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Reçu aujourd’hui — 3 décembre 2025 1.1 🖥️ Technologie

L’iPhone SE de première génération devient obsolète, que faire maintenant ?

3 décembre 2025 à 12:00

Vous possédez un iPhone SE de première génération ? Apple annonce que ce modèle ne sera plus pris en charge et ne pourra plus bénéficier de réparations officielles. Alors, que faire pour continuer à l’utiliser ou le faire réparer ? On vous explique tout dans ce qui suit.

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Samsung et SK Hynix visent le pognon avant tout !

Par :NHU9B
3 décembre 2025 à 11:53

Samsung SK Hynix objectif pognon

Actuellement, c’est la crise au niveau de la mémoire. L’IA engloutie de grosse partie de la production de mémoire qui se recentre sur la HBM. Dès lors, les autres types de mémoire en pâtissent avec une flambée de la DDR5 (900 € le kit de 64 Go). La GDDR n’est pas en reste et des augmentations […]

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L'IA de Google Antigravity supprime par erreur un disque dur entier

3 décembre 2025 à 11:50
Antigravity02

Un photographe grec voit le contenu de son disque dur entièrement supprimé par Antigravity, la nouvelle IA de codage de Google. L'incident, causé par une commande erronée en "Mode Turbo", relance le débat sur la sécurité des intelligences artificielles et la nécessité de garde-fous plus stricts pour éviter des désastres irréversibles.

Irlande : victime de deepfake pornographique, Cara Hunter en a fait un combat politique

3 décembre 2025 à 11:42
Génération d'humiliation
Irlande : victime de deepfake pornographique, Cara Hunter en a fait un combat politique

Victime de deepfake pornographique juste avant des élections législatives, la députée d’Irlande du Nord Cara Hunter s’est emparée de la question, dont les effets restent relativement sous-estimés par la population.

« Est-ce que c’est vous, sur la vidéo qui circule sur WhatsApp ? » Cara Hunter se trouvait chez sa grand-mère pour un moment de répit dans une intense campagne électorale, lorsqu’elle a reçu ce message d’un inconnu sur Messenger. En avril 2022, la femme politique avait 27 ans et profitait d’une rare réunion familiale, un peu moins de trois semaines avant les élections pour l’Assemblée d’Irlande du Nord auxquelles elle se présentait. Le message l’a immédiatement mise en alerte, raconte la femme politique dans un long portrait du Guardian.

Lorsqu’elle reçoit le lien de la vidéo, elle découvre un clip « extrêmement pornographique ». À l’époque, elle n’en comprend pas bien les dessous techniques. Alors qu’elle croit à un sosie, une amie lui suggère qu’il puisse s’agir d’un deepfake, une de ces vidéos où « on met ton visage sur le corps de quelqu’un d’autre ».

Que fait-on, quand on est une femme, de moins de trente ans – « c’est déjà dur d’être prise au sérieux politiquement »-, et qu’un inconnu diffuse une vidéo pornographique très crédible de soi ? Du côté du Parti travailliste et social-démocrate (SDLP), auquel elle est affiliée, on dissuade Cara Hunter de publier le moindre communiqué, au motif qu’elle ne ferait qu’amplifier la viralité de la vidéo.

Évolutions législatives

Au commissariat, la police s’excuse, mais l’informe qu’aucun délit n’a été commis, que les équipes n’ont pas les moyens techniques pour enquêter. Il revient donc à Cara Hunter de trouver par elle-même la photo originale, en prenant des captures d’écran du deepfake puis en faisant des recherches inversées dans un moteur de recherche.

Pour l’identification du premier diffuseur de la vidéo sur WhatsApp, on lui souligne que la messagerie est chiffrée et qu’elle va se heurter au droit à la vie privée. Et Cara Hunter de rétorquer : « J’aimerais penser que j’ai le droit de ne pas voir ma vie détruite. » Mais dans un cas comme celui-ci, « vous n’êtes qu’une personne face à cette montagne de technologies et de code. »

Depuis cette affaire, le droit a évolué au Royaume-Uni et au Pays de Galles. Deux lois, l’Online Safety Act et le Data (Use and Access) Act de 2025 ont rendu la création, le partage et la demande de deepfakes à caractère sexuel illégaux. L’Irlande du Nord travaille à ses propres textes.

En France, l’interdiction de réaliser ou diffuser un montage à caractère sexuel a été ancrée dans le Code pénal avec la loi visant à sécuriser et à réguler l’espace numérique. L’usage de traitement algorithmique pour produire ces images y a été inscrit comme circonstance aggravante. Aux Pays-Bas, les députés travaillent sur l’un des textes les plus poussés en la matière, qui octroierait à la population un copyright sur leur voix, leur visage et leurs traits physiques.

