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Reçu aujourd’hui — 15 septembre 20253.2 🎲 Jeux Autres

Test de Bad Cheese – Les cauchemars de Mickey

Par :Riggs
15 septembre 2025 à 11:49
Bad Cheese, c’est un peu comme si un vieux cartoon en noir et blanc des années 1920 s’était échappé de sa pellicule poussiéreuse pour se transformer en cauchemar interactif. On y incarne une petite souris qui tente de garder la maison en ordre et de rendre papa heureux pendant que maman est absente.
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Test de Metal Gear Solid Delta : Snake Eater | Le mythe reconstruit, la légende absente

Par :Rainbow
15 septembre 2025 à 06:00

Konami face à son héritage

Difficile d’évoquer Metal Gear Solid Delta: Snake Eater sans revenir sur l’histoire complexe et passionnée qui entoure la saga. Créé par Hideo Kojima à la fin des années 1980, Metal Gear s’est imposé comme l’un des piliers du jeu vidéo d’infiltration, porté par une narration ambitieuse, une mise en scène cinématographique et une identité singulière. Mais depuis le départ notable de Kojima de chez Konami en 2015, l’avenir de la série semblait scellé, ou tout du moins en suspens, au grand dam des fans.

Pourtant, contre toute attente, Konami opère depuis quelque temps un retour progressif sur le devant de la scène vidéoludique. Après plusieurs années de relative discrétion, l’éditeur semble déterminé à faire renaître ses licences phares. La sortie de Silent Hill 2 Remake en est une preuve tangible, et Metal Gear Solid Delta: Snake Eater s’inscrit dans cette même logique de résurrection stratégique.

Avec ce remake du mythique épisode sorti en 2004 sur PlayStation 2, Konami tente un pari risqué : raviver la flamme sans la présence de son créateur emblématique. Moderniser un chef-d’œuvre sans le trahir. Reste à savoir si l’opération relève de l’hommage fidèle… ou d’une réinterprétation bancale d’un monument du jeu vidéo.

Metal Gear Solid Delta : Snake Eater | Trailer de lancement

Metal Gear Solid Delta : Snake Eater | Informations générales

  • Disponible depuis le 28 Août 2025 sur PC, Xbox Series et PlayStation 5.
  • Tarif de lancement : à partir de 79.99€ prix éditeur.
  • Version testée : Exemplaire PS5 achetée par nos soins.

L’ombre d’un conflit, la naissance d’un héros

Dans Metal Gear Solid Delta: Snake Eater, c’est aux origines de la saga que le joueur est convié, avec un retour aux années 1960 en pleine Guerre Froide. Le récit suit Naked Snake, futur Big Boss, lors d’une mission d’infiltration périlleuse en pleine jungle soviétique. Chargé de neutraliser son mentor, The Boss, et de mettre un terme à une menace nucléaire imminente, Snake est confronté à un dilemme moral qui posera les fondations de toute la mythologie Metal Gear.

Ce scénario, riche en tension dramatique et en enjeux géopolitiques, mêle espionnage, trahison et réflexions sur le devoir et la loyauté. Hideo Kojima voulait avant tout raconter une histoire humaine, au-delà de la simple intrigue d’espionnage en explorant les zones grises de la morale, là où les héros ne sont ni tout à fait bons ni tout à fait mauvais, et où chaque décision peut avoir des conséquences lourdes et parfois douloureuses.

Le remake promet de revisiter ces événements emblématiques sous un nouveau jour, tout en conservant la complexité narrative qui a fait la renommée du jeu original. Mais dans ce retour aux sources, la question demeure : la légende pourra-t-elle garder toute sa profondeur sans la direction de Kojima ?

La mue du serpent

La première chose qui frappe dans Metal Gear Solid Delta : Snake Eater est bien évidemment sa refonte graphique. Oubliés les visages figés et les textures sommaires de l’époque PlayStation 2 : cette version 2025 s’offre une cure de jouvence spectaculaire, propulsée par l’Unreal Engine 5. En un clin d’œil, la jungle devient un personnage à part entière, luxuriante, menaçante, presque vivante. Feuillages dynamiques, jeux de lumière saisissants, reflets sur l’eau et particules dans l’air : chaque recoin de la forêt soviétique semble suinter de réalisme.

