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Ah, voilà encore l'un de ces logiciels bien utiles qui va vous permettre de sauvegarder ou cloner vos précieuses données !
Ce programme qui vous permet de cloner des partitions avec ou sans Système d'Exploitation, des disques à plateaux, SSD et USB, des cartes mémoire ou d'autres périphériques de stockage.
Il est compatible à partir de Windows Vista et jusqu'à Windows 11, il est en anglais, mais ce ne sera pas gênant pour la prise en main.
Bonne nouvelle, la version 3.1 que je vous avais déjà proposée il y a un an quasiment jour pour jour est à nouveau disponible avec une licence à vie !
Je trouve que ce qui manque sous Linux, c'est un petit outil sympa pour garder un œil sur l'état de sa batterie de portable. Alors oui, y'a des trucs par-ci par-là, mais rien de vraiment moderne et surtout complet. Mais c'était sans compter sur Wattage vient combler ce vide aussi immense que votre amour pour mon site ^^.
C'est donc une petite appli GTK4/libadwaita toute fraîche qui vous affiche tout un tas d'infos sur votre batterie. Et quand je dis tout un tas, c'est vraiment tout un tas du genre le nombre de cycles de charge, la capacité actuelle, le voltage, l'état de santé, les métriques d'énergie, les infos constructeur, etc.
L'appli est codée en Vala, ce qui veut dire qu'elle compile en C et que c'est plutôt rapide. Elle va récupérer toutes ses données directement dans /sys/class/power_supply, le dossier système où Linux stocke les infos de vos périphériques d'alimentation.
Le truc cool avec Wattage, c'est qu'elle supporte plusieurs batteries ou sources d'alimentation en même temps, donc si vous avez un setup un peu particulier avec plusieurs batteries, hop, tout s'affiche proprement dans l'interface.
L'interface justement, elle est assez minimaliste et bien fichue puisque vous avez toutes vos stats batterie dans une seule fenêtre, sans menus compliqués, ni options inutiles.
Voilà, alors plutôt que de vous fier uniquement à l'indicateur système classique qui vous dit juste le pourcentage, vous pourrez maintenant voir l'état réel de votre batterie. Comme ça, si elle commence à décliner, ou si le nombre de cycles grimpe trop, vous le saurez. Même chose si la capacité maximale baisse par rapport à la capacité d'origine... Plus rien ne vous échappera.
C'est développé par v81d, dispo sur
GitHub
, et sous licence GPL v3 et comme tout bon logiciel Linux moderne, Wattage est dispo
sur Flathub
, donc vous pouvez l'installer sur à peu près n'importe quelle distribution en deux clics. Ubuntu, Fedora, Arch, Mint... tant que vous avez Flatpak installé, vous êtes bons.
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Distant Desktop est un logiciel permettant de contrôler un ordinateur à distance.
Vous pouvez facilement assister ou dépanner vos proches via une interface simple et intuitive.
La première fois que je vous ai fait découvrir ce logiciel c'était en mars 2021 avec la version 2, puis au fil des mois avec la version 3, quant à la version 4 elle datait de l'été 2023 !
Je vous ai parlé de la version 4.1 en septembre dernier.
Eh bien, bonne nouvelle, la version 4.2 vient d'être publiée hier 23 décembre.
Distant Desktop est gratuit, en français, portable (il ne nécessite pas d'installation) et est compatible à partir de Windows 7 et jusqu'à Windows 11.
Microsoft a ajouté la prise en charge de l'accélération matérielle à BitLocker sur Windows 11 : plus de sécurité et moins d'impact sur les performances.
Qu'est-ce que la charge système appelée load average sur Linux et comment interpréter les trois valeurs ? Voici comment évaluer les performances d'une machine.
Trois ans après la version initiale, AMD EXPO 1.20 fait son apparition dans les notes de préversion de HWiNFO 8.35 (Build 5890) Beta. L’outil se contente d’indiquer l’ajout de la prise en charge d’AMD EXPO 1.20, sans fournir de précisions supplémentaires.
AMD EXPO 1.20 dans HWiNFO : un changement côté parsing SPD
Le changelog ne cite aucun nouveau document AMD, aucune exigence BIOS carte mère, ni génération de CPU précise. À ce stade, il s’agit d’un ajustement côté logiciel : HWiNFO sait désormais lire et afficher un champ de révision EXPO mis à jour dans les données module DDR5 (SPD). Les profils EXPO intègrent en effet des champs d’identification et de version, et il semblerait qu’une nouvelle révision apparaisse sur certains kits.
