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Reçu aujourd’hui — 17 juillet 20251.1 🖥️ Technologie

RedMagic Astra : le must-have des gamers sur mobile ?

17 juillet 2025 à 18:45

Il y a moins d’un an, nous testions la première tablette gaming de chez Redmagic: la Nova. Une tablette que l’on avait appréciée et qui donnait au gamer mobile accès à la performance d’un smartphone gaming sur “grand écran”. Cette tablette nous avait vraiment agréablement surpris. Un an plus tard, Redmagic sort donc une nouvelle […]

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Xbox : vos jeux console débarquent en streaming sur PC, même sans la console !

17 juillet 2025 à 18:10
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C'est une excellente nouvelle pour les gamers sur PC : Xbox vient de franchir un cap important. Le géant a annoncé que les membres du programme Xbox Insiders, s'ils sont abonnés au Game Pass Ultimate, peuvent désormais streamer les jeux qu'ils possèdent. Et pas n'importe lesquels ! On parle ici de titres qui étaient jusqu'à présent réservés à la console. Tout ça, directement depuis l'application Xbox sur leur ordinateur.

Meilleur antivirus, le comparatif en juillet 2025

17 juillet 2025 à 17:32
Virus, ransomwares, phishing… En 2025, les cybermenaces se diversifient et progressent rapidement. Verrouillage de fichiers, usurpation de comptes, espionnage invisible : leurs impacts touchent tous nos appareils. Pour s’en prémunir, il est essentiel de choisir une solution capable d’assurer une protection en temps réel et de sécuriser vos données chaque jour. Détection proactive, transactions sécurisées, navigation contrôlée : découvrez notre sélection des meilleurs antivirus disponibles actuellement.

Test Formovie Theater Premium : le projecteur UST qui vous colle au fond du canapé !

17 juillet 2025 à 17:17
Connu pour son excellent rapport qualité-prix, le Formovie Theater s’est rapidement imposé comme une référence dans le monde des vidéoprojecteurs à ultra-courte focale. Son successeur, sobrement baptisé Formovie Theater Premium, en reprend les fondamentaux tout en affûtant son positionnement pour les amateurs d’image cinéma. Design plus feutré, son Bowers & Wilkins mieux intégré, interface modernisée avec Google TV… Le tout pour moins de 3000 €. Faut-il craquer ? Nous l’avons testé dans des conditions réelles.

Google dévore la startup d’IA Windsurf… mais en laisse un bout pour Cognition

17 juillet 2025 à 17:15

Annoncée en bonne voie de rachat par OpenAI pour 3 milliards de dollars, la start-up d’intelligence artificielle Windsurf a vu ses plans chamboulés à la dernière minute. Les fondateurs de la jeune pousse ont finalement préféré prendre un autre chemin, c’est à dire rejoindre Google DeepMind. La division …

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YouTube Premium Lite arrive en France pour supprimer la plupart des pubs

17 juillet 2025 à 16:56

L’abonnement YouTube Premium Lite fait ses débuts en France, après avoir été disponible dans plusieurs pays. Il permet de retirer la plupart des publicités sur les vidéos… mais certaines restent toutefois présentes.   Lancement de YouTube Premium Lite en France Dans le détail, l’abonnement YouTube Premium Lite coûte …

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Roblox annonce des mesures de sécurité et confidentialité pour les adolescents âgés de 13 à 17 ans

17 juillet 2025 à 16:25

Sous le feu des critiques depuis plusieurs mois, Roblox vient d’annoncer une série de nouvelles mesures de sécurité destinées aux adolescents âgés de 13 à 17 ans. Parmi elles, la fonctionnalité « Trusted Connections » (traduction : « connexion de confiance ») permet aux jeunes de communiquer plus librement avec …

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Europol fait tomber le ransomware ciblant les NAS Synology

17 juillet 2025 à 17:15
Synology

La Police d'État italienne, main dans la main avec ses homologues français et roumains, vient de mettre un point final aux agissements du célèbre groupe de ransomware spécialisé dans les NAS de Synology. Une opération d'envergure, savamment orchestrée par EUROPOL et brillamment menée par le Centre des Opérations de Cybersécurité de Milan. Le résultat ? Un réseau criminel des plus sophistiqués, qui ciblait sans relâche les systèmes NAS Synology aux quatre coins du monde, est désormais hors d'état de nuire.

Bon Plan : du lourd avec Civilization VI chez EGS !