Une personne sur quatre ne voit pas le problème

Mais comme ailleurs dans le monde, le public des îles britanniques ne semble pas prendre la mesure de la violence vécue par les victimes de ce type de diffusion. Les deepfakes sont pourtant déjà utilisés pour des usages malveillants, que ce soit pour harceler, pour réaliser des arnaques au président, voire, dans le cas des imageries à caractère sexuel, de l’extorsion, y compris de mineurs.

Publié fin novembre, un rapport de la police britannique note l’explosion du nombre de deepfakes de 1 780 % entre 2019 et 2024, sachant que l’immense majorité (98 % en 2023, selon Security Heroes) de ces images visent avant tout les filles et les femmes. Sur 1 700 interrogés, un répondant sur quatre estime qu’il n’y a rien de grave ou se déclare « neutre » sur le fait de créer ou partager des deepfakes intimes ou sexuels d’une autre personne.

Problématique démocratique

Lorsqu’elle en a été victime, l’enjeu, pour Cara Hunter, n’était même plus d’être élue, mais de faire cesser la diffusion de la vidéo. La politicienne a finalement obtenu son siège de députée, et s’est directement emparée publiquement du sujet. Depuis, elle reçoit régulièrement des appels de filles et de femmes victimes de faits similaires, dont certaines mineures. Dans les écoles, les enseignants lui rapportent la hausse de l’usage d’applications dédiées à « dénuder » des images de personnes par IA (en pratique, coller un faux corps nu sous le visage de la personne visée).

En France, en Espagne et ailleurs, des deepfakes pornographiques sont aussi bien fabriqués avec les visages de personnalités – journalistes, actrices, etc – que de personnes moins exposées publiquement. En Normandie, une enquête a notamment été ouverte en mars après la diffusion de deepfakes d’une douzaine de collégiennes.

Pour la députée d’Irlande du Nord, les risques démocratiques sont évidents, à commencer par celui de décourager les jeunes femmes de s’engager en politique. Réguler la production de ces images, mais aussi œuvrer pour le marquage des images générées par IA, sont autant d’outils permettant d’éviter que la pratique ne perdure, espère-t-elle.

D’autres affaires, comme les deepfakes de Vladimir Poutine et de Volodymyr Zelensky dans le cadre du conflit en Ukraine, ou le deepfake de la voix de Joe Biden pour dissuader des électeurs du New Hampshire de voter, illustrent les enjeux que ces technologies posent pour la bonne tenue du débat démocratique.

En Irlande, en octobre, la campagne présidentielle a encore été perturbée par la diffusion d’un faux extrait de journal télévisé dans lequel la candidate Catherine Connolly semblait déclarer le retrait de sa candidature.

Les virements bancaires seront impossibles pendant 4 jours à Noël 2025

3 décembre 2025 à 11:30
billets-euros

Pendant les fêtes, une pause s'impose, y compris pour certaines transactions financières. Du 25 au 28 décembre 2025 inclus, les virements SEPA classiques seront suspendus dans toute la zone euro en raison de la fermeture du système interbancaire Target 2. Il est crucial d'anticiper vos opérations, car seuls les virements instantanés et internes resteront fonctionnels durant cette période.

HBM4 : Samsung bien décidé à croquer une grosse part du gâteau "NVIDIA" ?

On le sait, la HBM4 est sur le point d'arrivée. Cette mémoire vive à très hautes performances (et très haut cout), bien plus encore que les DDR ou GDDR que nous connaissons bien dans le secteur grand public, a évidemment le vent en poupe dans le monde du calcul IA et la HBM4, qui en est en fait la 6...

Frayeur : il a peur d'avoir arraché les puces mémoires de sa RTX 5090 en démontant son waterblock !

3 décembre 2025 à 11:21

L'image a de quoi donner des sueurs froides, on y voit un waterblock fraichement retiré d'une carte graphique haut de gamme, une ASUS ROG Astral RTX 5090, en l'occurrence et on ne peut que constater la présence d'écriture sur les pads thermiques, le cerveau a alors un réflexe et pense que les puces mémoires ont été arrachées lors de l'opération de démontage, ce qui serait peut-être rentable avec la hausse incessante de leur prix. Mais, il n'en est rien, car soyons logique, si c'était le cas, nous ne verrions pas les écritures, mais bien l'arrière des puces ! […]

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American Express faisait n’importe quoi avec les cookies et écope d’une amende

3 décembre 2025 à 11:09
Attention à l’indigestion
American Express faisait n’importe quoi avec les cookies et écope d’une amende

Après Condé Nast la semaine dernière, c’est au tour d’American Express d’écoper d’une amende administrative de 1,5 million d’euros de la CNIL. En cause là encore, le « non-respect des règles applicables en matière de traceurs (cookies) ». Explications.

