Bisbilles entre Amazon et Perplexity pour Comet et l'agent IA de shopping
Amazon attaque Perplexity AI pour bloquer son assistant IA de shopping dans le navigateur Comet et l'empêcher d'effectuer des achats sur sa plateforme.
Amazon attaque Perplexity AI pour bloquer son assistant IA de shopping dans le navigateur Comet et l'empêcher d'effectuer des achats sur sa plateforme.
C'était l'une des mesures les plus contestées du projet de loi de finances pour 2026. L'Assemblée nationale a finalement tranché en faveur du statu quo pour les biocarburants, infligeant un sérieux revers à l'exécutif.
C'est un bug qui agace les utilisateurs des Pixel 9 et 10 depuis des mois : le bouton haut-parleur de l'application Téléphone lague pendant plusieurs secondes. Malgré les rapports, Google vient de clore le ticket, le classant "Infaisable". Les utilisateurs sont laissés sans correctif officiel.
![]()
Nouveau bon plan avec un processeur AMD qui se retrouve en vente à un petit prix. Effectivement, le Ryzen 7 7800X3D devient très abordable si l’on se tourne vers Aliexpress puisque ce modèle, équipé de sa matrice de 64 Mo de 3D V-Cache, se retrouve en vente à partir de 280,31 €. Le Ryzen 7 […]
L’article Bon plan : AMD Ryzen 7 7800X3D à 280 € chez Aliexpress est apparu en premier sur Overclocking.com.
![]()
Chaque matin, WhatsApp s’anime avec les dernières nouvelles tech. Rejoignez notre canal Frandroid pour ne rien manquer !
![]()
Après la défaite cauchemardesque du PSG face au Bayern Munich, la semaine de Ligue des champions se poursuit ce mercredi 5 novembre 2025 avec le match entre l'Olympique de Marseille et l'Atalanta. Malheureusement, on ne pourra pas le voir sans rien payer.
![]()
Le Black Friday 2025, ou devrions-nous dire le Black November, est bel et bien lancé. Boulanger a tiré le premier, vite rejoint par Cdiscount, Fnac et Darty. Les offres en avant-première s’enchaînent, mais comme toujours, tout n’est pas bon à prendre. On fait le tri en direct, en regroupant les promos qui méritent vraiment votre argent.
![]()
Un peu plus tôt ce matin, nous vous disions que DeepCool lançait de nouveaux ventirads AK G2 Nyx avec un nouveau design et un affichage numérique sur le dessus. Conjointement avec cette série, la marque propose maintenant sa série G2 qui intègre maintenant un capot en bois comme nous pouvions le découvrir sur le stand […]
L’article AK G2 : des ventirad DeepCool avec du bois ! est apparu en premier sur Overclocking.com.
Enfin, Apple franchit une nouvelle étape en intégrant la traduction en direct à ses écouteurs.
L’article La nouvelle fonction de traduction d’Apple débarque en Europe est apparu en premier sur Toms Guide.



Vous en avez assez de payer le même prix élevé les mois où vous utilisez peu de données ? Découvrez la série limitée Oxygène : un forfait sans engagement qui s'adapte à votre consommation réelle, à partir de 8,99€ par mois.
![]()
Retrouvez tous les articles de Frandroid directement sur Google. Abonnez-vous à notre profil Google pour ne rien manquer !


Alors que la GeForce RTX 5090 Founders Edition de NVIDIA fait rêver avec son format moindre et ses performances stratosphériques, un retour terrain vient un peu ternir l'image de cette carte hors norme. Le spécialiste en réparation NorthridgeFix tire en effet la sonnette d'alarme : la carte serait particulièrement difficile à démonter et à réparer, voire même quasi impossible à remettre en état dans certains cas.Le principal souci viendrait d'un connecteur interne très fragile reliant certaines parties du PCB et du système de refroidissement. Ce connecteur n'est pas conçu pour supporter plusieurs démontages et pourrait facilement s'endommager lors d'une intervention, notamment pour ceux qui envisagent un changement de pâte thermique ou l'installation d'un waterblock. […]
Lire la suite
![]()
Envie de rejoindre une communauté de passionnés ? Notre Discord vous accueille, c’est un lieu d’entraide et de passion autour de la tech.