17 juillet 2025 à 17:15

A la recherche d'un passe-temps particulièrement chronophage ? Bonne nouvelle, le jeu offert en cette fin de semaine par Epic Games Store est Civilization VI. En édition Platinum, soit avec des extensions et DLC. De suite, ça calme un peu ! Et pour les fans, il y a d'autres DLC à récupérer moyennant finance. C'est ici. Comment, les détails de cette édition déjà bien complète ? - Civilization VI - Pack scénario Vikings - Civilization VI - Pack Pologne (scénario et civilisation) - Civilization VI - Pack Australie (civilisation et scénario) - Civilization VI - Pack Perse et Macédoine (civilisations et scénarios) - Civilization VI - Pack Nubie (civilisations et scénarios) - Civilization VI - Pack Khmers et Indonésie (civilisations et scénarios) - Civilization VI : Extension « Rise and Fall » - Civilization VI : Extension « Gathering Storm » […]

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Attention aux appels truqués : ce qu’il faut savoir sur l’usurpation de numéro par téléphone

17 juillet 2025 à 17:00

Les escrocs redoublent d’ingéniosité pour tromper leurs victimes, et une technique en particulier prend de l’ampleur : le phone spoofing.

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Cerballiance va exploiter les données d’une partie de ses patients dans un entrepôt

17 juillet 2025 à 17:00
Choix binaire pour du tertiaire
Cerballiance va exploiter les données d’une partie de ses patients dans un entrepôt

Cerballiance, entreprise disposant de plus de 700 laboratoires d’analyses en France, a annoncé la constitution d’un entrepôt de données de santé (EDS). Au-delà des buts poursuivis, cette étape pose des questions légitimes sur la confidentialité des données.

Les entrepôts de données de santé existent depuis des années en France. Selon les chiffres fournis par le ministère de la Santé, on en comptait une centaine au 1er janvier 2025. Leurs objectifs sont toujours les mêmes : rassembler une vaste quantité de données « à des fins de pilotage (gestion, contrôle et administration de l’activité) et de recherches, d’études, d’évaluations dans le domaine de la santé ».

Aussi, l’annonce de Cerballiance pourrait sembler n’être qu’un EDS de plus dans la liste des entrepôts officiels et autorisés par la CNIL. La Commission fournit d’ailleurs un référentiel pour la création de ces structures. Pour obtenir l’autorisation d’ouvrir l’EDS, « l’organisme responsable de ce traitement est tenu de documenter sa conformité au RGPD et au référentiel dans son registre des activités de traitement ».

À quoi doit servir cet entrepôt de données ?

L’EDS annoncé par Cerballiance ne concerne pas l’ensemble des clients. Dans la longue annonce de l’entreprise, on peut ainsi lire que seuls 24 laboratoires sont concernés. Bien que Cerballiance ne le précise pas, il pourrait s’agir d’un début, même si une montée en puissance nécessiterait une nouvelle autorisation de la CNIL. La société indique que l’EDS reprendra les données précédemment générées depuis le 1er janvier 2023 et y ajoutera toutes celles collectées à compter du 1er septembre prochain.

Les objectifs de l’EDS de Cerballiance se répartissent en deux catégories. D’abord, pour « améliorer la santé de chacun », via la compréhension qu’impliquent les traitements envisagés : statistiques plus fiables que dans le cadre d’essais cliniques traditionnels, recherches sur des données à grande échelle, etc. Cette mission, de type service public, doit faciliter le suivi et la surveillance épidémiologique pour les autorités de santé. L’EDS doit également profiter à des organismes de recherche publics, comme l’Institut Pasteur, l’INSERM ou encore les étudiants en thèse de médecine.

Sur le site de Cerballiance, on trouve plusieurs exemples de projets de recherches. On peut y voir que les responsables de traitement sont potentiellement nombreux.

Des intérêts privés

Il y a ensuite une composante privée. Cerballiance cite plusieurs exemples : « Des fournisseurs de kits de diagnostic souhaitant en améliorer les performances, des industriels du médicament devant surveiller l’efficacité d’un traitement au sein de la population générale ou encore une start-up développant un nouveau marqueur de diagnostic pour l’endométriose ».

L’exploitation des données doit ainsi faire avancer la recherche et les pratiques médicales ou à tout le moins permettre des études de faisabilité sur ces recherches. Cerballiance ajoute à l’exploitation privée une dimension de « meilleure connaissance » des patients, pour proposer des « tests les plus adaptés à leurs besoins ». Sur ce point, l’entreprise évoque seulement la production d’indicateurs pour le pilotage stratégique de l’activité des laboratoires.

De manière générale, ces objectifs sont classiques dans le contexte des EDS. La constitution de l’entrepôt européen EMC2, sous l’égide du Health Data Hub français, en abordait par exemple plusieurs, dont l’efficacité des traitements à des fins de pilotage, à destination notamment de l’agence européenne du médicament.