Condé Nast, American Express : même combat

La semaine dernière, Condé Nast (éditrice de Vanity Fair, Vogue, GQ et AD) écopait d’une amende de 750 000 euros pour exactement le même motif, à savoir « le non-respect des règles applicables en matière de traceurs (cookies) ». La société s’était remise dans le droit chemin, mais la CNIL retenait la gravité du manquement et prononçait une sanction.

L’histoire se répète, mais avec un poids lourd du secteur bancaire et une amende administrative deux fois plus importante. Il y a plusieurs similitudes entre deux affaires qui arrivent à quelques jours d’intervalle… le début d’une nouvelle série ?

La CNIL rappelle qu’American Express est le « troisième émetteur de cartes de paiement au monde ». En janvier 2023 (il y a donc presque trois ans), elle a mené des contrôles sur le site Internet et dans les locaux de l’entreprise.

En cause, American Express déposait des traceurs sans le consentement de l’utilisateur ou malgré son « refus de consentir ». De plus, la société continuait « à lire les traceurs précédemment déposés malgré le retrait de leur consentement ». La délibération est publiée, permettant d’en apprendre davantage que le communiqué sur les tenants et aboutissants.

À peine arrivé, 31 cookies déposés

Lors du contrôle le 30 janvier 2023, le rapporteur de la CNIL explique que, « dès l’arrivée de l’utilisateur sur le site web  » www.americanexpress.com/fr-fr/ « , et avant toute action de sa part, huit cookies, qui ne bénéficient pas de l’exemption prévue par les textes susvisés et auraient donc dû être soumis au consentement de l’utilisateur, étaient déposés ».

American Express ne conteste pas et affirme avoir corrigé le tir en novembre 2024 afin que seuls les « cookies essentiels » soient déposés dès l’arrivée sur la page d’accueil. Lors d’un nouveau contrôle le 16 mai 2025, la CNIL confirme qu’il n’y a plus de trace du dépôt de ces cookies.

Les huit cookies ne sont que la face émergée de l’iceberg. En tout, le site déposait 31 cookies, mais les 23 autres entrent dans champ de l’exemption prévue par l’article 82 et sont donc considérés comme essentiels et non soumis au consentement.

Refusez des cookies, on vous les sert de force

Vient ensuite le cas du dépôt de cookies malgré le refus de l’utilisateur. Deux cas sont à distinguer. Sur le site principal tout d’abord. Quand un utilisateur cliquait sur « Tout refuser », six nouveaux cookies, considérés comme non essentiels par le rapporteur, étaient déposés. « Au regard des explications fournies par la société quant aux finalités poursuivies par ces cookies, le rapporteur, dans sa réponse et lors de la séance, a indiqué abandonner cette branche du manquement ».

Autre problème similaire, à partir du site email.amex-info.fr cette fois-ci. Toujours le 30 janvier 2023, la délégation de la CNIL continue de naviguer sur le site d’American Express et, au détour d’un clic et de l’ouverture d’un nouvel onglet, elle constate « le dépôt de dix nouveaux cookies. Le rapporteur considère que, parmi ces dix cookies, trois nécessitaient le recueil du consentement ». American Express ne conteste pas et affirme s’être mis en conformité par la suite.

Vous avez retiré le consentement, ok ! et… ?

Dernier grief, la lecture de cookies après retrait du consentement. Pour rappel, on doit pouvoir retirer son consentement aussi simplement qu’on l’a donné et ce à tout moment. Lors de la navigation, la CNIL a accepté les cookies, puis les a refusés. Elle a constaté « la présence sur son navigateur de l’ensemble des cookies déposés avant retrait du consentement, parmi lesquels plusieurs étaient pourtant soumis au consentement de l’utilisateur ».

En défense, l’entreprise américaine « soutient que le rapporteur n’apporte aucune preuve de ces opérations de lecture et que la seule présence des cookies sur le terminal de l’utilisateur est insuffisante pour démontrer un manquement ».

