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World War Z VR déçoit. Il voulait adapter le chaos du jeu original à succès sorti en 2019 aux casques PC VR et Quest. Pourtant, dès les premières heures, rien n’était comme on l’avait espéré.
Par exemple, les kits de défense sont moins nombreux et leur utilisation plus rigide. Certains pièges deviennent presque inutiles, même lorsqu’on trouve les clés censées les activer.
Le nombre d’armes est réduit, le combat au corps à corps disparaît, le multijoueur aussi. Quant aux niveaux, ils manquent de variété. L’esprit “Left 4 Dead version XXL”, qui faisait le charme du premier titre, s’évapore.
Qu’est-ce qui cloche avec World War Z VR ?
Le jeu conserve une base solide mais il ne tire pas parti de la VR. Les hordes de Zeke auraient pu devenir spectaculaires en réalité virtuelle. Quoique ce n’est pas le cas. Le gameplay se limite à des mécaniques vues depuis longtemps : recharger, lancer, tirer, tourner une tourelle.
Rien de neuf par rapport aux consoles d’ancienne génération. Les seules touches modernes concernent le maniement d’armes à deux mains et l’escalade d’échelles, parfois capricieuse. Même le spray de soin peine à convaincre par son efficacité irrégulière.
La progression repose sur quelques armes et atouts débloqués lentement. Le système apporte peu de variété et rallonge artificiellement le jeu. Les missions sont répétitives, seulement ponctuées par l’apparition de zombies spéciaux.
Le combat, lui, est mou, sauf lors de la défense d’objectifs fragiles comme un bus ou une porte. Mais ces séquences tombent vite à plat dès que le joueur adopte le rechargement simplifié. L’équilibrage s’effondre alors et la tension disparaît.
Et devinez qui s’en vient intensifier la frustration ?
La technique. Les bugs de progression étaient fréquents au lancement, même si un patch en a corrigé une partie. Les PNJ sont inefficaces, les niveaux mal éclairés, les armes parfois pénibles à recharger. Les visages des personnages restent figés, ce qui brise toute immersion. Même après correctifs, la finition laisse à désirer.
Les campagnes, quant à elles, reprennent celles du jeu original mais en version réduite. Les histoires sont fades, prévisibles et maladroitement ponctuées d’humour. New York enchaîne les clichés, Tokyo enferme le joueur dans des espaces minuscules et Marseille sacrifie son ambition à la fluidité.
Le framerate tient bon, mais au prix de décors simplifiés, de hordes masquées et de zones fermées. Résultat ? La sensation d’abattre des centaines de zombies est illusoire. La plupart du temps, on en élimine seulement quelques dizaines.
L’absence d’armes de mêlée surprend aussi dans un jeu de zombies en VR. Seule une bousculade est proposée, ce qui est bien maigre. Les atouts souffrent du même manque de logique.
Certains choix sont clairement supérieurs, d’autres inutiles. La progression plafonne au niveau dix et perd son intérêt. Les compagnons ne servent qu’à tirer, sans possibilité d’adaptation. Les armes disponibles changent d’une tentative à l’autre, ce qui ajoute de la frustration plus que de la variété.
À la fin, l’intrigue reste sans réelle conclusion. Le joueur est invité à rejouer les mêmes missions pour monter en niveau, même lorsqu’il a atteint le maximum. Rien ne vient relancer l’intérêt.
Avec ses graphismes limités, son gameplay figé et ses mécaniques datées, World War Z VR rappelle plus un vieux portage Wii qu’une adaptation ambitieuse en réalité virtuelle.
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Pourquoi le « Moms Teach Sex » intrigue-t-elle autant les spectateurs en ligne ? Est-ce une simple curiosité taboue ou un véritable genre devenu incontournable ? Ce dossier explore les origines, l’attrait et les codes de ce contenu porno VR qui divise certains mais passionne d’autres.
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Moms Teach Sex ne désigne pas un studio, mais une catégorie précise de films porno. Ces scènes mettent en avant des femmes plus âgées incarnant des figures maternelles face à des hommes plus jeunes. Pour certains, ce contenu est jugé choquant ; pour d’autres, il représente un fantasme assumé.
L’essor de cette catégorie reflète l’évolution des habitudes de consommation et la curiosité croissante pour des scénarios transgressifs. À travers ce dossier, nous allons analyser les ressorts de ce succès, les codes de ce genre et son impact sur différents publics.
Moms Teach Sex s’impose comme un genre spécifique dans l’univers du porno. Ce qui le définit, ce n’est pas un studio unique mais une thématique claire : l’écart d’âge, la figure maternelle et l’idée du tabou.
Les actrices incarnent souvent des rôles de belles-mères ou de mères fictives, qui jouent sur une tension psychologique entre interdit et désir. Le genre est devenu l’un des plus consultés, porté par des scénarios répétitifs mais efficaces. Elle exploite à la fois la curiosité des spectateurs et la recherche d’expériences différentes.
Moms Teach Sex repose sur une mise en scène codifiée. Les actrices sont souvent des femmes d’expérience, parfois connues pour leurs rôles de “milf”. Les partenaires masculins apparaissent plus jeunes pour accentuer le contraste. Les dialogues introductifs insistent sur la relation d’autorité, de proximité familiale ou d’interdit social.
La tension repose sur la transgression d’un cadre moral, ce qui crée une intensité particulière pour les spectateurs. Cette combinaison d’éléments psychologiques et physiques nourrit l’attrait du genre.
Pourquoi c’est devenu une grande tendance ?
L’essor de cette catégorie ne doit rien au hasard. Moms Teach Sex est devenue l’une des plus recherchées grâce à sa capacité à parler à plusieurs générations, avec une abondance d’extraits gratuits qui renforcent encore sa visibilité.
Chez les jeunes adultes, l’attrait vient de la curiosité et de la provocation. Ils explorent des thématiques différentes, loin des classiques et trouvent dans ce genre un mélange d’interdit et d’initiation. Le format court, la disponibilité en streaming et la mise en avant des actrices expérimentées suscitent leur intérêt.
Chez les adultes établis, le succès repose sur la recherche de scénarios plus construits et de contrastes assumés. Ce public apprécie la qualité technique, la narration répétée et la présence d’actrices reconnues. Moms Teach Sex offre une expérience régulière, claire et prévisible, ce qui renforce la fidélité.
Chez les spectateurs plus âgés, l’intérêt s’explique par la nostalgie et l’identification. Les actrices plus mûres incarnent des figures familières ou rassurantes, ce qui ajoute une dimension émotionnelle. Le visionnage se fait sur des supports plus confortables, avec une préférence pour des vidéos longues et de qualité HD. L’écart d’âge crée aussi une projection particulière, où la maturité devient désirable.
Cette variété de publics démontre que Moms Teach Sex dépasse le simple effet de mode. La catégorie s’est ancrée comme une référence durable, en s’adaptant à des sensibilités très différentes.
Une popularité taboue mais assumée
Si la catégorie divise, c’est précisément parce qu’elle joue avec les limites. Le fantasme de la belle-mère ou de la figure maternelle est considéré comme tabou dans de nombreuses cultures. Pourtant, la consommation massive de ce contenu montre que l’interdit attire.
Moms Teach Sex exploite cette tension entre rejet moral et plaisir assumé. Les spectateurs ne recherchent pas forcément une identification totale, mais une expérience narrative différente, qui sort des schémas traditionnels.
Comme beaucoup de catégories, Moms Teach Sex a évolué avec les nouvelles technologies. Les vidéos sont désormais disponibles en haute définition, souvent en 4K et parfois en réalité virtuelle. Le passage au VR accentue encore l’impression de proximité et de transgression. L’accessibilité multi-supports (mobile, tablette, TV connectée) élargit le public et permet une consommation plus discrète. Cette modernisation technique a contribué à solidifier la place de la catégorie parmi les plus regardées.
Moms Teach Sex n’a pas de site officiel unique. Il s’agit d’une catégorie présente sur de nombreuses plateformes de streaming adulte. On peut la retrouver sur des sites gratuits, où circulent surtout des extraits, mais aussi sur des plateformes payantes avec des catalogues complets et de meilleure qualité.
L’abonnement reste la voie la plus fiable pour accéder à un contenu sécurisé, en HD et sans publicités intrusives. C’est aussi la meilleure manière d’éviter les malwares présents sur les sites pirates. Les liens affiliés permettent aux spectateurs intéressés de trouver directement des plateformes proposant cette catégorie.