Les données concernées

Selon Cerballiance, les données seront de deux types. D’abord, les informations directement identifiantes : nom, prénom, adresse postale, date de naissance et les coordonnées de contact (essentiellement e-mail et numéro de téléphone). Ce sont, en d’autres termes, les informations administratives.

Seul un petit nombre de personnes strictement habilitées est censé pouvoir y accéder. Selon Cerballiance, il faut avoir une habilitation de niveau administrateur ou être un chercheur interne, à des fins de pré-screening (repérage des patients pouvant correspondre à la cible d’une étude) ou de prise de contact (nous y reviendrons).

Viennent ensuite les données de santé proprement dites. Elles sont pseudonymisées uniquement et ne sont, en tant que telles, pas directement identifiables (nous y reviendrons également). C’est le cœur sensible de l’entrepôt, puisque ces informations renvoient directement au parcours médical des personnes : examens de biologie médicale, antécédents, données cliniques diverses, informations sur les traitements, voire régime alimentaire dans certains cas. Elles sont à la fois couvertes par le secret médical et considérées comme « sensibles » par le RGPD.

Les données concernées, telles qu’on peut les voir dans la décision de la CNIL du 18 mars 2024

Dualité du système

Si la communication de Cerballiance parait claire et détaillée, elle témoigne également d’une certaine dualité. Cet EDS reste avant tout le projet d’une entreprise privée qui, si elle compte contribuer à la santé publique, a également ses propres objectifs.

La principale pierre d’achoppement réside dans la sécurité des données et leur confidentialité. Cerballiance indique par exemple que les informations sont stockées en Europe. Elle ne donne cependant aucun autre précision, les patients pouvant témoigner un intérêt pour le pays où sont stockées leurs données.

Et alors que ce stockage devrait assurer la résistance aux lois étrangères à portée extraterritoriale (en premier lieu celles des États-Unis), Cerballiance indique que les données peuvent « faire l’objet d’un accès à distance depuis un tel pays dans des cas très limités, notamment dans le cadre de prestations de maintenance de l’EDS réalisées par l’un de nos sous-traitants ». L’entreprise ajoute que cet accès se fait depuis « des pays reconnus par la Commission européenne comme assurant un niveau de protection équivalent à celui du RGPD ». Or, c’est officiellement le cas des États-Unis à travers le Data Privacy Framework. Une situation complexe, que le retour de Donald Trump a rendu encore plus opaque.

À titre d’information, le site de Cerballiance est hébergé chez Amazon Web Services, mais l’espace client est confié à Atos.

Opt-out uniquement

Puisque l’on parle de données, les choix faits par Cerballiance sur la confidentialité peuvent également faire hausser quelques sourcils. Les données de santé ne sont ainsi que pseudonymisées, et non anonymisées. En outre, puisque l’entreprise évoque explicitement la possibilité de contacter la patientèle, le faisceau pointe vers un mécanisme pensé dès le départ pour la ré-identification.

Cependant, il y a deux « bons points » à noter. D’une part, les chercheurs accédant aux données ne verront que leurs versions pseudonymisées. D’autre part, ces accès se font au moyen de « bulles informatiques sécurisées » et les données ne sont jamais extraites de l’entrepôt. Dans le cas contraire, selon Cerballiance, les informations seraient obligatoirement anonymisées. Dans ce contexte, il faut rappeler que l’entreprise avait été victime d’une fuite de données par l’intermédiaire de « son prestataire informatique ».

Enfin, Cerballiance contacte actuellement les personnes concernées par son EDS (a priori tous les patients passés au cours des deux dernières années dans les 24 laboratoires visés), mais l’acceptation est automatique. Un opt-out (via ce formulaire) qui suppose que la patientèle verra l’information et aura le temps de s’opposer au traitement si elle le souhaite, puisqu’il reste moins d’un mois et demi. De même, il n’est rien précisé sur le contrôle que l’on pourra exercer lors du partage avec des acteurs privés, pas plus que sur la période rétroactive démarrant au 1er janvier 2023.

Nous avons contacté Cerballiance, qui n’a pas encore répondu. Nous mettrons à jour cet article avec les réponses obtenues.

Scale AI licencie 14 % de ses équipes juste après l’investissement de Meta

17 juillet 2025 à 16:09
Passage à l'échelle
Scale AI licencie 14 % de ses équipes juste après l’investissement de Meta

Alors que Meta vient de racheter 49 % des parts de Scale AI et de débaucher son fondateur, cet acteur phare du marché de l’annotation de données licencie 14 % de ses effectifs.