Lors des échanges avec l’entreprise américaine, le rapporteur a « produit un fichier HAR [HTTP Archive, ndlr] démontrant que les cookies précédemment déposés et toujours présents sur le navigateur continuaient, après retrait du consentement, à être lus ». American Express a fini par se mettre en conformité, mais « le manquement demeure néanmoins caractérisé pour le passé ».

Bien évidemment, American Express s’oppose à la publication de la décision et estime que le montant de l’amende proposé par le rapporteur – 1,5 million d’euros – est « disproportionné et insuffisamment motivé ». La formation restreinte de la CNIL estime au contraire que le montant est « adapté ».

De plus, la publicité de la sanction « se justifie au regard de la gravité avérée des manquements en cause, de la position de la société sur le marché et du nombre de personnes concernées, lesquelles doivent être informées ».

La configuration type de Steam retombe dans ses travers sur le GPU !

3 décembre 2025 à 10:57

Depuis quelques mois, deux camps, Laptop et desktop se livrent une véritable guerre de tranchée afin de dominer la configuration type mensuelle de Steam. En octobre, nous fûmes heureux de vous annoncer que le camp Desktop avait pris le dessus dans cette guerre fratricide, mais qu'elle ne fut pas notre déconvenue, lorsque nous constatâmes que la configuration type du mois de novembre 2025 avait à nouveau basculé du côté obscur du Laptop... […]

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Les contours de la hausse des prix des cartes graphiques AMD se précisent !

3 décembre 2025 à 10:12

Comme nous vous l'indiquions il y a peu dans notre suivi de la crise historique de la DRAM, avec une envolée de +171,8 % des tarifs sur un an, le marché continue de se tendre. Et selon de nouvelles informations en provenance de la supply chain, AMD aurait désormais informé ses partenaires d'une hausse généralisée de 10 % sur toute sa gamme GPU.Pourquoi ? Simple : le prix de la mémoire GDDR flambe et mange toutes les marges. […]

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Regardez vos vidéos YouTube sans publicité et sans abonnement !

3 décembre 2025 à 10:00

Ceux qui utilisent régulièrement YouTube connaissent le problème : à peine clique-t-on sur une vidéo que l'on est directement accueilli par plusieurs spots publicitaires. Et souvent, quelques publicités supplémentaires apparaissent au milieu de la vidéo, détériorant notre expérience.

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Concours : une RTX 5090 customisée ARC Raiders à remporter !

3 décembre 2025 à 09:47

NVIDIA perpétue son concours spécial fêtes de fin d'année avec une nouvelle carte graphique à remporter : une sublime RTX 5090 customisée ARC Raiders ! Il s'agit d'une version Founders Edition, testée ici. RTX 5090 FE : GPU : GB202 Fréquence : 2010 MHz Fréquence boost : 2410 MHz Mémoire : 32 Go GDDR7 Fréquence mémoire : 1400 MHz Bus : 512 bits Interface : PCIe 16X Gen 5 CUDA Cores : 21760 RT Cores : 170 (4th Gen) Tensor Cores : 680 (5th Gen) Rops : 176 […]

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☕️ OnlyOffice 9.2 officialise son agent pour le travail bureautique

3 décembre 2025 à 09:47

Avec la version 9.1, la suite bureautique avait introduit un agent en version bêta. L’éditeur se sent suffisamment prêt désormais pour le lancer dans le grand bain.

Comme toujours avec ce type de fonction, elle est conçue pour gérer des requêtes comme le résumé de tout ou partie d’un document, des questions sur le contenu, le remplissage de PDF ou encore des modifications dans la présentation.

OnlyOffice ne dispose pas de son propre modèle. Pour utiliser l’agent maison, il faut disposer d’une clé API pour un LLM existant, comme ChatGPT, Claude ou Gemini. On peut aussi le connecter à un serveur LLM ou MCP local fonctionnant avec des solutions de type Ollama. Comme le rappelle OMGUbuntu cependant, le travail avec les LLM implique souvent des conditions d’utilisation incluant la réutilisation des contenus analysés à des fins d’entrainement.

Parmi les autres nouveautés de cette version, signalons la possibilité de choisir une couleur personnalisée pour caviarder des passages dans un document PDF, l’enregistrement d’une série d’actions sous forme de macro pour la réutiliser plus tard, la personnalisation des raccourcis clavier, la possibilité d’insérer des équations depuis des sources en ligne, la disponibilité de cases à cocher et de boutons radio dans l’éditeur de formulaires, ainsi qu’un correctif de sécurité.

La nouvelle mouture de la suite peut être téléchargée depuis le site officiel ou le dépôt GitHub.

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