![]()
Envie de retrouver les meilleurs articles de Frandroid sur Google News ? Vous pouvez suivre Frandroid sur Google News en un clic.
Dans un revirement inattendu, la direction de la Nasa est à nouveau promise à l'astronaute privé Jared Isaacman, cinq mois seulement après le retrait brutal de sa première nomination par la Maison-Blanche.
La HAS a publié le 30 octobre un guide pédagogique sur l’utilisation de l’intelligence artificielle générative dans l’ensemble du secteur sanitaire, social et médico-social. L’autorité ne s’oppose pas à cette utilisation, mais elle pointe très vite les deux problèmes majeurs : la sensibilité des données manipulées et la fiabilité des résultats.
Les données de santé sont une mine d’or. Selon comment elles sont exploitées, elles peuvent permettre le suivi de l’efficacité des traitements, faire apparaitre des corrélations, étudier des prévalences et autres.
Ce caractère précieux est au cœur de plusieurs décisions politiques. En France, il y a bien sûr le HDH (Health Data Hub) et ses décisions sulfureuses d’hébergement chez Microsoft, pointées constamment par le député Philippe Latombe, des rapports interministériels ou même encore récemment par la Cour des comptes. L’entrepôt de données européen EMC2 a le même problème.
Mais les objectifs sont à chaque fois les mêmes : concentrer les données, favoriser les travaux des chercheurs, servir de guichet unique et, bien sûr, permettre à terme le traitement des données par l’IA. Dans le cadre du projet EMC2 d’ailleurs, l’Agence européenne du médicament abordait explicitement cette finalité.
La Haute Autorité de santé publie donc un avis sur la question, même s’il peut sembler tardif. Dans les grandes lignes toutefois, la HAS ne réagit pas spécifiquement sur l’exploitation des données, mais vise les professionnels de santé et l’utilisation de l’IA comme aide à la décision.
La HAS publie principalement quatre conseils, rassemblés sous l’appellation : AVEC, pour « Apprendre, Vérifier, Estimer et Communiquer ».
Pour l’apprentissage, la HAS recommande chaudement aux professionnels de se former sur les outils qu’ils utilisent. Les IA peuvent faire gagner du temps, mais la plupart n’ont pas été formées sur les questions de santé. Les professionnels devraient ainsi s’interroger sur les modalités d’utilisation, les règles liées à la confidentialité des données personnelles ou encore effectuer des tests pratiques avant de se lancer dans une pratique quotidienne.
Sur la vérification, la HAS conseille la prudence face aux résultats renvoyés par l’IA : « le professionnel est attentif à la pertinence de son usage, à la qualité de sa requête et au contrôle du contenu généré ». Ce qui inclut de ne pas partager d’informations confidentielles et de considérer chaque réponse comme une proposition et non une vérité. La fiabilité des réponses de l’IA ne pouvant par définition être garantie (approche probabiliste), elles peuvent contenir des erreurs : valeurs et unités des quantités chiffrées, noms des médicaments, etc. On l’a vu récemment dans nos propres tests, l’IA peut se tromper lourdement dans la méthode de calcul.
L’estimation concerne l’analyse régulière de l’adéquation entre les besoins et les résultats. Les professionnels de santé sont ainsi invités à réinterroger sa pratique : des corrections ont-elles été nécessaires ? Si oui, à quelle fréquence ? L’outil est-il simple d’utilisation ? A-t-il pu être intégré dans des flux de travail existants ? En somme, la HAS souhaite que les professionnels s’interrogent sur les gains apportés face aux contraintes.
Enfin, pour la communication, la Haute Autorité est claire : les professionnels devraient échanger avec les patients autour de l’usage de l’IA. L’autorité leur recommande également de favoriser les retours d’expérience avec d’autres utilisateurs et développer « une démarche de transparence autour des typologies de données partagées, de l’adhésion au sein de sa structure et des impacts organisationnels ».
De manière générale, la HAS souhaite que chaque usage de l’IA générative soit « conscient, supervisé et raisonné ».
Cependant, même si elle peut « devenir une alliée » quand elle est « bien maitrisée », l’autorité pointe également les dangers inhérents à son utilisation. Elle met en garde contre les erreurs pouvant survenir dans les réponses envoyées, notamment quand elles se fondent sur des données non vérifiées. Surtout, elle pointe les hallucinations, soit des informations fausses mais qui peuvent paraitre convaincantes.
Outre les dangers propres à l’IA elle-même, la HAS signale de mauvais comportements chez les professionnels eux-mêmes, dont l’utilisation d’informations confidentielles dans les requêtes, expliquant les conseils sur la communication avec les patients.
Dans l’ensemble, l’autorité évoque un potentiel prometteur sur l’ensemble de ces technologies. Elle ne parle d’ailleurs pas uniquement des interfaces questions/réponses des chatbots, mais aussi d’autres outils devenus très courants : transcriptions de conversations lors de consultations, synthèses de littérature scientifique, création de documents illustrés pour expliquer des parcours médicaux-sociaux, préremplissage de documents administratifs, traductions de textes pour des personnes non-francophones, etc. Tous peuvent faire gagner du temps (voire beaucoup), mais le risque d’erreur est le même dans tous les cas de figure dès que l’outil utilise l’IA générative.
Enfin, outre les erreurs, les professionnels ont tout intérêt à se former pour s’acclimater à des concepts centraux de l’IA générative. Par exemple, les réponses peuvent varier dans le temps, notamment en fonction de la version du modèle et des données utilisées pour l’entrainement. La qualité de la réponse peut aussi fortement varier selon le soin apporté à la question (prompt).
Pour les personnes intéressées, la HAS a donc publié deux versions de ses recommandations : une complète d’une quinzaine de pages (PDF), et une concise rassemblant les principales informations sur une seule page (PDF). Administration publique oblige, la HAS a également publié un rapport sur l’élaboration de son guide et les méthodes utilisées (PDF).
![]()
Tous nos bons plans directement sur WhatsApp. Rejoignez Frandroid Bons Plans, zéro spam garanti.