Mark Zuckerberg a jeté toutes ses forces dans la bataille de l’IA. Après avoir passé plusieurs semaines à débaucher des scientifiques et ingénieurs en vue dans le secteur, le patron de Meta vient d’annoncer des investissements de l’ordre de « centaines de milliards de dollars » dans des centres de données et des supercalculateurs dédiés à l’IA.

Ces déploiements de capitaux sont loin de profiter aux travailleurs du clic qui œuvrent à l’entraînement des systèmes d’IA, en revanche. Pour preuve, Meta a beau avoir dépensé plus de 14 milliards de dollars pour racheter 49 % des parts de Scale AI et débauché son fondateur Alexandr Wang, cet acteur phare de l’annotation de données annonce licencier 200 personnes et cesser de travailler avec 500 sous-traitants.

« Rationaliser » un « excès de bureaucratie »

Son porte-parole explique que la décision doit permettre de « rationaliser [leurs] activités liées aux données pour [les] aider à évoluer plus rapidement ». La société prévoit par ailleurs d’embaucher dans d’autres domaines, dont la vente aux entreprises et aux gouvernements.

D’après un mémo obtenu par Bloomberg, le PDG par interim de l’entreprise, Jason Droege, aurait expliqué aux équipes de Scale AI que son activité d’annotation de données auraient embauché trop de gens trop rapidement au fil des années passées, ce qui aurait créé une « bureaucratie excessive et une confusion inutile sur les missions des équipes ».

Le quasi-rachat de Meta a aussi participé à la décision, dans la mesure où il a été suivi par la suspension de certains de ses contrats les plus importants, avec des acteurs comme OpenAI et Google (Alphabet).

La décision ne se fera pas sans toucher des personnes aux conditions de travail déjà complexes. La chaîne de production de l’IA est en effet constituée de trois couches principales, pour reprendre les explications du sociologue Antonio Casilli : les géants détenteurs de données, les acteurs intermédiaires comme Scale AI, qui répartissent les travaux, et la « grande masse des travailleurs », quelquefois seuls chez eux, quelquefois réunis en petits groupes ou entreprises de taille plus modeste. Or, avant les licenciements, Scale AI comptait 1 400 employés et des milliers de ces sous-traitants, partout sur la planète, d’après CNBC.

Un leader de l’annotation à bas coût

Fondée en 2016 par un Alexandr Wang âgé seulement, à l’époque, de 19 ans, Scale AI s’est, en l’occurrence, spécialisée dès le départ dans l’offre de services d’annotations de données et d’entraînement de système d’IA de qualité, à bas coût.

Comme le raconte la journaliste Karen Hao dans son ouvrage Empire of AI, l’entreprise est parvenue à déployer ce modèle en allant cherchant ses travailleurs du clic dans d’anciennes colonies britanniques – le Kenya, les Philippines –, mais aussi en découvrant, à la faveur de la crise économique vénézuelienne, comment convaincre quantité de personnes éduquées à travailler pour sa plateforme.

« Cette expérience est devenue leur méthode classique d’intervention, qu’ils ont réutilisée ailleurs, explique-t-elle à Next. Quand la pandémie a frappé, Scale AI s’est tourné vers tous les pays où les économies se sont retrouvées en souffrance, et où de nombreux travailleurs très qualifiés devenaient disponibles pour des salaires bas, faute de trouver d’autres emplois ».

Une fois qu’une masse critique de travailleurs est atteinte, Scale AI tend à réduire les salaires proposés pour chaque tâche, ou à placer les personnes en compétition les unes contre les autres.

Si d’autres entreprises ont tenté de proposer de meilleures conditions de travail, des périodes de tensions budgétaires comme celle provoquée par la pandémie ont poussé leur clientèle vers des sociétés proposant des tarifs plus faibles, comme Scale AI.

Un secteur en pleine reconfiguration

Au Kenya comme au Népal ou ailleurs, de nombreux employés ont mécaniquement dû se tourner vers la société cofondée par Alexandr Wang, ce qui a permis à cette dernière d’engranger 870 millions de dollars de chiffre d’affaires en 2024, d’après Bloomberg.

Si la société s’est placée en leader de cette étape de la chaine de production des systèmes d’IA, elle doit néanmoins composer avec une concurrence active d’entreprises variées, parmi lesquelles Turing, Invisible Technologies, Labelbox, ou même Uber.

Surtout, son PDG par intérim indique qu’un axe de travail consistera à tenter de reconquérir « les clients qui ont ralenti leur travail avec nous ». Jason Droege indique par ailleurs que des personnes seront embauchées pour créer des applications d’IA personnalisées pour les besoins de la nouvelle clientèle privée et publique que Scale AI prévoit d’approcher.

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