Les modèles 3D des personnages ont eux aussi été entièrement retravaillés, avec une fidélité impressionnante. Snake affiche désormais des expressions faciales crédibles, des animations plus naturelles, et une gestuelle qui renforce l’immersion. Mention spéciale à la mise en scène, plus cinématographique que jamais dans ce remake, qui sublime les moments cultes du jeu original sans les trahir. Une chose est sûre : le camouflage n’a jamais été aussi beau

Mais reste à savoir si cette modernisation visuelle s’accompagne d’un travail équivalent sur le plan sonore et ludique. Là encore, Metal Gear Solid Delta : Snake Eater joue la carte de la fidélité, parfois jusqu’au mimétisme. Les bruitages emblématiques, comme le fameux « ! » d’alerte, les communications radio ou les pas feutrés dans les herbes hautes, ont été retravaillés avec soin, conservant leur identité tout en gagnant en clarté et en spatialisation. Le sound design gagne en richesse, notamment grâce au support de l’audio 3D, qui accentue l’immersion lors des phases d’infiltration.

L’art de l’infiltration, intact

Côté gameplay, les mécaniques sont calquées sur celles de l’opus original, dans les grandes lignes. Le joueur a ainsi le choix entre deux types de jouabilité : légende ou moderne.

Le gameplay légende reprend fidèlement le jeu d’origine, avec sa caméra en plongée, héritée de l’ère PS2. Un angle qui impose une lecture plus rigide de l’espace et oblige à jouer avec les sons, les mouvements ennemis et les angles morts pour progresser. Les vétérans retrouveront immédiatement leurs repères, tandis que les nouveaux venus risquent d’y voir une prise en main datée, peu intuitive à l’heure des caméras libres et du gameplay ultra-fluidifié.

La jouabilité moderne, elle, opte pour une approche plus cinématographique, proche de celle de Metal Gear Solid V (ou même de la version Subsistence du Snake Eater original). Caméra libre, déplacements plus souples, ergonomie légèrement repensée : de quoi rendre l’expérience plus accessible, sans pour autant bouleverser le rythme de l’infiltration. Snake reste lent, lourd, vulnérable, et c’est bien là tout l’intérêt.

Ce double choix de contrôle incarne à lui seul la philosophie de Delta : moderniser sans trahir. Une manière pour Konami de ménager la sensibilité des puristes tout en tendant la main aux néophytes.

Pour autant, l’équipe en charge du remake a décidé d’opter pour un ajout mineur : la chasse aux Ga-Kos. A l’instar de leurs cousins les Kerotans (que les puristes connaissent bien), ces petites figurines en forme de canards sont dissimulées un peu partout dans les environnements. Au nombre de 64 à collectionner, leur chasse s’avérera fastidieuse pour quiconque souhaite finir le jeu à 100%.

Enfin, et c’est important de le souligner : ce remake de Snake Eater cache en lui un autre remake. Confiée à PlatinumGames (Bayonetta, Vanquish, NieR: Automata…), la refonte du cauchemar de Snake emprisonné à Groznyj Grad a, elle aussi, été retravaillée, pour offrir une séquence plus intense, plus onirique et plus cohérente avec les technologies modernes.

Le fameux rêve éveillé de Snake (Guy Savage), séquence étonnante et déstabilisante dans le jeu original, gagne ainsi en lisibilité et en mise en scène. PlatinumGames y a injecté sa patte visuelle, avec un sens du rythme et une stylisation plus affirmée, sans dénaturer l’esprit initial. On y retrouve par ailleurs des influences proches de Metal Gear Rising, mais canalisées dans un format plus court et narratif. Une excellente surprise en somme.