Impossible de lier fermement cette évolution à AM5 déjà en service, aux Ryzen 9000X3D, ou à Zen 6. D’après cette seule ligne de changelog, l’hypothèse la plus raisonnable tient à l’arrivée de nouveaux kits mémoire, d’agencements SPD légèrement différents, ou de télémétries additionnelles que HWiNFO doit interpréter correctement. Comme le résume la source : « Added AMD EXPO 1.20 support » (HWiNFO v8.35 Beta).
Révision mineure plutôt que EXPO 2.0
Le fait de voir « 1.20 » et non « 2.0 » plaide pour une évolution mineure d’EXPO 1.0, possiblement l’ajout de champs de télémétrie ou d’identification que les outils doivent parser. Aucune confirmation officielle côté AMD, aucun prérequis BIOS listé : prudence donc, mais le signal est clair pour l’écosystème AM5 et DDR5, où les profils d’overclocking continuent d’évoluer silencieusement.
crans 6K en 3D sans lunettes, cinq modèles axés sur la performance et l’immersion, dont une référence culminant à 1 040 Hz. Une offensive ciblant l’esport, sans oublier les créateurs en quête de définition et de fluidité extrême
Samsung Odyssey 2026 : 6K 3D, 1 040 Hz et trois G8 au programme
Samsung Electronics dévoile son line-up le plus ambitieux à ce jour, mené par le premier Odyssey 3D G9 en 6K, épaulé par un Odyssey G6 capable d’atteindre 1 040 Hz via Dual Mode, et trois Odyssey G8 couvrant 6K, 5K et OLED. « Nous introduisons des expériences d’affichage qui n’étaient pas possibles il y a un an », déclare Hun Lee, vice-président exécutif de la division Visual Display.
Odyssey 3D G9 : premier 6K 3D sans lunettes
Premier écran 6K avec 3D sans lunettes. Le suivi oculaire en temps réel ajuste profondeur et perspective selon la position du regard pour une 3D à couches, sans casque, pensée pour un gameplay fluide. Spécifications clés : 6K, 165 Hz et jusqu’à 330 Hz via Dual Mode, temps de réponse 1 ms GtG. Samsung indique une liste de jeux optimisés avec effets 3D co-développés avec des studios, dont The First Berserker: Khazan, Lies of P: Overture et Stellar Blade, pour accentuer relief, distance et séparation des objets au-delà du 2D.
Odyssey G6 (G60H) 27 pouces
Premier moniteur gaming à 1 040 Hz via Dual Mode, avec un mode natif QHD jusqu’à 600 Hz. Ciblant la lisibilité en mouvement typée esport, il promet suivi des cibles et détails fins à très haute vitesse. Compatible AMD FreeSync Premium et NVIDIA G‑Sync Compatible pour un affichage sans tearing, des couleurs stables et une réactivité accrue.
Odyssey G8 : trois variantes se partagent le haut de gamme en 2026
Le G80HS de 32 pouces devient le premier moniteur gaming 6K natif à 165 Hz, avec Dual Mode à 330 Hz en 3K. Le G80HF de 27 pouces propose un 5K plus incisif, natif jusqu’à 180 Hz, et 360 Hz en QHD via Dual Mode. Enfin, le G80SH de 32 pouces adopte une dalle 4K QD‑OLED à 240 Hz, traitement Glare Free, 300 nits, certification VESA DisplayHDR True Black 500, et DisplayPort 2.1 (UHBR20) jusqu’à 80 Gbps pour un flux HDR et VRR sans contrainte.
Les trois G8 supportent AMD FreeSync Premium Pro et NVIDIA G‑Sync Compatible. L’ensemble de la série vise un triple public : espace de travail large pour la création, piqué pour les mondes immersifs, contraste profond pour les scènes cinématographiques.
Samsung domine le segment du 144 Hz et au-delà
D’après IDC, Samsung domine le segment gaming au‑delà de 144 Hz avec 18,8 % de part de revenus. Avec cette gamme, le constructeur compte conserver sa place de numéro 1 pour la septième année consécutive. Le line‑up complet sera présenté au CES 2026 de Las Vegas du 6 au 9 janvier, avec démonstrations sur place.