Comment trouver les meilleurs contenus ?
Privilégier les catalogues mis à jour
Chercher du contenu de qualité dans la catégorie Moms Teach Sex demande un minimum de méthode. Nous avons observé que les résultats varient énormément selon les sites, et il est facile de tomber sur des extraits copiés, de mauvaise qualité, ou mal étiquetés. Pour éviter ces désagréments, le premier réflexe consiste à privilégier les plateformes qui disposent d’un catalogue mis à jour régulièrement. Celles qui publient des nouveautés chaque semaine proposent en général des vidéos plus récentes, filmées en haute définition et avec des actrices populaires.
Utiliser les filtres de recherche
Nous avons aussi remarqué que l’usage des filtres internes est essentiel. Sur certaines plateformes, il est possible de sélectionner par durée, par qualité (HD, 4K), ou même par type de scénario. Cela évite de perdre du temps à parcourir des centaines de vidéos aléatoires. De plus, certaines sections “top vues” ou “les mieux notées” sont de bons indicateurs. Les spectateurs mettent souvent en avant les scènes les plus intenses ou les plus réalistes, ce qui permet de cibler immédiatement les meilleures références de la catégorie.
S’appuyer sur les communautés en ligne
Les communautés en ligne constituent également une ressource précieuse. Sur les forums spécialisés et les réseaux sociaux, les utilisateurs partagent des recommandations, citent des actrices incontournables et publient des listes actualisées de vidéos à ne pas manquer. Nous avons consulté plusieurs de ces espaces, et c’est là que l’on repère souvent des pépites peu visibles dans les catalogues classiques.
Vérifier sécurité et légalité
Enfin, un point souvent négligé concerne la sécurité et la légalité. Les contenus piratés circulent en abondance, mais ils sont rarement complets et présentent des risques techniques. Nous avons toujours privilégié les plateformes reconnues, qui garantissent une lecture fluide, une navigation sans publicités intrusives et un accès à des fichiers de qualité supérieure. La patience et l’attention aux détails font donc la différence : en combinant filtres, recommandations communautaires et plateformes fiables, il devient beaucoup plus simple de trouver les meilleurs contenus de Moms Teach Sex.
La popularité de Moms Teach Sex soulève des débats plus larges sur la représentation des fantasmes collectifs. L’écart d’âge et la mise en scène de figures maternelles interrogent sur la place des tabous dans la société. Certains y voient une banalisation de scénarios choquants, d’autres une simple expression de désirs imaginaires.
La catégorie illustre la façon dont l’industrie X reflète et alimente des questionnements sociaux. Elle met en lumière le rôle du porno comme espace d’expérimentation psychologique et non seulement physique.
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La startup chinoise Rokid a lancé une campagne Kickstarter pour les Rokid Glasses. C’est une nouvelle génération de lunettes connectées déjà disponible en Chine. Et elles ont immédiatement trouvé leur public.
En seulement vingt-quatre heures, plus de 500 000 dollars ont été récoltés. Ce qui prouve que le public veut plus que des lunettes audio comme celles de Meta ou d’Oakley.
Ces lunettes sont équipées de deux micro-écrans LED capables d’atteindre 1500 nits de luminosité. De quoi afficher directions, sous-titres, ou encore traductions en temps réel dans 89 langues. Et sachez que cinq de ces traductions fonctionnent même hors ligne, grâce au modèle maison développé par Rokid.
A part cela, Rokid Glasses propose un affichage tête haute en vert monochrome. Ce choix surprend dans un monde obsédé par la couleur, mais il a un avantage majeur. Les informations sont lisibles sans distraire, qu’il s’agisse d’un téléprompteur discret ou d’indications de navigation.
Pour les amateurs de capture instantanée, un capteur Sony de 12 mégapixels s’ajoute au menu. Il offre un champ de vision de 109°, du HDR en basse lumière et une stabilisation vidéo.
Photos et vidéos se déclenchent via un bouton ou à la voix, le fameux « Hey Rokid ! ». Et pour éviter les débats sur la vie privée, des voyants internes et externes signalent clairement quand l’utilisateur enregistré.
Côté son, Rokid ne néglige pas l’expérience. Les lunettes embarquent des haut-parleurs proches de l’oreille et quatre micros dotés d’une réduction du bruit du vent.
À peine lancées, déjà financées
Avec un prix de départ fixé à 479 dollars – soit 20 % de moins que le prix public prévu – Rokid attire déjà les soutiens. La campagne, qui court jusqu’au 10 octobre, pourrait donc bien exploser le million de dollars.
En plus de l’appareil, certains niveaux incluent un boîtier de charge de 3 000 mAh, indispensable pour prolonger l’autonomie annoncée. Car si les lunettes tiennent entre 8 et 10 heures en usage mixte, elles s’essoufflent vite en mode intensif avec seulement 45 minutes d’enregistrement vidéo.
L’arrivée de Rokid tombe à un moment où tous les géants lorgnent sur le secteur. Meta prépare une version avec écran de ses Ray-Ban, probablement avec EssilorLuxottica. Google promet une première vague de lunettes Android XR en partenariat avec Warby Parker et Gentle Monster.
Quant à Apple, les rumeurs persistent sur un projet maison, sans précision sur la présence d’un écran. Autrement dit, Rokid prend une longueur d’avance, en se plaçant comme le premier acteur majeur à proposer directement au public un modèle abouti.
L’expédition des Rokid Glasses est prévue pour novembre 2025. Juste à temps pour devancer d’éventuels concurrents. Ceux dont les annonces pourraient tomber dès le Meta Connect du 17 septembre ou le Samsung Unpacked du 29 septembre.
En attendant, Rokid peut se targuer d’avoir capté l’attention d’un public lassé d’attendre la révolution des lunettes connectées.
Les nouvelles lunettes connectées de Halo ont des capacités exceptionnelles. Elles peuvent écouter, regarder, se mémoriser des personnes que l’on rencontre et fournir des infos instantanées. Mais que renferme exactement ce produit ? Explorons-le en détail.
La start-up Brilliant Labs entend montrer qu’elle peut tenir tête à Meta dans le domaine des lunettes connectées. Pour cela, elle dévoile les nouvelles lunettes Halo. Basée à Singapour, la jeune entreprise a présenté ce dispositif le 31 juillet. Celui-ci regorge de nombreuses fonctionnalités, comme un assistant d’intelligence artificielle (IA), le mode Vibe ou encore le système « Narrative ». Découvrez sans plus attendre tout ce que recèle ce bijou technologique.
Open source et sécurisées, les lunettes Halo signées Brilliant Labs
Comme les anciennes lunettes de la société Brilliant Labs, Halo est « open source », c’est-à-dire que tout le monde peut accéder à son code et à ses schémas techniques. La start-up veut que les développeurs puissent modifier, améliorer et créer de nouvelles fonctions pour les lunettes. C’est une base ouverte, prête à être personnalisée.
Les plans techniques (comment les lunettes sont construites) et le logiciel (le code qui les fait fonctionner) sont mis en ligne sur GitHub. Les lunettes utilisent ZephyrOS comme système d’exploitation. Les scripts et programmes pour les faire fonctionner sont écrits en Lua.
Au sujet de la protection des données, tout reste sous votre contrôle. Les lunettes gardent tout en local, ne partagent rien en ligne, et ne se connectent au cloud que si vous dites « ok ». Même votre agenda ou vos sauvegardes restent sous votre contrôle.
Des verres adaptées à tous les besoins avec Halo
L’apparence des lunettes Halo reste minimaliste et stylée. Elle s’inspire des célèbres Ray-Ban, avec un noir mat. On pourrait les confondre avec des lunettes classiques : monture fine, aucun écran ni ornements high-tech. Par ailleurs, ces lunettes sont étonnamment légères. En effet, elles dépassent à peine les 40 grammes, un peu plus que le modèle Frame lancé par la même société en 2024.
Halo arrive prêt à l’usage avec des verres simples et antireflet, mais il peut aller beaucoup plus loin. Via un partenariat avec SmartBuyGlasses, il accepte une large palette de verres correcteurs, des modèles classiques aux Transitions, en passant par la protection lumière bleue, l’astigmatisme ou même les lunettes de soleil.
