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Redécouvrez Arcarne à travers Ambessa Choisie par le Loup !
Si vous ne le saviez pas, un roman sur l’univers de Arcane/League of Legends est sorti chez les éditions Mana Books. Il s’agit de Ambessa Choisie par le loup, disponible depuis le 4 septembre dernier.
Résumé
Le trône lui revient. Rien ne l’empêchera de s’en emparer.
Ambessa Medarda : guerrière, générale, matriarche. Elle inspire la crainte, et les Medarda ne tolèrent aucune rivalité dans leur quête de gloire. Forte de ses conquêtes et de ses sacrifices, elle a pénétré le royaume des morts et entrevu son destin : siéger sur le trône du vaste empire de Noxus.
Mais avant d’y parvenir, elle doit d’abord devenir la cheffe de son propre clan.
Son cousin et ancien confident, Ta’Fik, conteste sa légitimité à assumer un tel rôle. Il connaît les actes sanguinaires qui jalonnent le passé d’Ambessa et sait qu’il doit empêcher son ascension.
Leur affrontement décidera de l’âme des Medarda.
Toutefois, cette guerre ne se jouera pas uniquement sur le champ de bataille. Mel, la fille d’Ambessa, possède un talent inégalé pour gagner les cœurs. Même si sa mère ne voit en elle qu’une enfant dépourvue de l’instinct des guerriers, la jeune femme est convaincue qu’elle peut devenir une vraie meneuse, si on lui en laisse le temps.
Trahie par les siens, assaillie de toutes parts, menacée par des forces occultes, chaque jour durant lequel Ambessa doit survivre est plus dangereux que le précédent. Mais la générale ne pliera pas.
Si le monde doit brûler pour qu’elle obtienne ce qui lui revient, alors qu’il brûle.
Disponible en librairie !
Le roman est d’ores et déjà disponible en librairie pour le prix de 13 euros. Il contient quand même 505 pages, donc il y a de quoi faire pour les fans de l’univers !
Les premiers tests de la MSI B850 MPOWER révèlent une approche rafraîchissante dans un marché obsédé par la surenchère technique. Vendue 1599 yuans en Chine (environ 185€), cette carte micro-ATX bouscule les codes d’un segment dominé par des modèles à 500-700€.
MSI dévoile la B850 MPOWER, officiellement nommée B850MPOWER par le constructeur, une carte mère compacte sur socket AM5 qui fait son retour sous la bannière dédiée à l’overclocking.
Une stratégie à contre-courant du marché
La B850 MPOWER arrive dans un segment occupé par des modèles prestigieux comme la ROG X870E APEX d’ASUS, la X870 Tachyon de Gigabyte ou encore la X870E OCF d’ASRock. Ces cartes se distinguent par des étages d’alimentation massifs, dépassant parfois les vingt phases de 110 A, mais elles s’affichent aussi à des prix trois à quatre fois plus élevés que celui annoncé par MSI.
La stratégie est différente : plutôt que de surdimensionner le VRM pour l’overclocking extrême, MSI mise sur l’optimisation de la mémoire, là où AMD offre le plus de marge aujourd’hui. Une approche qui révèle une compréhension fine des réalités techniques actuelles.
Le socket AM5 se prête encore mal à l’overclocking manuel des processeurs à température ambiante. Le Precision Boost Overdrive (PBO) reste la méthode la plus fiable et la plus efficace pour tirer parti d’un Ryzen 9000.
Les tests effectués par EXPreview le confirment : +9,7% en PBO automatique, +10,8% en manuel optimisé, mais les gains restent modestes comparés aux possibilités mémoire.
C’est pourquoi la B850 MPOWER se concentre sur un design mémoire à deux DIMM, pensé pour repousser la DDR5 à des fréquences de 8400 MT/s et plus. Le repositionnement du socket CPU vers le haut pour aligner parfaitement les traces mémoire n’est pas cosmétique : il traduit une volonté d’optimiser là où les gains sont réels.
Des performances qui relativisent la course aux phases
Avec 12+2+1 phases et des MOSFETs de 60 A, la B850MPOWER encaisse sans broncher les 239 W d’un Ryzen 9 9950X en PBO. Les tests de stress montrent une température VRM plafonnant à 65,7°C, preuve que le refroidissement est maîtrisé et que multiplier les phases n’est pas une fin en soi.
Le double connecteur EPS 8 broches assure une alimentation stable même en pleine charge, tandis que la présence d’un générateur d’horloge dédié ouvre des possibilités de réglages fins pour les overclockeurs exigeants.
