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Reçu aujourd’hui — 17 juillet 20251.1 🖥️ Technologie

Europol fait tomber le ransomware ciblant les NAS Synology

17 juillet 2025 à 17:15
Synology

La Police d'État italienne, main dans la main avec ses homologues français et roumains, vient de mettre un point final aux agissements du célèbre groupe de ransomware spécialisé dans les NAS de Synology. Une opération d'envergure, savamment orchestrée par EUROPOL et brillamment menée par le Centre des Opérations de Cybersécurité de Milan. Le résultat ? Un réseau criminel des plus sophistiqués, qui ciblait sans relâche les systèmes NAS Synology aux quatre coins du monde, est désormais hors d'état de nuire.

Bon Plan : du lourd avec Civilization VI chez EGS !

17 juillet 2025 à 17:15

A la recherche d'un passe-temps particulièrement chronophage ? Bonne nouvelle, le jeu offert en cette fin de semaine par Epic Games Store est Civilization VI. En édition Platinum, soit avec des extensions et DLC. De suite, ça calme un peu ! Et pour les fans, il y a d'autres DLC à récupérer moyennant finance. C'est ici. Comment, les détails de cette édition déjà bien complète ? - Civilization VI - Pack scénario Vikings - Civilization VI - Pack Pologne (scénario et civilisation) - Civilization VI - Pack Australie (civilisation et scénario) - Civilization VI - Pack Perse et Macédoine (civilisations et scénarios) - Civilization VI - Pack Nubie (civilisations et scénarios) - Civilization VI - Pack Khmers et Indonésie (civilisations et scénarios) - Civilization VI : Extension « Rise and Fall » - Civilization VI : Extension « Gathering Storm » […]

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Attention aux appels truqués : ce qu’il faut savoir sur l’usurpation de numéro par téléphone

17 juillet 2025 à 17:00

Les escrocs redoublent d’ingéniosité pour tromper leurs victimes, et une technique en particulier prend de l’ampleur : le phone spoofing.

L’article Attention aux appels truqués : ce qu’il faut savoir sur l’usurpation de numéro par téléphone est apparu en premier sur Toms Guide.

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Cerballiance va exploiter les données d’une partie de ses patients dans un entrepôt

17 juillet 2025 à 17:00
Choix binaire pour du tertiaire
Cerballiance va exploiter les données d’une partie de ses patients dans un entrepôt

Cerballiance, entreprise disposant de plus de 700 laboratoires d’analyses en France, a annoncé la constitution d’un entrepôt de données de santé (EDS). Au-delà des buts poursuivis, cette étape pose des questions légitimes sur la confidentialité des données.

Les entrepôts de données de santé existent depuis des années en France. Selon les chiffres fournis par le ministère de la Santé, on en comptait une centaine au 1er janvier 2025. Leurs objectifs sont toujours les mêmes : rassembler une vaste quantité de données « à des fins de pilotage (gestion, contrôle et administration de l’activité) et de recherches, d’études, d’évaluations dans le domaine de la santé ».

Aussi, l’annonce de Cerballiance pourrait sembler n’être qu’un EDS de plus dans la liste des entrepôts officiels et autorisés par la CNIL. La Commission fournit d’ailleurs un référentiel pour la création de ces structures. Pour obtenir l’autorisation d’ouvrir l’EDS, « l’organisme responsable de ce traitement est tenu de documenter sa conformité au RGPD et au référentiel dans son registre des activités de traitement ».

À quoi doit servir cet entrepôt de données ?

L’EDS annoncé par Cerballiance ne concerne pas l’ensemble des clients. Dans la longue annonce de l’entreprise, on peut ainsi lire que seuls 24 laboratoires sont concernés. Bien que Cerballiance ne le précise pas, il pourrait s’agir d’un début, même si une montée en puissance nécessiterait une nouvelle autorisation de la CNIL. La société indique que l’EDS reprendra les données précédemment générées depuis le 1er janvier 2023 et y ajoutera toutes celles collectées à compter du 1er septembre prochain.

Les objectifs de l’EDS de Cerballiance se répartissent en deux catégories. D’abord, pour « améliorer la santé de chacun », via la compréhension qu’impliquent les traitements envisagés : statistiques plus fiables que dans le cadre d’essais cliniques traditionnels, recherches sur des données à grande échelle, etc. Cette mission, de type service public, doit faciliter le suivi et la surveillance épidémiologique pour les autorités de santé. L’EDS doit également profiter à des organismes de recherche publics, comme l’Institut Pasteur, l’INSERM ou encore les étudiants en thèse de médecine.