Technologie embarquée et écran miniature
Les lunettes Halo misent sur l’endurance et la discrétion high-tech. Avec une batterie capable de tenir 14 heures, elles affichent une autonomie trois fois supérieure à celle des modèles de Meta. Sous leur monture, on retrouve une puce B1 AI/ML signée Alif Semiconductor, épaulée par des capteurs optiques et un IMU.
Il est important de souligner que Halo inaugure la puce B1 d’Alif Semiconductor, un microcontrôleur IA/ML très performant avec sa propre unité de traitement neuronal. Cette petite merveille gère tous les capteurs de l’appareil mais reste incroyablement économe en énergie.
Le tout s’accompagne d’un minuscule écran micro-OLED couleur de 0,2 pouce, qui diffuse des informations directement dans le champ périphérique de l’utilisateur. L’écran dispose d’une optique ajustable de +2 à -6 dioptries afin de convenir à divers besoins de correction visuelle.
Les lunettes Halo sont pensées pour la plupart des yeux, mais pas pour tous. Leur écart interpupillaire idéal se situe entre 58 et 72 mm. Pour s’assurer qu’elles conviennent, l’équipe conseille d’utiliser l’application Eye Measure avant de se lancer.
Qu’en est-il du son ? Les lunettes ont des branches et le son est transmis à travers elles. Le son n’est pas projeté dans l’air comme avec des haut-parleurs classiques. Donc, personne autour de vous n’entend ce que vous écoutez.
Des lunettes qui accompagnent chaque instant
Les lunettes Halo signées Brilliant Labs couvrent la majorité des fonctionnalités modernes que l’on attend d’une technologie connectée. Les plus importantes sont sans doute l’assistant Noa, l’outil Vibe et le système Narrative.
L’assistant vocal Noa pour des informations instantanées au creux des yeux
Halo constitue la deuxième génération de lunettes de la start-up à embarquer Noa. Il s’agit d’un assistant IA capable de fonctionner avec plusieurs systèmes, dont ceux d’OpenAI et Perplexity. Il capte ce qui se passe autour de vous et délivre instantanément des informations utiles comme le nom d’un lieu ou ce que vous aviez dit à quelqu’un lors d’une rencontre précédente.
En discutant avec Noa, vous profitez d’un son stéréo discret, diffusé par les haut-parleurs à conduction osseuse ouverts de Halo. Cet assistant IA obéit aux instructions orales. On peut ainsi lancer le micro, la caméra ou passer les lunettes en veille sans toucher à rien. Mais il ne se contente pas d’obéir, il papote presque comme un vrai compagnon.
Avec les lunettes Halo, vous pouvez voir résultats, images ou applications sans toucher à votre téléphone ou votre ordinateur. L’écran intégré, petit mais efficace, rend l’expérience fluide et instantanée.
Notons que Noa sera disponible en deux versions : une gratuite avec des fonctionnalités restreintes, et une option « Plus » payante, dont le prix reste à définir, offrant l’ensemble des capacités de l’assistant.
L’outil Vibe donne vie à vos idées
Avec le Vibe Mode, il suffit de parler pour voir vos idées prendre forme. L’IA transforme vos instructions vocales en applications personnalisées, comme un itinéraire sur mesure pour vos déplacements en ville. De plus, vous n’avez pas besoin d’être un as du codage pour effectuer cette opération.
Le système Narrative aide à se souvenir des visages
On a tous connu ce moment où un prénom nous échappe aussitôt. Les lunettes Halo de Brilliant Labs promettent de régler ce petit souci. Leur technologie « Narrative » (en instance de brevet) mémorise les visages et vous souffle le nom des personnes que vous recroisez.
Concrètement, toutes les images et sons perçus, ainsi que les dialogues, sont centralisés pour alimenter une base de connaissances. Conçu pour les personnes aux prises avec des pertes de mémoire ou des troubles de la vision, Narrative apporte une aide pratique.
Quelle différence avec les lunettes Ray-Ban Meta ?
Les Ray-Ban Meta sont faites pour prendre des photos et des vidéos facilement, surtout pour les publier en ligne. Leur objectif principal est donc social : partager ce que vous voyez. Quant aux lunettes Halo, elles ne sont pas faites pour filmer ou photographier pour les réseaux sociaux. Il n’y a pas de caméra dédiée à ça.
Les Halo ont un capteur qui sert uniquement à aider l’intelligence artificielle à comprendre l’environnement autour de vous et à vous fournir des informations utiles. Contrairement à d’autres lunettes, il n’y a pas de lumière qui indique que vous filmez et il n’y a pas de photo prise automatiquement. Cela protège la vie privée de l’utilisateur.
Une alternative accessible aux Ray-Ban Meta
Les précommandes ont commencé sur le site officiel de Brilliant Labs. La livraison du produit est programmée à la fin novembre 2025, en nombre limité et dans l’ordre de réservation. Les lunettes Halo seront disponibles à l’international, dans plus de 100 pays. À 299 $ (258 euros), ces lunettes proposent une alternative plus accessible que les modèles de Meta.
Brilliant Labs tente donc de se démarquer avec une formule simple : un tarif accessible et des fonctions dopées à l’IA. De quoi séduire les curieux qui n’osent pas encore franchir le pas face aux modèles plus clinquants, comme les Ray-Ban Meta nées de l’alliance entre EssilorLuxottica et le groupe américain.
A propos de Briliant Labs
Brilliant Labs est une startup technologique fondée en 2019 par Bobak Tavangar, ancien responsable de programme chez Apple. Basée à Singapour, l’entreprise souhaite intégrer l’intelligence artificielle dans des lunettes élégantes et légères. Elle veut aussi offrir une plateforme open-source pour les développeurs et créatifs.
Son premier produit, le Monocle, était un accessoire AR transparent conçu pour être fixé sur des lunettes traditionnelles. Cependant, c’est avec le lancement de Frame en février 2024 que Brilliant Labs a véritablement attiré l’attention. Ces lunettes intelligentes intègrent un assistant IA multimodal nommé Noa, capable de comprendre et d’interagir avec l’environnement visuel et sonore de l’utilisateur . Avec un poids de seulement 39 grammes, Frame se distingue par son design léger et sa connectivité Bluetooth 5.3.
En août 2025, Brilliant Labs a dévoilé Halo, une version améliorée de ses lunettes intelligentes. Brilliant Labs continue d’innover dans le domaine des lunettes intelligentes. La start-up met particulièrement l’accent sur la légèreté, la performance et l’accessibilité. Avec une équipe restreinte mais dédiée, l’entreprise s’impose comme un acteur à suivre dans l’écosystème des technologies portables.
Les lunettes intelligentes à la conquête du marché
Ces derniers temps, les lunettes dotées d’IA font beaucoup parler d’elles. Les grandes entreprises tech s’y intéressent toutes, de Meta à Apple. On voit déjà ce marché prendre de l’ampleur, un peu comme l’ont fait les smartphones. Bientôt, beaucoup porteront ces lunettes pour rendre leur quotidien plus simple : traductions instantanées, infos pratiques à portée de regard… un vrai coup de pouce au quotidien.
L’attente est terminée : Source Secrète vient d’arriver sur Pokémon TCG Pocket. Au menu, les fans de ce jeu de cartes retrouve plus d’une centaine de cartes. Les Pokémon à l’honneur dans cette nouvelle extension ? Les Pokémon emblématiques de la région de Johto.
Bonne nouvelle, Source Secrète arrive dans le monde entier. A titre de rappel, c’est la dixième extension de Pokémon TCG Pocket. L’esprit de Johto reste au cœur de la collection. On retrouve aussi quelques surprises venues de Hoenn, dont Latios et Latias.
Certes, Source Secrète est une extension plus petite, mais rassurez-vous, elle ne manque pas de contenu. De nombreux défis sont là, avec des cartes à collectionner par paliers. Chaque étape franchie rapporte des Tickets boutique bleus. Quant aux amateurs de combat, ils trouveront de quoi s’amuser avec des missions Solo et des défis Deck.