Sur la mémoire, les résultats parlent d’eux-mêmes : DDR5-6000 à 58,9ns de latence avec les bons réglages, DDR5-6400 stable, et un support annoncé jusqu’à 8400 MT/s sur Ryzen 9000.
L’alliance MPOWER D5 : du pragmatisme
L’initiative Alliance MPOWER D5 illustre cette approche pragmatique. En s’associant à 12 fabricants de mémoire, MSI garantit des profils optimisés spécifiquement pour sa carte. Résultat : des kits DDR5-6000 qui débloquent automatiquement des timings CL26 au lieu de CL28, sans bidouillage.
Cette démarche contraste avec la course aux records des cartes haut de gamme, souvent inutilisables pour le commun des overclockeurs. Ici, MSI vise l’efficacité accessible plutôt que l’exploit médiatique.
Après des mois de rumeurs et quelques clichés publiés par des overclockeurs bien connus comme Seby, la MSI B850MPOWER se dévoile enfin à l’occasion du Computex 2025. Avec son format micro-ATX, son BIOS jaune emblématique et surtout son design à deux emplacements mémoire pensé pour repousser les limites de la DDR5, elle marque le retour d’une série culte de MSI.
Un positionnement malin face à la concurrence
À 185€, la B850 MPOWER ne joue pas dans la même cour que les APEX ou Tachyon, et c’est tout l’intérêt. Elle propose une carte mère qui n’essaie pas de rivaliser sur le terrain de la démesure, mais qui se concentre sur ce qui compte vraiment : un overclocking mémoire performant, une alimentation fiable et un tarif accessible.
Face aux Core Ultra 200S qui peinent à convaincre en gaming, AMD consolide sa position sur AM5. MSI l’a bien compris : inutile de proposer du 30 phases à 800€ quand 12 phases suffisent et que la vraie valeur ajoutée se situe ailleurs.
La B850MPOWER pourrait bien redéfinir les attentes sur ce segment. Reste à espérer une disponibilité européenne rapide pour confirmer cette intuition.
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Le 10 septembre 2025, Expreview a visité l’usine MSI de Shenzhen, centre historique de la production GPU. La fabrication des RTX 5070 Ti GAMING TRIO OC White repose sur une automatisation poussée, du placement des composants aux tests FurMark. Cette visite exclusive illustre les 25 ans d’ancrage industriel de MSI en Chine.
Après avoir exploré en mai le site MSI de Kunshan consacré aux PC portables, Expreview a été invité le 10 septembre 2025 à Shenzhen, dans l’usine Ensmile Electronics exploitée par MSI depuis 2000. Ce site historique est dédié aux cartes mères et cartes graphiques. Dans son reportage, Expreview décrit la transformation d’un simple PCB en une RTX 5070 Ti GAMING TRIO OC White prête à l’expédition.
Une usine historique au cœur du GPU
Expreview rappelle que Shenzhen ne se limite pas aux GPU. Le site produit aussi des systèmes complets et des modules d’électronique automobile.
Mais l’accent de cette visite portait sur la chaîne graphique, incarnation des 25 ans de fabrication MSI en Chine et du virage vers l’industrie 4.0.
Automatisation au service de la précision
Selon Expreview, la production repose largement sur les machines :
soudure du GPU, des modules mémoire et des condensateurs,
application automatique de pâte thermique,
inspection par caméra guidée.
Les opérateurs humains interviennent surtout pour alimenter les lignes en composants.
Assemblage manuel et expertise humaine
Lorsque le PCB est prêt, les employés ajoutent dissipateur, ventilateurs et backplate. Les modules thermiques, déjà enduits de pâte et de pads, assurent un montage rapide. Expreview souligne la dextérité des équipes MSI, garantes d’un ajustement impeccable.
Tests qualité systématiques
Avant emballage, les cartes subissent plusieurs contrôles :
affichage sur les quatre sorties vidéo,
stress test via FurMark,
vérification mécanique simulant le transport.
Expreview note que de légères marques sur les connecteurs d’un GPU neuf sont normales : elles prouvent que la carte a été testée.
Logistique intelligente et automatisée
L’article décrit aussi les rayonnages intelligents, équipés de LED pour signaler les composants requis, et les bras robotisés qui distribuent certaines pièces par convoyeur. Cette automatisation réduit erreurs et temps morts.
Des laboratoires de fiabilité
Expreview a également visité des laboratoires où MSI procède à :
des tests de vibration simulant le transport,
des analyses par microscopie ultrasonore,
des vérifications de fiabilité environnementale.
