizaines, voire, des centaines de dépendances avec d'autres services et applicatifs.
Parmi les défis avant toute modernisation :
- comprendre (réellement) son système legecy
- avoir les bonnes compétences
- penser aux données, aux modèles de données : bref, quid de la migration des données, des bases, des tables, etc. ?
- Quels risques pésent sur le bon fonctionnement de l'entreprise ?
- définir un budget et une planning réaliste : une modernisation peut coûter très cher et durer plusieurs années. Une vision long terme est cruciale.
- avoir une architecture de modernisation claire et définie avant de lancer le chantier et ne pas en changer tous les 6 mois
Fin mars, Juan Lucas Barbier (un expert en modernisation et en systèmes mainframe) a raconté comment un projet de modernisation s'est crashé après 2 ans d'efforts. Le constat est sévère mais doit faire réflêchir : un DSI qui part et met à jour son CV, 2 années perdues et 70 millions $ dépensés pour pas grand chose... Barbier a vu trop de responsables IT et de dirigeants dire qu'ils vont tout moderniser, enterrer le mainframe et déployer une belle transformation numérique. Il rappelle un simple chiffre : 70 % des projets de modernisation du legacy échouent lamentablement.
Les conséquences sont parfois catastrophiques :
- 40 % de surcoût qui pèsent sur le budget IT et bloquent d'autres chantiers et investissements
- à peine 50 % des promesses de modernisation sont réellement réalisés
Il rappelle un fait que nous répétons sans cesse depuis 20 ans à Programmez! : le mainframe et Cobol oui c'est moche, peu intéressant mais ils fonctionnement. Les transactions bancaires reposent sur ces systèmes. Des millions de lignes de code sont écrites chaque année pour maintenir et mettre à jour les apps Cobol.
Mais pourquoi autant d'échecs ? Barbier tire, de son expérience, 3 remarques :
- certains consultants, dirigeants et DSI disent : ce n'est que du code... Puis il découvrent la plomberie : les règles métiers, les dépendances, tout ce qui n'est pas documenté et parfois des applications que personne ne sait à quoi elles servent mais elles sont là
- le syndrome du PowerPoint vs réalité : le remède (= la modernisation) peut être pire que la maladie (= mainframe / cobol)
- on fonce et on casse tout : le risque est de détruire des systèmes qui fonctionnement parfaitement. Une approche plus douce serait préférable pour migrer certains assets et garder ce qui fonctionne
Barbier n'est pas contre la modernisation mais pour lui, les entreprises qui réussissent la modernisation savent faire des compromis : si le core code fonctionne parfaitement, il ne faut pas y toucher. Le focus est mis sur l'intégration, les API, migrer ce qui est migrable sans casse. Tous les changements doivent être mesurés : le fameux ROI.
Vous savez quoi ? Ce constat peut être à toutes applications PHP, Java, C#, C++ qui sont là depuis 10, 15, 20 ans...

OCCT 14.0.7
BurnAware Free 18.6
Google Chrome 135.0.7049.115 Fr
Apple subit de “gros changements internes” pour améliorer Siri
Instagram lance Edits, une app de montage vidéo dopée à l’IA
iOS 19 : ce petit changement devrait grandement faciliter la navigation
HWMonitor, le logiciel de monitoring est disponible en version 1.57
Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
Ce logiciel de monitoring n'est pas nouveau, il existe depuis... 2010 !
HWMonitor affiche des informations détaillées comme, entre autres, les tensions, les températures des composants ou encore les vitesses de rotation des ventilateurs.
Il est très utile si vous voulez identifier rapidement un composant qui chaufferait trop sur votre config.
Il permet même de connaître l'état d'usure de votre batterie !
Il est en anglais, mais facile à prendre en main, est compatible de Windows XP à Windows 11 et existe en version portable.
Il est proposé par un éditeur que vous connaissez déjà, CPUID, auteur de l'excellent CPU-Z.
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NVIDIA ajoute le DLSS à six autres jeux renforçant son avance dans les guerres d’upscaling

AMD anticipe le lancement de la Radeon RX 9060 XT au 18 mai, repousse la RX 9070 GRE