Retrouvez ici la liste exhaustive des cartes disponibles dans l’extension Source Secrète
L’extension Source Secrète de Pokémon TCG Pocket regroupe un peu plus de cent cartes, prêtes à enrichir vos decks. Parmi elles, une majorité de standards et une sélection de rares. Voici la liste complète :
Larios full art, Limonde full art, Milobellus full art, Phanpy full art, Voltoutou full art
Avec (☆☆)
Blanche full art, Cotovol-ex full art, Cotovol-ex full art arc-en-ciel, Entei-ex full art, Entei-ex full art arc-en-ciel, Marchande Ambulante full art, Mortimer full art, Raikou-ex full art, Raikou-ex full art arc-en-ciel, Suicune-ex full art, Tartard-ex full art, Tartard-ex full art arc-en-ciel
La BBC a une fois de plus démontré son sens de l’humour en célébrant les 30 ans de Windows 95 de manière inattendue. Lors de cette émission spéciale sur le rétro gaming, un Mac a été présenté aux côtés de l’emblématique système d’exploitation de Microsoft. Cet choix a suscité de nombreuses réactions, rappelant un incident ... Lire la suite
Depuis juin 2025, regarder une vidéo sur Xvideos en France n’a plus rien de simple. Chaque clic mène au même mur : prouver son âge avec des documents personnels. Pour ceux qui refusent de céder leur identité numérique à un site porno, il existe une issue de secours pour débloquer Xvideos. Tout ce qu’il faut ... Lire la suite
Avec les nouvelles mesures françaises, TuKif et plusieurs autres plateformes X sont désormais bloqués pour les utilisateurs en France. Cette censure vise à empêcher les mineurs d’accéder à du contenu adulte, mais elle prive aussi les majeurs d’un accès direct. Pas de panique : grâce à des solutions techniques fiables, il est possible de contourner ces blocages en toute confidentialité, sans compromettre votre sécurité numérique. On vous explique la marche à suivre.
Comment débloquer TuKif en France ?
Tukif n’est plus accessible en France ? Officiellement, c’est pour protéger les mineurs. En réalité, des millions d’adultes majeurs se retrouvent privés d’un accès libre. Mais derrière ce rideau de censure, une porte reste entrouverte.
Voici comment contourner le blocage et retrouver TuKif en un clin d’œil :
Depuis plusieurs mois, la France durcit le ton contre les sites pour adultes. TuKif, Xhamster et d’autres poids lourds du X se retrouvent rayés de la carte numérique hexagonale. Pourquoi ? Parce qu’ils ne respectent pas les nouvelles exigences de l’Arcom : mettre en place un contrôle d’âge “suffisamment strict”.
En clair : il ne suffit plus de cliquer sur « J’ai plus de 18 ans ». Désormais, l’Arcom exige des preuves d’identité, parfois même biométriques. Ces contraintes ne sont pas encore totalement en place…mais les sanctions, elles, sont déjà tombées. Et sans prévenir, ce sont tous les internautes – même majeurs – qui se retrouvent bloqués.
Mais il existe un moyen simple, rapide et totalement légal de reprendre le contrôle : le VPN. Et pas n’importe lequel. En 2025, NordVPN s’impose comme l’arme ultime pour contourner cette censure.
Pourquoi Tukif est-il bloqué ?
Depuis fin 2024, une décision de la Cour d’appel de Paris ordonne aux fournisseurs d’accès à internet (FAI) de bloquer l’accès à plusieurs sites X, dont Tukif, faute de vérification fiable de l’âge des visiteurs. L’Arcom exige désormais un véritable contrôle d’identité (pièce officielle, selfie biométrique, etc.) pour éviter l’exposition des mineurs à des contenus pour adultes.
Mais les plateformes rechignent à imposer un tel flicage numérique. En attendant, les FAI français exécutent l’ordre de justice en bloquant le site via les DNS. Concrètement, llorsque vous tapez « Tukif.com », votre FAI vous redirige vers une adresse IP morte pour rendre l’accès impossible.
Résultat : les adultes aussi sont pénalisés. Peu importe que vous soyez majeur et vacciné, vous êtes mis dans le même panier que les mineurs.
TuKif bloqué ? Voici comment reprendre le contrôle, sans laisser de trace
Dans un web devenu terrain de contrôle, TuKif s’est retrouvé blacklisté comme tant d’autres. Non pas parce qu’il est illégal, mais parce qu’il refuse d’imposer à ses utilisateurs une vérification d’identité poussée. Résultat : interdit d’accès depuis la France, via blocage DNS appliqué par les FAI. Pour les mineurs ? Oui. Mais les adultes majeurs et responsables trinquent aussi, sans distinction.
Face à cette censure massive et silencieuse, un outil s’impose comme solution évidente : le VPN. Sa promesse ? Contourner les géo-restrictions, mais aussi de protéger intégralement vos données.
Et dans cette bataille, NordVPN s’impose. Plus de 8000 serveurs dans 126 pays pour se connecter virtuellement à l’étranger, retrouver TuKif librement, sans ralentissement, ni surveillance. Mais ce n’est que le début. Avec son Anti-Menaces Pro, le VPN panaméen bloque les pubs, les traqueurs et les logiciels malveillants avant même qu’ils ne chargent. Son Réseau Mesh privé permet de collaborer ou de partager à distance, en toute confidentialité. Le Dark Web Monitoring vous alerte si vos identifiants sont compromis. Et pour les plus discrets ? L’IP dédiée garantit une navigation stable, sans risque de blacklist.
Si l’on en croit les rumeurs, il ne reste que peu de temps avant que Meta ne lance ses lunettes HUD Hypernova sur le marché. Toutefois, les prévisions de ventes sont modestes. Selon CNBC et l’analyste Ming-Chi Kuo, l’entreprise n’anticipe pas un large succès.
Meta va bientôt lancer Hypernova, ses lunettes connectées, mais l’optimisme n’est pas au rendez-vous. La production de masse démarre cette année, et la marque ne table que sur 200 000 ventes en deux ans. C’est un chiffre modeste qui montre bien que l’entreprise n’attend pas de raz-de-marée.
L’appareil devrait coûter environ 800 dollars (environ 740 €) et sera vendu en partenariat avec EssilorLuxottica. Il a été rapporté que Meta envisageait initialement de proposer les lunettes à 1 000 $ ou plus, mais que le prix des Vision Pro d’Apple, à 3 500 $, et le faible intérêt des consommateurs l’ont probablement incité à baisser ce prix.
Les Hypernova risquent donc de séduire moins que les Ray-Ban Meta, accessibles dès 300 $. Avec des tarifs proches de ceux des Oakley, entre 400 et 500 $, la question du prix pourrait refroidir. Si le produit ne semble pas offrir un vrai plus, il aura du mal à convaincre. Mais ce n’est pas tout.
Hypernova de Meta : un produit plus lourd et des ventes limitées prévues
Les Hypernova sont un peu plus encombrantes que les précédentes lunettes à commande vocale, avec 70 grammes sur la balance. Les amateurs de lunettes fines et légères pourraient hésiter. Pour comparaison, les Ray-Ban Meta pèsent 50 grammes et affichent un design élégant. Autre point à considérer : le contrôle se fait via un bracelet, un détail qui pourrait ne pas séduire tout le monde.
Tous ces éléments expliquent en partie pourquoi les ventes attendues des Hypernova sont modestes. D’après un spécialiste, Meta pourrait voir ce modèle plus comme un test que comme un produit grand public. L’entreprise table sur une commercialisation sur deux ans seulement. Si tout se déroule comme prévu, les lunettes Orion AR destinées au grand public devraient faire leur arrivée en 2027.
Le seul but de ce produit lancé à perte serait de précéder Apple et d’examiner les usages des consommateurs avant que les concurrents ne le fassent.
Le 17 septembre marquera le coup d’envoi de Meta Connect 2025, avec l’annonce attendue des lunettes Hypernova et l’ouverture des précommandes pour expédition en octobre.
Vous adorez les jeux de simulation de constructions de ville ? Ceux-ci offrent toujours la possibilité de bâtir la cité de vos rêves, de superviser sa population, de gérer ses ressources et son économie et d’explorer en détail ses options de circulation. Retrouvez ici les meilleurs jeux city builder de tous les temps.
Les jeux city builder, que l’on connait aussi sous le nom de jeu de construction de ville, est un genre de jeu très apprécié. En fait, pour le joueur, ils représentent une belle occasion de construire et gérer une ville virtuelle. Le but principal ? Bâtir une ville prospère tout en gérant divers aspects, notamment les infrastructures, les ressources, les services publics, l’économie, le zonage industriel et les besoins des habitants.