L'application WhatsApp pourrait encore s'améliorer dans les prochaines semaines avec une mise à jour attendue : l'arrivée des quizz dans la messagerie instantanée.
Des chercheurs américains ont mis au point une molécule capable de ralentir la maladie d’Alzheimer avant l’apparition des premiers symptômes. Baptisée NU-9, cette substance a démontré des résultats encourageants lors d’essais menés sur des modèles murins. Les scientifiques de l’Université Northwestern ont observé que le composé réduit drastiquement les concentrations d’oligomères bêta-amyloïdes toxiques, responsables de ... Lire plus
Le chatbot d’OpenAI adopte le concept popularisé par Spotify et lance sa propre version de bilan annuel. Baptisée Your Year with ChatGPT, la fonctionnalité arrive progressivement pour certains consommateurs dans plusieurs marchés anglophones, incluant les États-Unis. Cette initiative marque une évolution notable dans la façon dont OpenAI engage sa communauté d’utilisateurs, transformant les données d’interaction ... Lire plus
La bataille pour le contrôle de Warner Brothers s’intensifie. Paramount Skydance vient de dévoiler une proposition entièrement financée en numéraire, assortie d’un élément inédit : une garantie personnelle irrévocable du fondateur d’Oracle, Larry Ellison. Ce dernier s’engage à fournir plusieurs dizaines de milliards de dollars en fonds propres pour concrétiser l’acquisition. David Ellison, son fils ... Lire plus
Si vous utilisez GitHub Copilot ou ChatGPT pour coder plus vite, voici une nouvelle qui va peut-être vous refroidir un peu.
Une fintech a découvert
que des attaquants avaient extrait des données clients via un endpoint API qui n'était documenté nulle part. Personne dans l'équipe ne se souvenait l'avoir créé et après 3 semaines d'enquête, le verdict est tombé : c'est Copilot qui l'avait généré pendant une session de code nocturne.
Bienvenue dans l'ère des "phantom APIs" les amis !
J'avoue que le concept m'a fait marrer car on parle quand même d'endpoints qui existent en production mais dont personne n'a connaissance. Ahahaha... y'a pas de documentation, pas de tests, pas de validation de sécurité. C'est juste un peu de code généré par une IA qui a trouvé ça "logique" de créer un /api/v2/admin/debug-metrics qui balance du
PII
à quiconque tombe dessus par hasard.
J'ai vu le dernier rapport
Veracode GenAI Code Security
et les chiffres font un peu flipper c'est vrai ! Ils ont testé plus de 100 LLM sur 80 tâches de codage différentes, et le résultat fait mal puisque 45% du code généré par IA contient des vulnérabilités classées OWASP Top 10. En gros, presque une fois sur deux, votre assistant IA vous pond du code troué comme une passoire. Java est le grand gagnant avec 72% de taux d'échec, suivi par Python, JavaScript et C# qui tournent autour de 38-45%.
En effet, l'IA ne pense pas comme un dev qui s'est déjà fait hacker. Par exemple, quand un dev crée un endpoint, il réfléchit authentification, rate limiting, exposition de données, documentation. Alors que l'IA, elle, génère juste ce qui lui semble statistiquement logique vu son dataset d'entraînement, sans comprendre les implications sécurité ou les politiques de l'organisation.
D'ailleurs
une autre étude Apiiro
montre que les assistants IA ont multiplié par 10 les vulnérabilités introduites en seulement 6 mois dans les dépôts étudiés. Les chemins d'escalade de privilèges ont explosé tout comme les défauts architecturaux. Et le pire c'est que les développeurs qui utilisent l'IA exposent leurs credentials cloud (clés Azure, Storage Access Keys) deux fois plus souvent que les autres.
Y'a aussi le problème du "slopsquatting". Oui, encore un gros mot, je sais... En fait, l'IA peut vous recommander d'installer un package qui n'existe tout simplement pas. Genre elle hallucine un nom de librairie et un attaquant un peu moins con que les autres, peut enregistrer ce nom sur npm ou PyPI et y foutre du code malveillant.