Metal Gear Solid Delta : Snake Eater | Les points forts

  • Visuellement superbe
  • Un remake fidèle qui ne trahit pas le matériau d’origine
  • Une histoire intelligente qui pose les bases d’une saga légendaire
  • Un gameplay modernisé qui ajoute de la souplesse à l’ensemble

Metal Gear Solid Delta : Snake Eater | Les points faibles

  • Quelques écueils techniques lors d’une surcharge d’effets visuels à l’écran, mais rien de bien méchant

Verdict définitif : 18/20

Metal Gear Solid Delta : Snake Eater parvient avec brio à conjuguer respect profond pour le jeu original et modernisation technique, offrant ainsi au joueur une immersion à couper le souffle, en adéquation avec la vision de Kojima. Konami réussit ici un pari audacieux : ressusciter un monument du jeu vidéo sans le dénaturer, en ménageant à la fois les puristes et les nouveaux venus. Si quelques choix, notamment en matière de mécaniques, pourront diviser, il est indéniable que Metal Gear Solid Delta : Snake Eater incarne une renaissance pleine de promesses et un retour aux sources magnifié.

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Test de Hollow Knight : Silksong | Fini à 100%, notre verdict !

Par :Rainbow
15 septembre 2025 à 00:01

Difficile d’aborder Hollow Knight: Silksong sans évoquer d’abord le phénomène qu’a été son prédécesseur. Sorti en 2017, Hollow Knight a su s’imposer comme l’un des piliers du Metroidvania moderne grâce à sa direction artistique envoûtante, son gameplay exigeant et son univers riche, sombre et mystérieux. Un véritable succès critique et commercial, qui a propulsé le petit studio australien Team Cherry sur le devant de la scène indépendante.

C’est donc peu dire que Silksong, annoncé en 2019, était attendu au tournant. Ce qui devait initialement être un simple DLC du jeu original s’est rapidement transformé en une suite à part entière, centrée cette fois sur Hornet, l’un des personnages emblématiques du premier opus. Mais entre annonces sporadiques, longues périodes de silence et multiples reports, l’attente autour de Silksong est devenue presque mythique, au point d’alimenter memes et théories au fil des années.

Aujourd’hui, après des années d’attente, le jeu est enfin entre nos mains. Et la grande question demeure : Hollow Knight: Silksong est-il à la hauteur de son héritage et de l’immense attente qu’il a suscitée ?

Hollow Knight : Silksong | Trailer

Hollow Knight : Silksong | Informations générales

  • Disponible depuis le 4 septembre 2025 sur PC, Xbox Series, Nintendo Switch, PlayStation 4 et PlayStation 5
  • Testé sur PS5 via un exemplaire numérique acheté par nos soins
  • Prix éditeur : 19.99€
  • Genre : Metroidvania

Un royaume envoutant et dangereux, tissé de secrets

Hollow Knight : Silksong reprend la formule qui a fait le succès du premier opus tout en l’enrichissant considérablement. Dès les premières minutes, Hornet se retrouve plongée dans un nouveau royaume, Pharloom, à la fois vibrant de vie et regorgeant de dangers. Chaque zone possède une identité forte et immédiatement reconnaissable : des forêts luxuriantes aux tréfonds d’une citadelle mécanique plongés dans une obscurité pesante, en passant par des cavernes toxiques ou des donjons tortueux dignes d’un cauchemar.

La richesse visuelle est impressionnante : chaque élément du décor, chaque son, chaque silhouette à l’arrière-plan contribue à faire de ce monde un véritable organisme vivant. La bande-son, signée à nouveau par Christopher Larkin, oscille entre mélodies délicates et orchestrations dramatiques, soulignant avec justesse aussi bien les moments de calme que les affrontements les plus tendus.

Mais sous cette beauté se cache un monde exigeant, souvent hostile. Explorer Pharloom et ses différents biomes n’est pas une simple promenade : les pièges sont nombreux, les ennemis impitoyables, et le level design sait se montrer retors, lui qui aime jouer constamment avec la verticalité, les détours et les raccourcis cachés. Le joueur est constamment incité à l’exploration mais se voit être puni pour toute imprudence.

Et c’est précisément ici que l’expérience générale de Silksong risque de rebuter un paquet de voyageurs tant la courbe de difficulté semble mal gérée. Le jeu dispose de nombreuses séquences de voltiges et de plateformes intransigeantes à la « Super Meat Boy » qui peuvent littéralement faire péter un câble au plus grand nombre. Et cela sans compter sur des runbacks (= chemins à reparcourir entre un checkpoint et un boss, ndlr) infernaux et totalement incompréhensibles. Ceux qui ont arpenté les Marches Erodées et Bilesac savent de quoi nous parlons.