Sur le site de Cerballiance, on trouve plusieurs exemples de projets de recherches. On peut y voir que les responsables de traitement sont potentiellement nombreux.

Des intérêts privés

Il y a ensuite une composante privée. Cerballiance cite plusieurs exemples : « Des fournisseurs de kits de diagnostic souhaitant en améliorer les performances, des industriels du médicament devant surveiller l’efficacité d’un traitement au sein de la population générale ou encore une start-up développant un nouveau marqueur de diagnostic pour l’endométriose ».

L’exploitation des données doit ainsi faire avancer la recherche et les pratiques médicales ou à tout le moins permettre des études de faisabilité sur ces recherches. Cerballiance ajoute à l’exploitation privée une dimension de « meilleure connaissance » des patients, pour proposer des « tests les plus adaptés à leurs besoins ». Sur ce point, l’entreprise évoque seulement la production d’indicateurs pour le pilotage stratégique de l’activité des laboratoires.

De manière générale, ces objectifs sont classiques dans le contexte des EDS. La constitution de l’entrepôt européen EMC2, sous l’égide du Health Data Hub français, en abordait par exemple plusieurs, dont l’efficacité des traitements à des fins de pilotage, à destination notamment de l’agence européenne du médicament.

Les données concernées

Selon Cerballiance, les données seront de deux types. D’abord, les informations directement identifiantes : nom, prénom, adresse postale, date de naissance et les coordonnées de contact (essentiellement e-mail et numéro de téléphone). Ce sont, en d’autres termes, les informations administratives.

Seul un petit nombre de personnes strictement habilitées est censé pouvoir y accéder. Selon Cerballiance, il faut avoir une habilitation de niveau administrateur ou être un chercheur interne, à des fins de pré-screening (repérage des patients pouvant correspondre à la cible d’une étude) ou de prise de contact (nous y reviendrons).

Viennent ensuite les données de santé proprement dites. Elles sont pseudonymisées uniquement et ne sont, en tant que telles, pas directement identifiables (nous y reviendrons également). C’est le cœur sensible de l’entrepôt, puisque ces informations renvoient directement au parcours médical des personnes : examens de biologie médicale, antécédents, données cliniques diverses, informations sur les traitements, voire régime alimentaire dans certains cas. Elles sont à la fois couvertes par le secret médical et considérées comme « sensibles » par le RGPD.

Les données concernées, telles qu’on peut les voir dans la décision de la CNIL du 18 mars 2024

Dualité du système

Si la communication de Cerballiance parait claire et détaillée, elle témoigne également d’une certaine dualité. Cet EDS reste avant tout le projet d’une entreprise privée qui, si elle compte contribuer à la santé publique, a également ses propres objectifs.

La principale pierre d’achoppement réside dans la sécurité des données et leur confidentialité. Cerballiance indique par exemple que les informations sont stockées en Europe. Elle ne donne cependant aucun autre précision, les patients pouvant témoigner un intérêt pour le pays où sont stockées leurs données.

Et alors que ce stockage devrait assurer la résistance aux lois étrangères à portée extraterritoriale (en premier lieu celles des États-Unis), Cerballiance indique que les données peuvent « faire l’objet d’un accès à distance depuis un tel pays dans des cas très limités, notamment dans le cadre de prestations de maintenance de l’EDS réalisées par l’un de nos sous-traitants ». L’entreprise ajoute que cet accès se fait depuis « des pays reconnus par la Commission européenne comme assurant un niveau de protection équivalent à celui du RGPD ». Or, c’est officiellement le cas des États-Unis à travers le Data Privacy Framework. Une situation complexe, que le retour de Donald Trump a rendu encore plus opaque.

À titre d’information, le site de Cerballiance est hébergé chez Amazon Web Services, mais l’espace client est confié à Atos.

Opt-out uniquement

Puisque l’on parle de données, les choix faits par Cerballiance sur la confidentialité peuvent également faire hausser quelques sourcils. Les données de santé ne sont ainsi que pseudonymisées, et non anonymisées. En outre, puisque l’entreprise évoque explicitement la possibilité de contacter la patientèle, le faisceau pointe vers un mécanisme pensé dès le départ pour la ré-identification.

