Mercato Monaco : Thiago Scuro, les raisons de la colère









Pendant longtemps, l’une des fonctionnalités de sécurité les plus efficaces de Windows 11 était quasi inaccessible pour une majorité d’utilisateurs. Il fallait impérativement disposer d’une installation propre du système pour en profiter. Les dernières versions Insider changent enfin la donne.
L’article Une fonctionnalité de Windows 11 autrefois verrouillée est maintenant à portée de clic est apparu en premier sur Toms Guide.


Quelques jours après la publication par Washington de la nouvelle stratégie de sécurité des Etats-Unis, très offensive à l’égard des Européens, Donald Trump en a remis une couche lundi 8 décembre, avertissant que l’Europe prenait de "mauvaises directions". "L’Europe doit faire très attention", a déclaré le président américain à la presse à la Maison-Blanche, ajoutant : "L’Europe prend certaines mauvaises directions, c’est très mauvais, très mauvais pour les gens. Nous ne voulons pas que l’Europe change autant".
L’administration de Donald Trump avait publié vendredi un document présentant une "Stratégie de sécurité nationale" résolument nationaliste, anticipant l'"effacement civilisationnel" de l’Europe et prônant la lutte contre les "migrations de masse". "Si les tendances actuelles se poursuivent, le continent européen sera méconnaissable dans 20 ans ou moins", affirme-t-il dans le document.
Sont également pointées du doigt les décisions européennes qui, à en croire l’administration Trump, "sapent la liberté politique et la souveraineté, les politiques migratoires qui transforment le continent et créent des tensions, la censure de la liberté d’expression et la répression de l’opposition politique, la chute des taux de natalité, ainsi que la perte des identités nationales." Un discours qui a dans la foulée été massivement relayé par plusieurs figures américaines d’extrême droite. A commencer par Elon Musk qui a carrément jugé que "l’UE devrait être abolie et la souveraineté revenir aux Etats, de manière que les gouvernements puissent mieux représenter leur peuple".
L’Allemagne avait été le premier pays à répliquer vendredi, par l’intermédiaire de son ministre des Affaires étrangères Johann Wadephul, en disant n’avoir pas besoin de "conseils venant de l’extérieur". Côté français, son homologue Jean-Noël Barrot n’a lui aussi pas tardé à réagir : "L’internationale réactionnaire a beau s’époumoner, nous ne nous laisserons pas intimider", a-t-il tweeté samedi.
Le président du Conseil européen a également réagi ce lundi. "Ce qu’on ne peut pas accepter, c’est cette menace d’interférence dans la vie politique de l’Europe", a déclaré Antonio Costa lors d’une intervention à l’Institut Jacques-Delors. "Les Etats-Unis ne peuvent pas remplacer les citoyens européens pour choisir quels sont les bons partis et les mauvais partis", a-t-il ajouté. "On a des différences sur notre vision du monde, mais cela va au-delà de ça", a-t-il souligné. "Les Etats-Unis restent un allié important, les Etats-Unis restent un partenaire économique important, mais notre Europe doit être souveraine", a-t-il toutefois conclu. Comme lui, la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas avait elle aussi tâché de ne pas froisser Washington, commentant sur X ce week-end que "les Etats-Unis restent notre grand allié".
Les relations entre les deux blocs se sont tendues sur plusieurs dossiers depuis le retour au pouvoir de Donald Trump en janvier, du rapprochement américain avec la Russie au soutien affiché des Etats-Unis aux partis conservateurs ou d’extrême droite en Europe. Dès février dernier, le vice-président américain, J.D. Vance, avait consterné les Allemands et, plus généralement, les Européens, lors d’un discours à Munich, dans lequel il avait affirmé que la liberté d’expression "reculait" sur le continent européen.

© afp.com/Brendan SMIALOWSKI



Le Ryzen 7 9850X3D aurait été repéré avec de la mémoire DDR5 à 9 800 MT/s, un chiffre bien supérieur aux spécifications officielles d’AMD.
Cet article Ryzen 7 9850X3D, AMD ose la DDR5-9800 a été publié en premier par GinjFo.

© Harry Nakos / AP

© Harry Nakos / AP

© KENZO TRIBOUILLARD / AFP