Conclusion : un témoignage industriel fort
Voir un PCB nu devenir une RTX fonctionnelle reste impressionnant, écrit Expreview. Mais surtout, cette visite montre pourquoi MSI mise sur Shenzhen : automatisation, contrôle qualité et logistique intelligente se conjuguent pour assurer la fiabilité de ses GPU.
Escape from Tarkov sortira officiellement sur Steam en version 1.0 le 15 novembre 2025. Les anciens joueurs devront racheter le jeu sur Steam et lier leur compte Battlestate Games. Pas de précommande ni de support Steam Deck annoncés. La configuration recommandée monte jusqu’à 64 Go de RAM et une RTX 4070, confirmant un titre toujours très exigeant.
Escape from Tarkov, le FPS tactique culte de Battlestate Games, prépare son arrivée officielle sur Steam avec la sortie de sa version 1.0 prévue pour le 15 novembre 2025. Une annonce attendue depuis longtemps qui marque une étape clé pour le jeu, mais qui s’accompagne de conditions particulières pour les joueurs déjà engagés dans l’expérience.
Date de sortie et disponibilité
Battlestate Games a confirmé que Tarkov sortira sur Steam en version finale le 15 novembre 2025. À ce jour, aucun tarif officiel ni option de précommande n’ont été communiqués sur la plateforme de Valve.
Une politique tarifaire qui fait débat
Ce choix ne passe pas inaperçu. Les vétérans d’Escape from Tarkov rappellent qu’ils ont parfois investi plus de 250 € pour l’édition Unheard Edition (Ultimate), la version la plus complète du jeu. Or, cette dépense initiale n’ouvre droit à aucun avantage sur Steam.
Autrement dit, un joueur premium devra payer une seconde fois pour accéder au titre sur la boutique de Valve, comme s’il n’avait jamais contribué au financement initial. Si Battlestate justifie cette décision par des contraintes contractuelles et une volonté de séparer les écosystèmes, la communauté y voit surtout une double facturation difficile à avaler.
Compatibilité et Steam Deck
Escape from Tarkov ne sera pas compatible Steam Deck au lancement. De plus, aucun préchargement n’est prévu avant l’heure de déverrouillage.
Configurations PC minimales et recommandées
Battlestate Games a publié deux profils matériels :
Configuration minimale
Système : Windows 10
Processeur : Ryzen 5 5600
Mémoire : 16 Go de RAM
Carte graphique : GeForce GTX 1660
API : DirectX 11
Configuration recommandée
Système : Windows 11
Processeur : Intel Core i7 14700F
Mémoire : 64 Go de RAM
Carte graphique : GeForce RTX 4070
API : DirectX 11
Ces recommandations confirment la gourmandise du titre, notamment en mémoire vive.
Positionnement du jeu
Escape from Tarkov reste fidèle à sa formule : un shooter d’extraction où chaque raid repose sur la gestion du risque et de la récompense. Entre équipement méticuleux, combats contre PMC et Scavs et extraction sous tension, le jeu conserve sa réputation de survival hardcore.
Fin de la bêta : que change la 1.0 ?
L’arrivée d’Escape from Tarkov en version 1.0 ne se limite pas à un simple changement d’étiquette. Après huit années de bêta, le jeu quitte enfin le statut d’accès anticipé pour se présenter comme une œuvre stabilisée. Cela signifie que Battlestate Games estime son socle technique et ludique suffisamment abouti pour constituer un produit fini.
La sortie sur Steam officialise ce basculement : les mises à jour ne seront plus perçues comme des ajouts expérimentaux, mais comme un cycle normal de contenu post-lancement. En pratique, la 1.0 ouvre aussi la voie à des extensions premium, à une communication plus cadrée et à une reconnaissance accrue dans l’écosystème PC, où la sortie « finale » reste un jalon symbolique fort.
Réactions de la communauté
Sur les forums, les joueurs ont salué la date mais aussi exprimé leur frustration face à ce retard d’arrivée sur Steam. Certains commentaire ironisent sur cette longue attente. D’autres réactions ont été modérées.
Conclusion
Avec cette arrivée sur Steam, Escape from Tarkov franchit une étape symbolique. Mais le choix de forcer un rachat risque de diviser la communauté. Le 15 novembre 2025 marquera quoi qu’il en soit un tournant pour l’un des shooters d’extraction les plus exigeants du marché.