La version 0.46 d’Anytype apporte de solides changements
Un article signé GOODTECH.info
C’était notre application open source de septembre 2024. Anytype, la prise de notes chiffrée, locale et stylée, vient de recevoir une copieuse mise à jour 0.46. Beaucoup de concepts ont changé. Et il n’est pas toujours simple de s’y retrouver […]
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Avec openIDS, l’assurance entre dans l’ère du standard ouvert et extensible
Un article signé GOODTECH.info
Le projet openIDL, soutenu par la Linux Foundation, annonce la création du groupe de travail openIDS (open Insurance Data Standards). Objectif : définir un cadre de données ouvert, extensible et interopérable pour faciliter les échanges entre assureurs, régulateurs et prestataires. […]
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WordPress 6.8 “Cecil” : toutes les nouveautés
Un article signé GOODTECH.info
Le CMS open source le plus populaire au monde poursuit son développement, malgré les polémiques. La version 6.8 de WordPress, baptisée Cecil, est sortie il y a quelques jours. Retour sur les principales nouveautés qui vous attendent. WordPress 6.8 rend […]
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Ghost personnalise les newsletters en fonction du public
Un article signé GOODTECH.info
Le CMS open source dédié aux rédacteurs soigne son outil de newsletter intégré (infolettre, devrait-on dire). Ghost permet désormais de personnaliser les messages et les « call to actions » envoyés selon les destinataires. Explications. De quoi parle-t-on ? Ghost […]
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GoodTech
- Les mails pour les entreprises : comment choisir une messagerie open source efficace et fiable
Les mails pour les entreprises : comment choisir une messagerie open source efficace et fiable
Un article signé GOODTECH.info
Les préoccupations sur la confidentialité et la souveraineté numérique s’intensifient. Dès lors, de nombreuses entreprises cherchent à se libérer des solutions propriétaires comme Gmail ou Outlook. Elles se tournent vers une alternative respectueuse de la vie privée : les emails […]
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Oblivion Remastered : des graphismes époustouflants disponibles dès maintenant

Outworld Station : La Station Hors du Temps disponible en Accès Anticipé

NVIDIA tente de dissimuler la faible performance de la GeForce RTX 5060 Ti 8 Go

Aloft dépasse 200K ventes en accès anticipé et célèbre avec une initiative pour la Terre

Plusieurs entreprises de hardware rétro se retirent du marché américain

Quand aura lieu la conférence de la WWDC 2025 (iOS 19, iPadOS 19, macOS 16, etc.) ?
iOS 18.4 : Messages gagne un raccourci très précieux
L’iPhone 16e a déjà un remplaçant, 2 mois après sa sortie
Michael Bay et Sydney Sweeney s’associent pour adapter le jeu SEGA Out Run au cinéma

Toutes les capacités de coopération et les changements de la saison 2 de Marvel Rivals

G.Skill présente la première mémoire U-DIMM 256 Go DDR5-6000 CL32 au monde

GAMEMAX présente le boîtier PC Blade Concept avec un design à cadre ouvert

Privacy Eraser Free 6.19
WhatsApp 2.2515.7.0
Foxit Reader 2025.1.0.27937
Comptabilité Personnelle 2025 23.11
Enpass 6.11.10.1953
IObit Uninstaller 14.3.1.8
Expedition 33 et plus : Prise en charge du NVIDIA DLSS Super Resolution

NVIDIA GeForce : correctifs pour prévenir les crashs de cartes graphiques

DeepCool présente les boîtiers Micro-ATX CH260 et CH270 DIGITAL à partir de 64,99 €

Processeurs Intel Core Ultra 400S : un nouveau socket CPU nécessaire prévu

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OmgGpu
- Le dernier GPU AMD n’est probablement pas pour les gamers, mais les constructeurs compacts pourraient l’adorer
Le dernier GPU AMD n’est probablement pas pour les gamers, mais les constructeurs compacts pourraient l’adorer