Cependant, il y a deux « bons points » à noter. D’une part, les chercheurs accédant aux données ne verront que leurs versions pseudonymisées. D’autre part, ces accès se font au moyen de « bulles informatiques sécurisées » et les données ne sont jamais extraites de l’entrepôt. Dans le cas contraire, selon Cerballiance, les informations seraient obligatoirement anonymisées. Dans ce contexte, il faut rappeler que l’entreprise avait été victime d’une fuite de données par l’intermédiaire de « son prestataire informatique ».

Enfin, Cerballiance contacte actuellement les personnes concernées par son EDS (a priori tous les patients passés au cours des deux dernières années dans les 24 laboratoires visés), mais l’acceptation est automatique. Un opt-out (via ce formulaire) qui suppose que la patientèle verra l’information et aura le temps de s’opposer au traitement si elle le souhaite, puisqu’il reste moins d’un mois et demi. De même, il n’est rien précisé sur le contrôle que l’on pourra exercer lors du partage avec des acteurs privés, pas plus que sur la période rétroactive démarrant au 1er janvier 2023.

Nous avons contacté Cerballiance, qui n’a pas encore répondu. Nous mettrons à jour cet article avec les réponses obtenues.

Scale AI licencie 14 % de ses équipes juste après l’investissement de Meta

17 juillet 2025 à 16:09
Passage à l'échelle
Scale AI licencie 14 % de ses équipes juste après l’investissement de Meta

Alors que Meta vient de racheter 49 % des parts de Scale AI et de débaucher son fondateur, cet acteur phare du marché de l’annotation de données licencie 14 % de ses effectifs.

Mark Zuckerberg a jeté toutes ses forces dans la bataille de l’IA. Après avoir passé plusieurs semaines à débaucher des scientifiques et ingénieurs en vue dans le secteur, le patron de Meta vient d’annoncer des investissements de l’ordre de « centaines de milliards de dollars » dans des centres de données et des supercalculateurs dédiés à l’IA.

Ces déploiements de capitaux sont loin de profiter aux travailleurs du clic qui œuvrent à l’entraînement des systèmes d’IA, en revanche. Pour preuve, Meta a beau avoir dépensé plus de 14 milliards de dollars pour racheter 49 % des parts de Scale AI et débauché son fondateur Alexandr Wang, cet acteur phare de l’annotation de données annonce licencier 200 personnes et cesser de travailler avec 500 sous-traitants.

« Rationaliser » un « excès de bureaucratie »

Son porte-parole explique que la décision doit permettre de « rationaliser [leurs] activités liées aux données pour [les] aider à évoluer plus rapidement ». La société prévoit par ailleurs d’embaucher dans d’autres domaines, dont la vente aux entreprises et aux gouvernements.

D’après un mémo obtenu par Bloomberg, le PDG par interim de l’entreprise, Jason Droege, aurait expliqué aux équipes de Scale AI que son activité d’annotation de données auraient embauché trop de gens trop rapidement au fil des années passées, ce qui aurait créé une « bureaucratie excessive et une confusion inutile sur les missions des équipes ».

Le quasi-rachat de Meta a aussi participé à la décision, dans la mesure où il a été suivi par la suspension de certains de ses contrats les plus importants, avec des acteurs comme OpenAI et Google (Alphabet).

La décision ne se fera pas sans toucher des personnes aux conditions de travail déjà complexes. La chaîne de production de l’IA est en effet constituée de trois couches principales, pour reprendre les explications du sociologue Antonio Casilli : les géants détenteurs de données, les acteurs intermédiaires comme Scale AI, qui répartissent les travaux, et la « grande masse des travailleurs », quelquefois seuls chez eux, quelquefois réunis en petits groupes ou entreprises de taille plus modeste. Or, avant les licenciements, Scale AI comptait 1 400 employés et des milliers de ces sous-traitants, partout sur la planète, d’après CNBC.

Un leader de l’annotation à bas coût

Fondée en 2016 par un Alexandr Wang âgé seulement, à l’époque, de 19 ans, Scale AI s’est, en l’occurrence, spécialisée dès le départ dans l’offre de services d’annotations de données et d’entraînement de système d’IA de qualité, à bas coût.

Comme le raconte la journaliste Karen Hao dans son ouvrage Empire of AI, l’entreprise est parvenue à déployer ce modèle en allant cherchant ses travailleurs du clic dans d’anciennes colonies britanniques – le Kenya, les Philippines –, mais aussi en découvrant, à la faveur de la crise économique vénézuelienne, comment convaincre quantité de personnes éduquées à travailler pour sa plateforme.