Arpenter ce monde demande donc vigilance, patience et persévérance. Et si la progression est certes gratifiante, elle passe très (voire trop) souvent par l’échec, la frustration et l’apprentissage. Arriver à la véritable fin du jeu (au terme de l’acte 3) ne sera pas à la portée de tout le monde. Mais un espoir demeure : la Team Cherry est à l’écoute de sa communauté, et rien n’empêche le studio de peaufiner son bébé dans les mois à venir via différentes MAJ qui adouciront et équilibrerons l’ensemble.

Tisser sa survie, un fil à la fois

Pour se mouvoir, Hornet dispose d’une palette de mouvements bien plus acrobatiques que celle du Chevalier dans le premier opus, rendant le gameplay beaucoup plus nerveux et vertical. Plus agile, plus rapide, elle peut sprinter, grimper aux parois, ou encore enchaîner des attaques aériennes avec une fluidité grisante. Cette mobilité accrue modifie profondément la manière d’aborder le level design et les affrontements.

La collecte de ressources et l’amélioration des capacités restent au cœur de la progression. Là où Hollow Knight reposait sur une gestion d’âmes et un système de charmes, Silksong opte pour une approche plus dynamique, articulée autour d’outils consommables à fabriquer à partir de matériaux laissés par les ennemis. Javelots, kunais, bombes ou encore boomerangs : ces armes secondaires apportent une dimension tactique bienvenue, permettant d’adapter son style de jeu en fonction des situations rencontrées, tout en introduisant une légère touche de crafting et de gestion de ressources.

En complément, Silksong intègre un système de buffs passifs via des objets à équiper, qui améliorent par exemple la vitesse de soin, la mobilité ou la portée des attaques. À cela s’ajoutent des compétences spéciales, directement liées à la soie, qui peuvent renverser l’issue d’un combat lorsqu’elles sont utilisées au bon moment (la meilleure à notre sens étant celle basée sur la contre-attaque).

Enfin, le jeu propose des « Emblèmes », sortes d’archétypes modulables à dénicher au fil de l’exploration, qui permettent de structurer des builds pour Hornet selon votre approche : plus agressive, défensive, mobile ou orientée sur les dégâts à distance. Le tout compose un système flexible, mais aussi exigeant, qui pousse à expérimenter et à s’adapter constamment.

Les affrontements, quant à eux, gagnent en variété et en intensité. Les ennemis disposent souvent de patterns plus agressifs et moins téléphonés que dans le premier jeu, ce qui pousse à rester constamment mobile, notamment face aux adversaires volants (et il y’en a légion). Les combats de boss, eux, sont de véritables morceaux de bravoure : souvent spectaculaires dans leur mise en scène (Trobbio, Fantôme…) et toujours exigeants, ils demandent précision, sens du rythme, et une bonne lecture des phases d’attaque. Certains n’hésitent d’ailleurs pas à mêler pure action, épreuves de plateforme et changement d’environnement en pleine rencontre. Mais les plus vicieux d’entre eux ont la fâcheuse tendance à appeler du renfort en plein combat, pour notre plus grand (dé)plaisir. Un point qui rejoint la frustration parfois engendrée par le jeu.

Enfin, la structure plus linéaire de Silksong, du moins dans ses premières heures, rend le rythme plus soutenu et met davantage l’accent sur les confrontations (il y’a d’ailleurs trop d’arènes à notre goût) ainsi que sur les séquences techniques. Si certains regretteront la liberté d’exploration plus prononcée et profonde d’Hollow Knight, d’autres apprécieront ce rythme plus dirigé (les objectifs apparaissant sur la carte). Ceci dit, le monde de Pharloom est vaste, et c’est bel et bien dans sa seconde partie que toute sa richesse en matière d’épopée prend tout son sens.

D’ailleurs, Hollow Knight : Silksong ne se contente pas d’un chemin principal déjà dense et exigeant : le jeu regorge de contenu secondaire pensé pour enrichir l’expérience sans la diluer. On retrouve ainsi un large éventail de quêtes annexes, souvent remises par des PNJ aux quatre coins de Pharloom. Si certaines se limitent à des objectifs simples (retrouver un personnage, collecter des objets, éliminer un ennemi…), d’autres s’étendent sur plusieurs zones et réservent de vraies surprises, voire des morceaux de lore bien cachés.