Pixeliser une image n'est pas une garantie de confidentialité
Level 2 Jeff a proposé un défi sur sa chaîne YouTube : dépixelisation des images d'une vidéo. A la clé : 50 $. L'image était fortement pixelisée rendant toute identification impossible. Sauf qu'il n'a fallu que quelques heures pour réussir le défi ! KokuToru a publié sur son GitHub les méthodes utilisés. Ce qui est intéressant est l'approche différente (et complémentaire) entre les deux solutions du hacker. La première est une "attaque" par force brutale. Le plus difficile est de pouvir s'appuyer sur une image stable visible dans la vidéo du défi.
Dans la solution 1, le développeur utilise du TensorFlow pour extraire les pixels et toutes les données possibles de l'image puis de agréger pour tenter de reconstituer l'image. Il fallait extraire les frames avec ffmpeg puis les traiter par un templare. Cet test 1 repose sur 56 frames. Le résultat est loin d'être parfait mais avec un peu de concentration on peut lire certaines informations (l'image contenu le contenu d'un SSD).
La solution 2 se révèle bien plus puissante. Elle mêle algo, ffmpeg et GIMP. Comme le dit KokuToru, le test 2 s'appuie sur les principes du test 1 en trouvant une position dans la fenêtre automatiquement pour améliorer le traitement et avoir plus de données. Cette approche a permis d'extraire 200 frames.
Et là, le résultat est beaucoup plus précis et surtout la dépixelisation permet une lecture facile du contenu !
Il a fallu à peine 4 heures pour aboutir à ces résultats.
Comme le dit Jeff, il aurait fallu un supercalculateur il y a quelques années. Aujourd'hui, entre l'IA et les outils disponibles, il est possible d'aller beaucoup plus vite même quand il s'agit d'une vidéo floutée. Pour Jeff, le fait d'avoir déplacé la fenêtre contenant les données à lire a permis de générer des données et des frames supplémentaires. Il ne pense plus appliquer un simple flou ou un effet de pixelisation à l'avenir.
"La morale de l'histoire, c'est que si vous ne voulez pas que les gens lisent des données censurées… ne les publiez pas en ligne." conclut Jeff.
Post de Jeff sur le travail de KokuToru : https://www.jeffgeerling.com/blog/2025/its-easier-ever-de-censor-videos
Les solutions de KokuToru : https://github.com/KoKuToru/de-pixelate_gaV-O6NPWrI?tab=readme-ov-file

83 % des DSI disent dépenser plus que prévus sur le cloud selon Azul
Quelle surprise ! Une récente étude d'Azul indique que 83 % des DSI ayant répondus à l'étude disent dépenser plus que prévu dans les services cloud. Bref, il y a décalage entre le prévisionnel et la réalité. Pis, la moitié des DSI affirme que les dépenses cloud dépassent +25 %... Seulement 2 % affirme dépenser moins que prévu.
Pourquoi un tel différentiel : le manque d'anticipation de certains workloads, la difficulté à maîtriser la complexe tarification du cloud, l'IA. Cependant, cela ne devrait pas empêcher le cloud de s'étendre et d'être toujours plus présent dans les entreprises.

Cherry : un nouveau switch pour de vrais claviers !
Les débats sur les claviers sont sans fins. Personnellement, rien ne vaut les claviers mécaniques des années 80 et 90 pour la qualité de la frappe, le ressenti à la frappe, le caractère précis de la pression.
Cherry annonce un nouveau modèle de switch : le MX Northern Light. « C’est notre commutateur linéaire le plus abouti à ce jour, conçu pour celles et ceux qui nous ont inspirés », déclare Joakim Jansson, Head of Product Manager CHERRY. « MX Northern Light illustre parfaitement ce qui se passe quand CHERRY écoute sa communauté et repousse les limites de la précision mécanique. »
Avec cette annonce, Cherry propose un pack inédit : un clavier compact et un tapis souris dédié.
Equipé de la dernière technologie MX2A, le switch intègre :
● Un lubrifiant premium appliqué en usine pour réduire les frictions
● Un ressort à amortissement sonore pour un profil acoustique plus doux
● Une géométrie optimisée de la tige pour un glissement fluide et naturel
● Un boîtier supérieur poli pour une activation ultra-douce
Le bundle XTRFY K5V2 + GP6 Northern Light est annoncé à 179 €