Et là que ça devient vraiment problématique, c'est que les outils de sécurité traditionnels ne voient rien. L'analyse statique compare votre code à des specs documentées, sauf que les phantom APIs n'existent dans aucune spec. Les API gateways protègent les endpoints enregistrés mais laissent passer des routes non déclarées sans authentification.
Pour s'en sortir, certaines boîtes commencent donc à analyser le trafic en temps réel pour détecter les endpoints qui traînent. Y'a aussi l'audit de code spécifique IA pour repérer les patterns de génération algorithmique, et la comparaison continue entre les specs et ce qui tourne vraiment en production.
Bref, relisez votre code généré par IA comme si c'était un stagiaire collégien de 3e qui l'avait écrit, et si vous découvrez un endpoint bizarre dans votre base de code dont personne ne se souvient, y'a des chances que ce soit un "fantôme" laissé par votre copilote préféré...
Deux semaines après l’invalidation judiciaire d’un décret présidentiel, la Maison-Blanche remet en pause cinq grands chantiers d’énergie marine. Cette fois, le motif invoqué concerne les perturbations radar. Doug Burgum, secrétaire à l’Intérieur, justifie cette décision par des menaces émergentes pour la sécurité nationale : l’évolution rapide des technologies adverses et les fragilités créées par ces ... Lire plus
En Chine, RoboCop c'est plus vraiment de la science-fiction puisque la ville de Hangzhou vient de déployer un robot humanoïde qui fait la circulation à un carrefour. Et je trouve ça un poil flippant ^^.
Ce robot qui s'appelle Hangxing-1 a commencé son boulot le 1er décembre dernier, à l'intersection de Binsheng Road et Changhe Road dans le district de Binjiang. Le truc mesure 1m80, il est équipé de caméras haute définition et de capteurs qui lui offrent une bonne vision de ce qui se passe autour de lui et il roule sur des petites roues omnidirectionnelles, affublé d'un uniforme haute visibilité avec des bandes de police. Bref, impossible de le louper.
Et son job, c'est de faire des gestes pour diriger les voitures, les scooters et les piétons. Les ingénieurs ont modélisé ses mouvements sur ceux de vrais policiers pour que ce soit bien standardisé et il peut siffler de manière électronique en synchro avec les feux de circulation. Et le truc marrant, c'est qu'il est capable de détecter les infractions en temps réel, comme les motards sans casque, les voitures qui dépassent la ligne d'arrêt ou encore les piétons qui traversent au rouge. Et quand il chope quelqu'un en flagrant délit, il balance un message vocal bien poli.
Bien sûr, on est en Chine, donc toutes les infractions sont logguées et envoyées direct dans la base de données de la police.
Côté autonomie, le robot peut tenir plusieurs heures sur une charge, ce qui couvre largement les heures de pointe et quand la batterie est à plat, il retourne tout seul au bistrot à sa station de recharge. La machine a été développée entièrement à Hangzhou, fruit d'une collab entre la police locale et des boîtes tech du coin.
D'après les premières observations locales, le respect des règles à ce carrefour se serait nettement amélioré depuis que le robot est en poste. Bon, y'a quand même des flics humains pas loin pendant cette phase test, au cas où les avertissements vocaux du robot ne suffiraient pas.
Hangxing-1 fonctionne pour l'instant dans deux modes : gestion du trafic et sensibilisation civique. Mais la ville prévoit de l'upgrader avec des capacités de langage naturel pour qu'il puisse donner des directions et répondre aux questions des passants. Le robot est d'ailleurs connecté au "City Brain" d'Alibaba, le système de gestion urbaine intelligent déployé à Hangzhou.
Et Hangzhou n'est pas la seule ville à jouer avec ces robots puisque Chengdu a déployé 5 robots policiers sur la place Tianfu, Mianyang utilise des chiens robots pour patrouiller dans les quartiers d'affaires, et Shenzhen teste des robots humanoïdes d'Engine AI qui serrent la main aux passants. Le gouvernement chinois veut clairement multiplier ce genre de déploiements.
Perso, je trouve ça plus mignon (et apparemment plus efficace) qu'un policier municipal même s'il ne faut pas oublier que ce robot vous filme, vous identifie, enregistre la moindre de vos infractions et les balance à la vraie police...
Ce monde commence sérieusement à ressembler à un épisode de Black Mirror.