Ces quêtes apportent un peu d’air au milieu d’une progression souvent intense, et renforcent le sentiment d’arpenter un monde habité et fait de micro-histoires. Certaines vous pousseront à revisiter d’anciennes zones avec de nouvelles capacités, d’autres vous récompenseront avec des matériaux rares, de nouveaux outils ou encore des éléments d’amélioration comme des fragments de masques pour augmenter votre santé.

À cela s’ajoutent quelques mini-jeux ou défis spécifiques. On pense par exemple à des épreuves de vitesse, de mobilité et à des énigmes environnementales. Rien de bien révolutionnaire, mais ces à-côtés offrent une vraie variété dans le rythme et apportent une touche de légèreté bienvenue.

Hollow Knight : Silksong | Les points forts

  • Un monde vaste et riche à parcourir
  • Un contenu très dense avec une durée de vie solide (entre 40 et 60 heures de jeu pour voir la véritable fin)
  • Un gameplay dynamique, réactif et incisif
  • Des environnements et des biomes de toute beauté
  • Une ambiance et une histoire accrocheuses
  • Une OST superbe
  • Certains boss qui valent le détour

Hollow Knight : Silksong | Les points faibles

  • Des séquences techniques souvent frustrantes
  • Quelques runbacks infernaux
  • Quelques arènes mal dosées
  • Des boss parfois trop sacs à PV

Verdict final : 18/20

Entre émerveillement, frustration, joie, colère et autres émotions, terminer Hollow Knight : Silksong n’est pas une mince affaire. C’est avec sueur, sang et larmes que l’on vient à bout de cette épopée exigeante, parfois injuste, mais profondément marquante. Si certains choix de game design pourront diviser, difficile de rester insensible à la maîtrise artistique, à la richesse du monde et à la nervosité du gameplay. Silksong ne cherche pas à plaire à tout le monde, mais à tracer sa propre voie avec caractère. Il vise les plus téméraires, ceux prêts à se perdre, à tomber, à recommencer, jusqu’à mériter la fin.

L’article Test de Hollow Knight : Silksong | Fini à 100%, notre verdict ! est apparu en premier sur PLAYERONE.TV.

Test de Fling to the Finish – On s’attache et on se bidonne

15 septembre 2025 à 00:34
Fling to the Finish sur Xbox Series X repose sur un concept aussi simple que déjanté : une course d'obstacles où l'on est attaché à un partenaire par une corde élastique. Sorti initialement sur PC en 2021, ce titre de SplitSide Games déboule sur Xbox One et Xbox Series, et il a tout pour séduire les joueurs consoles.
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Test de Witch It – Un jeu de cache-cache flippant

Par :Shinzay
15 septembre 2025 à 00:30
Quand Riggs m’a confié ce test, j’étais persuadé que j’allais tomber sur une parodie de Dead by Daylight. Spoiler : pas du tout. Witch It, c’est plutôt un énorme cache-cache géant où des sorcières doivent se planquer face à des ogres… qui ressemblent un peu à des cousins éloignés de Shrek. Pour être honnête, rien qu’en voyant le trailer, j’ai eu des sueurs froides.
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Test d’Arcade Archives 2 AQUA JET – C’est l’Arcade à la plage

15 septembre 2025 à 00:26
Ah, les jeux d'arcade des années 90 ! Ces bornes massives qui trônaient fièrement dans des salles enfumées, avalant nos pièces de monnaie comme des Théo sirote ses Coca, et nous offrant en retour des sensations plus pures que les produits laitiers. Aqua Jet, sorti à l'origine en 1996 par Namco, était l'un de ces titres qui infusait l'essence du fun immédiat : un simulateur de jet-ski où l'on filait sur les vagues, évitant les obstacles et esquivant les concurrents dans une course effrénée. Aujourd'hui, grâce à Hamster Corporation, ce classique fait son grand retour sur Xbox Series X via les jeux du label Arcade Archives 2. Vague de nostalgie ou tasse d'eau salée ?
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