En général, tout commence avec une petite parcelle de terrain et une poignée de ressources. Ensuite, le joueur doit planifier et construire des routes, des usines, des parcs, des bâtiments résidentiels et d’autres infrastructures pour répondre aux besoins de la population grandissante. Il a aussi le devoir de gérer les finances en équilibrant les revenus et les dépenses, en fixant des taxes et en gérant les services publics tel que l’eau, l’électricité et les transports communs. Bref, ce type de jeu permet une grande liberté de créativité et de personnalisation. Voici la liste des jeux city builder les plus populaires (classés sans ordre particulier).
Cities : Skylines
Ce jeu de city builder a été salué pour sa profondeur, sa jouabilité addictive et son réalisme dans la simulation de la construction et de la gestion de villes. Son niveau de microgestion est impressionnant. Il offre un contrôle approfondi sur tous les aspects de la création et de la gestion. De plus, le jeu dispose d’une communauté de modding active. Cette dernière crée une variété de mods pour ajouter de nouvelles fonctionnalités, des options de personnalisation et une profondeur de gameplay supplémentaire.
De nombreuses tâches vous attendent dans ce jeu. Vous aurez à définir des zones résidentielles pour accueillir vos habitants, fournir des services de base tels que l’eau, l’électricité et les égouts à ces zones, construire un réseau routier efficace pour connecter les différentes parties de votre ville, exploiter les ressources naturelles disponibles dans votre ville et gérer judicieusement les impôts.
SimCity
La franchise SimCity est l’une des plus anciennes et des plus influentes dans le genre des jeux de city builder. Son succès a conduit à la création de nombreuses suites et dérivés au fil des ans. Les jeux « SimCity » sont aujourd’hui disponibles sur plusieurs plateformes, notamment les PC et les consoles de jeu. Au fil du temps, la franchise a également étendu sa présence aux appareils mobiles. Ainsi, il a permis aux joueurs de profiter de l’expérience de construction de villes sur leurs smartphones et tablettes.
Certes, ce n’est pas le titre le plus révolutionnaire de cette liste. Mais la formule qu’ils ont développée reste solide à ce jour et mérite vraiment d’être essayée. Vous avez même la possibilité de découvrir gratuitement la dernière version de la série, « SimCity: Buildit », sur votre appareil mobile préféré.
Aven Colony
Ce jeu vidéo de simulation de colonisation se déroule dans un avenir lointain où l’humanité colonise une planète. Le joueur se met dans la peau d’un gouverneur colonial chargé de construire et de gérer une colonie prospère. L’objectif principal est de développer la colonie tout en surmontant divers défis et en maintenant le bien-être des habitants.
Ici, vous devrez gérer les ressources disponibles, construire des infrastructures, établir des chaînes de production, ériger des habitations, et répondre aux besoins fondamentaux des colons tels que la nourriture, l’eau, l’énergie, le logement et la sécurité. Une fois que votre ville est stable, le jeu introduit des objectifs plus importants comme des opérations militaires à grande échelle, pour vous séduire davantage.
Against the Storm
Dans ce city builder de ville sombre et fantastique, votre mission consiste à collaborer avec vos alliés dans un désert afin de restaurer un monde dévasté par des tempêtes incessantes. En tant que vice-roi, votre responsabilité sera de mobiliser les ressources de chaque groupe afin de défendre votre population contre les ennemis dissimulés dans l’ombre. De plus, vous devez affronter des tempêtes incessantes, ce qui complique la situation pour les survivants dont vous avez la charge.
« Against The Storm » se distingue de par ses mécanismes roguelike qui garantissent que vous ne vivrez pas deux fois la même course. Actuellement, les roguelikes connaissent une grande popularité en se mêlant à divers autres genres. Et « Against the Storm » propose une fusion entre la progression roguelike et le genre du city builder, agrémentée d’une bonne dose de fantaisie pour une expérience équilibrée.
Little Cities: VR
« Little Cities : VR » vous emmène instantanément dans la ville que vous construisez en exploitant les incroyables possibilités de la réalité virtuelle. Cela vous permet d’explorer de près les mécanismes de votre métropole. Ce jeu de city builder possède toutes les caractéristiques typiques d’un simulateur urbain. Le joueur devra établir des routes, prendre des décisions sur l’emplacement des bâtiments, etc. Cependant, « Little Cities : VR » pousse l’immersion à un niveau inédit.
Grâce à la dernière mise à jour de jeu, Little Citizens, vous bénéficiez d’une immersion renforcée, qui vous permettra d’interagir véritablement avec les résidents de votre ville. Vous pouvez les saluer et observer leurs activités quotidiennes. Cela crée une atmosphère dynamique et exploite brillamment les avantages de la réalité virtuelle. De plus, la superbe bande-son renforce la sensation de confort et de tranquillité que le jeu cherche à transmettre.
Frostpunk
Frostpunk est un city builder qui mettra votre moralité à l’épreuve. Il se déroule dans un monde où une ère glaciaire s’est installée prématurément. Il vous laisse gérer une colonie de survivants dans une ville steampunk abandonnée et inachevée. Le principal défi moral dans le jeu réside dans la nécessité de prendre des décisions difficiles pour assurer la survie de votre colonie. Vous devez prendre en compte des aspects tels que la gestion des ressources limitées, la conservation de la chaleur pour résister au froid extrême et le bien-être émotionnel de vos citoyens.
Pour maintenir la chaleur dans la ville, vous devez aussi faire des choix qui peuvent sembler immoraux ou cruels. Vous pourriez être confronté à la décision de forcer les enfants à travailler, de rationner sévèrement la nourriture ou de pratiquer l’euthanasie pour économiser des ressources. Ces choix suscitent des dilemmes moraux et vous faire remettre en question vos propres valeurs.
Surviving Mars
Si vous êtes plus attiré par les colonies spatiales, « Surviving Mars » constitue un choix idéal pour satisfaire votre esprit d’exploration. Vous débuterez votre périple sur Mars, une planète qui est actuellement un désert aride. Ce jeu de city builder met à votre disposition tous les équipements requis afin de la rendre habitable. Cependant, nous ne recommandons pas le titre aux personnes sensibles.
Sur Mars, vous serez confronté à une atmosphère mortelle. Vous devrez ainsi mettre en place des systèmes de production d’oxygène pour fournir de l’air respirable à vos colons. Vous devrez également vous assurer d’avoir suffisamment de sources d’oxygène, que ce soit en extrayant les ressources présentes sur Mars ou en les important depuis la Terre. Sans compter le fait que les terres de Mars sont généralement infertiles. La gestion des ressources est aussi essentielle dans le jeu. Il sera nécessaire de gérer les approvisionnements en eau, en nourriture, en énergie et en matériaux de construction.
Anno 1800
Le jeu « Anno 1800 » se déroule pendant la révolution industrielle du XIXe siècle. Ici, vous incarnez un chef de file de cette révolution industrielle, chargé de développer et de gérer votre propre empire. Au début, vous ne disposez que de quelques fermes et entrepôts. Votre objectif est de les faire prospérer en les développant et en les transformant en une métropole industrielle prospère.
Pour y parvenir, il faudra gérer différents aspects tels que la production de biens, l’établissement de chaînes d’approvisionnement, le commerce, l’expansion de votre territoire et la satisfaction des besoins de votre population. Le jeu met l’accent sur l’équilibre entre la production, la logistique et les besoins de votre population. Il sera nécessaire de prendre des décisions stratégiques pour optimiser vos chaînes de production, investir dans de nouvelles technologies, gérer les ressources disponibles et répondre aux demandes croissantes de vos citoyens. En outre, il sera possible d’explorer de nouveaux territoires, établir des colonies et participer à la diplomatie avec d’autres factions.
Planetbase
Ce city builder vous emmène tout droit dans l’espace. Vous assumerez le rôle d’un administrateur chargé de la construction et de la gestion d’une colonie humaine sur une planète extraterrestre. L’objectif ? Créer une colonie autonome et prospère. Pour ce faire, gérez divers aspects comme l’approvisionnement en ressources, la construction d’infrastructures, l’accueil de nouveaux colons et la défense contre les dangers environnementaux. Construisez des habitats, des serres, des générateurs d’énergie, des entrepôts et d’autres bâtiments nécessaires au bon fonctionnement de votre colonie.