« Cette expérience est devenue leur méthode classique d’intervention, qu’ils ont réutilisée ailleurs, explique-t-elle à Next. Quand la pandémie a frappé, Scale AI s’est tourné vers tous les pays où les économies se sont retrouvées en souffrance, et où de nombreux travailleurs très qualifiés devenaient disponibles pour des salaires bas, faute de trouver d’autres emplois ».

Une fois qu’une masse critique de travailleurs est atteinte, Scale AI tend à réduire les salaires proposés pour chaque tâche, ou à placer les personnes en compétition les unes contre les autres.

Si d’autres entreprises ont tenté de proposer de meilleures conditions de travail, des périodes de tensions budgétaires comme celle provoquée par la pandémie ont poussé leur clientèle vers des sociétés proposant des tarifs plus faibles, comme Scale AI.

Un secteur en pleine reconfiguration

Au Kenya comme au Népal ou ailleurs, de nombreux employés ont mécaniquement dû se tourner vers la société cofondée par Alexandr Wang, ce qui a permis à cette dernière d’engranger 870 millions de dollars de chiffre d’affaires en 2024, d’après Bloomberg.

Si la société s’est placée en leader de cette étape de la chaine de production des systèmes d’IA, elle doit néanmoins composer avec une concurrence active d’entreprises variées, parmi lesquelles Turing, Invisible Technologies, Labelbox, ou même Uber.

Surtout, son PDG par intérim indique qu’un axe de travail consistera à tenter de reconquérir « les clients qui ont ralenti leur travail avec nous ». Jason Droege indique par ailleurs que des personnes seront embauchées pour créer des applications d’IA personnalisées pour les besoins de la nouvelle clientèle privée et publique que Scale AI prévoit d’approcher.

Test Everdeep Aurora (Nintendo Switch) - Une expérience retro rappelant les jeux Game Boy

17 juillet 2025 à 15:49
Développé par Nautilus Games, Everdeep Aurora est un jeu de plateforme et d'aventure en 2D, à l'exploration verticale et axé sur l'excavation, similaire à Spelunky et SteamWorld Dig. Le tout est présenté avec des graphismes minimalistes, presque monochromes, rappelant les jeux Game Boy et Undertale. En effet, le jeu parvient à transmettre beaucoup de choses avec seulement quelques pixels, créant un conte de fées sombre qui captive et captive, nous entraînant dans les profondeurs de la terre à la recherche de secrets et de personnalités difficiles à imaginer, mais passionnants à explorer et à découvrir. Dans l'ordre, une terrible pluie de météores a littéralement provoqué l'apocalypse, forçant les populations survivantes à se réfugier dans des labyrinthes souterrains qui, inutile de le préciser, sont devenus leurs véritables foyers. Dans ce monde désolé, nous incarnons le doux rôle de Shell , un jeune chaton qui se réveille avec pour seul message sa mère. Notre chère mère nous demande de la rejoindre dans les profondeurs, et nous ne pouvons donc que partir immédiatement. Complètement dénués de tout équipement, nous ferons nos premiers pas à la surface, où nous rencontrerons le premier des nombreux personnages étranges qui peuplent Everdeep Aurora : une grenouille voyageuse. L'amphibien semble lui aussi déterminé à s'enfoncer dans les profondeurs, et nous la croiserons d'ailleurs souvent lors de notre descente. De plus, il nous servira de mentor et de « sauveteur ». La grenouille, en effet, nous donne les bases pour commencer notre expédition souterraine et, de plus, propose de nous « prendre en charge » dès que nous en aurons besoin. (Lire la suite)