Ce qui choque la communauté, c’est que même les joueurs ayant payé 250 € pour l’édition ultime devront racheter le jeu sur Steam, sans aucun transfert de licence. Cela rend la politique tarifaire encore plus difficile à défendre, car elle frappe autant les nouveaux joueurs que les plus fidèles soutiens du projet.
D'après plusieurs témoignages sur des forums de discussion et sur les réseaux sociaux, le firmware 7B2QJXD7 est apparu hier dans le logiciel Samsung Magician pour le SSD 990 PRO.
Pour rappel, la précédente version 6B2QJXD7, sortie début juillet 2025, a été rapidement retirée par Samsung dans le l...
Si NVIDIA est aujourd’hui quasi systématiquement associé à l’IA, ce n’est pas pour rien. Outre ses cartes graphiques qui excellent dans la tâche, la firme a mis un sacré paquet d’efforts dans le développement de ses solutions maison comme cuDNN ou TensorRT de manière à s’assurer une prise en charge...
La Corsair WS3000 (septembre 2025) est une alimentation 3000 W certifiée ATX 3.1 et PCIe 5.1, capable d’alimenter quatre RTX 5090 via quatre câbles 12V-2×6. Compacte (175 mm), modulaire et garantie 10 ans, elle vise les stations de travail et PC extrêmes. Avec un prix estimé de 500 € en Europe, elle se place bien en dessous de sa rivale directe, l’ASUS Pro WS Platinum (~899 €).
Après avoir longtemps plafonné à 1600 W, Corsair franchit un nouveau palier avec la WS3000, sa première alimentation 3000 W ATX 3.1 capable de délivrer jusqu’à 3000 W de puissance stable via un rail unique +12 V de 250 A.
Taillée pour les stations de travail multi-GPU et les PC extrêmes, elle combine format compact (175 mm), connectique modulaire et rendement Platinum. Plus qu’un simple bloc surpuissant, la WS3000 marque une évolution du marché où l’IA, le rendu 3D et le gaming extrême imposent des besoins énergétiques sans précédent.
Un bloc taillé pour les GPU les plus gourmands
Le point fort de la WS3000 est évident : elle propose quatre connecteurs 12V-2×6 (600 W chacun), permettant d’alimenter jusqu’à quatre GeForce RTX 5090. Ajoutez à cela un rail unique +12 V délivrant 250 A, et vous obtenez une alimentation capable de gérer des charges colossales sans broncher.
Côté connectique, elle reste généreuse :
1 × ATX 24 broches
2 × EPS 8 broches (4+4) pour processeurs haut de gamme
4 × PCIe 8 broches (6+2)
9 × SATA pour SSD/HDD
6 × Molex (PATA)
Cette polyvalence la destine aussi bien aux stations IA multi-GPU, aux workstations de rendu qu’aux PC gaming “showcase”.
Certification et rendement
La WS3000 est certifiée 80 Plus Platinum, garantissant un rendement de 94 % à mi-charge. Comme toujours, le meilleur équilibre efficacité/consommation se situe vers 50 % de charge, ce qui signifie qu’une configuration consommant 1500 W profitera d’un rendement optimal.
Conforme aux normes ATX 3.1 et PCIe 5.1, elle s’assure une compatibilité totale avec les GPU de nouvelle génération, notamment les modèles dépassant les 600 W en consommation.
Conception thermique et fiabilité
Pour dissiper la chaleur générée par 3000 W, Corsair mise sur un ventilateur 140 mm à double roulement à billes. Plus robuste qu’un ventilateur hydrodynamique, il supporte mieux les hautes températures, au prix d’un fonctionnement moins silencieux. Contrairement aux gammes gaming de la marque, la WS3000 ne propose pas de mode Zero RPM : ici, la priorité est donnée à la stabilité, même au repos.
Protections intégrées
La WS3000 embarque un arsenal complet de sécurités :
OVP (surtension)
OCP (surintensité)
OTP (surchauffe)
SCP (court-circuit)
OPP (surcharge entre 115 et 135 % de la capacité nominale)
De quoi assurer la fiabilité dans des environnements critiques.
Installation et contraintes
Avec ses 175 × 150 × 86 mm, la WS3000 reste étonnamment compacte pour sa catégorie. Elle nécessite toutefois un cordon secteur C19 (16 A, 220–240 V), plus robuste que le C13 classique, et que l’on retrouve déjà sur certaines alimentations >1500 W.