Le jeu présente des défis comme des tempêtes de sable, des météorites, des attaques de robots hostiles et des crises de ressources. Vous devrez donc prendre des décisions stratégiques pour assurer la survie et la croissance de votre colonie dans des conditions parfois hostiles. « Planetbase » offre différents modes de jeu. On distingue un mode campagne avec des objectifs spécifiques à atteindre. On compte également un mode bac à sable où l’on peut construire et développer les colonies selon les préférences.
Tropico 6
Dans Tropico 6, vous êtes responsable de la gestion de tous les aspects d’une île tropicale fictive. Cela implique l’économie, la politique, la construction et la satisfaction de la population. Vous commencez généralement avec une petite colonie. Ensuite, vous devez la développer en construisant des infrastructures, en gérant les ressources, en établissant des relations commerciales avec d’autres pays, en répondant aux demandes de différentes factions et en prenant des décisions politiques pour consolider leur pouvoir.
Le jeu propose plusieurs modes de jeu, y compris une campagne solo avec des scénarios uniques. On a aussi un mode bac à sable où vous pouvez créer votre île à partir de zéro avec des paramètres personnalisés. Le mode multijoueur et coopératif avec d’autres joueurs donne une dimension sociale à l’expérience. Dans l’ensemble, ce city builder offre une expérience de construction de ville divertissante et stratégique, avec une touche d’humour et de politique.
Manor Lords
Manor Lords est un jeu de stratégie médiévale qui combine construction de ville et batailles tactiques en temps réel. Sorti en accès anticipé le 26 avril 2024, il offre une expérience immersive où les joueurs incarnent des seigneurs médiévaux, responsables de la gestion et de l’expansion de leurs domaines.
Depuis sa sortie, le développeur a partagé en avril 2025 une feuille de route détaillée annonçant plusieurs mises à jour majeures. Celles-ci incluent l’amélioration de l’IA, un nouveau système d’entretien des bâtiments, l’ajout de carrières, d’un écran « Records » et de nombreux ajustements destinés à enrichir la profondeur du gameplay.
Le jeu est toujours en accès anticipé mi‑2025, et le lancement en version 1.0 est prévu au printemps ou à l’été 2025, selon les retours de la communauté et l’évolution du développement.
Le jeu se distingue par son souci du réalisme historique, avec une attention particulière portée à l’architecture, à l’économie et aux dynamiques sociales de l’époque. Les joueurs doivent équilibrer les besoins de leurs sujets, gérer les ressources et défendre leurs terres contre diverses menaces. La profondeur du gameplay et la richesse des détails font de Manor Lords un incontournable pour les amateurs de jeux de gestion et de stratégie.
Tiny Glade
Tiny Glade est un jeu de construction apaisant. Il permet aux joueurs de créer des dioramas médiévaux sans objectifs prédéfinis ni contraintes de gestion. Lancé le 23 septembre 2024, il offre une interface intuitive où chaque action génère automatiquement des structures détaillées. En particulier des arches ou des tours. Le jeu met l’accent sur la créativité et la relaxation et offre un espace pour construire des châteaux et des ruines pittoresques dans un environnement serein. Les cycles jour-nuit et les effets météorologiques ajoutent une dimension immersive, permettant aux joueurs de contempler leurs créations sous différentes ambiances. Tiny Glade est idéal pour ceux qui cherchent une expérience de construction sans pression, centrée sur l’esthétique et la détente.
Summerhouse
Summerhouse est un jeu de construction en mode bac à sable qui offre une liberté totale aux joueurs pour décorer des environnements en utilisant divers éléments architecturaux. Disponible depuis le 8 mars 2024, il se distingue par son absence d’objectifs spécifiques, permettant aux joueurs de laisser libre cours à leur imagination.
L’interface conviviale et les outils intuitifs facilitent la création de scènes détaillées, qu’il s’agisse de jardins luxuriants, de maisons pittoresques ou de paysages urbains. Les joueurs peuvent expérimenter avec différentes combinaisons de styles et d’éléments pour créer des espaces uniques. Summerhouse est parfait pour ceux qui souhaitent une expérience de construction détendue, axée sur la créativité et l’exploration esthétique.
Quels sont les meilleurs accessoires pour profiter au maximum des jeux city builder en 2025 ?
Disposer des meilleurs jeux city builder ne suffit pas à vous offrir une expérience inédite. encore faut-il adopter un certain nombre d’accessoires indispensables. Pour une immersion totale, un écran ultra-large ou un setup multi-écran est primordial. Celui-ci permet d’avoir une vue panoramique sur la ville et donc de gérer efficacement l’urbanisme et les ressources. Vous devez également utiliser un clavier mécanique programmable avec des macros personnalisées. Ceci, afin de faciliter la gestion rapide des commandes et des raccourcis essentiels.
Ensuite, choisissez plutôt une souris ergonomique avec plusieurs boutons latéraux pour optimiser la navigation et accélérer la construction et la gestion des infrastructures. Si vous êtes amateur d’expérience immersive, offrez-vous en sus un casque VR comme le Meta Quest 3 ou le PS VR2. Vous verrez que cela accède à une interaction directe avec votre ville dans des jeux compatibles.
Sinon, le son joue également un rôle clé. Ce qui nous amène à vous proposer un casque audio avec spatialisation 3D. Un tel accessoire améliore l’expérience en offrant des sons réalistes, comme la circulation urbaine ou les conditions météo. Enfin, optez pour un fauteuil de bureau ergonomique. Cela assure votre confort pour les longues sessions de jeu et évite la fatigue et les douleurs diverses.
Méthodologie utilisée pour classer les meilleurs jeux City Builder
Pour établir notre classement des meilleurs jeux City Builder, nous avons d’abord défini des critères clés : profondeur stratégique, diversité des mécaniques de jeu, qualité graphique et immersion. Chaque jeu a été testé en fonction de la gestion des ressources, de la planification urbaine et des défis proposés, afin de garantir une expérience équilibrée et agréable.
Nous avons également accordé une grande importance à l’immersion visuelle et à l’ambiance générale du jeu, en évaluant la qualité des graphismes, de la bande-son et l’authenticité de l’univers. Un jeu qui réussit à immerger le joueur dans son environnement urbain a été préféré.
L’engagement des communautés et les mises à jour régulières des développeurs ont également été pris en compte, car un jeu dynamique, soutenu par ses créateurs et sa communauté, prolonge l’expérience de manière positive.
Enfin, nous avons comparé chaque jeu avec des références du genre comme Cities: Skylines et SimCity, afin de situer leur innovation et leur qualité par rapport aux meilleurs du marché.
Ainsi, notre méthodologie a permis de sélectionner les jeux qui offrent une expérience riche, stratégique et immersive aux joueurs.
FAQ
Quel est le meilleur city builder réaliste aujourd’hui ?
Skylines II (sorti fin 2023, toujours mis à jour en 2025) reste une référence pour sa profondeur, sa simulation poussée et ses outils de modding. Malgré un lancement technique difficile, les correctifs l’ont grandement amélioré.
Existe-t-il un city builder dans l’espace ?
Oui, plusieurs ! Surviving Mars et Planetbase offrent deux visions différentes : l’un plus stratégique, l’autre orienté survie. En 2025, IXION et Laysara: Summit Kingdom (ville en montagne) gagnent aussi en popularité.
Un city builder original sorti récemment ?
Manor Lords, en accès anticipé depuis 2024, se démarque par sa reconstitution médiévale, son économie réaliste et ses combats tactiques. Il devrait sortir en version finale courant 2025.
Imaginez la scène : vous travaillez depuis votre salon, mais vous retrouvez vos collègues dans un open space virtuel. Ce qui relevait hier encore du fantasme de science-fiction prend aujourd’hui une forme très concrète grâce à l’essor du coworking en réalité virtuelle.
A la fois intriguant et séduisant, ce concept propose d’ouvrir des espaces immersifs dédiés à la collaboration à distance. Ces environnements intègrent les dernières innovations en VR, parfois même en réalité augmentée, et repoussent ainsi les frontières du metaverse. Ils réinventent notre manière d’imaginer le travail en équipe.
Comment fonctionnent les espaces de coworking en réalité virtuelle ?
Le principe est simple à comprendre : il s’agit de créer un environnement numérique partagé où chacun interagit à travers un avatar personnalisé. En chaussant un casque VR, vous êtes immédiatement projeté dans un espace en trois dimensions conçu pour rappeler, voire dépasser, l’expérience d’un bureau physique. Ces plateformes ne se contentent pas de reproduire les outils fondamentaux à la collaboration. Elles ajoutent une dimension ludique, une touche de gamification qui rend les réunions plus vivantes.