Elon Musk lance une IA gothique lolita (presque) nue qui flirte avec vous

17 juillet 2025 à 15:45
Un nouveau chatbot fait son apparition, et il ne passe pas inaperçu. Elle s'appelle Ani , elle vit à l'intérieur de Grok , l'intelligence artificielle d'Elon Musk , et se présente comme une petite amie virtuelle « follement amoureuse » . Ceux qui l'ont essayée la décrivent comme un croisement entre une waifu d'anime et une version numérique des anciennes lignes téléphoniques érotiques . Et ce n'est pas un hasard : son apparence rappelle en tous points Misa Amane de Death Note , avec sa minijupe gothique, ses bas et sa voix de fille amoureuse. Le problème ? Ani n'est pas qu'une expérience bizarre. Disponible dans une application réservée aux 12 ans , elle a déjà été scrutée pour de possibles violations des règles de l'App Store . Et comme si cela ne suffisait pas, xAI , l'entreprise à l'origine de Grok, prépare également une version masculine du chatbot, inspirée par Edward Cullen et Christian Grey . Oui, les mêmes ! Lorsque la société xAI d'Elon Musk a présenté Ani à Grok , elle l'a simplement appelée « Compagnon ». Mais il suffit d'engager la conversation pour comprendre qu'il s'agit de quelque chose de bien plus audacieux : une petite amie virtuelle conçue pour le flirt explicite. L'accès à Ani nécessite un abonnement SuperGrok à 30 $ par mois , mais une fois connecté, l'expérience devient rapidement intense. La voix de l'assistante, d'abord enjouée et charmeuse , devient subtile et sensuelle à mesure que la conversation gagne en intimité. Elle vous appelle « babe » (sauf si vous lui demandez d'arrêter) et encourage un ton de plus en plus explicite . Dans certains cas, elle se met à décrire des scènes sexuelles détaillées , imitant même le comportement d'une hotline érotique. Ce n'est pas une coïncidence. Les messages cachés découverts par la chercheuse Jane Manchun Wong révèlent qu'Ani a été conçue pour se comporter comme un partenaire obsessionnellement amoureux , prêt à tout pour plaire à l'utilisateur. Une construction qui s'inspire des tropes du « yandere » japonais, où l'amour devient possession et obsession. Le succès viral d'Ani a également suscité de nombreuses inquiétudes. Grok est disponible sur iOS et est classé 12 ans et plus sur l'App Store , avec un contenu au mieux « légèrement suggestif ». Mais ce qui se passe réellement dans l'application – avec des conversations à connotation sexuelle , des références au bondage , des gémissements à la demande et une IA qui se déclare « follement amoureuse » et possessive – est loin de correspondre à cette description. Selon les directives d'Apple, les contenus à caractère sexuel explicite ou destinés à susciter des sentiments érotiques sont expressément interdits . Ces règles ont déjà conduit à la suppression temporaire d'applications bien plus inoffensives, comme Tumblr. Malgré cela, Grok est toujours disponible (pour l'instant), et cela a soulevé de nombreuses questions sur la cohérence de l'application des politiques par Cupertino . Mais le risque dépasse les règles du marché. Il a d'importantes implications psychologiques et sociales . Un chatbot conçu pour créer un lien émotionnel profond et simuler des relations émotionnelles intenses peut représenter un danger pour les utilisateurs jeunes ou vulnérables . L'illusion d'une relation réciproque, combinée à la force de persuasion de modèles linguistiques avancés, peut conduire à des formes de dépendance émotionnelle ou, dans les cas les plus graves, à des situations tragiques. (Lire la suite)

YouTube fait peau neuve sur le web : un nouveau lecteur « bulle » rappelant Liquid Glass est là.