GitLab Duo disponible dans Amazon Q
GitLab annonce que son service Duo est disponible avec Amazon Q. Cette solution intégrée est proposée en bundle aux clients GitLab Ultimate sur AWS. Cette version embarque directement les agents Amazon Q Developer au sein de la plateforme GitLab.
Pour GitLab, cette intégration répond à plusieurs défis :
● Le développement autonome de nouvelles fonctionnalités
Transformation automatique des idées de fonctionnalités en merge requests prêtes à être intégrées, en quelques minutes : analyse des besoins, planification, et génération de merge requests conformes aux standards internes.
● La modernisation des bases de code existantes
Automatisation de la refonte de bases de code Java 8 et 11 : création d’un plan de mise à niveau complet, génération de merge requests documentées avec traçabilité.
● La remédiation des vulnérabilités de sécurité
Explication des failles, analyse des causes racines, et remédiation en un clic via des suggestions de modifications de code.
● L’amélioration de l’assurance qualité
Génération automatique de revues de code pour améliorer la couverture de tests et la cohérence de qualité tout en réduisant la charge manuelle.
● L’optimisation des revues de code
Accélération des cycles de relecture grâce à des retours en ligne, des suggestions d’amélioration et des alertes sur les performances et la sécurité.

FerretDB : une alternative open source à MongoDB basée sur PostgreSQL
FerretDB se présente comme une alternative open source à MongoDB. Il peut utiliser les pilotes MongoDB avec PostgreSQL. L'environnement se base justement sur PostgreSQL, comme SGBD backend. L'idée de FerretDB est de pouvoir utiliser les mêmes outils, pilotes, langage de requête que MongoDB.
La motivation de FerretDB est de proposer une solution compatible open source et évite d'utiliser les fonctions avancées de MongoDB. FerretDB annonce une compatibilité avec les pilotes et les outils de MongoDB, à partir de la v5.x et le projet vise à améliorer les performances et à suivre les évolutions de MongoDB au fur et à mesure.
Cela signifie une roadmap fonctionnelle chargées. Chaque trimestre, une version apporte son lot de nouveautés. Pour le 1er trimestre, la version 2 est arrivée : licence Apache 2, support payant pour les entreprises, FerretDB cloud (sur AWS, GPC et Azure très bientôt). La 2.1.0 a été déployée el 3 avril avec des corrections de bugs et des performances améliorées sur DocumentDB.
Pour en savoir plus : https://www.ferretdb.com/

handsontable : une datagrid en JavaScript, nouvelle version
La datagrid est un des objets d'interface les plus utilisés mais aussi parfois le moins pratique. Handsontable est une datagrid en JavaScript reprenant l'ergonomie d'un tableur. Il peut s'utiliser en JavaScript, TypeScript, React, Angular, Vue. Son apparence tableur est faite pour être plus familier aux développeurs et aux utilisateurs. Il permet d'éditer, de saisir, de modifier les données. On peut injecter toutes sortes de sources de données.
La personnalisation est poussée : différents thèmes, API flexibles, internationalisation, raccourcis clavier, 400 formules de calculs, validation des données, fusion des cellules, etc.
Installation ultra simple : npm install handsontable
Le projet est disponible en version 15.2.0. Cette version met en avant la stabilité et les performances. Le plugin filtre a été réécrit, la traduction a été améliorée en supportant totalement le Farsi.
Note de version de la 15.2.0 : https://handsontable.com/blog/handsontable-15.2.0-stability-improvements
GitHub : https://github.com/handsontable/handsontable?tab=readme-ov-file

Développeurs, attention à l'empoisonnement de vos IA !
Si vous faites partie des 97% de dev à grosses lunettes qui utilisent des assistants IA comme GitHub Copilot, Windsurf ou Cursor, ce que vous allez lire va probablement flinguer votre journée…
Et oui parce que si vous pensiez que votre assistant IA préféré était votre meilleur atout pour coder, sachez que des chercheurs en sécurité viennent de découvrir qu’en réalité, tous ces outils pourraient se comporter en cheval de Troie placé directement dans votre IDE. Et le plus flippant c’est que vous ne verriez absolument rien venir, même en scrutant le code ligne par ligne.