Dans ce type d’univers, vous pouvez discuter avec vos collègues comme si vous étiez dans la même pièce. Vous avez aussi la possibilité de manipuler des objets virtuels ou de travailler ensemble sur des documents affichés sur des tableaux numériques interactifs. Les technologies permettent déjà d’organiser des réunions intégrant schémas, vidéos et sessions de brainstorming créatif. L’idée, vous l’aurez compris, est de dynamiser l’expérience collaborative et de maintenir un haut niveau de productivité, même à distance.
Quels avantages offrent les espaces de coworking virtuels ?
Le premier atout du coworking en réalité virtuelle, c’est bien sûr l’immersion. En entrant dans un espace personnalisé, on ressent un engagement bien plus fort que lors d’une visioconférence classique derrière une simple webcam. Cette immersion favorise la concentration, réduit les distractions extérieures et incite chacun à s’impliquer davantage. Certains professionnels commencent d’ailleurs à s’intéresser aux cryptos prometteuses pour 2025, des actifs liés aux innovations qui transforment peu à peu ces nouvelles expériences collaboratives.
Un autre avantage saute aux yeux : la disparition des barrières géographiques. Que vos collègues soient à Paris, New York ou Tokyo, tous peuvent se retrouver dans le même espace virtuel. Ils échangent alors des idées autour d’un tableau blanc ou lancent un projet commun, sans jamais bouger de chez eux. Pour les managers, cette possibilité d’accéder à des talents internationaux est une richesse, car elle renforce la diversité et stimule la créativité des équipes.
Un environnement évolutif à volonté
Le coworking en réalité virtuelle séduit aussi par sa flexibilité. Besoin d’un auditorium en amphithéâtre pour une grande présentation ? Ou plutôt d’un salon intimiste pour un atelier de brainstorming ? En quelques clics, l’espace s’adapte. Cette modularité dépasse largement les possibilités offertes par un bureau traditionnel.
L’immersion permet également d’intégrer des éléments de gamification. Proposer des défis collectifs virtuels ou instaurer des moments de détente interactifs renforce la cohésion d’équipe et rend le travail plus agréable. Une approche qui parle particulièrement à une génération habituée à l’interactivité et sensible aux innovations technologiques.
Des interactions plus naturelles et moins formelles
Là où les e-mails et certaines plateformes vidéo paraissent froides et rigides, le coworking en réalité virtuelle change la donne. Il favorise des échanges bien plus proches de ceux que nous connaissons dans la vie réelle. Les discussions sont enrichies par un mouvement de tête, une intonation de voix ou la distance choisie entre deux avatars. Ces petits détails font toute la différence et redonnent de la fluidité aux interactions.
La dimension sociale, fondamentale dans les espaces de coworking physiques, se réinvente elle aussi. Les pauses informelles deviennent des “coins café” immersifs où les conversations se déroulent librement, même entre collaborateurs situés à l’autre bout du monde. Ce type d’interactions contribue à maintenir la convivialité et à renforcer les liens au sein des équipes.
Les grandes tendances et usages actuels du coworking immersif
Plusieurs plateformes développent aujourd’hui des environnements de coworking en réalité virtuelle toujours plus aboutis. Certaines ciblent les petites équipes nomades, d’autres séduisent les grandes entreprises internationales. Dans tous les cas, l’accent est mis sur trois priorités : la flexibilité des aménagements, la fiabilité technique et la richesse des outils collaboratifs intégrés.
L’éducation n’est pas en reste. Des campus virtuels émergent et permettent à des étudiants de suivre leurs cours aux côtés de leurs professeurs dans des salles de classe immersives. Les professionnels du marketing, quant à eux, plébiscitent des espaces spécialement conçus pour stimuler la créativité et l’innovation. Autrement dit, chacun trouve un terrain de jeu adapté à ses besoins.
Campus et espaces de travail partagés en réalité virtuelle
L’approche des “campus virtuels” se développe rapidement, surtout auprès des entreprises qui souhaitent fournir plus de mobilité à leurs employés. Imaginez un quartier entier conçu en VR, avec des salles de réunion immersives et des ateliers collaboratifs. Il y aurait même des auditoriums capables d’accueillir cent participants connectés en simultané. Cette modularité attire aussi bien les start-up que les multinationales, toutes soucieuses de maintenir un esprit d’équipe malgré la distance.
Dans le monde éducatif, certaines écoles expérimentent déjà des cours à distance dans des amphithéâtres virtuels. Les élèves et les professeurs interagissent presque comme s’ils étaient ensemble dans une salle physique. Autour du tableau digital, la dynamique collective se renforce et favorise une participation plus directe.
Exemples marquants : Meta Horizon Workrooms, Virbela, Arthur, Spatial
Le marché du coworking en réalité virtuelle compte déjà plusieurs acteurs importants. Meta Horizon Workrooms propose, par exemple, des réunions immersives réalistes. Chacun peut personnaliser son avatar et collaborer autour de tableaux blancs partagés. Virbela développe, quant à elle, des campus virtuels complets. Il est utilisé aussi bien par des entreprises que par des écoles pour leurs événements, formations ou rencontres informelles. Arthur cible surtout les grandes sociétés. Il met l’accent sur des réunions sécurisées et performantes, tandis que Spatial séduit davantage les équipes créatives. Ses environnements modulables sont pensés pour le brainstorming, la co-conception ou la présentation de projets artistiques. Chacune de ces solutions cherche à trouver le juste équilibre entre immersion, simplicité d’utilisation et accessibilité technique.
Meta prépare le lancement de ses lunettes HUD baptisées Hypernova. Et pourtant, il n’y a aucun enthousiasme dans l’air. Voici pourquoi. L’entreprise de Mark Zuckerberg a beau vouloir jouer les pionniers avant Apple, ses futures lunettes HUD Hypernova ne partent pas avec les meilleures cartes. Les prévisions de vente internes laissent déjà entendre que l’appareil ... Lire la suite
La boutique Meta Horizon dévoile une nouvelle série de jeux conçus pour ceux qui refusent toujours de jouer de la même façon. La sélection est baptisée « Craft Your Play ».
Ce catalogue met en avant des titres qui misent tout sur la personnalisation, les surprises à débloquer et des mécaniques qui récompensent les joueurs créatifs. Pas question de suivre un chemin tout tracé donc. Chacun de ces jeux propose une manière différente de personnaliser sa partie.
Bref, il y a de quoi contenter tous les profils de joueurs. Voici un tour d’horizon des 7 titres qui font déjà parler d’eux. Ne faites pas l’erreur de les rater.
BattleGroupVR : le commandant, c’est vous
Dans BattleGroupVR, la guerre intergalactique se vit directement depuis le pont de votre vaisseau amiral. Le jeu mêle stratégie en temps réel et immersion à la première personne, un mélange qui vous transforme en véritable chef d’escadron spatial.
Chaque combat demande de choisir avec soin vos navires. Ce, qu’il s’agisse de corvettes rapides, de cuirassés lourds ou même de porte-avions capables de renverser une bataille.
Les capacités spéciales et configurations uniques de chaque appareil obligent à adapter constamment vos choix tactiques.
Crashland : survivre n’est pas une option, c’est une obligation
Crashland ne prend pas de gants avec ses joueurs. Le décor est une planète extraterrestre impitoyable où vous incarnez un gladiateur intergalactique qui doit tenir jusqu’au sauvetage.
La survie se résume à des combats rapides, violents et parfois effrayants. L’adrénaline grimpe quand vous croisez des vers géants surgissant du désert ou quand des araignées sortent de l’obscurité.
Le jeu mélange action frénétique et ambiance horrifique pour créer une expérience où chaque instant de répit se paye cher. La brutalité des ennemis et l’absence de refuge transforment chaque mission en véritable test de sang-froid.
Honey Pot : les abeilles passent à l’offensive
Pot de miel prouve que même les insectes les plus pacifiques savent se défendre quand leur survie est en jeu. Dans cette campagne narrative, vous rejoignez une armée d’abeilles déterminée à repousser des ours élémentaires bien décidés à envahir leur ruche flottante.
Les joueurs doivent récolter du miel, construire des défenses et tirer des flèches pour tenir face aux vagues ennemies. Le jeu ajoute une dimension stratégique en dévoilant progressivement qui se cache derrière cette attaque contre la nature.