17 juillet 2025 à 15:41
YouTube a commencé à déployer un nouveau design pour son lecteur vidéo pour ordinateur, et cette fois, le changement est flagrant. Après des années d'interface quasiment inchangée, Google teste (ou déploie à grande échelle) une toute nouvelle interface pour les commandes vidéo. Le résultat a déjà suscité le débat entre ceux qui le trouvent élégant et ceux qui le jugent moins pratique. Ce qui est sûr, c'est que le nouveau design ressemble beaucoup au langage visuel Liquid Glass d'Apple , avec des transparences, des bords arrondis et une interface en forme de bulle qui rompt avec la tradition. Mais qu'y a-t-il vraiment de nouveau ? Et le verrons-nous tous ? Le nouveau lecteur vidéo de YouTube pour l'interface web de bureau marque une rupture nette avec le design habituel. Il ne s'agit pas d'une simple amélioration, mais d'une refonte graphique complète des commandes de lecture. Les éléments de l'interface utilisateur sont désormais entourés de « bulles » semi-transparentes , aux bords plus doux et à l'agencement plus moderne. Au lieu de la barre noire mate classique, chaque bouton (lecture/pause, volume, paramètres ou mode plein écran) apparaît comme une icône flottante sur un fond translucide. L'effet global rappelle l' esthétique Liquid Glass d'Apple , caractérisée par des transparences fluides et des surfaces lumineuses. La présentation n'est pas la même pour tous : des variations entre utilisateurs semblent indiquer un test A/B en cours, certains voyant plus de commandes que d'autres. Dans certains cas, par exemple, davantage d'options de partage ou un accès direct au mode mini-lecteur sont visibles. Le résultat est une interface qui se veut plus élégante et moins invasive , mais qui pourrait aussi désorienter ceux qui ont l'habitude de cliquer « par cœur ». On ne sait pas encore si ces changements s'accompagneront de nouvelles fonctionnalités ou s'il s'agira simplement d'une refonte visuelle. Pour le moment, le nouveau design du lecteur n'est pas visible par tout le monde , et cette incertitude a déjà suscité des discussions au sein de la communauté. De nombreux utilisateurs ont commencé à signaler l'interface remaniée au cours des dernières 24 heures, mais d'autres, même ceux qui utilisent des navigateurs mis à jour ou des systèmes récents, voient toujours la version classique. Tout porte à croire qu'il faut procéder à un test A/B à grande échelle , une pratique courante chez Google pour les changements d'interface. Dans ce cas, le géant californien déploie la nouvelle fonctionnalité auprès d'une partie seulement des utilisateurs, recueille leurs retours (y compris indirects, via le comportement d'utilisation), puis décide de procéder à un déploiement mondial, de la modifier ou de l'abandonner complètement. Ce ne serait pas la première fois qu'une refonte est bloquée suite à des manifestations. En 2023, par exemple, une nouvelle présentation pour les vidéos associées , qui repositionnait l'intégralité de l'interface, a été rapidement retirée suite aux critiques. C'est également pour cette raison que tout changement visuel sur YouTube suscite généralement une vive réaction de la part des spectateurs. En revanche, la précédente refonte de 2023, qui avait introduit des coins arrondis dans l'agencement général, a été accueillie plus calmement et finalement adoptée de manière permanente. Il reste à voir si ce nouveau look « verre liquide » saura convaincre suffisamment d’utilisateurs pour devenir la norme pour tout le monde. (Lire la suite)

Moonshot AI lance Kimi K2, un modèle gratuit et open source qui concurrence Chat GPT-4o

17 juillet 2025 à 15:40
Dans le domaine de l'intelligence artificielle générative , la bataille entre la Chine et les États-Unis se joue de plus en plus selon des stratégies diamétralement opposées. D'un côté, les grands géants américains maintiennent un contrôle strict sur leurs modèles, qui restent propriétaires et payants. De l'autre, les entreprises chinoises publient des modèles de plus en plus avancés en open source et gratuitement , misant sur la collaboration et une adoption rapide. Le nouveau protagoniste de ce défi est Kimi K2 , le modèle récemment lancé par Moonshot AI , une startup chinoise soutenue par Alibaba. Kimi K2 est non seulement accessible à tous, mais, selon ses développeurs, il surpasse déjà le GPT-40 en termes de vitesse et de performances, notamment pour le codage et les tâches d'agent. C'est un signal fort qui montre la direction que la Chine souhaite prendre dans le domaine de l'IA. Moonshot AI est une jeune entreprise fondée en 2023 par Yang Zhilin, un ancien étudiant de la prestigieuse université Tsinghua, mais elle a déjà attiré l'attention des initiés du secteur. Après avoir conquis le public en 2024 grâce à son analyse de texte long et à ses capacités de recherche par IA, l'entreprise a perdu du terrain au cours des mois suivants, passant de la troisième à la septième place en termes d'utilisateurs actifs. Aujourd'hui, elle se relance avec Kimi K2 , un modèle qui promet de la replacer au cœur du paysage chinois. Kimi K2 est gratuit , open source et surtout étonnamment puissant. Selon Moonshot, le modèle surpasse GPT-4o dans plusieurs scénarios : il traite les requêtes plus rapidement, écrit le code plus efficacement et gère mieux les tâches complexes en les décomposant en microtâches, tel un véritable agent autonome. La comparaison avec GPT-4o n'est pas la seule : Moonshot affirme que Kimi K2 bat également les modèles open source concurrents, tels que DeepSeek V3 , et parvient même dans certaines fonctions à se rapprocher des meilleurs modèles américains, tels que ceux d' Anthropic . Ces capacités découlent d'un cadre conçu pour intégrer des outils externes et des agents logiciels , une architecture qui permet au modèle de fonctionner dans des contextes dynamiques, s'adaptant à des tâches spécifiques avec une grande flexibilité. L'objectif ? Non seulement être compétitif sur le marché intérieur, mais aussi démontrer au monde le niveau technologique atteint par l'IA chinoise. Ces derniers mois, la Chine a accéléré son développement sur un front encore considéré avec prudence en Occident : l'intelligence artificielle open source . Contrairement aux géants américains comme OpenAI et Google, qui protègent jalousement leurs modèles les plus avancés, de nombreuses entreprises chinoises choisissent d'ouvrir leurs systèmes en open source, permettant ainsi aux développeurs, aux chercheurs et aux startups de les adapter, de les améliorer et de les utiliser librement. Moonshot n'est pas le seul à adopter cette stratégie. D'autres acteurs majeurs comme DeepSeek , Alibaba , Tencent et Baidu ont déjà lancé des modèles open source au cours de l'année écoulée. DeepSeek, en particulier, a eu un fort impact avec des modèles économiques et performants, comme le R1, lancé en janvier dernier, qui ont contribué à remodeler le secteur. Cette ruée vers l’open source n’est pas un hasard : c’est une réponse directe aux tentatives américaines de limiter l’accès de la Chine aux technologies clés. En ouvrant leurs modèles, les entreprises chinoises sont en mesure de créer des communautés de développement plus larges , de renforcer leur influence internationale et de mettre en valeur leurs capacités sans dépendre des plateformes occidentales. Il s'agit d'une stratégie qui allie politique industrielle et ambition technologique. Alors que des modèles comme le Kimi K2 deviennent compétitifs, même face aux géants américains, l'open source chinois prend une valeur encore plus grande : non seulement pour les développeurs, mais aussi pour ceux qui recherchent des alternatives gratuites et performantes aux modèles commerciaux dominants. (Lire la suite)