Corsair WS3000 vs ASUS Pro WS Platinum 3000W
Corsair n’est pas seul sur ce créneau. ASUS propose depuis peu la Pro WS Platinum 3000W (90YE00Z0-B0EA00), également certifiée ATX 3.1 et PCIe 5.1. Voici les différences clés :
Caractéristiques
Corsair WS3000
ASUS Pro WS Platinum 3000W
Puissance totale
3000 W
3000 W
Connecteurs GPU
4 × 12V-2×6 (600 W) + 4 PCIe 8 broches
4 × 12V-2×6 (600 W) + 4 PCIe 8 broches
Connecteurs SATA/Molex
9 SATA, 6 Molex
12 SATA, 3 Molex
Refroidissement
Ventilateur 140 mm double roulement
Ventilateur 135 mm + dissipateurs aluminium
Condensateurs
non précisé (haut de gamme Corsair)
Japonais serveur, faible ESR
Dimensions
175 mm (compacte)
>200 mm (massive)
Bruit
Pas de Zero RPM, refroidissement constant
Optimisé silence grâce aux radiateurs
Garantie
10 ans
10 ans
Prix (sept. 2025)
500 €
899 € (Amazon.de)
Verdict : Corsair frappe plus fort côté prix et compacité, tandis qu’ASUS se distingue par des composants serveur, un refroidissement plus silencieux et un marketing orienté IA professionnelle.
Prix et disponibilité
Corsair WS3000 : 499,99 €, garantie 10 ans.
ASUS Pro WS Platinum : dès 899 € en Allemagne (Amazon.de).
Un écart de près de 30 %, difficile à ignorer pour les assembleurs et les passionnés.
Conclusion
La Corsair WS3000 n’est pas seulement une vitrine technologique : elle se positionne comme une alternative plus accessible à l’ASUS Pro WS Platinum. Avec 3000 W dans un format compact, une certification Platinum et une connectique complète, elle répond aux besoins des stations IA et des PC extrêmes.
Corsair ouvre ainsi le marché du 3000 W à un public plus large, là où ASUS reste sur une approche premium. Si votre priorité est la fiabilité serveur et le silence, ASUS garde l’avantage. Mais pour le meilleur rapport puissance/prix, la WS3000 est aujourd’hui imbattable.
Le bras de fer entre les États-Unis et la Chine se poursuit et la toute dernière étape date d'aujourd'hui, le 17 septembre 2025. Le résultat : une action NVIDIA en baisse quasi immédiate de 2,35 % à la bourse de New York..."Oh, mais que se passe-t-il ?""Mais que se passe-t-il ?""Oh, mais qu'est-ce q...
Vous le savez, j’ai toujours eu un faible pour les outils qui font des trucs qu’ils ne devraient pas pouvoir faire. Et
mas-cli
, c’est exactement ça : un petit utilitaire en ligne de commande qui permet d’automatiser le Mac App Store depuis votre terminal
Si vous êtes sous Mac et que comme moi, vous trouvez l’App Store d’Apple lent et peu pratique, cet outil open-source écrit en Swift va peut-être vous changer la vie. Il utilise des frameworks Apple privés non-documentés pour automatiser un store qui n’a jamais été pensé pour ça. C’est beau comme du Bruno Le Maire dans le texte…
Les développeurs Mac, supposés accepter l’expérience voulue par Apple, recréent donc secrètement leur propre système de paquets à la Unix. L’amour c’est compliqué, je sais…
Installation
L’installation se fait très simplement via Homebrew :
Pour lister vos applications installées via l’App Store :
mas list
Lancer une recherche d’app :
mas search MOTCLÉ
Et installer l’application de votre choix en utilisant son ID :
mas install 123456789
Gestion des mises à jour
Pour lister les applications qui n’ont pas été mises à jour :
mas outdated
Pour mettre une application spécifique à jour, utilisez l’ID de l’app en question :
mas upgrade 123456789
Et pour tout mettre à jour d’un coup :
mas upgrade
L’automatisation ultime
Là où ça devient vraiment intéressant, c’est que mas-cli, avec son intégration à homebrew-bundle, permet de scripter complètement l’installation d’un nouvel environnement Mac. Vous pouvez définir dans un Brewfile toutes vos apps, y compris celles du Mac App Store, et tout installer d’un coup. C’est exactement ce dont rêvent tous les développeurs qui passent leur vie dans un terminal.
Ça va être particulièrement pratique pour scripter 2 ou 3 trucs afin de gérer au mieux la mise à jour de vos applications ou la récupération régulière d’une liste de softs installés. Tout ça depuis votre terminal, sans jamais ouvrir l’interface graphique du Mac App Store.