De nouvelles cartes, technologies et scènes d’histoire viennent enrichir la progression et renforcent l’envie d’avancer.
Ironstrike : la coopération avant tout
Ironstrike mélange roguelite, combats physiques et coopération multijoueur. Vous pouvez manier l’épée avec précision, tirer à l’arbalète ou lancer des sorts grâce à un système de gestes qui rend chaque affrontement dynamique.
Le jeu prend toute sa dimension quand quatre alliés unissent leurs forces pour sauver les dieux d’un monde fantastique. Mais même en solo, l’expérience reste complète et exigeante.
Chaque partie réserve des combats intenses, où la physique réaliste des armes ajoute un niveau de stratégie inattendu. L’accessibilité gratuite du jeu en fait un incontournable pour les amateurs de batailles en équipe.
Swords of Gargantua : l’arène comme terrain de gloire
Swords of Gargantua pousse le combat à l’épée jusqu’à son extrême. Le jeu propose 101 niveaux dans un univers appelé Abysse de Tesseract. Là où vos talents de gladiateur sont constamment mis à l’épreuve.
Près de cent armes et boucliers sont disponibles, avec en prime des artefacts qui offrent des bonus stratégiques. L’expérience devient encore plus palpitante en multijoueur, avec la possibilité d’inviter directement ses amis pour former une escouade.
Ensemble, il faut affronter Gargantua et son armée pour tenter de libérer un monde tombé sous le joug de faux dieux. La difficulté progressive et l’importance du travail d’équipe garantissent une rejouabilité impressionnante.
Table des contes : vos choix écrivent l’histoire
Table of Tales: The Crooked Crown propose une aventure narrative où chaque décision peut bouleverser le cours du jeu. Guidés par Arbitrix, un maître du donjon mécanique au verbe bien affûté, vous menez un groupe de vauriens dans une histoire riche en rebondissements.
Les 24 rencontres disponibles offrent une diversité de situations où la magie, la ruse ou le combat sont souvent nécessaires. Mais tout repose sur vos choix : garder vos compagnons ou les sacrifier peut modifier profondément l’intrigue.
Zombieland : la vitesse au bout du canon
Zombieland: Headshot Fever modernise le jeu de tir arcade en VR avec une mécanique simple mais diabolique. Le combo de tirs à la tête ralentit le temps, permettant d’enchaîner les kills avec une précision redoutable. Une idée qui transforme le joueur précis en véritable champion de vitesse.
L’expérience, déjà récompensée dans plusieurs festivals, se distingue par son intensité et son aspect compétitif. Les classements en ligne ajoutent une pression supplémentaire. Il ne suffit pas de survivre, il faut briller.
Avec ses courses effrénées et son gameplay nerveux, ce titre promet des soirées aussi fun que stressantes.
Entre le 20 et le 24 août 2025, Meta a profité de la Gamescom pour montrer une démo jouable de Deadpool VR, son exclusivité pour casques de réalité virtuelle. Les premiers testeurs sont emballés et qualifient le jeu de sensationnel.
Les joueurs pourront explorer Deadpool VR sur les casques Quest 3 et 3S à partir du 18 novembre. Mais pendant la Gamescom, Meta a mis à disposition une démo jouable pour faire découvrir le jeu. Les premiers retours sont sans appel : le jeu déchire. Les testeurs ont particulièrement apprécié son rythme effréné, son humour décapant et sa puissance en réalité virtuelle (VR).
Dès les premières minutes, le ton est donné. Incarner Deadpool, c’est s’aventurer dans un festival d’ultra-violence à 360 degrés, armé de flingues, de sabres et d’un grappin. Les combats sont intenses et satisfaisants, et la VR fait ressentir pleinement la sensation de puissance du mercenaire.
Il est possible de projeter les ennemis dans le vide, alterner les attaques à distance et aux coups de mêlée, ou encore d’activer des pouvoirs spéciaux comme les cartes explosives de Gambit pour éliminer des adversaires coriaces. La palette de mouvements, instinctive et permissive, permet de se concentrer sur l’action sans frustration, tandis que le mutant se régénère naturellement.
Deadpool VR sous les casques : les testeurs ne tarissent pas d’éloges
Les premiers testeurs ont rapporté que le jeu Deadpool impressionne par son cel-shading expressif, fidèle à l’univers comics. Le style graphique, sanglant mais stylisé, est adouci par l’humour permanent du héros. Les séquences cinématiques s’enchaînent sans rupture. L’intrigue originale rend hommage aux comics et apporte son lot de rebondissements.
Les testeurs saluent aussi l’équilibre entre action et confort. Les combats rapides et les acrobaties vertigineuses se déroulent sans provoquer de nausée, grâce à un horizon et un suivi ajustés avec soin. Saisir ses sabres au-dessus des épaules, dégainer ses pistolets ou utiliser le grappin devient naturel après quelques minutes. Les acrobaties, mouvements et escalades murales maintiennent le rythme du jeu tout au long de l’action.
Malgré tout, certains détails restent perfectibles. Le grappin dans le dos est parfois difficile à atteindre, et la vitesse de déplacement peut être déroutante lors des cinématiques. On regrette aussi que quelques mini‑boss tombent trop vite. Enfin, certains ont rapporté que l’adaptation de la voix de Deadpool nécessite un petit temps d’adaptation pour les habitués des films.
Le retour tant attendu du Commodore C64 Ultimate suscite une grande excitation parmi les passionnés de rétro-gaming. Cependant, un changement récent dans la politique ‘De Minimis’ sous l’administration Trump menace de retarder sa sortie. Cette évolution réglementaire affecte non seulement Commodore mais également d’autres acteurs de l’industrie technologique. Les amateurs de l’ordinateur emblématique espèrent toujours ... Lire la suite
Meta secoue l’expérience VR de ses casques Quest avec Horizon OS v81 PTC. La maison virtuelle fait peau neuve, et cette fois, on peut se déplacer librement sans marcher sur des murs invisibles. Les testeurs de Quest ont commencé à recevoir Horizon OS v81 PTC, et les premiers retours montrent une vraie révolution pour la ... Lire la suite
Les amateurs de pilotage virtuel et de dinosaures vont bientôt avoir droit à un mélange explosif. Orbx a dévoilé de nouvelles images de son prochain DLC Jurassic World: Archipelago pour Microsoft Flight Simulator 2024.
La page officielle de Jurassic World: Archipelago sur Facebook distille déjà, elle aussi, du contenu bonus et des informations régulières. La sortie approche, et les premiers aperçus montrent que ce DLC pourrait bien devenir l’un des plus attendus de l’année.
Un DLC ou Downloadable Content, pour rappel, est une extension ou un contenu additionnel qui vient enrichir un jeu déjà existant.
Un archipel culte, bientôt prêt à être exploré
Les visuels partagés par l’éditeur affichent une reconstitution fidèle de l’archipel des Muertes, vu dans la saga Jurassic World. On y découvre des paysages détaillés, des reliefs précis et des monuments emblématiques reconnaissables au premier coup d’œil.
Cette extension ne se limite pas au ciel. Selon un second teaser publié par Orbx, il sera possible de poser son appareil et de visiter les structures mythiques au sol. Les passionnés pourront ainsi passer du cockpit aux allées des complexes emblématiques de l’île, sans coupure dans l’immersion.
Et attention ! Le DLC Jurassic World: Archipelago ne joue pas uniquement sur la beauté des paysages. Il promet aussi une dose de nostalgie cinématographique. Les fans pourront combiner le réalisme du simulateur avec le frisson d’explorer un univers culte.
Et pour ceux qui disposent d’un simulateur de mouvement, l’expérience prendra une dimension encore plus impressionnante. Bon, j’avoue ! Difficile de ne pas comparer cette annonce à d’autres expériences récentes dans le monde de la simulation.
L’an dernier, certains ont survolé les déserts d’Arrakis à bord d’un Ornithoptère avec un simulateur de mouvement. Une aventure difficile à égaler. Pourtant, ce nouveau DLC pourrait bien relever le défi. Associé à une plate-forme de vol comme la Yaw 3, il promet une immersion totale.
Bref, nous suivons donc de près l’évolution de ce projet. Avec un peu de chance, nous pourrons bientôt vous parler d’un vol grandeur nature au-dessus d’Isla Nublar. Qui sait ?
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