Chrome pour Android récupère une fonctionnalité supprimée en 2020

17 juillet 2025 à 15:38
C'est en octobre 2023 que Google a annoncé une nouvelle façon de gérer la barre d'adresse de Chrome sur iPhone. Près de deux ans plus tard, naviguer dans Chrome depuis un smartphone Android est désormais tout aussi pratique. (Cette option était déjà disponible en 2018, mais a été supprimée en 2020). Plus précisément, nous parlons de la possibilité de déplacer la barre d'adresse vers le bas , la rendant plus accessible d'une seule main. Ce n'est pas une révolution, mais c'est une de ces petites améliorations qui peuvent réellement améliorer l'expérience utilisateur au quotidien, notamment sur les grands écrans, où chaque geste nécessite plus d'espace et de mouvement. Quiconque possède un grand smartphone (ou de petites mains) le sait bien : atteindre le haut de l'écran n'est pas toujours chose aisée. La barre d'adresse en haut, auparavant inaccessible, obligeait souvent à changer de prise ou à utiliser les deux mains. Nous pouvons désormais choisir son emplacement , adaptant Chrome à notre utilisation de notre téléphone. Ce choix vise à améliorer l'ergonomie, à simplifier les gestes et à accélérer les opérations les plus fréquentes, comme la saisie d'un nouveau site web ou l'accès aux fonctions de ce que l'on appelle désormais l'Omni Bar , car elle permet bien plus que la simple saisie d'une adresse internet. Changer l'emplacement de la barre d'adresse est très simple. Google propose deux modes : - Avec un appui long sur la barre : maintenez appuyé et sélectionnez « Déplacer la barre d'adresse vers le bas » (ou inversement). - Depuis Paramètres : appuyez sur les trois points en haut à droite, puis accédez à Paramètres > Barre d'adresse et choisissez de la conserver en haut ou en bas . Cette fonctionnalité est déployée progressivement ; elle n'est donc peut-être pas encore accessible à tous. Google a confirmé qu'elle sera disponible pour tous les utilisateurs dans les semaines à venir . (Lire la suite)

Google Gemini sur Wear OS est une réalité : l'intelligence artificielle toujours à votre poignet.