Les limites à connaître
Comme l’expliquent les développeurs eux-mêmes
, mas-cli utilise des frameworks Apple privés non-documentés qui peuvent changer sans préavis. C’est génial sur le papier, mais dans la réalité, vous ne saurez jamais si ça marchera encore demain car Apple peut décider de changer ses API.
Mais bon, en attendant que ça casse, profitons-en pour automatiser tout ce qui peut l’être !
Merci à Lorenper pour le partage.
Article paru initialement le 09/02/2017, mis à jour le 17/09/2025
15 groupes de hackers qui annoncent leur retraite en même temps après 72 heures de silence radio, c’est, je crois, du jamais vu dans le milieu. Scattered Spider, ShinyHunters, Lapsus$ et une douzaine d’autres ont publié un manifeste commun sur BreachForums pour dire qu’ils raccrochaient les claviers. Voilà, terminé, ils partent “dans le silence” après avoir, je cite, “atteint leurs objectifs”
Du coup, j’ai envie de vous conter une histoire. Mais pas celle que tout le monde se raconte en ce moment sur cette “retraite”, mais plutôt celle d’une mise en scène qui nous en dit long sur ces artistes du chaos qui ont compris que leur plus grande œuvre, c’était peut-être leur propre légende.
D’après leur communiqué officiel
, ils disent en effet avoir passé trois jours à “vérifier leurs plans” et à “passer du temps en famille”. Sérieux ? Qui peut croire ça ? Des cybercriminels endurcis qui synchronisent tous ensemble leurs agendas familiaux pour se faire un week-end détente avant d’annonce qu’ils arrêtent tout le lundi suivant… C’est beau comme récit non ?
Pompompurin, le créateur du forum, a fini par écoper de
3 ans de prison après avoir violé plusieurs fois ses conditions de liberté surveillée
, notamment en utilisant un VPN pour accéder à Discord. De la surveillance 24h/24 à la prison ferme, le chemin a été super rapide, et pendant ce temps, ses petits copains montent sur scène pour leur grand final. Un timing parfait… trop parfait même.
En fat, tous ces groupes ont compris qu’à notre époque, la perception compte plus que la réalité. Ils ont quand même revendiqué de grosses attaques contre Jaguar, Google (4 tentatives quand même !), Salesforce et CrowdStrike et évidemment,
les experts en sécurité restent sceptiques
face à cette annonce de retraite.
En fait, j’ai l’impression qu’on assiste à la naissance d’un nouveau genre de cybercriminels où les mecs ne se contentent plus de voler des données, mais créent des récits montés de toutes pièces, des mythes. Et ce manifeste, c’est leur œuvre d’art. Ils y parlent de “leçons apprises à Langley” (siège de la CIA), évoquent leurs “millions accumulés” et leurs “golden parachutes”. Ça pue la comédie quand même…
Le plus drôle dans tout ça, c’est qu’ils auraient même prévu le coup des arrestations. Huit personnes sont en taule,
dont quatre en France
, et dans leur manifeste, ils les appellent “boucs émissaires”. Ils auraient donc volontairement laissé des fausses pistes bien en amont pour protéger les vrais acteurs et laisser des hommes de paille se faire attraper. Vous voyez le niveau de mise en scène ? C’est du Nolan avant l’heure.
Cette “retraite” et cette façon dont elle est scénarisée, c’est surtout, je pense, une stratégie de survie car la pression des autorités monte, les arrestations se multiplient, et annoncer qu’on arrête tout, c’est un bon moyen de calmer le jeu. Puis surtout, ce serait pas la première fois… On a déjà vu ça
avec GandCrab en 2019 qui est revenu sous la forme de REvil.
Les noms changent mais les personnes restent.
Au final, ce que je retiens de cette annonce, c’est que le cybercrime est devenu un spectacle. Ces groupes ne sont plus juste des criminels, ce sont des influenceurs qui savent jouer avec les médias, les autorités et même leurs propres victimes. Leur vraie force n’est plus seulement technique… elle est également narrative car vous le savez, contrôler le récit, c’est contrôler la réalité.
Alors voilà… quinze groupes de hackers prennent leur “retraite” mais vous le savez aussi bien que moi, même quand le rideau tombe, les acteurs sont toujours derrière, prêts pour attaquer le prochain acte. C’est pour cela que quelque chose me dit qu’on n’a pas fini d’entendre parler d’eux…