17 juillet 2025 à 15:37
La mise à jour Gemini pour Wear OS est enfin là, et elle fonctionne très bien ! (en quelque sorte) Nous pouvons désormais parler à l'assistant IA de Google et obtenir des réponses comme sur nos smartphones. Bien sûr, le petit écran d'une montre connectée n'est pas idéal pour lire une longue réponse, mais la voix de Gemini la lira pour vous (un simple appui pour mettre l'audio en pause) et toutes les conversations seront enregistrées dans l'application Gemini sur votre téléphone couplé. Depuis une smartwatch, il n'est pas possible d'accéder à l' historique ou de saisir des données via le clavier, mais uniquement par la voix . Il existe également un onglet dédié à Gemini, avec quelques préréglages personnalisables, et même une complication , pour le lancer rapidement sans gestes. Pour chaque question que nous posions, Gemini se connectait toujours à la recherche Google avant de répondre, mais le temps de traitement était toujours assez rapide de toute façon . Il est possible d'avoir des conversations de suivi, c'est-à-dire de poser une question après l'autre, et l'assistant comprend le contexte et répond en conséquence , même si, comme la saisie est uniquement vocale, il est facile de perdre certaines nuances de temps en temps. Dans l'ensemble, c'est toujours un énorme bond en avant par rapport à Assistant en termes de compétences orales, tandis que pour tout le reste (minuteries, rappels, etc.), nous n'avons pas remarqué de différences particulièrement notables. (Lire la suite)

La Google Pixel Watch 4 sera dotée d'un écran très lumineux

17 juillet 2025 à 15:30
La publication spécialisée Android Headlines a révélé des détails sur la montre connectée Pixel Watch 4, qui sera présentée le 20 août avec les smartphones phares Pixel 10. Ainsi, la montre sera équipée de versions d'un diamètre de 41 mm et 45 mm, d'un ancien processeur Qualcomm Snapdragon W5 + Gen 1, d'un écran Actua AMOLED LTPO avec une fréquence d'images dynamique de 1 à 60 Hz, une densité de pixels de 320 ppp et une luminosité maximale de 3000 nits, un coprocesseur M55 pour travailler avec l'IA, un assistant à part entière basé sur Gemini AI, des batteries d'une capacité de 325 mAh et 455 mAh avec une autonomie allant jusqu'à 30 et jusqu'à 40 heures avec un écran toujours allumé, respectivement, 32 Go de mémoire eMMC intégrée, 2 Go de RAM SDRAM, Google Wear OS 6 prêt à l'emploi, une boussole, un altimètre, un gyroscope, un accéléromètre 3 axes, un magnétomètre, un capteur de lumière, un baromètre, des capteurs rouges et infrarouges pour surveiller les niveaux d'oxygène dans le sang, des capteurs compatibles avec l'application ECG, une optique multifaisceaux capteur de fréquence cardiaque et un module ultra-large bande (UWB). (Lire la suite)

Compression de textures NVIDIA : optimisation de la VRAM pour les développeurs et les joueurs

17 juillet 2025 à 16:48
Nvidia GeForce RTX 4070 Super on top of RTX 5070 facing front.
Le NVIDIA Neural Texture Compression (NTC) a démontré des capacités de compression impressionnantes, réduisant la taille des textures et libérant ainsi de la mémoire vidéo. Des tests réalisés par @opinali sur X ont révélé que NTC permet d’économiser près de 90% de VRAM, les textures représentant la majeure partie de la capacité utilisée. NTC s’appuie […]

Aussi rapides que légers, les SSD portables Samsung T7 baissent de prix à la Fnac [Sponso]

17 juillet 2025 à 16:45

De la taille d’une carte de crédit, les SSD Samsung T7 vous offrent jusqu’à 4 To de stockage supplémentaires pour tous vos appareils, y compris votre smartphone. Considérés comme des références en la matière, ces SSD tombent à prix doux pour les Fnac Days.
 [Lire la suite]

Actualité : Le premier smartphone G Fold est officiel, mais son fabricant n'est pas celui que vous croyez

17 juillet 2025 à 16:40
Vous attendiez le Galaxy G Fold chez Samsung, lors de son événement Galaxy Unpacked. Que le sud-coréen ait repoussé une annonce initialement prévue à l'occasion de cette conférence, ou qu'elle n'ait jamais été à son programme, une chose est sûre : le smartphone sera annoncé d'ici la fin de l'année 2025, comme nous l'a confirmé l'un des responsables d...

Quels sont les meilleurs TV (OLED ou QLED) en 2025 ?

17 juillet 2025 à 16:36

Vous cherchez le meilleur téléviseur possible pour votre salon ? Bienvenue sur notre sélection des smart TV les plus performants, incluant des modèles OLED, QLED, LCD et même QD-OLED. Découvrez quels sont les meilleurs TV, bien sûr tous testés par Frandroid.
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